Un juge ordonne au gouvernement américain de laisser les avorteurs prescrire des pilules par entrevue vidéo
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Adobe Stock
Les partisans du confinement sont souvent d’une incohérence remarquable, prenez ce juge fédéral américain qui a annulé la règle de la FDA n’autorisant la prescription de la pilule abortive RU-486 aux femmes qu’en personne, pour des raisons de santé, sous prétexte que le confinement oblige les femmes à choisir entre se mettre, ainsi que leurs proches, en danger de contamination, ou de « garder » une grossesse. Les femmes ne peuvent venir à l’avortement ? L’avortement ira aux femmes ! Ce juge oublie que si la femme n’est pas présente physiquement cela empêche le médecin de vérifier son état de santé, le stade de sa grossesse, et si elle n’a pas de grossesse ectopique (deux points importants). Selon LifeSiteNews :
La loi ne peut pas exiger des femmes qu’elles consultent un médecin en personne pour obtenir des pilules abortives, alors qu’elles subissent le confinement COVID-19, a déclaré lundi le juge américain Theodore Chuang.
L’organisme de gauche, l’American Civil Liberties Union (ACLU), a représenté plusieurs groupes, dont l’American College of Obstetricians & Gynecologists (ACOG), dans un procès demandant la suspension de la règle de la Food & Drug Administration (FDA) des États-Unis selon laquelle la mifépristone, la première moitié de l’abortif chimique RU-486, doit être administrée en personne, citant l’urgence de santé publique du coronavirus décourageant les voyages non essentiels.
Le juge Chuang a reconnu que cette règle constituait un « obstacle important » en cas de pandémie et a déclaré que, « compte tenu notamment du délai limité dans lequel un avortement médicamenteux ou tout autre avortement doit avoir lieu, une telle atteinte au droit à l’avortement constituerait un préjudice irréparable », rapporte le Washington Post.
« En amenant certaines patientes à décider entre renoncer ou retarder considérablement les soins d’avortement, ou risquer d’être exposées au COVID-19 elles-mêmes, leurs enfants et les membres de leur famille, le devoir d’être présente en personne représente un sérieux fardeau pour de nombreuses patientes de l’avortement », ajouta le juge. Il a toutefois reconnu que les États peuvent toujours réglementer les pilules abortives « au-delà » des exigences de la FDA.
Le danger de distribuer la pilule abortive à distance :
De voir les femmes en personne avant de leur prescrire les pilules mortelles permet aux avorteurs de vérifier l’âge de l’enfant à naître — la combinaison abortive de pilules n’est censée être utilisée sur les bébés que jusqu’à 10 semaines de grossesse — et de détecter la possibilité d’une grossesse extra-utérine
Tout ceci sans compter l’horreur de l’avortement : tuer un enfant à naître éminemment innocent. L’avortement n’est pas un soin, tuer n’a jamais été un soin ; l’avortement ne constitue pas un droit.
Par ailleurs, ce jugement montre une indéniable incohérence : si le but du confinement est de protéger des vies, pourquoi augmenter le risque des femmes se faisant avorter ?
8 semaines, l’âge moyen de l’enfant à naître lors de la prise de la pilule RU-486
Image représentant un embryon humain à approximativement 8 semaines de grossesse.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Les gens savent bien que lors d’un avortement c’est un bébé qui est tué. L’une des questions les plus posées à propos de la pilule abortive RU-486 porte sur la durée de temps que prend le « bébé » pour sortir après la prise de la pilule, selon Jonathon Van Maren sur sa page Twitter :
C'est à cela que ressemble le bébé dans le ventre de sa mère à 8 semaines. C'est à ce stade que la plupart des femmes prendront la pilule abortive.
L'une des questions les plus fréquemment posées sur Google à propos du RU-486 est « Combien de temps cela prend-il avant que le bébé ne sorte après la prise de la pilule abortive ? »
Nous savons que c'est un bébé.
Sa fille avait pris la pilule abortive... mais elle trouva le remède qui pouvait sauver son petit-fils
Katie Franklin (LifeSiteNews) ― traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo (rognée) : Marco Verch/Flickr
19 mars 2019 (Pregnancy Help News) ― Lorsque « Hannah » eut découvert qu'elle était enceinte vers la fin de 2018, la peur l'a submergée. Incertaine de ce que l'avenir pourrait leur permettre ― à elle et à son mari ― avec un bébé, elle a décidé de se faire avorter.
Mais cette décision n'était pas si simple. Le matin après avoir pris la première pilule de cette combinaison abortive chimique de deux pilules, elle s'est réveillée avec un immense regret. Voulant sauver son bébé, elle a appelé sa mère, « Ellen », une infirmière de famille depuis 21 ans.
Pro-vie elle-même et sympathisant avec les remords de sa fille, Ellen a engagé son autre fille à parcourir l'Internet pour un moyen d'arrêter l'avortement en cours avant qu'il ne soit trop tard.
C'est alors qu'ils ont trouvé l’Abortion Pill Reversal (Renversement de la pilule abortive), un protocole salvateur qui a conduit à la naissance de plus de 500 enfants depuis sa création en 2007.
Soulagées d’avoir découvert un antidote, Ellen et Hannah ont immédiatement appelé la ligne d'assistance (877-558-0333) et ont été mises en contact avec Abortion Pill Rescue, un réseau de plus de 500 professionnels de la santé fournissant le protocole d'inversion de la pilule abortive. Après avoir recueilli toutes les informations dont elles avaient besoin, elles ont raccroché et Ellen a appelé la pharmacie locale, munie d’une ordonnance, pour sauver la vie de son petit-fils à naître.
En moins de 10 minutes, Hannah a pu prendre sa prescription à la pharmacie et commencer le traitement. Maintenant, à un peu plus de la moitié de sa grossesse, Hannah et son mari s'attendent à ce que leur petit garçon soit bientôt né.
« Elle est excitée maintenant, elle fait tout parfaitement », a déclaré Ellen, faisant référence aux traitements d'inversion de suivi d'Hannah. « Mais pensez à toutes les filles qui ne savent pas que le Renversement de la pilule abortive est à leur disposition. »
Lire la suiteLa ministre fédérale de la Santé demande aux provinces de financer entièrement les frais de l’avortement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (rognée) : Nouveau-Brunswick/Flickr
La ministre fédérale de la Santé exige des provinces, dans une lettre destinée aux législateurs, qu’elles payent rubis sur l’ongle les frais liés à l’avortement. L’Ontario et le Nouveau-Brunswick se rebifferaient. Extrait du The Globe and Mail :
La ministre fédérale de la Santé, Ginette Petitpas Taylor, demande à toutes les provinces d'éliminer les obstacles à l'accès à l'avortement, se disant préoccupée par les politiques et les frais qui sont « en décalage » avec la loi fédérale.
Cependant, ses homologues provinciaux de l'Ontario et du Nouveau-Brunswick, où certaines patientes doivent payer pour avoir accès à des services d'avortement […] ont promptement rejeté la demande de Mme Petitpas Taylor.
Devant la réaction de certaines provinces, le gouvernement fédéral ne dédaignerait pas de les obliger à suivre ses désirs en les menaçant de retenues fiscales dans le domaine de la santé (comme il l’a déjà fait pour l’Île-du-Prince-Édouard, pour l’obliger à fournir des avortements), d’après The Globe and Mail :
Le cabinet de Mme Petitpas Taylor a dit qu'il était trop tôt pour préciser les mesures qu'il prendrait si les provinces continuaient de faire fi de la loi fédérale sur la santé. Par le passé, le gouvernement fédéral a eu recours à la retenue des paiements de transfert en matière de santé pour réagir aux infractions à la Loi canadienne sur la santé.
Le Nouveau-Brunswick semble décidé à ne pas céder, d’après The Globe and Mail :
Lire la suiteDans une déclaration, un porte-parole du ministère de la Santé du Nouveau-Brunswick a rejeté la demande de Mme Petitpas Taylor de modifier la politique.
"Il n'y a aucune intention de notre part de changer le statu quo, a écrit Bruce Macfarlane.
À mi-chemin d’un avortement pharmacologique, une femme enceinte sauve la vie de ses jumeaux !
Par Lisa Bourne — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : wheeler_Cowperthwaite
1er juillet 2019 (LifeSiteNews) — La vie de deux jumeaux a été épargnée alors que leur mère a changé d’idée pendant le processus d’un avortement chimique.
« Alexis », était enceinte d’environ six semaines lorsqu’elle s’est présentée pour un avortement à l’une des installations abortives les plus affairées de la Caroline du Nord A Preferred Women’s Health Center, dans la ville de Charlotte.
Au cours de l’ultrason, la technicienne a dit, banalement, « Oh, des jumeaux », ce qui a ému Alexis, car elle avait toujours souhaité avoir des jumeaux.
Alors qu’elle était en train d’assimiler la nouvelle de sa grossesse gémellaire, on lui a administré le premier des deux médicaments inclus au sein du protocole d’avortement chimique. On lui a remis le second médicament pour être pris au cours des 48 heures suivantes.
Au moment où elle quittait le centre d’avortement, un conseiller de trottoir a réussi à s’adresser à Alexis, alors qu’elle éprouvait d’intenses émotions et se sentait confuse. Elle a pu ainsi initier le processus de sauvetage des deux bébés.
« Il n’est peut-être pas trop tard pour vous », lui disait le conseiller. « Il y a moyen de renverser tout ça ; allez consulter le site internet AbortionPillReversal.com, contactez-les ; il n’est pas trop tard pour qu’ils puissent vous aider à sauver votre bébé. »
Alexis a ensuite quitté le lieu en voiture, mais a fini par se stationner rapidement, pour pouvoir ouvrir son téléphone cellulaire et chercher le site internet mentionné par le conseiller. Elle a appelé la ligne d’urgence, qui l’a mise en communication avec le centre local d’aide à la grossesse.
« Nous l’avons très rapidement prise en charge pour lui administrer le protocole d’antidote à l’avortement chimique », a dit Courtney Parks, conseillère en interruption d’avortement par pilule abortive pour les centres de grossesse HELP Pregnancy Center. « C’était une question d’heures. »
L’histoire d’Alexis a été publiée récemment sur le site internet Pregnancy Help News, et ensuite a été remarquée par FoxNews.com.
La « pilule abortive », ou RU-486, réfère à un protocole utilisant deux molécules : la mifépristone et le misoprostol. La mifépristone est prise en premier, pour déstabiliser la grossesse en bloquant les récepteurs de progestérone et en empêchant l’action de la progestérone produite par la mère. L’avortement est ensuite complété par l’administration du misoprostol, qui provoque le travail, obligeant le corps de la mère à expulser le bébé.
Lire la suiteLa Saskatchewan dernière à céder, elle finance maintenant les produits abortifs
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
La Saskatchewan était la dernière province canadienne, jusqu’à récemment, à ne pas financer entièrement la pilule abortive, maintenant elle couvre entièrement les frais de ce pesticide humain, par ailleurs fort dangereux. Extrait de LifeSiteNews :
La Saskatchewan était la dernière province canadienne à ne pas payer les produits abortifs dans le cadre de son régime provincial d’assurance-maladie.
Le ministre de la Santé du Saskatchewan Party, Jim Reiter, a annoncé le 7 juin que son gouvernement couvrait entièrement le Mifegymiso à compter de maintenant, selon Global News.
La décision du gouvernement de la Saskatchewan a été prise peu de temps après que les progressistes-conservateurs du Manitoba eussent annoncé, le 1er juin, qu’ils couvriraient le coût de cette combinaison de deux produits.
Mifegymiso, le nom commercial canadien d’une combinaison de mifépristone (RU-486) et de misoprostol, est destiné à être prescrit pour tuer les enfants à naître jusqu’à neuf semaines de gestation. [Avant c’était 7 semaines.]
La Saskatchewan, dernière province à ne pas payer totalement la pilule abortive, subit des pressions
Ryan Meili, médecin de famille pro-avortement et chef du Parti néo-démocrate de Saskatchewan.
Par Lianne Laurence — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : TEDx Talks via YouTube
Pétition : Non à l'avortement tardif au Québec
Regina, Saskatchewan, le 6 juin 2019 (LifeSiteNews) — Après que le Manitoba ait annoncé la fin de semaine dernière qu’il offrait un « accès universel » à la pilule abortive, la Saskatchewan reste la dernière province du Canada à résister aux pressions pour financer entièrement l’avortement médical.
Cela pourrait changer si les activistes de l’avortement, encouragés par les médias libéraux, font ce qu’ils veulent.
La ministre manitobaine de la Condition féminine, Rochelle Squires, a déclaré samedi que son gouvernement progressiste-conservateur élargira l’accès au Mifegymiso, la marque de commerce canadienne d’une combinaison de mifépristone (RU-486) et de misoprostol, selon la Canadian Press.
Le Manitoba paie déjà la combinaison des deux produits lorsqu’elle est distribuée dans les établissements d’avortement de Brandon et de Winnipeg, mais il mettra en place un système pour couvrir le coût des médicaments pour l’avortement dans toutes les pharmacies.
« Notre analyse montre qu’il est plus rentable pour les femmes de rester dans leur propre communauté pour avoir accès aux services de santé reproductifs, si possible », a dit Mme Squires à la Canadian Press.
« Nous savons aussi que pour beaucoup de femmes, il est préférable de pouvoir rester dans leur communauté plutôt que de venir dans un endroit comme Brandon ou Winnipeg. »
Lire la suiteAu Canada, l’accès à la pilule abortive est facilité
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wheeler Cowperthwaite/Flickr
Au Canada, jusqu’à récemment, la prescription de la pilule abortive RU-486 (limité à 7 semaines de grossesse auparavant et maintenant à 9 semaines, pour le malheur des femmes et de leur enfant à naître) requérait une échographie pour dater l’âge de l’enfant à naître si celui-ci était inconnu, et pour repérer les grossesses extra-utérines auquel cas la prescription est interdite. Mais le gouvernement canadien, désireux de rendre ce pesticide antihumain plus accessible, largue ce qui lui reste de prudence face à ce produit dangereux. Un plus grand nombre d’enfants à naître mourra par ce moyen, et un plus grand nombre de femmes aussi… Car, d'après Gènéthique :
Cependant, afin de faciliter l’accès à cette pilule, en particulier dans les régions où les délais pour une échographie sont plus longs, le ministère de la santé canadien vient de revenir sur cette obligation dans un communiqué. Les prescripteurs devront se fier à leur seul diagnostic pour déterminer l’âge gestationnel et exclure une grossesse extra-utérine.
Y a-t-il une réelle baisse d’avortements au Québec ?
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
On nous annonce dans un article du Journal de Montréal, paru le 3 mars, que l’avortement aurait atteint son niveau le plus bas au Québec depuis 20 ans, et ce, à cause entre autres de la baisse de femmes en âge de procréer, mais aussi, selon certains, grâce à la contraception, point sur lequel je doute. Je m’explique, sans doute une baisse d’avortements chirurgicaux pourrait être observée, bien que tous ne soient pas enregistrés, car les seuls qui soient tenus en compte dans le rapport de la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) sont les « Avortements de moins de 24 semaines. Les IVG pratiquées par les médecins payés à salaire » n'étant « pas comptabilisées, » d'après le Journal de Montréal.
Bien que non interdits au Canada, les avortements de plus de 24 semaines sont redirigés vers les États-Unis, d’après le FQPN. En outre, et l’article du Journal de Montréal n’en tient pas compte, la contraception a toujours un côté abortif au cas où la fécondation ne serait pas empêchée, ce qui nous amène à considérer le fait que s’il y a plus de contraceptions, il n’y a probablement pas moins d’avortements… peut-être même qu’il y en a davantage. Le Journal de Montréal explique donc :
En 2017, 21 203 femmes ont eu recours à une interruption volontaire de grossesse (IVG), selon les données compilées par la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) pour Le Journal.
Il s’agit d’une baisse marquée de 21 % par rapport à 2003, alors que 26 997 interventions avaient été faites (voir ci-dessous). Selon la RAMQ, jamais aussi peu d’avortements n’ont été enregistrés depuis 1996.
[…]
Bien que le nombre de femmes en âge de procréer (15 à 44 ans) ait diminué au Québec depuis 20 ans, cette donnée n’explique qu’une partie de la baisse. Selon l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ), le taux d’avortement (sur 1000 femmes) aurait baissé de pas moins de 25 % depuis 2003.
Il faut remarquer que si le nombre de femmes en âge de procréer est plus bas, c’est à cause d’une baisse de la natalité qui a accompagné la contraception et l’avortement, résultant en un vieillissement de la population. La cause la plus probable d'une baisse réelle d'avortements (avortements chirurgicaux et par contraceptions abortives) devrait plutôt être le vieillissement de la population.
Lire la suiteLa pilule abortive prescrite plus de 13 000 fois au Canada depuis 2017
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
13 000 enfants à naître avortés ? Combien de femmes blessées par ce pesticide antihumain ? Extrait de LifeSiteNews :
Conçue pour tuer les bébés à naître, la pilule abortive Mifegymiso à deux étapes (RU-486) aurait été prescrite au moins 13 000 fois au Canada depuis son lancement en janvier 2017 [jusqu’en octobre 2018].
À l’aide de chiffres obtenus des autorités sanitaires provinciales, le National Post a publié le 15 octobre le nombre de prescriptions connues de Mifegymiso. Mais il est probable que beaucoup plus de prescriptions ont été faites pour le Mifegymiso au Canada parce que le territoire du Yukon n’a pas divulgué au National Post le nombre de ces ordonnances de pilules abortives, pour des raisons dites de protection des renseignements personnels.
De plus, l’Île-du-Prince-Édouard et la Nouvelle-Écosse n’ont pas répondu à la demande d’information du journal au sujet de ces prescriptions. La pilule abortive est accompagnée d’un cortège de mauvais effets secondaires et a entraîné la mort de nombreuses femmes [...]
« Il a été prouvé que ce produit est très dangereux pour les femmes », a déclaré Patricia Maloney, auteur du blogue Run With Life.
Selon Maloney, même certains auteurs pro-avortement ont écrit sur les dangers de cette méthode de pilule abortive, y compris Renate Klein qui a aidé à écrire le livre RU486 : Misconceptions, Myths and Morals.