Un procès majeur qui pourrait interdire la pilule abortive aux États-Unis
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : torwaitphoto/Adobe Stock
15 mars 2023 Amarillo, Texas (LifeSiteNews) — Un juge fédéral nommé par Trump a déclaré qu’il prévoyait rendre une décision « dès que possible » après avoir entendu les arguments oraux mercredi dans une affaire pro-vie majeure qui aurait amené certains établissements d’avortement à se préparer à l’interdiction nationale imminente d’un médicament provoquant l’avortement, la mifépristone.
Une décision interdisant la mifépristone est néanmoins susceptible de faire l’objet d’un appel et les avorteurs sont prêts à se tourner vers d’autres options si la mifépristone est retirée du marché.
Le juge de district Matthew Kacsmaryk a déclaré son intention de rendre une décision « bientôt » lors d’une audience tenue mercredi à Amarillo, au Texas, au cours de laquelle il a entendu les arguments des avocats de l’administration Biden et des plaignants pro-vie, dont Alliance for Hippocratic Medicine [Alliance pour la médecine hippocratique], a rapporté Reuters.
LifeSiteNews avait déjà signalé que l’affaire ne portait pas sur l’éthique du médicament abortif ou sur la nature même de l’avortement, mais plutôt sur le processus réglementaire qui a conduit à la mise sur le marché du médicament il y a plus de vingt ans.
La mifépristone, qui prive l’enfant en pleine croissance de la progestérone dont il a besoin, le faisant ainsi mourir de faim, est souvent associée au misoprostol, qui induit le travail pour mettre au monde l’enfant décédé.
En novembre, l’Alliance Defending Freedom (ADF) [Alliance pour défendre la liberté] a intenté une action en justice au nom de quatre organisations médicales et de quatre médecins contre la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis, arguant que l’agence avait indûment accéléré l’approbation de la mifépristone en 2000.
Lire la suiteLa pilule abortive tue une Canadienne de 19 ans
Par Pete Baklinski — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Impact Photography/Adobe Stock
31 janvier 2023 (Campaign Life Coalition) — Une jeune Canadienne de 19 ans est morte après avoir pris la pilule abortive.
Le système en ligne du gouvernement canadien qui suit les effets indésirables des médicaments pharmaceutiques révèle qu’un hôpital a signalé le 4 juillet 2022 le décès d’une jeune femme de 19 ans qui avait utilisé la pilule abortive Mifegymiso pour tuer son enfant à naître (lire le rapport complet des effets indésirables ici). Cette information a été remarquée pour la première fois par Patricia Maloney, chercheuse pro-vie, qui l’a publiée sur son blogue Run With Life.
Tragiquement, l’adolescente est morte d’un « choc septique », un risque connu de la pilule chimique abortive.
La documentation sur le produit d’avortement chimique (également appelé RU-486) figurant sur le site internet de Santé Canada indique qu’il existe un risque de préjudice grave et même de décès pour les femmes qui l’utilisent.
La monographie du produit Mifegymiso indique qu’il existe un « risque d’infection et de septicémie » pour les utilisatrices. « Des cas d’infection bactérienne grave, y compris de très rares cas de choc septique mortel, ont été signalés après l’utilisation de Mifegymiso ».
« Une infection à Clostridium sordellii a été observée chez certaines femmes sans douleur abdominale ni fièvre, qui a rapidement évolué vers une défaillance multiorganique et la mort », indique la monographie du produit.
La pilule abortive a été approuvée par Santé Canada le 29 juillet 2015 pour sa « sécurité, son efficacité et sa qualité », même si Santé Canada connaissait son risque de provoquer la mort par choc septique, exactement ce qui est arrivé à cette jeune fille de 19 ans. Le médicament est devenu disponible en 2017. Des groupes de défense des droits ont récemment soulevé de sérieuses inquiétudes quant à sa sécurité.
Lire la suiteLe Texas a pratiquement éliminé l’avortement deux mois seulement après le jugement Dobbs
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Hollie Santos/Unsplash
5 janvier 2023 (LifeSiteNews) — Le Texas a connu zéro avortement électif légal en août 2022 et seulement trois avortements pour des menaces physiques à la vie de la mère, selon de nouvelles statistiques qui soulignent l’impact de permettre aux États de fixer [les dispositions concernant] l’avortement après environ 50 ans de Roe v. Wade.
En juin dernier, la Cour suprême des États-Unis a annulé Roe, l’arrêt de 1973 qui obligeait les 50 États à autoriser la plupart des avortements. Cela a permis à de nouvelles et anciennes lois pro-vie d’entrer en vigueur dans tout le pays, y compris une interdiction totale et directe de l’avortement datant de 1925, qui avait été temporairement bloquée après la décision d’un juge inférieur. Le Texas a également une interdiction de l’avortement basée sur le battement de cœur qui a pu entrer en vigueur avant l’annulation de Roe grâce à son mécanisme d’application unique (poursuites par les citoyens plutôt que par le gouvernement).
La loi sur le battement de cœur a été créditée d’une réduction significative des avortements dans l’État de l’étoile unique. Aujourd’hui, Texas Right to Life présente de nouvelles données du département de la santé et des services sociaux du Texas qui révèlent que la réactivation de la loi de 1923 a pratiquement éradiqué cette pratique.
Deux mois seulement après le renversement de Roe, le Texas rapporte qu’il n’y a eu aucun avortement légal électif et seulement trois avortements légaux commis pour sauver la vie de la mère. Il s’agit d’une baisse par rapport aux 67 avortements électifs du mois précédent et aux 5 706 d’août 2021.
Les experts médicaux pro-vie maintiennent que l’avortement direct n’est jamais médicalement nécessaire pour sauver la vie d’une mère ; la fiche de données du HHS du Texas ne permet pas de savoir si les trois avortements « médicalement nécessaires » étaient réellement des avortements ou plutôt des traitements de sauvetage qui ont eu pour résultat indirect et involontaire la perte du bébé. Quoi qu’il en soit, le fait qu’il n’y en ait eu que trois porte un coup sévère à la désinformation des pro-avortement sur la fréquence de telles situations et sur les lois pro-vie qui mettraient la vie des femmes en danger.
Lire la suiteL’administration DeSantis avertit les pharmacies de ne pas vendre de pilules abortives suite au changement de règles de la FDA
Par Joseph Summers — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Lightfield Studios/Adobe Stock
16 janvier 2023, Tallahasse, Floride (LifeSiteNews) — L’administration du gouverneur républicain de Floride, Ron DeSantis, a informé les pharmacies de l’État la semaine dernière qu'elles ne pouvaient vendre de pilules abortives sans enfreindre la loi de Floride.
L’Agence de Floride pour l’administration des soins de santé (AHCA), qui réglemente la politique médicale de l’État, a envoyé mercredi une lettre aux pharmacies de Floride pour les informer qu’elles ne peuvent pas distribuer de pilules abortives, déclarant que cela violerait la loi préexistante de l’État.
« À la lumière de la récente décision de la Food and Drug Administration américaine d’autoriser les pharmacies de détail à distribuer la mifépristone, l’Agence publie cette alerte pour rappeler aux prestataires qu’ils doivent continuer à se conformer aux lois de Floride qui régissent la réalisation d’avortements », a déclaré l’AHCA.
Selon la loi floridienne, seul un médecin peut avorter un bébé, et ce uniquement jusqu’à quinze semaines de grossesse après avoir effectué une échographie, conseillé la mère sur l’avortement et respecté une période d’attente de vingt-quatre heures. La loi stipule également que l’avortement doit être pratiqué en personne. La loi prévoit également des exemptions si le bébé présente une anomalie fatale, si la vie de la mère est menacée par la grossesse ou si la mère risque de subir des blessures graves si la grossesse est menée à terme. Si des pilules abortives sont prescrites, les personnes souhaitant avorter doivent prendre la première pilule en présence du médecin prescripteur, tandis que la seconde peut être prise à domicile.
Une autre loi de Floride citée par l’AHCA stipule qu’« Il est illégal pour toute personne de pratiquer ou d’aider à pratiquer un avortement sur une personne — sauf en cas de soins d’urgence — ailleurs que dans un hôpital ou une clinique d’avortement valablement autorisés ou dans le cabinet d’un médecin ».
Lire la suiteLe gouvernement Biden va autoriser les pharmacies à délivrer des « médicaments » pour avorter à domicile
Par Léo Kersauzie (Médias-Presse-Info)
Etats-Unis – La Food and Drug Administration (FDA) a introduit mardi un changement réglementaire qui permettra aux pharmacies de détail de proposer des pilules abortives. Les groupes pro-vie vont se mobiliser pour organiser un boycott des chaînes pharmaceutiques qui proposent ce matériel abortif.
Dans le cadre du changement réglementaire, les pharmacies qui obtiennent la certification pourront distribuer la mifépristone — qui est utilisée avec le misoprostol dans les avortements du premier trimestre — directement aux patientes après avoir reçu une ordonnance d’un professionnel de la santé certifié, annonce Danco Laboratories, l’un des fabricants de la pilule.
La mifépristone est approuvée par la FDA aux États-Unis dans le cadre du programme REMS (Risk Evaluation and Mitigation System). Auparavant, la mifépristone ne pouvait être délivrée que dans les cliniques, les cabinets médicaux et les hôpitaux ou sous la supervision d’un professionnel de la santé agréé.
Alors même que de plus en plus d’États américains interdisent ou restreignent l’avortement, les autorités fédérales se jettent à corps perdu dans une contre-offensive mortifère.
Lire la suiteL’inversion de la pilule abortive a lieu au Canada et des vies sont sauvées
Par Shanelle Pettigrue — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Cavan for Adobe/Adobe Stock
Le 9 août 2022 (Campaign Life Coalition) — Une « course contre la montre » est l’expression qui décrit le mieux l’histoire d’une agente immobilière de 24 ans qui a commencé un avortement chimique, a changé d’avis et a tenté de sauver la vie de son bébé.
Cette femme, qui subit des pressions pour avorter à neuf semaines de grossesse, a fait des heures de route depuis chez elle pour se procurer la pilule abortive. Elle avale la pilule et commence à rentrer chez elle. En conduisant, elle voit des panneaux d’affichage pro-vie le long de la route. L’un d’eux indique : « Il y a un battement de cœur à 18 jours ». La femme continue de conduire, sa décision commençant à peser lourd sur son cœur. Elle tombe alors sur un autre panneau d’affichage qui dit : « Ta mère a choisi la vie. Tu devrais faire de même. »
La jeune femme commence à regretter d’avoir pris la pilule d’avortement.
Elle sort immédiatement de l’autoroute et commence à faire des recherches en ligne pour voir s’il y a un moyen de sauver son bébé. Elle tombe sur un site internet qui offre à son bébé une « seconde chance de vie ».
« Avez-vous pris la première dose de la pilule d’avortement ? », indique le site d’inversion de la pilule d’avortement. « Regrettez-vous votre décision et souhaitez-vous pouvoir inverser les effets de la pilule abortive ? Nous sommes là pour vous », ajoute-t-il.
La femme appelle immédiatement l’organisation. Celle-ci la met en contact avec un médecin pro-vie qui lui envoie une ordonnance pour les pilules d’inversion à retirer dans sa ville le jour même. Six heures après avoir ingéré la pilule d’avortement chimique, la femme commence le processus d’inversion et elle est ravie, une semaine plus tard, de découvrir que son bébé a toujours des battements de cœur.
L’avortement chimique a échoué.
Son bébé est sauvé.
Lire la suiteUne femme recourt à la contre-pilule abortive et sauve la vie de fille
Par Kim Hayes (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
De nombreuses mères faisant face à une grossesse non planifiée ont recours à l’avortement chimique par peur ; peur de ce que leur famille pourrait dire ou de la réaction de leur partenaire face à la grossesse, ou peur de ne pas pouvoir s’en sortir seules si elles choisissent la vie pour leur enfant.
Mais comme l’idée derrière la chanson de rock chrétien « Fear is a Liar » (« La peur est une menteuse »), LaToya a fait l’expérience directe des mensonges de la peur et a vu chaque mensonge être démoli avec le temps.
Sa relation avec un homme qui n’avait pas révélé qu’il était marié était construite sur des mensonges. Après avoir découvert sa tromperie, puis qu’elle portait son enfant, la peur est venue avec d’autres mensonges.
« Il ne se souciait pas de ce que je faisais », se souvient LaToya, « que je garde le bébé ou non. Je lui ai laissé entendre que j’allais me faire avorter. Il a proposé d’être là pour m’aider ».
LaToya s’est rendue à Planned Parenthood et a reçu la pilule abortive avec la consigne de prendre la deuxième pilule dans les 48 heures.
Le premier médicament d’un avortement chimique, la mifépristone, déstabilise la grossesse de la mère. Le second médicament, le misoprostol, généralement pris un jour ou deux plus tard, provoque le travail et l’accouchement de l’enfant décédé. Les deux médicaments d’avortement chimique sont associés à des crampes et à d’autres effets secondaires négatifs.
« Quand je suis rentrée chez moi, je me suis assise et je me suis dit, si ce produit me fait me sentir si mal, comment le bébé se sent-il ? » raconte LaToya. « Alors, j’ai regardé sur internet pour voir ce qui se passerait si je ne prenais pas la deuxième pilule abortive. »
« Quand j’ai fait ça, un site internet est apparu dans la recherche appelé APR Abortion Pill Reversal », dit-elle. « Je n’avais jamais entendu parler de cela. Je n’avais jamais su qu’on pouvait inverser les effets de la pilule abortive. »
Le réseau Abortion Pill Rescue® Network (APRN) est disponible 24 heures sur 24, comme LaToya l’a découvert.
L’inversion de la pilule abortive (APR) est une application plus récente d’un traitement vieux de plusieurs décennies pour prévenir les fausses couches. La progestérone est administrée selon un protocole pour contrer le premier médicament abortif. Si une mère prend la pilule abortive, éprouve des regrets et agit assez rapidement, il peut être possible de sauver son enfant à naître.
Lire la suiteUn rapport montre que le régime de pilules abortives dit « de référence » entraîne des effets secondaires graves
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : JackF/Adobe Stock
18 février 2022 (LifeSiteNews) — Un groupe de surveillance a résumé les effets indésirables signalés spontanément au sujet de la pilule abortive dite « de référence » et fait état de nombreux rapports d’événements graves entraînant une hospitalisation.
Quatre déclarations de septicémie potentiellement mortelle, de nombreuses hémorragies et de nombreux avortements ratés figurent parmi les constatations d’un rapport sur le régime de pilules abortives Mifegymiso, publié en janvier par le Programme Canada Vigilance, « un système de déclaration spontanée » conçu pour détecter « les problèmes potentiels de sécurité des produits de santé ».
Le résumé fait état de 43 rapports d’« effets indésirables » de Mifegymiso, nom donné au Canada à l’utilisation combinée de la mifépristone et du misoprostol. Ce régime figure sur la liste des médicaments essentiels de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et est considéré comme la « norme d’excellence » pour l’avortement médical précoce, selon l’OMS.
Un avertissement sur la première page du rapport souligne le fait que ces effets indésirables ont été signalés sur une base volontaire et qu’ils ne peuvent pas être utilisés pour déterminer l’incidence d’une réaction particulière ou pour estimer le risque d’un produit, puisque le nombre total de réactions et le nombre d’utilisatrices du régime de pilules abortives sont inconnus.
En outre, il est précisé que « la sous-notification des effets indésirables est observée dans les systèmes de surveillance spontanée, tant volontaires qu’obligatoires ».
De nombreuses femmes ont été hospitalisées et certaines d’entre elles ont souffert de ce que le guide du médicament Mifegymiso qualifie d’« effets secondaires très courants » (ressentis par plus de 10 % des utilisatrices) : nausées, vomissements, diarrhée et frissons ou fièvre.
Conformément aux résultats du rapport, le guide considère l’« hémorragie grave » comme un effet secondaire « courant » (ressenti par 1 % à 10 % des utilisateurs), tout comme l’évanouissement.
Le guide du médicament indique également que « les patientes doivent avoir accès à des soins médicaux urgents pendant les 7 à 14 jours suivant l’avortement médicamenteux ».
Lire la suiteUn médecin pro-vie fait l’objet d’un procès pour avoir aidé des femmes à annuler l’effet de la pilule abortive
Dr Dermot Kearney.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Protect Life/YouTube
10 février 2022 (LifeSiteNews) — Dans notre monde à l’envers, les médecins qui tuent les enfants à naître dans l’utérus sont protégés par la loi, leur perpétration du fœticide ayant été qualifiée de « service essentiel » pendant la pandémie de COVID-19. Les médecins qui tentent de sauver des vies, quant à eux, sont constamment pris pour cible par les militants de l’avortement et leurs alliés dans les médias.
Au cours des deux dernières années, les pays ont, les uns après les autres, généralisé l’utilisation de la pilule abortive, que certains qualifient de façon grotesque d’avortements « à faire soi-même » ou « à domicile ». Dans plusieurs cas, des femmes ont fait l’objet d’enquêtes pour meurtre au Royaume-Uni pour avoir pris des pilules abortives après la limite de 24 semaines fixée pour l’avortement légal. Beaucoup d’autres s’en sont probablement tirées à bon compte.
Il y a quelque temps, sur le podcast de LifeSiteNews, j’ai interviewé l’un des pionniers de la méthode d’inversion de la pilule abortive (Abortion Pill Reversal ou APR), qui consiste à administrer de la progestérone aux femmes qui ont pris la pilule abortive et ont changé d’avis. La progestérone, une hormone naturelle, inverse les effets de la première pilule abortive, la mifepristone. Des milliers d’enfants ont été sauvés grâce à cette méthode de sauvetage (des centaines au Canada), et des photos de bébés nés sains et saufs après que leur mère ait pris la pilule abortive sont devenues virales.
Les médecins désireux d’aider les femmes qui souhaitent inverser les effets de la pilule abortive ont fait l’objet de vives critiques. Les médias progressistes ont systématiquement mené des dizaines d’« enquêtes » au cours desquelles on demandait aux médecins s’ils étaient prêts à prescrire de la progestérone, puis on les « démasquait » comme étant des médecins anti-avortement qui suivaient des méthodes pseudo-scientifiques « dangereuses ». Je connais personnellement des médecins qui ont fait l’objet de telles enquêtes. Les militants de l’avortement veulent rendre impossible aux femmes désespérées de changer d’avis.
Lire la suiteUne mère et son fils ont eu une seconde chance grâce au protocole de renversement de la pilule abortive
Par Lisa Bourne (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Trendsetter Images/Adobe Stock
(Pregnancy Help News) Une maman qui a pris la pilule abortive et qui a regretté ce choix est « éternellement reconnaissante » à l’Abortion Pill Rescue® Network (APRN), car c’est grâce à l’aide cruciale de l’APRN qu’elle a pu inverser avec succès son avortement chimique et donner naissance à un petit garçon en bonne santé au début du mois.
Comme beaucoup de mamans, Judith n’était pas sûre de sa décision d’avorter son enfant et comme beaucoup de mamans, elle a eu des regrets juste après avoir entamé le processus d’avortement chimique.
Mais elle a trouvé l’APRN et une organisation d’aide aux femmes enceintes (PHO) et a reçu des deux ce qu’elle dit être exactement ce dont les femmes dans cette situation ont besoin ─ de l’aide et des encouragements positifs. Et maintenant, Judith dit à d’autres mamans qui ont commencé un avortement chimique et qui ont des regrets, de s’arrêter et de chercher de l’aide ─ il y a de l’espoir pour une autre chance de sauver votre enfant.
« Je regarde mon bébé et je me dis : “Wow, quand je pense que j’allais mettre fin à sa vie” », dit-elle, « mais heureusement, je ne l’ai pas fait et on m’a donné une seconde chance ».
« Je suis si heureuse et éternellement reconnaissante pour ce site internet (APRN) car il a sauvé la vie de mon bébé et la mienne », a déclaré Judith.
« Donc, si vous vous demandez si vous devez poursuivre le processus d’avortement, ne le faites pas », a-t-elle ajouté. « Cherchez de l’aide ».
L’avortement chimique, également connu sous le nom d’avortement médical ou médicamenteux, est un traitement à base de deux médicaments, la mifépristone et le misoprostol. La mifépristone, le premier médicament, bloque la progestérone, l’hormone naturelle de l’organisme de la femme nécessaire au maintien de la grossesse.
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