La mise en vente libre de la pilule abortive RU-486 ?
Par Reinformation.tv
Si ACLU (l'Association américaine pour les libertés civiles), l’association laïque de gauche, obtient satisfaction, son action pourrait aboutir à ce que la molécule puisse être achetée à n’importe quel stade de la grossesse et sans la moindre surveillance médicale.
L’association intervient au nom du médecin hawaïen Graham Chelius qui veut faire changer les règles de la FDA après avoir constaté que ces patientes ne trouvaient pas d’autre solution pour avorter que de s’envoler vers une île voisine à plus de 200 km de là.
Lire la suiteAprès avoir pris une pilule abortive, elle change d’avis, prend un traitement pour la contrer et sauve ses bébés
Par Micaiah Bilger (LifeNews.com) — traduit par Campagne Québec-Vie
Il y a environ deux ans, Samantha a failli mettre fin à la vie de ses jumeaux à naître lors d’un avortement [par pilule abortive].
Samantha (nom d’emprunt), collégienne à cette époque, raconte avoir pris la pilule abortive RU-486 et l’avoir immédiatement regretté. Cette femme de Pennsylvanie a récemment raconté son histoire à ABC 27 News.
Grâce aux médecins qui l’ont traitée avec une nouvelle procédure, permettant d’annuler les effets de la pilule abortive, Samantha a aujourd’hui deux jumeaux en bonne santé.
« Je suis très heureuse d’avoir choisi de continuer la grossesse », dit Samantha.
Lire la suiteAprès avoir pris la pilule abortive, elle savait qu'elle avait commis une erreur, mais son bébé a été sauvé
Rebekah Buell et ses fils Zechariah et Eli
Par Micaiah Bilger (lifenews) traduit par Campagne Québec-Vie
Rebekah Buell sait que l’angoisse pousse souvent les femmes enceintes à considérer l'option d'avorter leur enfant à naître.
Elle le sait, parce que c'est exactement comme cela qu'elle se sentait il y a 4 ans.
Buell avait 19 ans, elle était enceinte et elle venait juste de quitter un mari violent, comme le rapporte le Sacramento Bee. À ce moment, elle était aussi étudiante à l’université et elle prenait soin de son jeune fils.
La Californienne raconte qu'elle était désespérée et angoissée, qu'elle avait très peu d'encouragement ou de soutien de sa famille et de ses amis; l'avortement semblait être la seule solution. Elle s'est donc rendue à l’organisme du Planning familial Planned Parenthood, où elle a pris le premier des deux médicaments abortifs, puis elle a quitté ce lieu avec le paquet contenant le deuxième médicament, à prendre plus tard à la maison. Immédiatement, Buell l'a regretté.
Lire la suiteElle a pris la pilule abortive, ensuite elle a vu son enfant de 7 semaines
Par Sarah Terzo de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
La clinique d'avortement Planned Parenthood avait informé Christina que son avortement par la pilule serait “comme une ménorragie,” elle n’était donc pas préparée pour les douleurs atroces, des saignements abondants, et le fait de voir son enfant avorté avec un corps parfaitement formé.
Christina était enceinte de 9 semaines (9 semaines d'aménorrhée, 7 semaines de la conception --Ed) lorsqu’elle se présenta à Planned Parenthood sous la pression de son fiancé. Elle avait déjà un enfant de 4 mois à la maison et elle ne jouissait pas d’une bonne santé. Voici ce qu’elle reçut de Planned Parenthood en termes de “conseils” :
Lire la suiteLa conseillère me demanda si j’étais sous la contrainte, si ma décision était personnelle à 100 %. Elle me conseilla de m’assurer que c’est cela que je voulais.
Tragédie : La pilule abortive RU-486 autorisée au Canada
Par Paul-André Deschesnes
Le Canada et le Québec en particulier sont des champions dans les soins de santé.
Nos tribunaux et nos gouvernements neutres, païens et athées ont décrété au fil des ans que :
1- L’avortement est un soin de santé.
2- L’euthanasie est un soin de santé.
3- La prostitution est un soin de santé. (Plus de 300 bordels au Québec et Amnistie internationale propose de légaliser la prostitution dans tous les pays du monde, journal Le Devoir 12 août 2015).
4- Les sex-shops offrent des soins de santé.
Voilà qu’un nouveau soin de santé vient de faire son apparition. En effet, Santé Canada a confirmé le 30 juillet 2015 que la pilule abortive RU-486 sera maintenant autorisée et disponible dans tout le pays. Cette pilule permet aux femmes d’avorter à la maison en «toute tranquillité» jusqu’à la 49e journée de grossesse. Cette pilule satanique a été approuvée aux États-Unis en 2000 et en France, il y a 25 ans. «Actuellement, 60 pays ont accès à la pilule abortive». (Journal La Presse, 31 juillet 2015)
Lire la suiteUn bébé de 7 semaines survit à un avortement après que la mère ‘renverse’ la pilule
Par Nancy Flanders de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Depuis 2012, 77 enfants ont survécu aux tentatives d’avortement par la pilule ‘RU-486’ (aussi appelée la « pilule abortive ») grâce au site AbortionPillReversal.com et à leur réseau de 226 obstétriciens et gynécologues pro-vie.
Les femmes qui prennent la première dose de la pilule abortive et le regrettent par la suite peuvent demander de l’aide à des cliniques pro-vie, telles Assurance Pregnancy Center, qui peuvent les mettre en contact avec les médecins pouvant leur donner une dose immédiate de progestérone afin de bloquer les effets abortifs de la mifépristone. Les médecins font également un suivi, afin de s’assurer que le bébé reste en santé.
Une de ces femmes, ‘Jen’, visita le Assure Pregnancy Centre après que Planned Parenthood (PP) lui ait donné le ‘RU-486’ et qu’elle ait pris la première pilule. C’était le week-end du Memorial Day. Le personnel de la clinique avait hâte de commencer leur week-end de trois jours, mais quand Jen entra, ils commencèrent rapidement à travailler pour sauver la vie du bébé.
Lire la suiteQuelle est la différence entre l'avortement chimique et la contraception orale d'urgence (COU) ?
L’avortement chimique et la contraception orale d’urgence (COU) ont en commun un même effet, soit de provoquer l’avortement d’un enfant déjà conçu, avec pour différence que la COU :
a) est beaucoup moins puissante (à base de levonorgestrel (« Plan B ») ou d’œstrogène avec norgestrel ou levonorgestrel – « Méthode Yuzpe »), d’où la limite de cinq jours pour qu’elle puisse agir, comparativement à jusqu’à cinq et sept semaines d’aménorrhée pour l’avortement chimique (selon qu’il s’agit du cocktail chimique à base de méthotrexate - agent de chimiothérapie non autorisé pour l’avortement mais tout de même utilisé à cette fin - ou à base de RU486 (mifépristone), cocktail anti-ulcère commercialisé un peu partout dans le monde pour l’avortement et pour lequel une autorisation pour le Canada est à l’étude, avec décision de Santé Canada prévue pour l’automne 2014). La COU a un taux d’échec non négligeable d’entre 5 % et 42 %, et Santé Canada a fait ajouter sur son emballage qu’elle est totalement inefficace pour les femmes ayant un indice de masse corporelle très élevé ;
b) a un deuxième effet possible, contraceptif, celui-là, en : i) formant une barrière muqueuse au col de l’utérus pour tenter d’entraver le transport des spermatozoïdes jusqu’à l’ovule et d’empêcher ainsi la rencontre des deux gamètes (conception) ; ii) bloquant ou retardant l’ovulation.
L’avortement chimique et la COU ont en commun le type de produit chimique utilisé, soit des hormones, ou « stéroïdes » (tout comme la contraception régulière, d’ailleurs). Or, il faut savoir que les hormones sont un élément déterminant de la santé, et que le fait de déranger leur équilibre naturel a un effet très important sur le système immunitaire, entre autres. Il est universellement reconnu que de nombreux cancers sont attribuables à des déséquilibres hormonaux.
Si la COU est beaucoup plus faible que l’avortement chimique, pour avoir l’effet escompté, elle est tout de même jusqu’à cinquante fois plus forte que la contraception dite « régulière »...
Ainsi, les femmes décrivent l’expérience de la COU comme « extrêmement pénible », comportant de violentes nausées pouvant durer plusieurs heures, soit bien au-delà du vomissement du contenu de l’estomac, ce qui est exténuant à l’extrême. Les femmes rapportent que la douleur et la souffrance liées à la COU sont comparables à un empoisonnement à l’alcool (lendemain de veille, « gueule de bois »), mais encore dix fois plus souffrant, si c’est possible de concevoir une telle souffrance.
Et l’avortement chimique, pour sa part, est encore beaucoup, beaucoup plus intense que la COU….Qui veut de cela ? Vraiment ? Qui considère vraiment que la femme mérite une telle punition, une telle torture ? On peut accepter une telle souffrance pour sauver sa vie (chimiothérapie, par exemple), mais à chaque fois que la femme a pris sa pilule contraceptive en retard ou que ses règles sont un tant soit peu retardées et qu’elle soupçonne une grossesse ? On se fie au fait que la femme prend ces produits « en privé » et qu’elle n’aura pas le courage de dénoncer la violence de l’expérience. Eh bien cette souffrance des plus inacceptables pour les femmes doit être connue et reconnue. Le droit au consentement éclairé le commande, ainsi que la présentation des autres options que sont l’adoption ouverte, semi-ouverte ou fermée.
Remous médiatiques au sujet de la pilule abortive RU-486
Depuis 2012, Santé canada examine la possibilité de rendre légal l'usage de la pilule abortive RU-486 (commercialisée sous le nom "Mefigyne") qui, combinée avec un autre produit, le misoprostol, sont utilisés pour provoquer l'avortement de l'enfant à naître lors des premières semaines de la grossesse.
La décision de Santé Canada qui était d'abord attendue fin 2013 / début 2014 fut d'abord repoussée en début d'année 2015. Ces dernier mois, et plus particulièrement ces derniers jours, un commencement d'agitation médiatique s'est fait sentir :
- En août Tania Longpré du Journal de Montréal publiait un article de blog faisant l'apologie de la RU-486.
- En novembre, La Presse diffusait un article de La Presse Canadienne pour se plaindre de la non disponibilité au Canada de ce produit pharmaceutique.
- Ces derniers jours, Isabelle Maher et Lise Ravary, du Journal de Montréal, on publié simultanément un article et un billet de blog qui reprennent les doléances et l'apologétique habituelles au sujet de l'avortement et des moyens d'éliminer toutes formes de restriction à son accès.
- Du coté des médias anglophones, on peut également trouver, par exemple ici et ici, le même genre d'articles et les mêmes argumentaires.
Il semble cependant que ces "remous médiatiques" doivent pour l'instant n'en rester que là. Hier soir en début de soirée, le site CBCNews nous informait que la décision au sujet de ce produit pharmaceutique a été de nouveau repoussée jusqu'à l'automne prochain.
Il faut savoir que l'avortement chimique consiste à prendre des hormones de synthèse qui provoquent le corps à avoir des réactions violentes, contraires au cycle sain de la grossesse d'une femme en santé, afin de forcer l'expulsion d'un embryon viable. Cela tue l'enfant et c'est la raison première pour laquelle l'avortement n'est jamais un choix légitime mais en plus de cela, il y a un risque mortel pour la mère.
On peut consulter, en anglais, à la fin de cet article du site Life Site News, une liste d'accidents fatals pour des femmes ayant utilisé ce produit.
Même dans les cas où la mort ne s'en suit pas, consommer des hormones sans nécessité pour la santé est toujours nocif.
Souhaitons que Santé Canada soit suffisamment libre des pressions politiques pour avoir la liberté de réaliser son mandat de préserver la santé des canadiens car, en notre époque, rares sont les nations qui sont capables de ne pas succomber à la culture de mort.
Que le Seigneur nous accorde sa grâce.
Le NPD est toujours premier pour défendre la possibilité d'éliminer les enfants à naître au Canada
Lors des discussions sur la possible légalisation du pesticide anti-humain, le ru-486, le chef du Nouveau Parti Démocratique, Thomas Mulcair, ne s'est pas privé d'intervenir dans le débat. Sur le site de TVA du 29 janvier 2014 :
(La députée du NPD et extrémiste féministe Niki Asthon)
(Photo : Jarrahpenguin sur flickr.com, licence creative commons)
Le chef du NPD, Thomas Mulcair, dit que la mifépristone s'inscrit dans «le droit de choisir de la femme» en matière d'avortement.
Le chef libéral, Justin Trudeau, ne prend pas position dans ce dossier.
De même, la porte-parole de la condition féminine, Niki Ashton, a fait pression pour que le débat sur l'avortement soit toujours censuré et que le gouvernement n'entrave pas l'élimination d'enfants par le ru-486 pour des raisons « idéologiques »...
Joyeux Noël Canada : voici un pesticide anti-humain!
(Texte LifeSiteNews, traduction CQV du 26 novembre 2013)
(Hoechst, une compagnie fidèle à sa tradition...)
Il n'y a pas de meilleure façon de célébrer Noël au Canada, d’après Santé Canada, que d'amener le RU-486 sur le marché canadien. Mais bien sûr, voyons, qui n’a pas envie d’une pilule abortive chimique dans son bas de Noël?
Dans un commentaire récent publié hier par le Journal de l'Association médicale canadienne, l’auteur Dr Sheila Dunn se plaint du manque d'accès des femmes à la « meilleure option connue pour l'avortement ». « Il n'est pas clair pourquoi personne n'a demandé à mettre en marché le mifépristone au Canada avant maintenant », écrit-elle. D'un point de vue économique, je suis entièrement d’accord. Pourquoi dépenser 80 millions de dollars issus de l'impôt des Canadiens pour des avortements chirurgicaux lorsque vous pouvez doubler ce prix en vendant des avortements chimiques aussi!
D'un point de vue médical, il n'est pas clair pour moi comment une personne qui se proclame médecin pourrait demander une telle chose dans une revue médicale renommée, sauf comme question rhétorique. Les études à travers le monde, les unes après les autres, ont déclaré à plusieurs reprises que ce produit abortif est parmi les plus dangereux. L’auteur féministe pro-choix Renate Klein a publié, plus tôt cette année, une nouvelle édition de son ouvrage « RU-486 : idées fausses, mythes et morale »: après que ce produit ait été sur le marché pendant plus de 20 ans, elle déclare que c’est une « méthode d'avortement non sécuritaire, de second ordre, avec des problèmes importants ».
En 2006, les études post-commercialisation aux États-Unis et en France, menées par la chercheuse Régine Sitruk-Ware, ont constaté que sur 1,5 million de femmes qui ont déclaré avoir pris ce produit, environ 150 000 ont eu une hémorragie sévère, 21 000 ont eu besoin d’un curetage et près de 4.000 ont eu besoin de transfusions sanguines.
Même les données de la Food and Drug Administration, recueillies en 2011, pointent du doigt 14 décès aux États-Unis causés par le RU-486, 58 cas de grossesses extra-utérines, 356 infections et 339 femmes nécessitant des transfusions sanguines. Étant donné que seulement 1-10 % de complications sont signalées à la FDA, les chiffres pourraient être jusqu'à 10 fois plus élevés.
Sans compter, en premier lieu, que la véritable raison pour laquelle les essais canadiens de la drogue ont été arrêtés, en 2001, était qu’une femme est décédée d'un choc septique huit jours après la prise de la pilule en raison d'une infection de l'utérus par le clostridium.
Peut-être que si Madame Dunn avait parlé avec Monty Patterson, la réponse à sa question deviendrait plus claire. Patterson a mis sur pied le site abortionpillrisks.org parce que sa fille Holly, âgée de 18 ans, est morte après avoir pris le RU-486 à la clinique locale de Planned Parenthood en Californie. « J'espère que toute femme qui pense mettre fin à une grossesse précoce avec la pilule d'avortement chimique sera en mesure de s’informer auprès de ceux qui en ont fait l'expérience réelle », a-t-elle dit. Ou peut-être pourrait-elle parler avec Norine Dworkin-McDaniel, auteur de l'article « J'ai été trahie par une pilule », publié dans le magazine Marie Claire en 2007. Après la prise du « médicament », McDaniel a saigné abondamment pendant 14 jours, des kystes énormes se sont développés sur son cou, ses épaules et son dos, elle est devenue fatiguée de façon chronique et finalement déprimée. Après une visite chez son gynécologue, McDaniel a découvert que ce n'était pas une réaction inhabituelle à la drogue, apprenant qu’une femme sur trois connaît des effets secondaires semblables. Elle dit que cela lui a pris 9 mois pour se sentir elle-même à nouveau, et elle critique violemment la littérature qu’elle avait lue avant de prendre cette pilule, qui disait de s'attendre à « des crampes et à des saignements mineurs ».
Mais le Ru-486 n'est-il pas « sûr »? Lorsqu’une femme australienne est morte de septicémie après qu’on le lui ait prescrit dans une clinique Marie Stopes International, le journal The Australian a publié la preuve d'une étude affirmant que les complications dues au RU-486 sont beaucoup plus élevées que pour les avortements chirurgicaux standards. En tant que femme, il est triste de penser que nous sommes jetées à des loups qui réduisent la santé des femmes à une dispute à propos de quelle drogue ou intervention chirurgicale est « plus dangereuse ». Les deux procédures ont des conséquences dévastatrices.
Malgré toutes les preuves, on mentionne très peu les effets de la drogue sur le bébé à naître. Le RU-486 tue un être humain qui se développait très rapidement. Le cœur d'un bébé commence à battre après seulement 3 semaines de grossesse, c’est-à-dire 2 à 5 semaines avant que les avortements chimiques comme le RU-486 soient prescrits.
Ceci dit, cela ne surprendra personne que ce soit la compagnie Hoechst qui ait développé le RU-486 : Hoechst dont la société mère, IG Farben, a été impliquée dans la fabrication du Zyklon-B, gaz toxique utilisé dans les chambres à gaz d'Hitler pendant l’Holocauste. Ils ont appris de leurs erreurs cette fois. Admettre d’emblée qu’ils vont travailler à l'extermination humaine n'est pas une bonne stratégie de relation publique. Tout ce dont ils ont besoin maintenant, c’est de quelques médecins pro-« choix », d’une revue médicale, et les voilà en train de participer à la course.
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