Un prêtre canadien refuse dans son église le « système de marquage » des passeports vaccinaux
Le Père Stefano Penna.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie
23 septembre 2021 (LifeSiteNews) — Un prêtre catholique canadien a qualifié les passeports vaccinaux de « système de marquage » du gouvernement et a juré qu’un tel système ne sera « jamais » utilisé dans son église.
« Une chose que je sais, c’est que nous ne pouvons pas participer à la mise en œuvre par le gouvernement d’un système de marquage qui identifie les purs et les impurs, les lépreux et les non-lépreux, les vaccinés et les non-vaccinés, car cela reviendrait à céder aux pouvoirs de ce monde ce qui n’appartient qu’à Dieu », a déclaré le Père Stefano Penna, prêtre de la co-cathédrale catholique Saint-Paul à Saskatoon, en Saskatchewan, dans une homélie dimanche dernier.
« Ce passeport vaccinal permet de participer au culte de Dieu. Je ne demande pas aux gens quand ils viennent communier s’ils sont en état de grâce. Pourtant, frères et sœurs, en termes d’éternité, c’est beaucoup plus important que l’état de leur corps. Cela n’arrivera jamais dans cette église, jamais. »
L’homélie du Père Penna a été publiée sur le site internet The Countdown to the Kingdom, mais à ce jour, elle n’a pas encore été publiée sur sa chaîne YouTube ni sur le site de la co-cathédrale catholique Saint-Paul.
Dans son sermon, le Père Penna a laissé entendre que son message pourrait être « annulé » tout en remettant en question le récent mandat d’un archevêque canadien qui a interdit aux personnes n’ayant pas reçu le vaccin COVID d’assister à la messe.
« J’entends dire [par] certains, pour des raisons quelconques, [que] je ne peux pas juger les dirigeants de l’église [qui] ont acquiescé à ce passeport vaccinal et que cela ne sera jamais diffusé parce que ce sera annulé », a déclaré le Père Penna.
Il n’y a pas de « place au gouvernement pour l’amour »
Le Père Penna est bien connu dans l’Ouest canadien pour avoir prêché avec une ferme conviction pour défendre les enfants à naître. Dans le passé, il n’a pas hésité à dire les vérités morales traditionnelles enseignées par l’Église catholique ainsi que celles du Catéchisme de l’Église catholique.
Dans son sermon de dimanche, le Père Penna a déclaré qu’il n’y a pas de « place dans le gouvernement pour l’amour » et a dénoncé l’hypocrisie des mandats de vaccination du gouvernement alors que la société assassine les « non-nés ».
Lire la suiteJustin Trudeau, le dictateur pro-mort du Canada
Par Peter Borromeo (peterborromeo.com) — Traduit et publié par Campagne Québec-Vie avec permission
Pour se préparer à prendre le contrôle absolu du peuple, les marxistes en Chine et en Russie, et les nazis en Allemagne ont créé des divisions parmi les citoyens, désignant des groupes distinctement identifiables à considérer comme des ennemis. Une fois les préjugés inculqués, les citoyens maltraitaient et attaquaient les groupes ciblés. Le gouvernement donnait son approbation tacite par son silence ou en encourageant la violence. C’était le cas pour les Juifs en Allemagne. Les nazis présentaient les Juifs comme la cause de tous les problèmes du pays. Ce préjugé instillé à l’égard des Juifs a conduit à des attaques violentes et à la persécution de ceux-ci par leurs concitoyens. En fin de compte, ce sont les nazis qui ont déclenché le génocide des Juifs, tandis que la population générale, pleine de préjugés, est restée les bras croisés pendant que l’holocauste se déroulait.
Lorsque les régimes communistes ont pris le contrôle de certains pays, ils ont mis la main sur les médias afin de maîtriser et de subvertir la population. Ils ont également reconnu que l’Église catholique est une religion universelle (mondiale) qui enseigne que toute vie humaine est sacrée pour Dieu et que la famille nucléaire est fondamentale pour établir une société juste. L’Église condamne formellement le communisme comme un mal et, par conséquent, les communistes interdisent la pratique de la foi catholique. En introduisant le divorce sans faute et en légalisant la contraception, l’avortement et l’euthanasie, les communistes tentent de détruire l’Église et la famille nucléaire. Cependant, ils savent qu’être humain, c’est être religieux et ils ne peuvent donc pas se contenter de laisser un vide, mais ils veulent plutôt introduire une nouvelle religion où les gens vénéreront l’État.
Le contrôle des médias grand public est essentiel pour exercer le contrôle souhaité par les marxistes sur la population. La Société Radio-Canada (SRC), qui a un passé de partialité anti-chrétienne, est financée par les contribuables à hauteur d’un milliard de dollars par an. Selon le journaliste Derek Fildebrandt, Trudeau a progressivement influencé le contenu de divers médias et magazines par un long processus de réglementation, d’octroi de licences et de subventions. Écrivant dans le journal Western Standard le 10 octobre 2020, il a révélé comment l’infiltration marxiste a permis à Trudeau de mener à bien son plan visant à placer l’ensemble des médias canadiens sous la supervision du gouvernement.
« Dans son budget 2019, le gouvernement Trudeau a déployé près de 600 millions de dollars de subventions pour les médias sélectionnés qui obtiennent l’approbation du gouvernement fédéral. Désormais, l’écrasante majorité des médias canadiens est achetée et payée par le gouvernement fédéral. En particulier, par le Parti libéral, qui a accordé de généreuses subventions des contribuables aux médias qui se conforment à ses diktats. »
La « presse libre », qui est essentielle à la protection de la démocratie canadienne, a été achetée par Trudeau et, comme telle, n’existe plus.
Ayant réussi sur ce front, Trudeau a présenté au Parlement un projet de loi qui donnerait à son gouvernement le contrôle du contenu des médias sociaux. Il n’a pas été en mesure de mener à bien cette facette de son plan avant que le Sénat n’aille en vacances d’été. Si des élections sont déclenchées entre-temps [ce qui est le cas*], le projet de loi mourra, mais s’il est réélu, il peut et veut réessayer. Les libéraux ont déjà rédigé une proposition de ce qu’ils aimeraient voir figurer dans cette nouvelle législation. La majeure partie de cette proposition est remplie de sujets tels que les discours haineux et l’incitation à la violence, qui sont déjà couverts par la législation existante. La répétition de ces questions a pour but de dépeindre les opposants au projet comme étant en faveur de ces crimes, tout en dissimulant ce qu’ils cherchent réellement à accomplir. C’est-à-dire censurer ce qu’ils considèrent comme un discours nuisible dirigé contre eux-mêmes. En cas de succès, critiquer Trudeau et d’autres politiciens sur les médias sociaux pourrait devenir une infraction.
Lire la suiteL’Université de Saskatchewan interdit à ses étudiants en médecine de faire un stage à un centre de grossesse pro-vie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Blue Planet Studio/AdobeStock
L’Université de Saskatchewan à Saskatoon, sous la pression d’étudiants pro-avortement, n’accepte plus le Saskatoon Pregnancy Options Centre, centre pro-vie d’aide aux femmes enceintes, comme lieu de stage pour ses étudiants en médecine. Et les pro-avortement de tous poils de se réjouir, rapporte Pete Baklinski sur Campaign Life Coalition (CLC) :
Les militants de l’avortement qui se disent « pro-choix » ont ironiquement crié « victoire » suite à la décision d’une université canadienne de restreindre le choix des étudiants en médecine en leur interdisant d’effectuer un stage dans un centre de soins de grossesse pro-vie.
Le Collège de médecine de l’Université de Saskatchewan a décidé la semaine dernière que le Saskatoon Pregnancy Options Centre « ne sera pas inclus comme option de site de stage à l’avenir », selon une lettre du 20 juillet signée par les hauts responsables du Collège. Cette décision a été prise après que des étudiants militants pro-avortement eussent fait campagne pour que le collège revienne sur sa décision initiale autorisant les étudiants à être placés au centre de grossesse.
Le groupe pro-avortement Action Canada s’est réjoui de la nouvelle sur Twitter plus tôt cette semaine.
« Une victoire ! @USaskMedDean a décidé de mettre fin au placement d’étudiants dans un centre de grossesse critique anti-choix. Félicitations aux étudiants à l’avant-garde de ce combat », a écrivait sur Twitter l’organisation.
La Coalition pour le droit à l’avortement au Canada est également intervenue, félicitant ceux qui avaient fait campagne auprès de l’université pour limiter le choix des options de placement des étudiants.
« Merci au groupe Gender Engagement in Medicine pour son travail, et aux anciens étudiants qui ont parlé de leurs expériences négatives de stage au CPC », a déclaré le groupe pro-avortement sur Twitter.
L’ironie des groupes « pro-choix » célébrant la restriction des choix des étudiants n’a cependant pas échappé aux Canadian Physicians for Life.
« C’est malheureusement le comble de l’ironie que ceux qui se disent “pro-choix” se réjouissent de réduire les choix des autres », a déclaré le groupe de médecins pro-vie sur Twitter.
Les médias pro-avortement, qui ne sont jamais en reste quand il s’agit de dénigrer les pro-vie, a employé l’événement, si l’on peut dire, que représente la décision de l’université pour dénigrer le Saskatoon Pregnancy Options Centre, rapporte l’article de CLC :
La CBC a utilisé son reportage pour colporter la désinformation d’un étudiant en médecine qui a déclaré que le Pregnancy Options Centre, selon les termes du reportage de la CBC, « diffuse intentionnellement des informations erronées sur les avortements pour effrayer et intimider les femmes ».
Insinuation évidemment fausse, accusant le centre pro-vie de mentir.
Ce qu’on ne dit jamais : certains Autochtones ont grandement apprécié leur pensionnat
Élèves autochtones au pensionnat d'Assiniboia, Winnipeg, Manitoba.
Par LifeSiteNews — Traduction de Richard Décarie — Photo : BiblioArchives/Flickr
Noëlville, Ontario 28 juin 2021 (LifeSiteNews) — Alors que les églises catholiques du Canada sont vandalisées ou incendiées, il est bon de se rappeler que deux éminents autochtones ont attribué à leurs pensionnats le mérite de leur réussite dans la vie. Il s’agit du dramaturge cri de renommée mondiale Tomson Highway et de la défunte chef de bande dénée d’Inuvik, Cece Hodgson-McCauley. En outre, un certain nombre de personnes ont écrit des récits à la sénatrice Lynn Beyak, aujourd’hui à la retraite, témoignant avoir eu des expériences positives ou avoir entendu des récits de première main de bonnes expériences dans les pensionnats. En 2015, Tomson Highway a déclaré au désormais défunt Huffington Post Canada qu’il avait passé neuf des « années les plus heureuses » de sa vie dans un pensionnat. L’école, appelée le pensionnat Guy Hill, était gérée par les Missionnaires Oblats de Marie Immaculée. Né dans le nord du Manitoba, Highway a été envoyé au pensionnat à l’âge de six ans et y est resté jusqu’à l’âge de 15 ans, rentrant chez lui pour les deux mois de vacances d’été. Il a ensuite été mis en pension dans des familles d’origine européenne tout en terminant ses études secondaires à Winnipeg. « Tout ce qu’on entend, ce sont les choses négatives ; personne ne s’intéresse au positif, à la joie dans cette école », a déclaré Highway au journaliste Joshua Ostroff à propos de Guy Hill. « Neuf des années les plus heureuses de ma vie, je les ai passées... dans cette école », a-t-il poursuivi. « J’ai appris votre langue, pour l’amour de Dieu. Avez-vous appris ma langue ? Non, alors qui est le privilégié et qui est le défavorisé. »
M. Highway a laissé entendre qu’il y avait autant d’histoires « positives » sur les pensionnats que d’histoires « négatives » entendues par l’enquête « Vérité et réconciliation du Canada » sur le système de pensionnat qui a vu des dizaines de milliers d’enfants des communautés nordiques emmenés loin de leurs familles pour leur éducation. Il a également attribué à son école sa réussite, et aux autres pensionnats la réussite d’autres anciens élèves. « Vous avez peut-être entendu des histoires négatives de la part de 7 000 témoins dans le processus », a déclaré le dramaturge primé. « Mais ce que vous n’avez pas entendu, ce sont les 7 000 rapports qui étaient des histoires positives. Il y a aujourd’hui beaucoup de gens qui ont réussi dans ces écoles, qui ont des carrières brillantes et qui sont des gens très fonctionnels, très heureux, comme moi. J’ai une carrière internationale florissante, et cela ne serait pas arrivé sans cette école ».
« La vérité les ronge parce qu’ils ont peur de parler du bon côté du pensionnat »
Cece Hodgson-McCauley a été la première femme chef parmi les 23 chefs de bande des Territoires du Nord-Ouest du Canada. Chroniqueuse de longue date pour le Northern News Service, Mme Hodgson-McCauley a écrit en 2012 une description de ce qu’elle a appelé « L’autre côté du pensionnat ». Lorsque sa mère est morte, la future chef avait six ans et son frère deux ans et demi. Son père était trappeur et n’avait donc « pas d’autre choix » que d’envoyer ses enfants au pensionnat de Fort Providence, administré par des religieuses, pour qu’ils soient pris en charge pendant l’année scolaire. « J’ai passé 10 ans là-bas, rentrant chaque été pour les vacances sur le bateau de la mission », écrit Hodgson-McCauley. « Les nonnes nous ont appris tellement de choses. Je me souviens seulement d’une nonne qui était très stricte et d’une autre qui nous faisait trop prier. Dans chaque société, il y a des gens qui ont des personnalités qui sont du mauvais côté », a-t-elle poursuivi. « Mais je peux jurer sur la Bible que mon séjour au couvent a été bon. Nous mangions trois repas par jour, pas fantaisistes mais nourrissants, beaucoup de loisirs, chaque hiver ils nous construisaient un grand toboggan et nous nous amusions à glisser et nous faisions beaucoup de pique-niques en été et en hiver nous faisions des promenades en foin, en traîneau tiré par des bœufs. » « On posait des collets à lapins et on mangeait du lapin. Ils avaient du pemmican, c’est de la viande pilée que les indigènes apprécient grandement. Ils nous ont appris à tricoter des bas pour nous-mêmes, à faire des perles fantaisie pour les mocassins et à faire du travail à la plume, de deux à douze plumes. Nous avons appris à faire nos propres robes, ils nous ont appris à cuisiner et à faire le ménage. » « Les garçons avaient le hockey et le baseball. Les garçons autochtones essayaient toujours de battre les garçons métis, c’était très amusant. » Hodgson-McCauley décrit ses années à l’école comme les meilleures de sa vie. « Ma famille dit la même chose, ma sœur ne jure que par elle », a-t-elle déclaré à un intervieweur. « Nous avons été traités merveilleusement bien ».
Lire la suiteJeunes mariés, restez à 2 mètres l’un de l’autre : la distanciation asociale COVID-19 selon l’évêque de Prince Albert, au Canada
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) — Photo : Neal Cruz/Pexels
Parmi la longue liste de mesures absurdes adoptées pour freiner la propagation du coronavirus — qu’il soit présent ou non d’ailleurs, selon les régions — la plus ubuesque nous est venue d’un évêque catholique du Canada. Mgr Albert Thevenot du diocèse de Prince Albert, Saskatchewan, a pris sur lui au mois d’avril de suivre scrupuleusement les indications des autorités sanitaires concernant les offices religieux publics, précisant que cela devrait durer au moins jusqu’à la fin juin. Et cela valait pour les mariages. Par exception, 10 personnes en tout et pour tout (prêtre, organiste, mariés, famille, invités y compris) seraient autorisées à participer à une telle cérémonie dans l’église, mais cela restait fortement déconseillé. Car tous, je dis bien tous les participants devraient observer la distanciation sociale de 2 mètres. Y compris les jeunes mariés !
Vous avez déjà essayé, vous, d’enfiler une alliance à une personne se trouvant à deux mètres de vous ? De lui tenir la main droite ? Et je vous fais grâce du reste…
On se demande évidemment ce que Mgr Thevenot peut bien avoir dans la tête pour imaginer qu’il puisse être d’une quelconque utilité de « distancier socialement » deux fiancés qui — par les temps qui courent — ont très probablement cohabité pendant des mois ou des années (ils seraient 40 % dans le diocèse de Prince Albert d’après la correspondance d’un fidèle du diocèse adressée à One Peter Five).
Même dans le cas contraire, et en s’en tenant à un code moral strictement victorien, il est probable qu’ils se soient frôlé la main de temps en temps. Assez pour faire circuler le coronavirus, mais enfin on se partage tout, non, quand on s’aime ?
Cela dit il n’y a guère de risque. La Saskatchewan est grande comme la France mais ne compte qu’un peu plus d’un million d’habitants ; le nombre total de cas de COVID-19 dans la province à ce jour est de 778, pour un total de 13 décès ; et le diocèse Prince Albert ne représente que le quart de son secteur nord. Modeste pandémie.
Lire la suiteRetour de bâton aux autorités qui ont interdit les offices religieux
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik
Les autorités avaient cru avoir la partie belle en interdisant les rassemblements religieux au nom du confinement, ce qui au passage montre leur laïcisme viscéral. Cependant, maintenant que le mal a été fait ― Pâques ayant été interdit ― les poursuites pour violations injustifiables des droits (et devoirs) des citoyens en matière religieuse se profilent, tant au Canada qu’aux États-Unis. En Saskatchewan, selon LifeSiteNews :
Les autorités sanitaires d’une province du centre du Canada ont interdit un service en plein air qui eût eu lieu le dimanche de Pâques à une église canadienne d’une petite ville, affirmant que cela aurait constitué un « rassemblement de masse » contrevenant aux ordonnances sanitaires relatives au coronavirus.
Suite à cette interdiction, le Justice Centre for Constitutional Freedoms (JCFF), situé au Canada, a adressé hier un avertissement légal à l’autorité sanitaire de Saskatchewan, indiquant qu’elle violait les droits et libertés des fidèles de l’Église apostolique de Nipawin.
« Nous vous écrivons pour vous faire part de notre inquiétude face aux récentes mesures prises par l’autorité sanitaire de Saskatchewan, qui ont injustement violé les libertés de réunion pacifique, d’association et de religion inscrites dans la Charte », indique l’avertissement légal du JCFF.
L’église de Nipawin, située dans le nord de la Saskatchewan, avait prévu organiser un service du dimanche de Pâques en plein air pour permettre à ses fidèles de se rassembler tout en suivant les directives de santé publique mises en place en raison de la pandémie de coronavirus.
Précisons qu’il s’agit là d’un service religieux protestant, mais si eux réussissaient à obtenir le droit de procéder en paix, je ne vois pas pourquoi les catholiques ne feraient pas de même avec la messe.
Tandis qu’aux États-Unis, selon un deuxième article de LifeSiteNews :
Lire la suiteUn représentant du département de la Justice des États-Unis s’est engagé à prendre des « mesures » concernant les violations de la liberté de religion des Américains qui ont eu lieu cette semaine.
« Pendant cette semaine sacrée pour de nombreux Américains, A. G. Barr surveille la réglementation gouvernementale des services religieux. Si les politiques de distanciation sociale sont appropriées dans cette situation d’urgence, elles doivent être appliquées de manière équitable et non cibler les organismes religieux. Attendez-vous à une intervention du département de la Justice la semaine prochaine ! » écrivait dans un tweet Kerri Kupec le 12 avril.
Kupec est directeur des communications et des affaires publiques du département de la Justice depuis décembre 2018.
La Saskatchewan dernière à céder, elle finance maintenant les produits abortifs
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
La Saskatchewan était la dernière province canadienne, jusqu’à récemment, à ne pas financer entièrement la pilule abortive, maintenant elle couvre entièrement les frais de ce pesticide humain, par ailleurs fort dangereux. Extrait de LifeSiteNews :
La Saskatchewan était la dernière province canadienne à ne pas payer les produits abortifs dans le cadre de son régime provincial d’assurance-maladie.
Le ministre de la Santé du Saskatchewan Party, Jim Reiter, a annoncé le 7 juin que son gouvernement couvrait entièrement le Mifegymiso à compter de maintenant, selon Global News.
La décision du gouvernement de la Saskatchewan a été prise peu de temps après que les progressistes-conservateurs du Manitoba eussent annoncé, le 1er juin, qu’ils couvriraient le coût de cette combinaison de deux produits.
Mifegymiso, le nom commercial canadien d’une combinaison de mifépristone (RU-486) et de misoprostol, est destiné à être prescrit pour tuer les enfants à naître jusqu’à neuf semaines de gestation. [Avant c’était 7 semaines.]
La Saskatchewan, dernière province à ne pas payer totalement la pilule abortive, subit des pressions
Ryan Meili, médecin de famille pro-avortement et chef du Parti néo-démocrate de Saskatchewan.
Par Lianne Laurence — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : TEDx Talks via YouTube
Pétition : Non à l'avortement tardif au Québec
Regina, Saskatchewan, le 6 juin 2019 (LifeSiteNews) — Après que le Manitoba ait annoncé la fin de semaine dernière qu’il offrait un « accès universel » à la pilule abortive, la Saskatchewan reste la dernière province du Canada à résister aux pressions pour financer entièrement l’avortement médical.
Cela pourrait changer si les activistes de l’avortement, encouragés par les médias libéraux, font ce qu’ils veulent.
La ministre manitobaine de la Condition féminine, Rochelle Squires, a déclaré samedi que son gouvernement progressiste-conservateur élargira l’accès au Mifegymiso, la marque de commerce canadienne d’une combinaison de mifépristone (RU-486) et de misoprostol, selon la Canadian Press.
Le Manitoba paie déjà la combinaison des deux produits lorsqu’elle est distribuée dans les établissements d’avortement de Brandon et de Winnipeg, mais il mettra en place un système pour couvrir le coût des médicaments pour l’avortement dans toutes les pharmacies.
« Notre analyse montre qu’il est plus rentable pour les femmes de rester dans leur propre communauté pour avoir accès aux services de santé reproductifs, si possible », a dit Mme Squires à la Canadian Press.
« Nous savons aussi que pour beaucoup de femmes, il est préférable de pouvoir rester dans leur communauté plutôt que de venir dans un endroit comme Brandon ou Winnipeg. »
Lire la suiteGenre neutre sur les permis : au tour de la Saskatchewan de céder devant les groupes de pression transgenre
Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Global News et The Globe and Mail/Voici la source de la photo : Pixnio
Les résidents de cette province canadienne n’auront plus à indiquer leur sexe sur leur permis de conduire.
À partir de maintenant, les personnes vivant en Saskatchewan n’auront plus à indiquer leur sexe sur leur permis de conduire. Ce serait par souci de se montrer plus « inclusive », nous dit-on, que la Saskatchewan Government Insurance (SGI), soit la société d’État qui délivre les permis de conduire dans cette province, aurait pris cette décision.
« Nous reconnaissons que certains de nos clients espèrent éviter de s’identifier en tant que femme, homme ou n’importe quel genre sur leurs pièces d’identité » a déclaré la porte-parole de l’organisation Penny McCune. Elle a ajouté que « les clients avaient maintenant la flexibilité de désigner leur sexe sur leur pièce d’identité avec un F ou un M, ou encore de choisir une option non sexuée en inscrivant un X ».
La Saskatchewan rejoint ainsi l’Alberta, l’Ontario, et Terre-Neuve-et-Labrador, trois autres provinces canadiennes qui autorisent également les résidents à ne pas indiquer leur genre sur leur permis de conduire. Rappelons d’ailleurs qu’un tribunal de la Saskatchewan avait forcé le gouvernement provincial en mai dernier à permettre aux personnes nées sur son territoire de retirer le genre de leur certificat de naissance.
Un groupe pro-avortement demande au conseil municipal d’interdire les images d’avortement… Mais lesquelles au fait ?
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée et modifiée) : Compte Facebook Umbert the Unborn
Grotesque pour le moins et inutile, surtout si cette demande vise le drapeau qui porte une image (qui représente Umbert the Unborn bien vivant) similaire à celle que vous pouvez voir plus haut, à moins que ce groupe ne veuille que la municipalité de Prince Albert remette en place son programme « drapeaux de courtoisie », qui permettait apparemment au gens de faire arborer un drapeau devant l’hôtel de ville. En effet, la ville avait décidé l’an dernier d’annuler ledit programme suite à une poursuite judiciaire, qui dure encore, lancée par un groupe pro-vie à qui le conseil municipal avait refusé de hisser son drapeau. Peut-être que le groupe pro-avortement voudrait pouvoir hisser son pavillon sans que les pro-vie puissent en faire autant. Extrait du Prince Albert Right Now :
Les conseillers municipaux ont décidé de ne pas donner suite à la demande d'un groupe national de défense du droit à l'avortement d'examiner les possibilités de faire en sorte que les drapeaux arborés soient moins crus à l'hôtel de ville.
L'Abortion Rights Coalition of Canada (ARCC) a demandé aux conseillers municipaux d'utiliser leurs propres règlements administratifs locaux et le Code canadien des normes de la publicité pour gérer l'affichage public, notamment des drapeaux de courtoisie. Le groupe a déclaré que « les images graphiques de fœtus avortés » — comme celle d'un fœtus de bande dessinée utilisée par le Prince Albert Right to Life Group — peuvent être traumatisantes pour le public et a suggéré que le code de la publicité peut être un guide efficace quand il s'agit de publicité potentiellement problématique.