Une femme recourt à la contre-pilule abortive et sauve la vie de fille
Par Kim Hayes (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
De nombreuses mères faisant face à une grossesse non planifiée ont recours à l’avortement chimique par peur ; peur de ce que leur famille pourrait dire ou de la réaction de leur partenaire face à la grossesse, ou peur de ne pas pouvoir s’en sortir seules si elles choisissent la vie pour leur enfant.
Mais comme l’idée derrière la chanson de rock chrétien « Fear is a Liar » (« La peur est une menteuse »), LaToya a fait l’expérience directe des mensonges de la peur et a vu chaque mensonge être démoli avec le temps.
Sa relation avec un homme qui n’avait pas révélé qu’il était marié était construite sur des mensonges. Après avoir découvert sa tromperie, puis qu’elle portait son enfant, la peur est venue avec d’autres mensonges.
« Il ne se souciait pas de ce que je faisais », se souvient LaToya, « que je garde le bébé ou non. Je lui ai laissé entendre que j’allais me faire avorter. Il a proposé d’être là pour m’aider ».
LaToya s’est rendue à Planned Parenthood et a reçu la pilule abortive avec la consigne de prendre la deuxième pilule dans les 48 heures.
Le premier médicament d’un avortement chimique, la mifépristone, déstabilise la grossesse de la mère. Le second médicament, le misoprostol, généralement pris un jour ou deux plus tard, provoque le travail et l’accouchement de l’enfant décédé. Les deux médicaments d’avortement chimique sont associés à des crampes et à d’autres effets secondaires négatifs.
« Quand je suis rentrée chez moi, je me suis assise et je me suis dit, si ce produit me fait me sentir si mal, comment le bébé se sent-il ? » raconte LaToya. « Alors, j’ai regardé sur internet pour voir ce qui se passerait si je ne prenais pas la deuxième pilule abortive. »
« Quand j’ai fait ça, un site internet est apparu dans la recherche appelé APR Abortion Pill Reversal », dit-elle. « Je n’avais jamais entendu parler de cela. Je n’avais jamais su qu’on pouvait inverser les effets de la pilule abortive. »
Le réseau Abortion Pill Rescue® Network (APRN) est disponible 24 heures sur 24, comme LaToya l’a découvert.
L’inversion de la pilule abortive (APR) est une application plus récente d’un traitement vieux de plusieurs décennies pour prévenir les fausses couches. La progestérone est administrée selon un protocole pour contrer le premier médicament abortif. Si une mère prend la pilule abortive, éprouve des regrets et agit assez rapidement, il peut être possible de sauver son enfant à naître.
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Par David McLoone — Traduit par Campagne Québec-Vie
9 mars 2022, Newcastle, Angleterre (LifeSiteNews) — Un médecin pro-vie anglais, à qui l’on avait interdit d’offrir un traitement d’inversion de la pilule abortive (APR) aux mères qui souhaitaient garder leur bébé, a vu l’enquête sur sa conduite abandonnée après que le General Medical Council (GMC) britannique eût qualifié les accusations portées contre lui de « ouï-dire ».
En mai dernier, le GMC a interdit au Dr Dermot Kearney, cardiologue consultant au National Health Service britannique et ancien président de la Catholic Medical Association (UK), de fournir l’hormone naturelle progestérone aux femmes qui regrettaient d’avoir pris la première pilule abortive mifépristone pour tenter d’en annuler les effets. Le régime de la pilule abortive se compose de deux pilules : la mifépristone, qui prive essentiellement le bébé à naître de nutriments, suivie du misoprostol, qui provoque des contractions pour expulser le corps du bébé de sa mère.
Le GMC a imposé l’interdiction après que le Dr Jonathan Lord, directeur de la firme d’avortements MSI Reproductive Choices (anciennement Marie Stopes International), ait déposé une plainte auprès de l’organisme de réglementation contre l’intervention de Kearney, affirmant qu’il n’existe « aucune preuve que ce traitement fonctionne et qu’il y a des preuves qu’il pourrait même être nocif ».
Un comité du Medical Practitioners Tribunal Service a ordonné à Kearney de cesser de proposer le traitement en mai, déclarant que la progestérone n’est pas approuvée comme traitement d’inversion de la pilule abortive. En l’état actuel des choses, le Royaume-Uni ne dispose d’aucun plan de traitement approuvé pour les femmes qui souhaitent faire marche arrière après avoir pris la première pilule abortive.
Cependant, après que Kearney eût lancé une action en justice contre l’ordonnance provisoire qui lui a été imposée, le GMC a réexaminé son cas, décidant de rejeter toutes les accusations portées contre lui, a rapporté le groupe militant Christian Concern.
Lire la suiteUn médecin pro-vie fait l’objet d’un procès pour avoir aidé des femmes à annuler l’effet de la pilule abortive
Dr Dermot Kearney.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Protect Life/YouTube
10 février 2022 (LifeSiteNews) — Dans notre monde à l’envers, les médecins qui tuent les enfants à naître dans l’utérus sont protégés par la loi, leur perpétration du fœticide ayant été qualifiée de « service essentiel » pendant la pandémie de COVID-19. Les médecins qui tentent de sauver des vies, quant à eux, sont constamment pris pour cible par les militants de l’avortement et leurs alliés dans les médias.
Au cours des deux dernières années, les pays ont, les uns après les autres, généralisé l’utilisation de la pilule abortive, que certains qualifient de façon grotesque d’avortements « à faire soi-même » ou « à domicile ». Dans plusieurs cas, des femmes ont fait l’objet d’enquêtes pour meurtre au Royaume-Uni pour avoir pris des pilules abortives après la limite de 24 semaines fixée pour l’avortement légal. Beaucoup d’autres s’en sont probablement tirées à bon compte.
Il y a quelque temps, sur le podcast de LifeSiteNews, j’ai interviewé l’un des pionniers de la méthode d’inversion de la pilule abortive (Abortion Pill Reversal ou APR), qui consiste à administrer de la progestérone aux femmes qui ont pris la pilule abortive et ont changé d’avis. La progestérone, une hormone naturelle, inverse les effets de la première pilule abortive, la mifepristone. Des milliers d’enfants ont été sauvés grâce à cette méthode de sauvetage (des centaines au Canada), et des photos de bébés nés sains et saufs après que leur mère ait pris la pilule abortive sont devenues virales.
Les médecins désireux d’aider les femmes qui souhaitent inverser les effets de la pilule abortive ont fait l’objet de vives critiques. Les médias progressistes ont systématiquement mené des dizaines d’« enquêtes » au cours desquelles on demandait aux médecins s’ils étaient prêts à prescrire de la progestérone, puis on les « démasquait » comme étant des médecins anti-avortement qui suivaient des méthodes pseudo-scientifiques « dangereuses ». Je connais personnellement des médecins qui ont fait l’objet de telles enquêtes. Les militants de l’avortement veulent rendre impossible aux femmes désespérées de changer d’avis.
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Par Lisa Bourne (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Trendsetter Images/Adobe Stock
(Pregnancy Help News) Une maman qui a pris la pilule abortive et qui a regretté ce choix est « éternellement reconnaissante » à l’Abortion Pill Rescue® Network (APRN), car c’est grâce à l’aide cruciale de l’APRN qu’elle a pu inverser avec succès son avortement chimique et donner naissance à un petit garçon en bonne santé au début du mois.
Comme beaucoup de mamans, Judith n’était pas sûre de sa décision d’avorter son enfant et comme beaucoup de mamans, elle a eu des regrets juste après avoir entamé le processus d’avortement chimique.
Mais elle a trouvé l’APRN et une organisation d’aide aux femmes enceintes (PHO) et a reçu des deux ce qu’elle dit être exactement ce dont les femmes dans cette situation ont besoin ─ de l’aide et des encouragements positifs. Et maintenant, Judith dit à d’autres mamans qui ont commencé un avortement chimique et qui ont des regrets, de s’arrêter et de chercher de l’aide ─ il y a de l’espoir pour une autre chance de sauver votre enfant.
« Je regarde mon bébé et je me dis : “Wow, quand je pense que j’allais mettre fin à sa vie” », dit-elle, « mais heureusement, je ne l’ai pas fait et on m’a donné une seconde chance ».
« Je suis si heureuse et éternellement reconnaissante pour ce site internet (APRN) car il a sauvé la vie de mon bébé et la mienne », a déclaré Judith.
« Donc, si vous vous demandez si vous devez poursuivre le processus d’avortement, ne le faites pas », a-t-elle ajouté. « Cherchez de l’aide ».
L’avortement chimique, également connu sous le nom d’avortement médical ou médicamenteux, est un traitement à base de deux médicaments, la mifépristone et le misoprostol. La mifépristone, le premier médicament, bloque la progestérone, l’hormone naturelle de l’organisme de la femme nécessaire au maintien de la grossesse.
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Par Cassy Fiano-Chesser (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Christian Post
16 septembre 2021 (LiveAction) — La journaliste du Daily Beast, Emily Shugerman, a publié un article à charge critiquant Live Action pour une campagne publicitaire promouvant l’inversion de la pilule d’avortement. Shugerman, qui est ardemment pro-avortement et a travaillé pour attaquer la loi texane Heartbeat Act, a soutenu que l’inversion de la pilule abortive (APR) est dangereuse et non prouvée, et a cité une litanie de militants de l’industrie de l’avortement pour faire valoir son point de vue. L’article s’appuie sur un rapport du Center for Countering Digital Hate, qui indique que les publicités de Live Action ont été vues des millions de fois sur Facebook et Google.
L’industrie de l’avortement s’oppose à l’inversion de la pilule abortive car cette pratique met en doute que toutes les femmes qui choisissent l’avortement sont certaines de leur décision, et aussi parce qu’environ 40 % de tous les avortements se font aujourd’hui par la méthode de la pilule abortive ─ une source de revenus importante pour l’industrie.
Shugerman a commencé par remettre en question l’histoire de Rebekah Hagan, qui a témoigné avoir commencé le processus d’avortement par pilule, mais l’a immédiatement regretté. Elle a choisi d’essayer la méthode d’inversion de la pilule abortive, et affirme que cela a sauvé la vie de son fils ─ mais Shugerman insinue que cette histoire a été inventée, écrivant : « C’est du moins ce que des dizaines de publicités sur Facebook voudraient vous faire croire. »
Censure en ligne
Le 10 mai 2021, Live Action a placé des annonces stratégiques sur Google qui informaient les femmes de la possibilité d’inverser le processus de la pilule abortive, ce qui implique un traitement avec une hormone de grossesse sûre appelée progestérone, qui est utilisée en toute sécurité depuis des décennies comme traitement standard pour prévenir les fausses couches. L’objectif du traitement APR est de surpasser les effets de blocage de la progestérone de la mifépristone, également connue sous le nom de pilule abortive. Ce traitement aurait déjà sauvé la vie de plus de 2 500 enfants, avec un taux de réussite de 68 %.
Lire la suiteEn Russie, de plus en plus de femmes ont recours au médicament annulant les effets de la pilule abortive
Par Karen Ingle (LiveActionNews) Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : andrei 77/AdobeStock
(Pregnancy Help News) Le réseau russe en pleine expansion Abortion Pill Rescue® Network, supervisé par le Dr Alexey Alexandrovich Fokin de Saint-Pétersbourg, est bien engagé dans sa cinquième année d’aide aux femmes pour inverser les avortements chimiques qu’elles ont commencés, mais qu’elles ont vite regrettés. Dans plusieurs régions de Russie, trois médecins et plusieurs infirmières diplômées ont rejoint le réseau, permettant aux femmes de choisir une thérapie qui sauve la vie d’un nombre croissant d’enfants.
Le Dr Fokin et ses collègues sont les premiers à proposer un traitement d’inversion de la pilule abortive dans un pays où, selon les estimations, 95 à 98 % des gynécologues ne savent même pas que l’inversion est possible. Ce manque de connaissances au sein de la communauté médicale laisse à la plupart des femmes qui ont déjà pris la première pilule abortive (mifépristone) seulement 72 heures pour parcourir l’Internet par elles-mêmes afin de trouver un espoir de sauver leur bébé.
Des femmes russes cherchent en ligne comment inverser la pilule abortive
Le réseau de Fokin touche les femmes qui ont changé d’avis au sujet de l’avortement médicamenteux, par le biais du site internet peredumala.ru (traduit, cela donne changerdidee.ru). Le site fournit des informations sur les méthodes d’inversion de la pilule abortive par le biais de doses de progestérone de remplacement, ainsi que des témoignages de femmes réelles ayant bénéficié de cette thérapie.
Le réseau russe de sauvetage de la pilule abortive rejoint également les femmes sur la plupart des grandes plateformes de réseaux sociaux, notamment Facebook et Instagram, ainsi que sur WhatsApp et Viber.
Les femmes peuvent appeler ou envoyer des messages textes sur la ligne d’assistance du groupe pour obtenir en temps réel l’aide dont elles ont besoin. Selon Christa Brown, BSN, RN, directrice de l’impact médical chez Heartbeat International, qui supervise le réseau de sauvetage de la pilule abortive, « des femmes ont demandé l’inversion de la procédure au Kazakhstan, en Biélorussie et en Ukraine », ce qui indique que les femmes de ces pays ont besoin de la même aide, mais y ont encore moins accès. Rien que l’année dernière, le réseau a aidé des femmes de 46 pays différents et des 50 États des États-Unis.
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Dr Dermot Kearney.
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
En Angleterre, un deuxième médecin est puni pour avoir aidé des mères à sauver leurs bébés à naître de l’avortement, grâce à des traitements d’inversion de la pilule abortive.
Christianity Daily rapporte que le Medical Practitioners Tribunal Service du Royaume-Uni a récemment interdit au Dr Dermot Kearney de fournir le traitement salvateur pour les 18 prochains mois, alors qu’une enquête sur sa pratique se poursuit.
Kearney, défenseur de la vie et ancien président de l’Association médicale catholique, est l’un des rares médecins au Royaume-Uni à fournir le traitement d’inversion de la pilule abortive.
Ce traitement a permis de sauver la vie de plus de 2 000 bébés dans le monde, et les recherches indiquent qu’il est sûr et efficace. Il s’agit d’une application actualisée d’un traitement utilisé depuis des décennies pour prévenir les fausses-couches, qui inverse les effets de la mifépristone, un produit abortif, grâce à des doses de progestérone.
Cependant, les militants de l’avortement tentent de discréditer ce traitement, le qualifiant de non éprouvé et de dangereux. Au Royaume-Uni, au moins deux médecins ont été sanctionnés pour avoir fourni ce traitement à des mères qui le demandaient car elles regrettaient d’avoir [commencé] leur avortement.
« Il y a quelque chose qui ne va pas du tout lorsqu’on interdit à un médecin de sauver la vie de bébés à un moment où l’on nous dit que nous devons tout faire pour sauver des vies en réponse au coronavirus », a déclaré Andrea Williams, directrice générale du Christian Legal Centre, dont l’organisation représente Kearney. « Ces femmes cherchaient de toute urgence de l’aide après que des prestataires de services d’avortement leur aient fermé la porte et dit qu’il n’y avait aucun espoir et aucun moyen de revenir en arrière après avoir pris la première pilule. »
Lire la suiteGrande-Bretagne : un médecin pro-vie puni pour avoir prescrit un médicament neutralisant les effets de la pilule abortive
Dr Eileen Reilly.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le Dr Eileen Reilly, pratiquant au Royaume-Uni, fait l’objet de mesures provisoires et d’une enquête de la part de son ordre pour avoir prescrit un médicament inoffensif (progestérone) annulant les effets de la pilule abortive (la première pilule : mifépristone), ayant été dénoncé par le groupe pro-avortement « openDemocracy » (il ne manque pas d’air…), selon LifeNews :
Des médecins pro-vie au Royaume-Uni sont punis pour avoir aidé des femmes à sauver leur bébé à naître grâce à la procédure de neutralisation de la pilule abortive.
Le groupe pro-avortement openDemocracy jubilait cette semaine de ce que son enquête sous couverture sur les médecins britanniques qui pratiquent des procédures de neutralisation de la pilule abortive eût abouti à l’ouverture d’une enquête sur l’un d’entre eux, résultant en mesures provisoires de travail à son égard.
Selon le groupe, l'UK General Medical Council a interdit lors d’une audience en mai au Dr Eileen Reilly de pratiquer la médecine sans supervision. Il mène également une enquête pour déterminer si d’autres mesures disciplinaires seraient indiquées.
Eileen Reilly est punie parce qu’elle propose des traitements de neutralisation de la pilule abortive aux mères qui regrettent leur geste et veulent sauver la vie de leur bébé. Gynécologue-obstétricienne, elle a déclaré qu’elle offrait ce traitement salvateur en dehors de son travail habituel — les médecins britanniques ont aidé une centaine de femmes et de bébés jusqu’à présent.
Le protocole de neutralisation de la pilule abortive a sauvé la vie de plus de 2 000 bébés dans le monde depuis son invention. Une application améliorée d’un traitement utilisé depuis des décennies pour prévenir les fausses couches, il annule les effets du premier produit abortif par des doses de progestérone.
La première pilule de la « pilule abortive » dite RU-486, la mifépristone, agit en se fixant sur les récepteurs de progestérone et inhibe son action. La progestérone étant une hormone nécessaire à la grossesse la mifépristone amène la mort de l’enfant à naître. Aussi, pour contrer l’effet de la mifépristone, on administre à la femme l’ayant prise de fortes doses de progestérone (j’imagine que le fait d’inonder ainsi les récepteurs de progestérone supplée à l’inhibition des récepteurs si une partie d’entre eux n’ont pas été inhibés).
Un processus sûr et efficace :
La recherche et les experts médicaux indiquent que le traitement est sûr et efficace. L’American Association of Pro-life Obstetricians and Gynecologists le soutient, et même, un prestigieux médecin de la Yale School of Medicine a déclaré au New York Times que le traitement « a du sens biologiquement » et qu’il le recommanderait à sa propre fille.
La pilule abortive est réversible
Par Adèle Cottereau (Droit de Naître) ― Photo : Freepik
Un médecin généraliste, qui préfère rester anonyme, révèle plusieurs « mensonges médicaux » trop souvent proférés aux femmes enceintes, dans un entretien publié sur le site L’Incorrect.
Tout d’abord, rappelons que l’avortement médicamenteux requiert la prise de deux substances. « Le premier comprimé donné aux femmes (…) est la Mifegyne, qui est un anti-progestatif ». Il vise à décoller le placenta et à dilater le col de l’utérus. Ensuite, une femme qui a recours à un avortement médicamenteux se voit prescrire « de la prostaglandine — une hormone qui provoque des contractions », comprimé à prendre deux jours après le premier.
« Ce qu’il faut savoir c’est que les médecins et les sages-femmes lorsqu’ils donnent le comprimé à la mère, lui disent “ce médicament arrête le cœur du bébé”. Ce qui est un vrai mensonge médical, dénonce le praticien. Heureusement aucun médicament ne peut instantanément tuer le bébé. En fait ce médicament décroche le placenta et entraîne dans les deux à trois jours : la mort de l’embryon, du fœtus, car celui-ci sera décroché complètement et ne sera donc plus ni nourri, ni oxygéné », explique-t-il.
Le docteur aborde ensuite un autre point capital : « Quand les femmes veulent se rétracter, le médecin leur dit “vous ne pouvez pas vous arrêter, l’enfant sera anormal”. Ce qui est faux. L’anti-progestatif n’agit que sur le placenta, pas sur l’enfant lui-même, il n’entraîne pas de malformation. En revanche le deuxième comprimé, la prostaglandine, entraîne dans 4 % des cas des malformations des membres et plus rarement une atteinte du cervelet. »
Lire la suiteSa fille avait pris la pilule abortive... mais elle trouva le remède qui pouvait sauver son petit-fils
Katie Franklin (LifeSiteNews) ― traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo (rognée) : Marco Verch/Flickr
19 mars 2019 (Pregnancy Help News) ― Lorsque « Hannah » eut découvert qu'elle était enceinte vers la fin de 2018, la peur l'a submergée. Incertaine de ce que l'avenir pourrait leur permettre ― à elle et à son mari ― avec un bébé, elle a décidé de se faire avorter.
Mais cette décision n'était pas si simple. Le matin après avoir pris la première pilule de cette combinaison abortive chimique de deux pilules, elle s'est réveillée avec un immense regret. Voulant sauver son bébé, elle a appelé sa mère, « Ellen », une infirmière de famille depuis 21 ans.
Pro-vie elle-même et sympathisant avec les remords de sa fille, Ellen a engagé son autre fille à parcourir l'Internet pour un moyen d'arrêter l'avortement en cours avant qu'il ne soit trop tard.
C'est alors qu'ils ont trouvé l’Abortion Pill Reversal (Renversement de la pilule abortive), un protocole salvateur qui a conduit à la naissance de plus de 500 enfants depuis sa création en 2007.
Soulagées d’avoir découvert un antidote, Ellen et Hannah ont immédiatement appelé la ligne d'assistance (877-558-0333) et ont été mises en contact avec Abortion Pill Rescue, un réseau de plus de 500 professionnels de la santé fournissant le protocole d'inversion de la pilule abortive. Après avoir recueilli toutes les informations dont elles avaient besoin, elles ont raccroché et Ellen a appelé la pharmacie locale, munie d’une ordonnance, pour sauver la vie de son petit-fils à naître.
En moins de 10 minutes, Hannah a pu prendre sa prescription à la pharmacie et commencer le traitement. Maintenant, à un peu plus de la moitié de sa grossesse, Hannah et son mari s'attendent à ce que leur petit garçon soit bientôt né.
« Elle est excitée maintenant, elle fait tout parfaitement », a déclaré Ellen, faisant référence aux traitements d'inversion de suivi d'Hannah. « Mais pensez à toutes les filles qui ne savent pas que le Renversement de la pilule abortive est à leur disposition. »
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