Non au changement de sexe pour enfants / No to sex change for children
Photo : Montage, Fille tournant le dos: Pikist ― La couverture de janvier 2017 du National Geographic: National GeographicPhoto ― Chirurgie: www.freepik.com
**English petition text below**
Monsieur le premier ministre François Legault, ainsi que tous les députés de l'Assemblée nationale :
- Considérant le récent reportage de Radio-Canada sur les dangers du changement de sexe au Québec pour les enfants, notamment en ce qui concerne la rapidité du processus de transition, l'évaluation inadéquate des patients et le manque de prudence ;
- Considérant que le Royaume-Uni a récemment décidé de faire marche arrière et de restreindre l'accès aux bloqueurs de puberté, aux hormones et aux chirurgies de changement de sexe pour les enfants, parmi d'autres pays;
- Considérant que les faits scientifiques sont clairs en ce qui concerne le développement humain, notamment que les enfants continuent à se développer jusqu'à l'âge adulte ;
- Considérant qu'il n'y a pas suffisamment de recherches à long terme pour examiner les avantages et les inconvénients du changement de sexe des enfants ;
- Considérant la vague actuelle de jeunes qui désirent changer de sexe en raison du phénomène des médias sociaux ;
Je vous demande instamment de déposer un projet de loi visant à interdire la pratique du changement de sexe chez les enfants (par le terme "enfants", on entend toute personne âgée de moins de 18 ans, indépendamment de tout autre trait ou facteur d'identification).
Il n'est pas question de mettre en place des règles supplémentaires au processus de transition, car aucune protection ne peut compenser le préjudice causé aux enfants. Je vous demande de prendre des mesures pour interdire la pratique du changement de sexe des enfants au Québec dès aujourd'hui.
**Les signataires de cette pétition peuvent avoir des valeurs différentes sur d'autres questions, mais ils sont unis d'une seule voix pour protéger les enfants de notre province.**
Je vous prie d'agréer l'expression de mes sentiments distingués,
[Soussigné]
--FIN DE LA PÉTITION--
**English petition text here**
Dear Premier François Legault, and all members of the National Assembly:
- Considering the recent Radio-Canada exposé on the dangers of sex change in Quebec for children, notably: regarding the speed of the transition process, inadequate evaluation of patients, and the lack of prudence;
- Considering that the UK has recently decided to reverse course and restrict access to puberty blockers, hormones and sex-change surgeries to children (as other countries have done);
- Considering that scientific facts are clear on human development, notably that children continue to develop well into adulthood;
- Considering that there is no sufficient long-term research to examine the benefits and harms of child sex change;
- Considering today’s surge in young people desiring to transition due to social media phenomenon;
I urgently call on you to bring forward legislation to ban the practice of sex change for children (By the term ‘children’, is meant anyone under the age of 18, regardless of any other identifying traits or factors.)
Additional safeguards are not in question, as no safeguard can offset the harm done to children. I am asking for you to take steps to ban the practice of child sex change in Quebec today.
**Signatories of this petition may have differing values on other issues but are united in one voice for protecting the children of our province**.
Sincerely,
[The Undersigned]
--END OF PETITION--
Les 40 Jours pour la Vie ont commencé au Québec
Brian Jenkins à l'archidiocèse de Montréal sur le point de distribuer des prières pour la vigile des 40 jours pour la vie -- Photo : Joanne Of Arc
Par Joanne D’Arc pour Campagne Québec-Vie
La vigile des 40 Jours pour la Vie a débuté au Québec le 22 février 2023, mercredi des Cendres.
J’ai eu l’occasion de passer la moitié de ma journée avec le vice-président de Campagne Québec-Vie, Brian Jenkins, alors qu’il se préparait à la vigile des 40 Jours pour la Vie de Montréal.
Le mardi 21 février, nous avons commencé notre matinée par un moment calme d’adoration du Saint-Sacrement qui nous a remplis de paix pour la journée à venir.
Brian Jenkins distribue des cartes de prière à Marie-Reine-du-Monde pour la veillée des 40 jours pour la vie -- Photo : Joanne Of Arc
Ensuite, nous avons assisté à une messe qui était offerte à la cathédrale Marie-Reine-du-Monde pour la vigile des 40 Jours pour la Vie. Avant la messe, j’ai observé Brian découper des prières qu’il a ensuite distribuées aux paroissiens de l’église, leur demandant de le soutenir dans ses efforts.
Brian Jenkins découpe des prières à distribuer aux paroissiens pour la veillée. --Photo : Joanne Of Arc
En nous promenant dans l’archidiocèse de Montréal, j’ai remarqué que Brian était bien connu des prêtres et chaleureusement encouragé dans ses efforts.
Lire la suiteWilliam Morin n'a pas été avorté à 30 semaines, puis il « guérit de la fibrose kystique »
William après sa guérison, pris en photo à l’oratoire St-Joseph — Photo : Catherine Lavoie
Par Joanne D’Arc (Campagne Québec-Vie)
Catherine Lavoie a vécu une conversion à la foi catholique en 2012, et aujourd’hui elle est une mère de famille de 7 enfants qui demeure à Valleyfield. Madame Lavoie a voulu témoigner auprès de Campagne Québec-Vie de son expérience personnelle.
Catherine nous a raconté l’histoire de William, son fils qui aujourd’hui a 16 ans, mais qui aurait pu être avorté alors que Catherine était jeune adolescente. Quand elle était enceinte de William, à l’échographie de 20 semaines, les médecins ont découvert des anomalies et l’ont transférée à l’hôpital Sainte-Justine pour faire plus de tests. Puis, à presque 30 semaines de grossesse, elle s’est fait proposer un avortement tardif.
C’était en 2006 et Catherine n’avait que 16 ans. Ce qui suit est le témoignage de madame Lavoie.
Catherine Lavoie : C’est à l’hôpital Sainte-Justine que c’est arrivé. Je sais que je ne suis pas la seule à qui ça a été proposé de mettre un terme à une grossesse viable […] J’ai un ami dont le bébé a été suivi à l’hôpital Sainte-Justine, car il avait des malformations et le couple a décidé de faire la procédure…
Lire la suiteMaxime Bernier fondateur du PPC dit avoir « besoin de leaders pro-vie »
Par Joanne D’Arc (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikipédia
Le 2 décembre 2022, les abonnés du PPC (People’s Party of Canada) ont reçu un courriel de Maxime Bernier, fondateur du parti, qui exprime clairement que le Canada a besoin de dirigeants qui se tiennent debout pour les valeurs pro-vie ! Il exprime aussi sa frustration contre la légalisation de l’euthanasie pour ceux qui ont des maladies chroniques et des maladies mentales.
Monsieur Bernier commence son courriel en parlant de la dysfonction du service de la santé au Canada, bien que beaucoup des services soient « gratuits » dans le pays par rapport aux États-Unis.
Voici comment il exprime que le plus inquiétant est sans doute la montée en puissance du programme d’euthanasie radical au Canada, soit l’Aide Médicale à Mourir (AMAM) :
« L’évolution la plus inquiétante [du système de santé], et de loin, a été la montée en puissance du programme d’euthanasie radical du Canada, ou aide médicale à mourir (AMAM) comme ils l’appellent.
Lorsque l’euthanasie a été initialement légalisée en 2016, elle n’était accessible qu’aux patients adultes en phase terminale souhaitant mourir dans la dignité.
Mais en mars 2021, les libéraux de Trudeau ont modifié le projet de loi pour étendre son accès aux personnes souffrant de douleurs chroniques et de problèmes de santé mentale.
Le Canada est rapidement devenu un chef de file mondial pour ce qui est d’étendre cette pratique inquiétante et d’en faciliter l’accès, devançant des pays comme la Belgique et les Pays-Bas où elle est légale depuis 20 ans.
Au cours des derniers mois, des histoires virales ont fait état de recommandations d’euthanasie à des vétérans souffrant de SSPT et à des sans-abri.
Le mois dernier, le détaillant québécois Simons a publié, puis retiré, une campagne publicitaire inquiétante glorifiant l’euthanasie, après que moi-même et d’autres personnes ayons exprimé leur indignation.
[Nom de l’abonné], qu’arrive-t-il à notre pays ?
Quel genre de société encourage les personnes vulnérables à mettre fin à leur vie au lieu de les protéger ? En particulier nos vétérans qui ont tout risqué pour nous garder en sécurité.
Avons-nous des soins de santé ou des soins pour la mort dans ce pays ?
J’ai peur pour l’avenir de notre société. Une société qui privilégie la mort à la vie est une société qui tend à sa propre perte.
Nous avons besoin de leaders forts dans ce pays pour défendre les valeurs pro-vie.
Pour défendre notre peuple, en particulier les plus vulnérables. »
Courriel envoyé le 2 décembre 2022, par Maxime Bernier aux membres du PPC.