« L’effort en vaut la peine » : un médecin montre un bébé sauvé par la neutralisation de la pilule abortive
Le Dr Brent Boles tenant dans ses mains un nouveau-né, mis au monde par césarienne.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Un message Facebook d’un médecin pro-vie du Tennessee a été partagé plus de 2 000 fois, et pour une très bonne raison. Avec une seule photo, le Dr Brent Boles a montré à des milliers de personnes que la neutralisation de la pilule abortive fonctionne vraiment.
« Récemment, j’ai opéré cet accouchement, et je partage la photo avec la permission du patient », a-t-il écrit. « Vous voyez, quand une femme prend la pilule abortive, elle le regrette souvent immédiatement. C’est exactement ce qu’a fait cette patiente. »
Sur la photo qu’il a partagée, on peut voir Boles tenir un nouveau-né après une césarienne. Ce bébé, destiné à l’avortement, a été sauvé grâce aux efforts d’un médecin pro-vie dévoué et d’une mère qui a changé d’avis après avoir commis une erreur quasi fatale. [le Dr Boles écrit sur son post Facebook :]
Lire la suiteRécemment, j’ai opéré cet accouchement, et je partage la photo avec la permission du patient. Vous voyez, quand une femme prend la pilule abortive, elle le regrette souvent immédiatement. C’est exactement ce qu’a fait cette patiente. Les fournisseurs d’avortements mentiront et diront aux gens qu’il n’y a aucun moyen de l’inverser. Ce n’est pas vrai. Cette patiente a découvert www.abortionpillreversal.com et je fais partie du groupe de prestataires de soins pro-vie qui sont prêts à essayer d’inverser le poison qu’on leur a donné. Parfois, cela fonctionne et parfois non, mais comme vous pouvez le constater, cela en vaut la peine.
La dénatalité est causée par la contraception et l'avortement
Voici une lettre de Solange Viau à M. Richard Latendresse, auteur de l'article « Eh, tout le monde, vous êtes où? » dans le Journal de Montréal. — Photo : PxHere
Bonjour M. Latendresse!
Merci et félicitations pour cette chronique très intéressante.
Toutefois, je ne peux m’empêcher de répondre à votre question de la manière suivante :
Question : Eh, tout le monde, vous êtes où?
Réponse : Dans les déchets médicaux des cliniques d’avortement, des hôpitaux et dans nos systèmes d’égouts!
En effet, probablement qu’il n’y a jamais eu autant d’enfants conçus mais aussi détruits par les pilules du lendemain et l’avortement.
(Et au cas où vous ne le sauriez pas, même la pilule contraceptive ordinaire possède un mécanisme d’action qui nuit à l’épaississement de la paroi de l’utérus, ce qui a pour conséquence de nuire à la nidation de l’ovule fécondé s’il y a lieu).
D’après les statistiques officielles, on peut affirmer qu’il y a eu près de 3 millions de Canadiens tués par avortement depuis la légalisation de l’avortement au Canada en 1988.
Tous ceux qui ont fait la promotion du libre-choix depuis trente années au Canada (principalement tous les grands médias) sont les responsables de cet écueil démographique.
Aucun animal n’aurait eu l’idée saugrenue de détruire sa propre progéniture comme les humains l’ont fait depuis trente années au Canada, et de plus dans une société d’abondance.
Pour la survie des espèces, Dieu a doté les animaux de l’instinct et les humains du don de la liberté.
Dommage que ceux-ci n’aient pas encore compris comment bien l’utiliser…
Les complications des avortements chimiques doublées : les avortements à domicile sont soupçonnés d’en être la cause
Par Jeanne Smits (Réinformation.TV)
Une étude universitaire suédoise de grande envergure sur les avortements chimiques révèle une forte augmentation des complications liées à cette procédure. Elles ont doublé en l’espace de six ans entre 2008 et 2015. Si l’étude publiée dans BMC Women’s Health n’apporte pas de certitude sur la cause de cette évolution, ses auteurs estiment qu’elle pourrait bien être liée au nombre croissant d’avortements médicaux désormais pratiqués à domicile plutôt que dans un environnement hospitalier.
Le taux de complications est passé de 4,2 % en 2008 à 8,2 % en 2015 pour les avortements par RU 486 au cours des 12 premières semaines de gestation.
L’étude réalisée en Suède s’est intéressée à toutes les femmes ayant eu recours à cette procédure en passant par l’hôpital Skaraborg : 4.945 avortements au total. En Suède, la procédure officielle pousse les médecins à recommander aux femmes d’absorber les « médicaments » abortifs (le professeur Jérôme Lejeune parlait plutôt de « pesticides anti-humains ») à la maison et surtout, d’en attendre les effets à domicile, là encore sans surveillance médicale.
Lire la suite125 femmes prennent des pilules abortives pour protester contre les lois pro-vie
Par Micaiah Bilger (LifeNews)— traduit par Campagne Québec-Vie
Dans une manifestation de défi meurtrière [pour les enfants à naître*], 125 femmes en Corée du Sud ont avalé des pilules abortives afin de protester contre les lois pro-vie du pays.
Le Korea Bizwire rapporte que la manifestation a eu lieu dimanche [en août*] devant le Pavillon Bosingak à Séoul, en Corée du Sud. Selon l’article, 30 autres femmes ont pris des vitamines afin que les autorités ne soient pas en mesure de dire quelles femmes ont ingéré les pilules abortives.
Portant du noir, elles ont demandé au gouvernement de légaliser le meurtre d’enfants à naître. Le groupe pro-avortement a prétendu que 125 femmes avortent leur enfant à naître illégalement chaque jour en Corée du Sud.
Extrait de l’article:
Lire la suite30 autres participantes ont pris des pilules contenant des vitamines, car elles ne peuvent être distinguées des pilules abortives, un geste qui a couvert les femmes ayant avalé du mifépristone durant la démonstration, ces pilules étant présentement interdites…
Le Collège des médecins du Québec désapprouve la distribution de la pilule abortive par les personnes non compétentes
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le Collège des médecins du Québec avertit avec raison que la pilule abortive (RU-486) ne devrait pas être distribuée par n'importe qui (il vaudrait encore mieux que personne du tout ne distribue cette cochonnerie). Malheureusement, le gouvernement canadien a étendu le droit de distribution aux pharmaciens (entre autres) qui ne sont pas formés pour prescrire la pilule et faire un suivi. Toutefois, même administrée par un médecin à la compétence formée (et à la conscience déformée), le RU-486 reste un «pesticide antihumain»* qui tue un enfant à naître, et un produit dangereux qui ne mérite pas le nom de médicament dont l'affuble le Collège des médecins :
Lire la suiteLe régime combiné de mifépristone et de misoprotol (Mifegymiso), mieux connu du grand public sous le nom de « pilule abortive », est maintenant disponible au Québec. Ce médicament est indiqué pour les grossesses évolutives intra-utérines de 63 jours et moins d’âge gestationnel.
Le déploiement de ce nouveau traitement suscite des questions de la part des cliniciens. Le Collège des médecins du Québec réitère l’importance de tenir compte des directives cliniques qu’il a publiées en décembre 2017. Ces directives visent à encadrer les activités d’avortement médical pratiqué à l’aide de la pilule abortive et les procédures qui y sont associées.
Pour faciliter la compréhension de tous, nous vous présentons quelques questions-réponses afin de clarifier le cadre normatif entourant cette pratique au Québec.
Quatre vidéos sur les méthodes d’avortement
Objets servant lors d’avortements.
Par Campagne Québec-Vie — Vidéos réalisées par le groupe LiveActionNews et traduites par Un feu sur la terre
Voici quatre vidéos, sur comment sont pratiqués plusieurs méthodes d’avortement, réalisées par le groupe LiveActionNews et dont la traduction (sous-titrage en français) est actuellement présente sur la chaîne YouTube du site Un feu sur la terre.
L’avortement fauche chaque année sa moisson de millions d’enfants à naître et laisse d’innombrables blessures, tant physiques que psychiques et spirituelles, aux pères et aux mères de ces enfants et à bien des gens.
Pour combattre ce fléau, le Dr Anthony Levatino, obstétricien-gynécologue, nous explique par ces vidéos en quoi consistent les principales méthodes d’avortement. Celui-ci en a pratiqués environ 1200 avant d’arrêter, horrifié par cette abomination.
Ces quatre vidéos « ont été révisées par des médecins et des professionnels de la santé », affirme Lila Rose présidente de LiveActionNews.
Lire la suiteAu cours de sa première année, la pilule abortive a été prescrite 4 253 fois au Canada. Autant d’enfants à naître morts ?
Échographie d’un enfant à naître.
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Plus de 4 000 bébés à naître ont [sûrement*] été tués par la pilule abortive au Canada après que le gouvernement ait autorisé la pilule mortelle sur le marché en 2017.
La CBC a rapporté les nouveaux chiffres de Santé Canada cette semaine [la semaine dernière], la première indication nous révélant combien cette pilule abortive est répandue au Canada. Elle est vendue sous l’appellation Mifegymiso.
« En 2017 », selon les estimations de Santé Canada, « environ 4 253 nouvelles ordonnances de Mifegymiso ont été distribuées par des pharmacies de détail canadiennes. »
Les autorités sanitaires canadiennes ont approuvé les dangereuses pilules abortives sur le marché en 2017 et, quelques mois plus tard, ont étendu leur utilisation.
Contrairement aux États-Unis, la pilule n’est devenue disponible qu’en 2017 au Canada. Mifegymiso est une méthode d’avortement utilisant deux médicaments connus aux États-Unis sous le nom de mifepristone, ou RU-486, et de misoprostol. Les médicaments abortifs sont responsables de la mort de plus de 2 millions de bébés à naître aux États-Unis et d’au moins 14 femmes, depuis qu’ils ont été approuvés lors de l’administration Clinton.
Lire la suiteIl est possible d’interrompre un avortement médicamenteux provoqué par RU-486, selon une étude américaine
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
Plusieurs Etats américains ont légalisé des procédures et des informations concernant « l’inversion » d’un avortement médicamenteux, qui consiste à interrompre une « IVG » par RU-486 en contrant ses effets par l’ingestion massive de l’hormone de la grossesse.
Le médecin américain George Delgado, qui a lancé le mouvement législatif approuvant les protocoles d’inversion d’un processus d’avortement après l’ingestion du RU-486 sur la foi de sept cas de femmes chez qui il avait constaté en 2012 le maintien de la grossesse grâce à la prise de progestérone, vient de publier un article scientifique sur le résultat de ce protocole sur 754 patientes.
Interrompre un avortement médicamenteux par RU-486 grâce à la progestérone
Paru dans le journal Issues in Law and Medicine, l’article s’intéresse à ces femmes qui ont appelé une hotline d’information après avoir regretté la prise de mifepristone – le RU-486 — mais n’ayant pas encore avalé le deuxième comprimé, le misoprostol prescrit pour faciliter l’expulsion de l’embryon.
Lire la suiteGratuité de la pilule abortive : Le fœtus aux égouts
La pilule abortive, le RU-486.
Par Paul-André Deschesnes
En décembre 2017, le Québec aurait fait un «très grand pas en avant», selon les féministes et tout le gratin de la gauche québécoise qui carbure aux idéologies de la «pensée unique».
Le gouvernement québécois a donné le feu vert à la diabolique pilule abortive pour les femmes qui veulent se débarrasser rapidement de leur bébé sans être obligées de passer par une clinique d’avortement.
Cette pilule «miracle» (300 dollars), prescrite par un médecin et obtenue gratuitement dans toutes les pharmacies du Québec peut être utilisée à la maison jusqu’à la neuvième semaine de grossesse. La femme prend ce «médicament» le soir au coucher et dès le lendemain matin, elle expulse son bébé assise sur le siège de la toilette ; elle tire la chasse d’eau et envoie cet enfant à naître aux égouts municipaux.
En Occident, cette façon d’avorter est de plus en plus populaire. Plusieurs pays dits très postmodernes ont déjà légalisé cette cochonnerie satanique. Les autres vont très bientôt le faire car il y a une très forte demande pour ce «bonbon» empoisonné.
Lire la suiteLe Canada réduit les restrictions pour la prescription de pilules abortives dangereuses
Par Lianne Laurence — traduit par Campagne Québec-Vie
Ottawa, le 7 novembre 2017 (LifeSiteNews) — Le gouvernement canadien étend l’accès à la pilule abortive, permettant son utilisation pour avorter des enfants à naître jusqu’à 9 semaines après la fécondation. De plus, il sera dorénavant possible aux pharmaciens de la distribuer directement, sans l’avis d’un médecin.
La décision de Santé Canada était basée sur de l’information fournie par Linepharma, commanditaire du médicament, selon une information du département, mise à jour et publiée jeudi [7 novembre].
Linepharma est représentée au Canada par la compagnie Celopharma.
Santé Canada a dit avoir effectué « une étude approfondie des publications scientifiques nouvelles et actuelles sur l’innocuité et l’efficacité de Mifegymiso. »
Elle a donc autorisé ce qui suit :
- Mifegymiso peut maintenant être administré jusqu’à la 9e semaine (63 jours) de grossesse, au lieu de la limite précédente allant jusqu’à la 7e semaine (49 jours).
- Mifegymiso peut maintenant être distribué directement aux patients par le pharmacien, ou par tout professionnel de la santé pouvant prescrire des médicaments.
- Les professionnels n’ont plus besoin de compléter un programme d’éducation avant de prescrire Mifegymiso.
- L’obligation du consentement écrit du patient pour l’utilisation de Mifegymiso a été retirée.
- Les professionnels de la santé n’ont plus besoin de s’enregistrer chez Celopharma pour pouvoir prescrire ou distribuer Mifegymiso.