Il est possible d’interrompre un avortement médicamenteux provoqué par RU-486, selon une étude américaine
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
Plusieurs Etats américains ont légalisé des procédures et des informations concernant « l’inversion » d’un avortement médicamenteux, qui consiste à interrompre une « IVG » par RU-486 en contrant ses effets par l’ingestion massive de l’hormone de la grossesse.
Le médecin américain George Delgado, qui a lancé le mouvement législatif approuvant les protocoles d’inversion d’un processus d’avortement après l’ingestion du RU-486 sur la foi de sept cas de femmes chez qui il avait constaté en 2012 le maintien de la grossesse grâce à la prise de progestérone, vient de publier un article scientifique sur le résultat de ce protocole sur 754 patientes.
Interrompre un avortement médicamenteux par RU-486 grâce à la progestérone
Paru dans le journal Issues in Law and Medicine, l’article s’intéresse à ces femmes qui ont appelé une hotline d’information après avoir regretté la prise de mifepristone – le RU-486 — mais n’ayant pas encore avalé le deuxième comprimé, le misoprostol prescrit pour faciliter l’expulsion de l’embryon.
Lire la suiteGratuité de la pilule abortive : Le fœtus aux égouts
La pilule abortive, le RU-486.
Par Paul-André Deschesnes
En décembre 2017, le Québec aurait fait un «très grand pas en avant», selon les féministes et tout le gratin de la gauche québécoise qui carbure aux idéologies de la «pensée unique».
Le gouvernement québécois a donné le feu vert à la diabolique pilule abortive pour les femmes qui veulent se débarrasser rapidement de leur bébé sans être obligées de passer par une clinique d’avortement.
Cette pilule «miracle» (300 dollars), prescrite par un médecin et obtenue gratuitement dans toutes les pharmacies du Québec peut être utilisée à la maison jusqu’à la neuvième semaine de grossesse. La femme prend ce «médicament» le soir au coucher et dès le lendemain matin, elle expulse son bébé assise sur le siège de la toilette ; elle tire la chasse d’eau et envoie cet enfant à naître aux égouts municipaux.
En Occident, cette façon d’avorter est de plus en plus populaire. Plusieurs pays dits très postmodernes ont déjà légalisé cette cochonnerie satanique. Les autres vont très bientôt le faire car il y a une très forte demande pour ce «bonbon» empoisonné.
Lire la suiteLe Canada réduit les restrictions pour la prescription de pilules abortives dangereuses
Par Lianne Laurence — traduit par Campagne Québec-Vie
Ottawa, le 7 novembre 2017 (LifeSiteNews) — Le gouvernement canadien étend l’accès à la pilule abortive, permettant son utilisation pour avorter des enfants à naître jusqu’à 9 semaines après la fécondation. De plus, il sera dorénavant possible aux pharmaciens de la distribuer directement, sans l’avis d’un médecin.
La décision de Santé Canada était basée sur de l’information fournie par Linepharma, commanditaire du médicament, selon une information du département, mise à jour et publiée jeudi [7 novembre].
Linepharma est représentée au Canada par la compagnie Celopharma.
Santé Canada a dit avoir effectué « une étude approfondie des publications scientifiques nouvelles et actuelles sur l’innocuité et l’efficacité de Mifegymiso. »
Elle a donc autorisé ce qui suit :
- Mifegymiso peut maintenant être administré jusqu’à la 9e semaine (63 jours) de grossesse, au lieu de la limite précédente allant jusqu’à la 7e semaine (49 jours).
- Mifegymiso peut maintenant être distribué directement aux patients par le pharmacien, ou par tout professionnel de la santé pouvant prescrire des médicaments.
- Les professionnels n’ont plus besoin de compléter un programme d’éducation avant de prescrire Mifegymiso.
- L’obligation du consentement écrit du patient pour l’utilisation de Mifegymiso a été retirée.
- Les professionnels de la santé n’ont plus besoin de s’enregistrer chez Celopharma pour pouvoir prescrire ou distribuer Mifegymiso.
La mise en vente libre de la pilule abortive RU-486 ?
Par Reinformation.tv
Si ACLU (l'Association américaine pour les libertés civiles), l’association laïque de gauche, obtient satisfaction, son action pourrait aboutir à ce que la molécule puisse être achetée à n’importe quel stade de la grossesse et sans la moindre surveillance médicale.
L’association intervient au nom du médecin hawaïen Graham Chelius qui veut faire changer les règles de la FDA après avoir constaté que ces patientes ne trouvaient pas d’autre solution pour avorter que de s’envoler vers une île voisine à plus de 200 km de là.
Lire la suiteAprès avoir pris une pilule abortive, elle change d’avis, prend un traitement pour la contrer et sauve ses bébés
Par Micaiah Bilger (LifeNews.com) — traduit par Campagne Québec-Vie
Il y a environ deux ans, Samantha a failli mettre fin à la vie de ses jumeaux à naître lors d’un avortement [par pilule abortive].
Samantha (nom d’emprunt), collégienne à cette époque, raconte avoir pris la pilule abortive RU-486 et l’avoir immédiatement regretté. Cette femme de Pennsylvanie a récemment raconté son histoire à ABC 27 News.
Grâce aux médecins qui l’ont traitée avec une nouvelle procédure, permettant d’annuler les effets de la pilule abortive, Samantha a aujourd’hui deux jumeaux en bonne santé.
« Je suis très heureuse d’avoir choisi de continuer la grossesse », dit Samantha.
Lire la suiteAprès avoir pris la pilule abortive, elle savait qu'elle avait commis une erreur, mais son bébé a été sauvé
Par Micaiah Bilger (lifenews) traduit par Campagne Québec-Vie
Rebekah Buell sait que l’angoisse pousse souvent les femmes enceintes à considérer l'option d'avorter leur enfant à naître.
Elle le sait, parce que c'est exactement comme cela qu'elle se sentait il y a 4 ans.
Buell avait 19 ans, elle était enceinte et elle venait juste de quitter un mari violent, comme le rapporte le Sacramento Bee. À ce moment, elle était aussi étudiante à l’université et elle prenait soin de son jeune fils.
La Californienne raconte qu'elle était désespérée et angoissée, qu'elle avait très peu d'encouragement ou de soutien de sa famille et de ses amis; l'avortement semblait être la seule solution. Elle s'est donc rendue à l’organisme du Planning familial Planned Parenthood, où elle a pris le premier des deux médicaments abortifs, puis elle a quitté ce lieu avec le paquet contenant le deuxième médicament, à prendre plus tard à la maison. Immédiatement, Buell l'a regretté.
Lire la suiteElle a pris la pilule abortive, ensuite elle a vu son enfant de 7 semaines
Par Sarah Terzo de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
La clinique d'avortement Planned Parenthood avait informé Christina que son avortement par la pilule serait “comme une ménorragie,” elle n’était donc pas préparée pour les douleurs atroces, des saignements abondants, et le fait de voir son enfant avorté avec un corps parfaitement formé.
Christina était enceinte de 9 semaines (9 semaines d'aménorrhée, 7 semaines de la conception --Ed) lorsqu’elle se présenta à Planned Parenthood sous la pression de son fiancé. Elle avait déjà un enfant de 4 mois à la maison et elle ne jouissait pas d’une bonne santé. Voici ce qu’elle reçut de Planned Parenthood en termes de “conseils” :
Lire la suiteLa conseillère me demanda si j’étais sous la contrainte, si ma décision était personnelle à 100 %. Elle me conseilla de m’assurer que c’est cela que je voulais.
Tragédie : La pilule abortive RU-486 autorisée au Canada
Par Paul-André Deschesnes
Le Canada et le Québec en particulier sont des champions dans les soins de santé.
Nos tribunaux et nos gouvernements neutres, païens et athées ont décrété au fil des ans que :
1- L’avortement est un soin de santé.
2- L’euthanasie est un soin de santé.
3- La prostitution est un soin de santé. (Plus de 300 bordels au Québec et Amnistie internationale propose de légaliser la prostitution dans tous les pays du monde, journal Le Devoir 12 août 2015).
4- Les sex-shops offrent des soins de santé.
Voilà qu’un nouveau soin de santé vient de faire son apparition. En effet, Santé Canada a confirmé le 30 juillet 2015 que la pilule abortive RU-486 sera maintenant autorisée et disponible dans tout le pays. Cette pilule permet aux femmes d’avorter à la maison en «toute tranquillité» jusqu’à la 49e journée de grossesse. Cette pilule satanique a été approuvée aux États-Unis en 2000 et en France, il y a 25 ans. «Actuellement, 60 pays ont accès à la pilule abortive». (Journal La Presse, 31 juillet 2015)
Lire la suiteUn bébé de 7 semaines survit à un avortement après que la mère ‘renverse’ la pilule
Par Nancy Flanders de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Depuis 2012, 77 enfants ont survécu aux tentatives d’avortement par la pilule ‘RU-486’ (aussi appelée la « pilule abortive ») grâce au site AbortionPillReversal.com et à leur réseau de 226 obstétriciens et gynécologues pro-vie.
Les femmes qui prennent la première dose de la pilule abortive et le regrettent par la suite peuvent demander de l’aide à des cliniques pro-vie, telles Assurance Pregnancy Center, qui peuvent les mettre en contact avec les médecins pouvant leur donner une dose immédiate de progestérone afin de bloquer les effets abortifs de la mifépristone. Les médecins font également un suivi, afin de s’assurer que le bébé reste en santé.
Une de ces femmes, ‘Jen’, visita le Assure Pregnancy Centre après que Planned Parenthood (PP) lui ait donné le ‘RU-486’ et qu’elle ait pris la première pilule. C’était le week-end du Memorial Day. Le personnel de la clinique avait hâte de commencer leur week-end de trois jours, mais quand Jen entra, ils commencèrent rapidement à travailler pour sauver la vie du bébé.
Lire la suiteQuelle est la différence entre l'avortement chimique et la contraception orale d'urgence (COU) ?
L’avortement chimique et la contraception orale d’urgence (COU) ont en commun un même effet, soit de provoquer l’avortement d’un enfant déjà conçu, avec pour différence que la COU :
a) est beaucoup moins puissante (à base de levonorgestrel (« Plan B ») ou d’œstrogène avec norgestrel ou levonorgestrel – « Méthode Yuzpe »), d’où la limite de cinq jours pour qu’elle puisse agir, comparativement à jusqu’à cinq et sept semaines d’aménorrhée pour l’avortement chimique (selon qu’il s’agit du cocktail chimique à base de méthotrexate - agent de chimiothérapie non autorisé pour l’avortement mais tout de même utilisé à cette fin - ou à base de RU486 (mifépristone), cocktail anti-ulcère commercialisé un peu partout dans le monde pour l’avortement et pour lequel une autorisation pour le Canada est à l’étude, avec décision de Santé Canada prévue pour l’automne 2014). La COU a un taux d’échec non négligeable d’entre 5 % et 42 %, et Santé Canada a fait ajouter sur son emballage qu’elle est totalement inefficace pour les femmes ayant un indice de masse corporelle très élevé ;
b) a un deuxième effet possible, contraceptif, celui-là, en : i) formant une barrière muqueuse au col de l’utérus pour tenter d’entraver le transport des spermatozoïdes jusqu’à l’ovule et d’empêcher ainsi la rencontre des deux gamètes (conception) ; ii) bloquant ou retardant l’ovulation.
L’avortement chimique et la COU ont en commun le type de produit chimique utilisé, soit des hormones, ou « stéroïdes » (tout comme la contraception régulière, d’ailleurs). Or, il faut savoir que les hormones sont un élément déterminant de la santé, et que le fait de déranger leur équilibre naturel a un effet très important sur le système immunitaire, entre autres. Il est universellement reconnu que de nombreux cancers sont attribuables à des déséquilibres hormonaux.
Si la COU est beaucoup plus faible que l’avortement chimique, pour avoir l’effet escompté, elle est tout de même jusqu’à cinquante fois plus forte que la contraception dite « régulière »...
Ainsi, les femmes décrivent l’expérience de la COU comme « extrêmement pénible », comportant de violentes nausées pouvant durer plusieurs heures, soit bien au-delà du vomissement du contenu de l’estomac, ce qui est exténuant à l’extrême. Les femmes rapportent que la douleur et la souffrance liées à la COU sont comparables à un empoisonnement à l’alcool (lendemain de veille, « gueule de bois »), mais encore dix fois plus souffrant, si c’est possible de concevoir une telle souffrance.
Et l’avortement chimique, pour sa part, est encore beaucoup, beaucoup plus intense que la COU….Qui veut de cela ? Vraiment ? Qui considère vraiment que la femme mérite une telle punition, une telle torture ? On peut accepter une telle souffrance pour sauver sa vie (chimiothérapie, par exemple), mais à chaque fois que la femme a pris sa pilule contraceptive en retard ou que ses règles sont un tant soit peu retardées et qu’elle soupçonne une grossesse ? On se fie au fait que la femme prend ces produits « en privé » et qu’elle n’aura pas le courage de dénoncer la violence de l’expérience. Eh bien cette souffrance des plus inacceptables pour les femmes doit être connue et reconnue. Le droit au consentement éclairé le commande, ainsi que la présentation des autres options que sont l’adoption ouverte, semi-ouverte ou fermée.