39 % de la « génération Z » aux États-Unis s’identifierait en tant que « LGBTQ »
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Rawpixel.com/Adobe Stock
Selon une étude du professeur George Barna sur les milléniaux (nés entre 1984 et 2002) aux États-Unis, 39 % des 18-24 ans ainsi que 30 % de la génération des milléniaux dans le même pays s’identifieraient en tant LGBTQ.
Paul Bond de Newsweek rapporte que « George Barna attribue le nombre inhabituellement élevé qu’il a trouvé à la couverture des médias sociaux et des nouvelles qui rend “sûr et sympathique” [cool] pour les jeunes Américains le fait de s’identifier comme LGBTQ... »
De même un article de Jonathan Van Maren affirme que « S’identifier comme LGBT est à la mode et garantit l’approbation de ses pairs et des hordes de médias sociaux qui passent comme tels ces temps-ci. »
Alors que l’agenda LGBTQ s’est infiltré radicalement dans les programmes d’éducation et même jusque dans les campagnes publicitaires des grandes compagnies, est-il surprenant que les jeunes adhérent à cette idéologie et se conforment à ses codes sociaux ? En raison de sa prédominance, rentrer dans le moule en 2022 équivaut à rentrer dans le subjectivisme LGBTQ, et conséquemment, à nier la nature humaine.
Cette fausse idéologie revendique le droit de se définir, et ce faisant, tente de dépasser les lois objectives de la nature.
Justin Trudeau, le dictateur pro-mort du Canada
Justin Trudeau.
Par Peter Borromeo (peterborromeo.com) — Traduit et publié par Campagne Québec-Vie avec permission — Photo : Lovers lounge/Flickr
Pour se préparer à prendre le contrôle absolu du peuple, les marxistes en Chine et en Russie, et les nazis en Allemagne ont créé des divisions parmi les citoyens, désignant des groupes distinctement identifiables à considérer comme des ennemis. Une fois les préjugés inculqués, les citoyens maltraitaient et attaquaient les groupes ciblés. Le gouvernement donnait son approbation tacite par son silence ou en encourageant la violence. C’était le cas pour les Juifs en Allemagne. Les nazis présentaient les Juifs comme la cause de tous les problèmes du pays. Ce préjugé instillé à l’égard des Juifs a conduit à des attaques violentes et à la persécution de ceux-ci par leurs concitoyens. En fin de compte, ce sont les nazis qui ont déclenché le génocide des Juifs, tandis que la population générale, pleine de préjugés, est restée les bras croisés pendant que l’holocauste se déroulait.
Lorsque les régimes communistes ont pris le contrôle de certains pays, ils ont mis la main sur les médias afin de maîtriser et de subvertir la population. Ils ont également reconnu que l’Église catholique est une religion universelle (mondiale) qui enseigne que toute vie humaine est sacrée pour Dieu et que la famille nucléaire est fondamentale pour établir une société juste. L’Église condamne formellement le communisme comme un mal et, par conséquent, les communistes interdisent la pratique de la foi catholique. En introduisant le divorce sans faute et en légalisant la contraception, l’avortement et l’euthanasie, les communistes tentent de détruire l’Église et la famille nucléaire. Cependant, ils savent qu’être humain, c’est être religieux et ils ne peuvent donc pas se contenter de laisser un vide, mais ils veulent plutôt introduire une nouvelle religion où les gens vénéreront l’État.
Le contrôle des médias grand public est essentiel pour exercer le contrôle souhaité par les marxistes sur la population. La Société Radio-Canada (SRC), qui a un passé de partialité anti-chrétienne, est financée par les contribuables à hauteur d’un milliard de dollars par an. Selon le journaliste Derek Fildebrandt, Trudeau a progressivement influencé le contenu de divers médias et magazines par un long processus de réglementation, d’octroi de licences et de subventions. Écrivant dans le journal Western Standard le 10 octobre 2020, il a révélé comment l’infiltration marxiste a permis à Trudeau de mener à bien son plan visant à placer l’ensemble des médias canadiens sous la supervision du gouvernement.
« Dans son budget 2019, le gouvernement Trudeau a déployé près de 600 millions de dollars de subventions pour les médias sélectionnés qui obtiennent l’approbation du gouvernement fédéral. Désormais, l’écrasante majorité des médias canadiens est achetée et payée par le gouvernement fédéral. En particulier, par le Parti libéral, qui a accordé de généreuses subventions des contribuables aux médias qui se conforment à ses diktats. »
La « presse libre », qui est essentielle à la protection de la démocratie canadienne, a été achetée par Trudeau et, comme telle, n’existe plus.
Ayant réussi sur ce front, Trudeau a présenté au Parlement un projet de loi qui donnerait à son gouvernement le contrôle du contenu des médias sociaux. Il n’a pas été en mesure de mener à bien cette facette de son plan avant que le Sénat n’aille en vacances d’été. Si des élections sont déclenchées entre-temps [ce qui est le cas*], le projet de loi mourra, mais s’il est réélu, il peut et veut réessayer. Les libéraux ont déjà rédigé une proposition de ce qu’ils aimeraient voir figurer dans cette nouvelle législation. La majeure partie de cette proposition est remplie de sujets tels que les discours haineux et l’incitation à la violence, qui sont déjà couverts par la législation existante. La répétition de ces questions a pour but de dépeindre les opposants au projet comme étant en faveur de ces crimes, tout en dissimulant ce qu’ils cherchent réellement à accomplir. C’est-à-dire censurer ce qu’ils considèrent comme un discours nuisible dirigé contre eux-mêmes. En cas de succès, critiquer Trudeau et d’autres politiciens sur les médias sociaux pourrait devenir une infraction.
Lire la suiteL’armée mondialiste
L'armée d'Hannibal à la bataille de Zama.
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikimedia Commons
Planétaire, multisectorielle et cohésive
C’est quand un animal bouge qu’il se révèle. En 2020, les forces mondialistes ont accéléré la cadence de leurs activités et sont sorties de l’ombre. Une opération d’envergure mondiale est maintenant en cours. Elle se déroule avec une précision militaire. Or, là où il y a une opération, ça signifie qu’il y a aussi une organisation. Comme on dirait dans le militaire, il y a du SMEAC* derrière tout ça. Mais quelle est la forme de cette organisation, quels sont ses composantes et ses mécanismes ?
Je n’ai pas la réponse définitive à ces questions mais je commence à entrevoir les contours. Je vais décrire, ici, la composition et la structure de l’armée mondialiste telle que je la perçois présentement. Je dis bien « armée », car, malgré sa composition diversifiée, il s’agit d’une organisation hiérarchique capable d’effectuer des opérations complexes et coordonnées. Les opérations de cette organisation se déroulent à l’échelle de la planète et intègrent des décisions administratives, des distributions massives de produits, des résultats « scientifiques » ciblés, des actions politiques et policières, le tout soutenu et justifié par des narratifs médiatiques uniformisés. Cela signifie la présence d’un système mondial de Commandement et de Contrôle.
Comme dans n’importe quelle armée, les forces qui tentent d’imposer le Nouvel Ordre Mondial sont donc hiérarchiques. Il s’agit d’une organisation pyramidale avec, en haut, un groupe restreint qui prend des décisions stratégiques et en bas, une troupe nombreuse d’activistes qui cassent des vitres et intimident les opposants. Je distingue cinq niveaux ou strates dans cette organisation. Ils sont, de haut en bas : le Cartel, les Gnomes, les Kapos, les Lieutenants et les Brutes. Examinons-les tour à tour :
Le Cartel**. Au plus haut niveau on trouve le Cartel. Celui-ci est composé des grands investisseurs et des PDG des plus grandes multinationales. Les membres du Cartel comprennent les grandes fortunes (Rothschild, Rockefeller, Bush, Windsor…), quelques individus (Gates, Bezos, Zuckerberg), et la haute direction des principales multinationales de la planète. Ces dernières constituent un monopole effectif à l’échelle mondiale. Ce monopole n’est pas restreint à un seul secteur d’activité (comme nos banques canadiennes, par exemple, qui forment un monopole effectif dans le secteur financier) mais couvrent un éventail de secteurs (finance, médias, pharmaceutiques…). Comme dans tout monopole, ces organisations se soutiennent mutuellement effectuant des actions concertées qui les bénéficient toutes.
Les membres du Cartel sont un groupe restreint de quelques centaines d’individus (quelques milliers tout au plus). Ces gens sont physiquement disséminés mais évoluent dans le même environnement et partagent la même culture (mêmes écoles privées, hôpitaux, jets personnels, châteaux, clubs exclusifs, paradis fiscaux, prostitution de luxe…). Ils interagissent constamment entre eux. Les membres du Cartel vivent, en quelque sorte, dans un village global ; un genre de mini pays, invisible et sans frontières, dont les composantes sont éparpillées ici et là (surtout où il fait beau et chaud).
Lire la suiteDans une riposte cinglante aux censeurs de Facebook, Trump laisse entrevoir son retour
Donald Trump.
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gage Skidmore/Flickr
4 juin 2021 (LifeSiteNews) — L’ancien président Donald Trump a réprimandé Facebook et son PDG Mark Zuckerberg d’avoir annoncé qu’il resterait banni de la plateforme pendant deux ans, qualifiant cela d’« insulte » à ses partisans. Il a également fait allusion à une nouvelle course à la Maison-Blanche.
Plus tôt dans la journée de vendredi, le vice-président de Facebook chargé des affaires mondiales, Nick Clegg, a annoncé « de nouveaux protocoles d’application qui seront appliqués dans des cas exceptionnels » comme celui de Trump, à commencer par la suspension de ce dernier de la plateforme, bannissement qui restera en vigueur jusqu’au 7 janvier 2023, soit deux ans après le début de sa suspension au début de cette année.
Facebook a utilisé l’émeute du 6 janvier au Capitole américain, dont les démocrates et leurs alliés ont tenté de faire valoir qu’elle avait été « incitée » par Trump, comme prétexte pour bannir ce dernier de la plateforme. Le mois dernier, le « Conseil de surveillance » de l’entreprise a annoncé qu’il confirmait la décision de Facebook, tout en qualifiant son caractère indéfini d’« arbitraire » et en appelant l’entreprise à « réexaminer cette question afin de déterminer et de justifier une réponse proportionnée qui soit conforme aux règles appliquées aux autres utilisateurs de sa plateforme » dans un délai de six mois.
Citant l’Oversight Board (un organe « indépendant » créé par Facebook lui-même l’année dernière), qui a confirmé que la suspension initiale de Trump par Facebook était « juste et nécessaire » et affirmant que le discours de Trump constitue un « risque pour la sécurité publique », M. Clegg a ajouté qu’à l’issue de cette période, Facebook pourrait prolonger la suspension de Trump en attendant une évaluation des « risques ». Si sa suspension est un jour levée, il sera alors soumis à un « ensemble strict de sanctions rapidement croissantes qui seront déclenchées si M. Trump commet d’autres violations à l’avenir, pouvant aller jusqu’à la suppression définitive de ses pages et de ses comptes ».
Lire la suiteLe gouvernement canadien limite le temps des débats en comité sur le projet de loi C-10 visant à censurer l’internet
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie
Ottawa, 7 juin 2021 (LifeSiteNews) — Une motion limitant le débat sur le projet de loi C-10 du gouvernement canadien sur la réglementation controversée de l’internet a obtenu suffisamment de soutien pour être adoptée ce matin à la Chambre des communes. La motion vise à limiter le débat sur le projet de loi C-10 à cinq heures seulement en comité.
Jeudi dernier, le gouvernement libéral du Premier ministre Justin Trudeau a présenté une motion visant à limiter le débat sur le projet de loi C-10 du ministre du Patrimoine canadien Steven Guilbeault, ou « Loi modifiant la Loi sur la radiodiffusion ». La motion a été présentée parce que Guilbeault a affirmé que les députés du Parti conservateur du Canada (PCC) se livraient à une forme d’« obstruction » lors des audiences du comité sur le projet de loi.
« Cela mettra enfin un terme à six semaines d’obstruction systématique au projet de loi de la part du Parti conservateur », a déclaré Guilbeault.
La motion a été adoptée par un vote de 181 voix contre 147 avec l’appui du Bloc Québécois. Les députés du PCC, du NPD et des Verts ont voté contre le bâillon.
Le texte de la motion stipule qu’en ce qui concerne le « projet de loi C-10, Loi modifiant la Loi sur la radiodiffusion et apportant des modifications connexes et corrélatives à d’autres lois », pas plus de « cinq heures seront allouées à l’étude du projet de loi à l’étape du comité ».
« Qu’à l’expiration du délai prévu pour l’étape du comité, toute délibération du Comité permanent du patrimoine canadien sur ledit projet de loi soit interrompue, si cela est nécessaire aux fins du présent ordre, et que, par la suite, toute question nécessaire pour disposer de ladite étape du projet de loi soit mise aux voix immédiatement et successivement, sans autre débat ni amendement », lit-on dans la motion parrainée par le député libéral Mona Fortier.
Le projet de loi C-10 obligerait des entreprises telles que YouTube, Twitter et Facebook à retirer le contenu jugé « préjudiciable » dans les 24 heures. Essentiellement, il permettrait au Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) de réglementer l’internet et les médias sociaux conformément à sa réglementation sur les services de radiodiffusion.
Le CRTC est l’organisme fédéral chargé de réglementer la télévision et la radio au Canada, mais il a dû jusqu’à maintenant se tenir à l’écart de la réglementation de l’internet.
Selon le Dr Michael Geist, professeur de droit à l’Université d’Ottawa et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en droit de l’internet et du commerce électronique, l’imposition d’un « bâillon » au débat d’un projet de loi lors d’une audience de comité ne s’est pas vue depuis longtemps.
« Comme prévu, le bâillon sur le projet de loi C-10 est passé par 181 voix contre 147 avec l’appui des libéraux et des bloquistes. Le comité est limité à 5 heures. De nombreux amendements potentiels ne seront pas considérés. Ce processus pour interrompre le travail du comité n’a pas été utilisé depuis 20 ans et jamais pour une période aussi courte », écrivait M. Geist sur Twitter.
Lire la suiteLe gouverneur de Floride signe un projet de loi sans précédent visant à mettre fin à la censure sur les médias sociaux
Ron DeSantis, gouverneur de Floride.
Par Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (rognée) : State of Florida/Wikimedia Commons
Miami, Floride, 25 mai 2021 (LifeSiteNews) — Le gouverneur de la Floride, Ron DeSantis (républicain), a franchi une nouvelle étape dans sa lutte contre la censure de Big Tech en signant hier un projet de loi qui fait grandement progresser les droits des Floridiens face aux sociétés de médias sociaux. Les Floridiens ont désormais la possibilité de poursuivre les entreprises s’ils sont traités injustement, et la loi empêche également la censure des politiciens.
M. DeSantis a sanctionné le projet de loi, connu sous le nom de SB 7072, lors d’une conférence de presse tenue à l’Université internationale de Floride dans la matinée du 24 mai. Elle entrera en vigueur le 1er juillet 2021.
En annonçant la nouvelle loi, qui est la première du genre, il a déclaré qu’il garantirait la protection contre la censure des médias sociaux aux personnes vivant dans l’État de Floride.
« Durant cette session, nous avons pris des mesures pour nous assurer que “Nous le peuple” — les vrais Floridiens de tout l’“État ensoleillé” — soyons protégés contre les élites de la Silicon Valley. De nombreux habitants de notre État ont fait l’expérience directe de la censure et d’autres comportements tyranniques à Cuba et au Venezuela. Si les censeurs de Big Tech appliquent les règles de manière incohérente, pour discriminer en faveur de l’idéologie dominante de la Silicon Valley, ils seront désormais tenus pour responsables. »
La loi elle-même est un coup de semonce pour toutes les entreprises de médias sociaux qui cherchent à pratiquer la censure dans l’État. Notant que les médias sociaux sont devenus la « nouvelle place publique » et qu’à ce titre, ils occupent une « place unique par rapport à la sauvegarde du premier amendement », la loi accuse les plateformes de médias sociaux d’avoir « injustement censuré, censuré de façon camouflée, exclu de certaines plateformes des Floridiens et appliqué à ceux-ci des algorithmes de post-priorité ».
En conséquence, les Floridiens auront désormais le droit de poursuivre Big Tech ou les entreprises de médias sociaux, en demandant des dommages et intérêts monétaires pouvant aller jusqu’à 100 000 dollars, si les entreprises violent la nouvelle loi et appliquent une censure injuste, censurent de manière camouflée ou excluent d’une plateforme un utilisateur. Les entreprises de médias sociaux ne peuvent pas non plus bannir des utilisateurs sans avertissement, car elles doivent désormais donner un préavis de sept jours avant un bannissement potentiel, en expliquant la raison sous-jacente et en offrant la possibilité de résoudre le problème.
En outre, en vertu de la loi de l’État sur les pratiques commerciales déloyales et trompeuses, le procureur général de Floride pourra poursuivre les entreprises technologiques qui violent la loi. Si une faute professionnelle est prouvée, l’entreprise sera placée sur une « liste de fournisseurs violant la loi anti-monopole » et il lui sera interdit de travailler avec une entité publique.
L’un des éléments clés de la loi SB 7072 réside dans les règles qu’il fixe concernant la censure des hommes politiques sur les médias sociaux. En vertu de cette loi, il est désormais illégal pour Big Tech de bannir les candidats politiques.
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