DeSantis nomme six universitaires conservateurs pour administrer une université de Floride afin de la sortir du « wokisme »
Ron DeSantis, gouverneur de Floride.
Par Calvin Freiburger — traduit par Campagne Québec-Vie — photo : Matt Johnson/Flickr
6 janvier 2023, Tallahassee (LifeSiteNews) — Le gouverneur républicain de la Floride, Ron DeSantis, a dévoilé vendredi son dernier geste pour dépolitiser l’éducation dans le Sunshine State (l’État ensoleillé), en annonçant la nomination de six nouveaux membres au conseil d’administration du New College of Florida (NCF), un établissement d’extrême gauche, dans le but de transformer de manière significative la direction idéologique de l’institution.
M. DeSantis a nommé au conseil d’administration Chris Rufo, de Manhattan Institute, qui est surtout connu pour son travail de dénonciation de l’influence de la théorie critique de la race dans le monde universitaire et des affaires, ainsi que Matthew Spalding, de Hillsdale College, Charles Kesler, de Claremont-McKenna College, Mark Bauerlein, d’Emory University, l’avocate Debra Jenks et Jason « Eddie » Speir, cofondateur d’Inspiration Academy. Les six devront être confirmés par le Sénat de Floride.
« Comme le gouverneur DeSantis l’a déclaré dans son deuxième discours inaugural : “Nous devons veiller à ce que nos établissements d’enseignement supérieur soient axés sur l’excellence universitaire et la recherche de la vérité.” À partir d’aujourd’hui, le navire fait demi-tour », a déclaré Bryan Griffin, attaché de presse de DeSantis, au Daily Caller. « Le New College of Florida, sous la houlette des nouvelles personnes nommées par le gouverneur, sera recentré sur sa mission fondatrice, à savoir fournir une éducation de qualité de classe mondiale avec un accent exceptionnel sur les classiques. »
« Nous espérons que le New College of Florida deviendra le collège classique de Floride, dans la lignée d’un Hillsdale du Sud », a ajouté le chef de cabinet du gouverneur, James Uthmeier.
Lire la suite« Si chaque enfant en Amérique avait un père aimant à la maison... »
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Anastasiya/Adobe Stock
« Si chaque enfant en Amérique avait un père aimant à la maison, nous aurions à faire face à beaucoup, beaucoup moins de problèmes en tant que société », a déclaré DeSantis au cours d’une entrevue le 27 mai.
LifeSiteNews rapporte qu’« En avril, DeSantis a signé une loi reliant les garçons à des programmes de mentorat et les hommes à des services de carrière dans l’espoir d’unir les enfants aux pères. »
La perspicacité du gouverneur de la Floride DeSantis sur l’importance de la paternité est révélatrice, surtout pour une société qui s’écroule tranquillement, et dans laquelle les familles se brisent, les mères se retrouvent seules, les enfants sont déstabilisés.
La société est simplement hostile à la Famille, car ce que DeSantis dit au sujet du père est aussi applicable à la mère.
Récemment au cours de la période de questions d’un point de presse, la députée de Sherbrooke de Québec solidaire et responsable en matière d’éducation, de famille, et de condition féminine, Christine Labrie « a lu un témoignage poignant d’une femme qui s’est fait avorter à cause du manque de places en garderie. »
Des histoires comme celle-ci ne devraient jamais se produire. Une mère ne devrait jamais se sentir obligée de choisir entre la vie de son enfant et une place à la garderie.
En premier lieu, les mères ne devraient pas être obligées d’abandonner leurs enfants à la garderie pour partir travailler. Si chaque enfant avait une mère aimante à la maison, pour emprunter les paroles à DeSantis, qui pouvait prioriser ses enfants par-dessus un travail, il y aurait certainement moins de problèmes dans la société.
La société si hostile à la maternité, si hostile à la paternité, et si hostile aux familles ne devrait-elle pas plutôt favoriser un environnement permettant à tout enfant d’avoir une famille stable, et des parents présents et aimants ?
Disney finance les opérations de « transition » mutilantes et les bloqueurs d’hormones pour son personnel et leurs enfants
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik/Rawpixel.com
8 avril 2022 (LifeSiteNews) — Alors que Disney fait face à une pression croissante de la part des conservateurs et des parents concernant sa promotion publique de l’agenda LGBTQ+ auprès des enfants, un nouvel article indique que la société aide ses employés et leurs enfants mineurs à obtenir des chirurgies mutilantes de « changement de sexe ».
Chris Rufo, membre senior de l’Institut Manhattan, qui a réalisé un travail important pour dénoncer la théorie de la race critique enseignée dans les salles de classe américaines, a souligné les efforts massifs de l’entreprise pour aider son personnel à accéder à des opérations de changement de sexe et à des médicaments dans un tweet du 7 avril contenant une vidéo qui proviendrait d’une réunion interne de l’entreprise.
Dans la vidéo, un homme qui apparaît sur une toile de fond portant les phrases « The Walt Disney Company » et « reimagine tomorrow », parle du « travail » que la société effectue pour promouvoir l’expression transgenre et les procédures de changement de sexe pour ses employés.
« L’autre grand domaine est l’identité et l’expression de genre, donc faire tout ce travail pour s’assurer que nos employés et nos acteurs peuvent exprimer leur genre ici de manière authentique et fière au sein de l’entreprise », a déclaré l’homme.
« Nous avons donc élaboré des guides sur la façon de changer sa photo, des informations sur les pronoms, et nous avons travaillé avec notre équipe chargée des avantages sociaux pour fournir des informations sur les procédures d’affirmation du genre à nos employés en transition et transgenres, mais aussi à nos employés dont les enfants sont en transition », a-t-il ajouté.
NEW: Disney has adopted a benefits program to assist employees and their minor children with "gender affirmation procedures." This type of treatment typically includes puberty blockers, breast removal, and genital surgeries for "kids who are transitioning." pic.twitter.com/a2zSSboe0S
— Christopher F. Rufo ⚔️ (@realchrisrufo) April 7, 2022
On ne sait pas qui est l’homme ni quand la vidéo originale a été enregistrée.
Lire la suiteLa Floride enlève des avantages fiscaux à Disney
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) — Photo : Jrobertiko/Wikimedia Commons
C’est la guerre entre les républicains de Floride et Walt Disney. La pomme de la discorde : le soutien apporté à la culture gay par la société de divertissement pour enfants et jeunes.
Walt Disney devra dire adieu à son statut si particulier de Floride. Cela a été décidé par le gouvernement de Floride après l’opposition du géant à la loi interdisant l’enseignement du genre dans les écoles primaires.
La zizanie naît de la loi voulue par les républicains qui interdit la discussion en classe sur les questions liées à « l’identité de genre » dans les écoles primaires de l’État et que les progressistes ont surnommée « Don’t say gay » (Ne dit pas gay).
Sous la pression des associations LGBTQ et des démocrates, Disney a officiellement contesté la loi ces dernières semaines et promis de se battre pour l’abroger, expliquant que l’objectif du géant est de la faire « supprimer ».
En réponse, le gouverneur de Floride DeSantis a lancé une contre-attaque. Les législateurs de Floride ont voté pour priver Walt Disney de son statut spécial d’autonomie gouvernementale au milieu d’une confrontation politique entre l’entreprise et le gouverneur. Le statut conférait à Disney le pouvoir de prélever des impôts, construire des routes et contrôler les services publics sur le terrain inhérent à son parc à thème.
Connu sous le nom de Reedy Creek Improvement District, ce statut spécial est né à la suite d’un accord de 1967 entre l’État et la Walt Disney Company. Il permettait à l’entreprise de fonctionner comme une véritable administration municipale, avec son propre conseil de surveillance : cela signifie que le géant aurait même pu construire son propre aéroport ou une centrale nucléaire s’il le voulait.
Lire la suiteFloride : Ron DeSantis signe une loi interdisant l’avortement au-delà de 15 semaines
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pixel-Shot/Adobe Stock
Le gouverneur de la Floride, Ron DeSantis, a signé le 14 avril une loi interdisant l’avortement au-delà de la quinzième semaine de grossesse (mais elle prévoit des exceptions, comme d’habitude…). Cette même loi prévoit 1,6 million de dollars afin de réduire la mortalité infantile. Selon Gènéthique :
Jeudi 14 avril, le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, a signé une loi interdisant l’avortement après 15 semaines de grossesse. La loi n’envisage pas d’exception en cas de viol ou d’inceste. Le texte prévoit un financement de 1,6 million de dollars consacré à des programmes visant à réduire la mortalité et la morbidité infantiles. « La vie est un don sacré qui mérite notre protection », a déclaré le gouverneur, qui s’est dit « fier » de signer ce texte.
DeSantis signe une loi qui permettra aux parents de savoir ce qui est enseigné dans les écoles de Floride
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Africa Studio/Adobe Stock
29 mars 2022, Tallahasse, Floride (LifeSiteNews) — Le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, a signé vendredi une loi qui garantit que les parents peuvent voir quel matériel est utilisé dans la classe de leurs enfants.
Les conseils scolaires doivent tenir des réunions ouvertes où le public peut commenter le matériel pédagogique.
Le projet de loi HB 1467 exige que les districts scolaires « permettent l’accès à tout le matériel [pédagogique]... au moins 20 jours civils avant que le conseil scolaire du district ne prenne une mesure officielle sur ce matériel », selon un résumé de la législation.
Elle exige également que le ministère de l’Éducation de l’État « publie et mette à jour une liste du matériel [pédagogique] qui a été supprimé ou abandonné par les conseils scolaires de district à la suite d’une objection et diffuse la liste aux districts scolaires pour qu’ils en tiennent compte dans leur sélection de matériel pédagogique ».
Les bibliothèques scolaires doivent également veiller à ce que des documents adaptés à l’âge et non pornographiques soient disponibles et s’assurer que les parents puissent savoir ce qui est disponible pour leurs enfants. « Chaque école primaire publique est tenue par le projet de loi de publier sur son site Web la liste de tous les livres et documents conservés dans la bibliothèque de l’école ou requis et utilisés dans le cadre d’une salle de classe », indique le résumé de la législation fourni par le Sénat de Floride.
« Les livres obligatoires doivent être exempts de pornographie et de matériel nuisible interdit aux mineurs, adaptés aux besoins des élèves et appropriés au niveau scolaire et au groupe d’âge », indique le résumé.
Lire la suiteLe nouveau film pour enfants Buzz l'Éclair de Pixar comprendra une scène de baiser entre personnages de même sexe
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie
21 mars 2022 (LifeSiteNews) — En phase avec l’agenda LGBTQ, le nouveau film pour enfants de Pixar de la série Toy Story, Buzz l'Éclair (Lightyear), devrait comporter une scène de baiser « homosexuel ».
Selon Variety, Buzz l'Éclair devrait rétablir une scène de baiser entre deux personnages féminins de même sexe qui avait été initialement supprimée du film par les dirigeants de Disney. La décision de « rétablir » la scène aurait été prise après que les employés se soient indignés que le PDG de Disney, Bob Chapek, n’ait pas pris une position plus ferme contre le projet de loi de Floride sur les droits parentaux en matière d’éducation.
Dans une déclaration que Variety attribue aux « employés LGBTQIA+ de Pixar et à leurs alliés », les travailleurs pro-LGBT affirment qu’en plus d’être indignés par la conduite de Chapek concernant le projet de loi de Floride, ils ont également été constamment frustrés par les dirigeants de Disney en général, alléguant qu’ils ont coupé « presque chaque moment d’affection ouvertement gay » des films de Pixar.
La frustration des travailleurs à l’égard de Chapek en particulier vient de ce qu’ils considèrent comme une condamnation insuffisante du projet de loi sur l’éducation de Floride, qui vise à protéger les jeunes écoliers contre l’enseignement d’une idéologie sexuelle radicale. Jusqu’à présent, Chapek s’est non seulement opposé publiquement au projet de loi, mais il a même promis 5 millions de dollars à la Human Rights Campaign et à d’autres groupes des « droits » LGBT.
Le projet de loi lui-même, qui a été surnommé le projet de loi « Don't Say Gay » par les critiques pro-LGBT, n’interdit pas réellement l’utilisation du mot « gay », mais cherche plutôt à protéger les enfants de troisième année ou moins contre l’enseignement d’idées radicales concernant l’« identité » de genre et l’« orientation » sexuelle.
Lire la suiteDeSantis reproche à Disney de s’opposer au projet de loi interdisant l’« éducation sexuelle » radicale des jeunes enfants
Ron DeSantis, gouverneur de Floride.
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : State of Florida/Wikimedia Commons
11 mars 2022, Orlando, Floride (LifeSiteNews) — Le gouverneur républicain de Floride, Ron DeSantis, a riposté jeudi au PDG de Disney, Bob Chapek, lui reprochant d’avoir critiqué publiquement un projet de loi de Floride qui vise à protéger les jeunes enfants de l’idéologie sexuelle radicale dans les écoles.
Lors d’un événement organisé le 10 mars à Orlando, en Floride, où se trouve l’immense complexe Disney World de 27 000 acres, le gouverneur républicain a déclaré que l’« État ensoleillé » ne fonderait pas sa politique sur « les rêveries des grandes sociétés » et a critiqué la méga-corporation pour ses relations avec le régime brutal du Parti communiste chinois (PCC).
« Voici donc ce que je peux vous dire : dans l’État de Floride, nous n’allons pas permettre que l’on injecte du transgenrisme en maternelle », a déclaré DeSantis dans une vidéo obtenue par Fox News Digital.
« Les enfants de première année ne devraient pas se voir imposer l’idéologie du genre “woke” dans leurs programmes, et c’est ce que nous défendons, parce que nous défendons les enfants et les parents », a déclaré DeSantis, qui a suscité un large soutien parmi les conservateurs pour avoir combattu les mesures COVID-19 liberticides, soutenu l’application de la loi, favorisé les mesures limitant l’avortement et travaillé à déraciner les idéologies radicales de la salle de classe.
« Je peux vous dire ceci : la probabilité que je renonce à mon engagement envers les étudiants et à mon engagement envers les droits des parents simplement à cause de récits médiatiques frauduleux ou de pressions exercées par des sociétés malveillantes est nulle », a déclaré M. DeSantis.
Lire la suiteLa Floride raccourcit la période d’avortement de 24 à 15 semaines
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pixel-Shot/Adobe Stock
La Floride vient d’adopter un projet de loi qui, une fois signé par le gouverneur et s’il survit à toutes les cours américaines, limiterait l’avortement à 15 semaines de grossesse au lieu de 24. Selon LifeSiteNews :
Le Sénat de Floride a adopté jeudi une loi interdisant l’avortement dans l’État après 15 semaines de grossesse, envoyant le projet de loi au gouverneur de l’État pro-vie Ron DeSantis (républicain) qui a promis de signer le projet de loi « dans les plus brefs délais. »
Le Sénat, dirigé par les républicains, a voté par 23 voix contre 15 en faveur du projet de loi, H.B. 5, jeudi soir, qui rendra les avortements illégaux en Floride quand il est déterminé qu’un enfant a été conçu au moins 15 semaines auparavant. La législation anticipe une éventuelle décision de la Cour suprême d’annuler Roe v. Wade plus tard cette année.
Mais comme la plupart des lois sur l’avortement, elle prévoit hélas des exceptions :
Le projet de loi prévoit des exceptions pour deux cas : premièrement, lorsque « la suppression de la grossesse est nécessaire pour sauver la vie de la femme enceinte ou éviter un risque sérieux d’altération physique substantielle et irréversible d’une fonction corporelle majeure de la femme enceinte, autre qu’un état psychologique » ; et deuxièmement, lorsqu’un bébé est considéré comme souffrant d’une « anomalie fœtale fatale », que le projet de loi décrit comme « un état terminal qui, selon un jugement médical raisonnable, indépendamment de la fourniture d’un traitement médical de sauvetage, est incompatible avec la vie en dehors de l’utérus et entraînera la mort à la naissance ou de façon imminente par la suite ».
Le problème avec ces exceptions et la permission gestationnelle, outre qu’elles permettent de tuer des enfants à naître, c’est que rien ne les justifie, pas même le prétexte de la « vie de la mère », car l’avortement à cette fin est techniquement inutile.
Le stade de 15 semaines a été choisi, car, affirme Ron DeSantis, gouverneur de Floride :
« Il s’agit de protections pour des bébés qui ont le cœur qui bat, qui peuvent ressentir la douleur, et ceci est très, très tardif ».
Mais les animaux aussi peuvent ressentir de la douleur et avoir un cœur qui bat, aussi ce n’est pas au fond pour cette raison que les législateurs veulent empêcher l’avortement, mais parce qu’il s’agit d’êtres humains. Mais s’il s’agit d’êtres humains, ce sont tous les êtres humains qu’il faut protéger, même s’ils n’ont pas encore de cœur qui bat.
Le Sénat de Floride adopte un projet de loi déclarant les services religieux « essentiels », limitant les futures interdictions de culte
Par Ashley Sadler (LifeSiteNews) — Traduction de Léo Kersauzie (Médias Presse Info) complétée par Campagne Québec-Vie
Floride (États-Unis) — En vertu de cette mesure, les lieux de culte seront considérés comme fournissant des « services essentiels » et aucune ordonnance d’urgence ne pourra « directement ou indirectement » annuler le culte public si d’autres « services essentiels » sont maintenus.
Les législateurs de Floride ont adopté un projet de loi qui interdirait à l’avenir les « décrets d’urgence », comme ceux promulgués lors de la réaction au COVID-19, de fermer les institutions religieuses si les commerces sont autorisés à rester ouverts.
Le Sénat dirigé par les républicains de Floride a approuvé la mesure (SB 254) lors d’un vote de 31 voix contre 3 jeudi. Un projet de loi complémentaire déposé à la Chambre, HB 215, a été avancé mercredi et attend un vote.
Des groupes religieux ainsi que des politiciens conservateurs et des commentateurs ont sonné l’alarme au cours des deux dernières années lorsque les lieux de culte ont été contraints de fermer leurs portes tandis que des commerces, y compris parfois spécialisés dans la vente d’alcool ou de marijuana, ont été autorisées à rester ouverts.
« Elle est née de la pandémie, et ne l’est pas », a déclaré l’auteur du projet de loi, le sénateur républicain Jason Brodeur, précisant que cette loi n’est pas une simple réaction impulsive au COVID-19 et aux restrictions, ostensiblement imposées pour ralentir sa propagation.
« Elle s’applique à toutes les ordonnances d’urgence qui seraient émises. En gros, elle dirait que si Publix est ouvert, votre lieu de culte l’est aussi », a déclaré M. Brodeur […]
S’il est adopté par la Chambre et promulgué, le SB 254 rendrait permanente une déclaration faite par le gouverneur républicain de Floride, Ron DeSantis, en avril 2020, lorsqu’il a publié un décret décrivant spécifiquement les églises comme des services essentiels et les exemptant du confinement.
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