« Si chaque enfant en Amérique avait un père aimant à la maison... »
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Anastasiya/Adobe Stock
« Si chaque enfant en Amérique avait un père aimant à la maison, nous aurions à faire face à beaucoup, beaucoup moins de problèmes en tant que société », a déclaré DeSantis au cours d’une entrevue le 27 mai.
LifeSiteNews rapporte qu’« En avril, DeSantis a signé une loi reliant les garçons à des programmes de mentorat et les hommes à des services de carrière dans l’espoir d’unir les enfants aux pères. »
La perspicacité du gouverneur de la Floride DeSantis sur l’importance de la paternité est révélatrice, surtout pour une société qui s’écroule tranquillement, et dans laquelle les familles se brisent, les mères se retrouvent seules, les enfants sont déstabilisés.
La société est simplement hostile à la Famille, car ce que DeSantis dit au sujet du père est aussi applicable à la mère.
Récemment au cours de la période de questions d’un point de presse, la députée de Sherbrooke de Québec solidaire et responsable en matière d’éducation, de famille, et de condition féminine, Christine Labrie « a lu un témoignage poignant d’une femme qui s’est fait avorter à cause du manque de places en garderie. »
Des histoires comme celle-ci ne devraient jamais se produire. Une mère ne devrait jamais se sentir obligée de choisir entre la vie de son enfant et une place à la garderie.
En premier lieu, les mères ne devraient pas être obligées d’abandonner leurs enfants à la garderie pour partir travailler. Si chaque enfant avait une mère aimante à la maison, pour emprunter les paroles à DeSantis, qui pouvait prioriser ses enfants par-dessus un travail, il y aurait certainement moins de problèmes dans la société.
La société si hostile à la maternité, si hostile à la paternité, et si hostile aux familles ne devrait-elle pas plutôt favoriser un environnement permettant à tout enfant d’avoir une famille stable, et des parents présents et aimants ?
« L’aide médicale à mourir est fondamentalement un mensonge, une chose fausse »
Laurence Godin-Tremblay.
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Église catholique à Montréal/YouTube
Témoignage de Laurence Godin-Tremblay sur l’euthanasie de sa grand-mère
C’est facile de parler d’euthanasie à l’abstrait et de critiquer sa propagation, mais concrètement que signifie la perte d’un être cher par le moyen de l’aide médicale à mourir ?
Dans son témoignage sur la mort de sa grand-mère par euthanasie, une mère et doctorante en philosophie, Laurence Godin-Tremblay, révèle la réalité déchirante de cette pratique qui est considérée « libératrice » aujourd’hui mais qu’elle appelle à juste titre, « une pratique qui n’est ni vraie, ni charitable, qui ne conduit pas à l’amour ».
Au cours de son témoignage, Mme Godin-Tremblay s’appuie sur des principes philosophiques, sur des raisonnements logiques pour conclure que « L’aide médicale à mourir est fondamentalement un mensonge, une chose fausse. »
« Le médecin s’est présenté vraiment comme un humaniste et nous disait que c’était un acte d’humanité. Mais il n’y a rien de plus mensonger selon moi parce que cette pratique ce qu’elle dit, ce qu’elle sous-entend, c’est que l’être humain n’est qu’un animal, c’est-à-dire que les souffrances physiques font en sorte que sa vie n’a plus de sens... Cette vie spirituelle, cette vie rationnelle, n’existe pas dans l’euthanasie donc ce qui est vraiment humain en nous est éliminé... c’est un peu paradoxal d’appeler cela un acte d’humanité », rappelle-t-elle.
La jeune mère soulève aussi l’incohérence d’appeler l’euthanasie un « acte de compassion ». « On sait que compatir ce n’est pas encourager la personne à se suicider mais c’est de lui dire : “Je vais t’accompagner dans ce que tu traverses, je vais t’accompagner dans les épreuves.” Il y a là une contradiction patente dans notre société. »
Une autre contradiction de l’euthanasie que la doctorante développe est celle du courage qu’on attribue à ceux qui choisissent de se faire tuer.
« On a dit que ma grand-mère était courageuse de demander l’AMM... pourtant le médecin nous a dit : “Étant donné la peur de la souffrance de votre grand-mère, on a accéléré le processus.” La similarité ici c’est que on trouve courageux les gens qui vont au-devant de la mort. On trouve courageux le soldat qui accepte de mourir pour sauver sa patrie. Mais un soldat qui accepte de mourir pour sa patrie le fait pour un plus grand bien... Dans l’euthanasie les gens acceptent de mourir pas pour un plus grand bien ; il n’y a rien à sauver, il n’y a personne à délivrer. Je pense que c’est un choix essentiellement motivé par la peur, par l’impression que les gens ne seront pas là, que la souffrance va être insurmontable. »
Voilà une triste réalité qui démontre à quel point la souffrance est devenue taboue, alors que selon cette femme témoin dans une lettre écrite à sa grand-mère « La souffrance donne l’impression d’un océan sans fin. Et pourtant, au bout de cet océan se trouve comme un nouveau continent. Plus beau, plus grand, plus vaste. » Elle affirme sincèrement : « J’aurais voulu te témoigner de mon espérance. J’aurais voulu te dire que, pour moi, la souffrance ne rend pas nos vies indignes. » Et pourtant l’euthanasie est faussement appelée une mort « digne ».
Le décompte du « mois de la fierté » a déjà commencé
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pixel-Shot/Adobe Stock
Le 24 mai le journaliste québécois Yves Lafontaine écrivait déjà que « La saison de la fierté a débuté ». Les pro-LGBT se préparent à débiter leurs slogans, et à déployer leurs drapeaux arc-en-ciel au nom de droits qui ne sont pas droits.
Bien évidemment, toute allusion au mois du Sacré-Cœur, débutant en même temps mais plus de 100 ans plus ancien que le « mois de la fierté », est complètement bannie.
Dans son article déclencheur pour le mois de la fierté, Yves Lafontaine met en lumière le contexte actuel aux États-Unis, « Si on regarde ce qui se passe chez nos voisins du sud au niveau des droits des trans, des femmes désirant se faire avorter ou de la simple éducation à la vie en interdisant d’aborder les sujets gais auprès des jeunes dans les écoles de Floride… il demeure plus que jamais important de demeurer vigilant car les droits qu’on tient pour acquis ne le sont pas toujours. »
Interdire « d’aborder les sujets gais auprès des jeunes » (précisons que la nouvelle loi en Floride s’applique seulement aux enfants de la maternelle jusqu’à la troisième année), c’est tout simplement protéger et respecter les enfants en tant qu’êtres humains et en tant qu’enfants de Dieu.
Le journaliste continue en affirmant « C’est pourquoi il est important de combattre à la fois l’homophobie et que nos communautés et nos allié. e. s s’élèvent contre le racisme, le sexisme et un retour vers un conservatisme qui ne peut qu’être néfaste au niveau des droits des personnes en situation de minorité. »
On a l’impression qu’adhérer à des principes traditionnels et conservateurs, qui sont d’ailleurs des principes indémodables, est synonyme d’être homophobe, sexiste, raciste, et comme il le dit, néfaste. Mais ce n’est pas parce qu’un mode de vie ou une idéologie est condamné que ceux qui les suivent le sont ; ce n’est pas parce que l’homosexualité est objectivement mal et contre nature que les personnes homosexuelles elles-mêmes devraient être jugées.
Projet de loi pour élargir l’euthanasie au Québec
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : velimir/Adobe Stock
Note : le ministre de la Santé a présenté son projet de loi à l’Assemblée nationale, mais en retirera un article portant sur les handicaps neuromoteurs ne semblant pas faire l’unanimité. Selon Le Devoir :
Le ministre de la Santé, Christian Dubé, prend un pas de recul dans le dossier de l’aide médicale à mourir. L’article de son projet de loi sur les handicaps neuromoteurs, qualifié par les oppositions de « surprise », sera retiré.
Ce virage survient moins de 24 heures après la présentation par le ministre caquiste du projet de loi 38 « modifiant la Loi concernant les soins de fin de vie et d’autres dispositions législatives ». « J’ai entendu les oppositions depuis [mercredi]. J’ai un objectif, c’est d’avoir un projet de loi qui rassemble tout le monde », a soutenu M. Dubé en mêlée de presse. « On va aller avec le consensus », a ajouté le premier ministre François Legault presque au même moment, jeudi.
Selon La Presse, le ministre de la Santé et des Services sociaux, Christian Dubé dépose aujourd’hui « un projet de loi visant à modifier Loi concernant les soins de fin de vie et d’autres dispositions législatives. »
Ce projet de loi élargirait l’accès à l’euthanasie aux personnes atteintes de maladies mentales, « aux personnes inaptes, comme celles souffrant d’alzheimer, en leur permettant de présenter une “demande anticipée” ». Nous dirigeons-nous tranquillement vers un futur d’euthanasie illimité au Québec ?
Avant l’adoption du projet de loi, « Il faudra tenir les consultations particulières où différents groupes sont entendus et ensuite faire l’étude détaillée d’ici le 10 juin. »
Pour la ministre de la Santé mentale et des Dépendances, Carolyn Bennett il est son devoir de « veiller à ce que le gouvernement aille de l’avant avec l’AMM pour les personnes atteintes d’un trouble mental d’une manière qui est conforme aux objectifs d’autonomie, d’équité et de respect. »
L’autonomie peut-être, mais certainement pas l’équité ni le respect. Les personnes atteintes de troubles mentaux ne sont pas moins dignes que les autres personnes et elles méritent autant le respect que le soutien de la société qui les entoure.
L’aide médicale à mourir est presque présentée comme un privilège, et comme son nom l’indique, comme une aide pour les personnes qui la reçoivent. Mais se faire supprimer en moins d’une heure par les professionnels qui ont comme devoir de soigner et non de tuer, au lieu de se faire entourer avec respect, est-ce réellement un privilège ?
Québec solidaire veut rendre la contraception gratuite
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Have a nice day/Adobe Stock
« Québec solidaire (QS) propose d’offrir gratuitement toutes les méthodes contraceptives à l’ensemble de la population de la province », annonce un article de Radio-Canada.
On veut rendre gratuit et 100% accessible ce qui était illégal il y a moins de 100 ans. L’éboulement moral, en partie déclenché par la légalisation de l’avortement et de la contraception, accélère à une vitesse exponentielle...
Manon Massé, la co-porte-parole féministe du parti, explique que « La charge de la contraception repose essentiellement sur les épaules des femmes et donc, dans le portefeuille des femmes. Si à Québec solidaire on propose un programme de gratuité, c'est pour permettre aux femmes de se libérer de cette charge économique. »
Concrètement, « Offrir l’ensemble des méthodes contraceptives gratuitement à toute la population québécoise coûterait environ 48 millions de dollars par année » affirme Mme Massé. 48 millions de dollars seraient ainsi versés pour normaliser l’immoralité et pour enlever toute responsabilité d’un acte qui porte une lourde responsabilité.
Ce que Québec solidaire trace par sa contraception gratuite est un chemin direct vers un Québec solitaire, un Québec dépeuplé de sa Foi et de ses familles nombreuses, un Québec dépourvu de morale, et de respect pour la dignité humaine.
En voulant rendre la contraception gratuite, Québec solidaire banalise le caractère sacré de la vie. Et en banalisant le caractère sacré de la vie, il méprise l’Auteur de la vie.
Congé de « maternité » pour avortement au Québec
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : akachai studio/Adobe Stock
Saviez-vous que les femmes québécoises qui avortent ont le droit à un congé de maternité ?
Au Québec, selon l’explication d’Éducaloi, un congé de trois semaines est accordé à celles qui ont eu un avortement avant leur 20e semaine de grossesse, et un congé de 18 semaines à celles qui ont eu un avortement après le début de leurs 20 semaines de grossesse, avec possibilité d’accès aux prestations de maternité du RQAP.
Considérant que par définition la maternité est « Le fait de porter et de mettre au monde un enfant », est-ce vraiment logique qu’une mère, qui a porté son enfant mais qui a volontairement décidé de le tuer avant sa naissance, ait le « droit » à un congé dit « de maternité » ?
Volontairement écraser sa maternité et choisir son propre confort, sa propre réputation, ou ses propres intérêts au prix de la vie de son enfant mérite-t-il un congé de maternité ?
Des personnes objecteront que les mères se sentent parfois contraintes d’avorter sous la pression de leur entourage ou de la solitude qu’elles éprouvent. Mais ce n’est pas normal que leur entourage soit si orienté vers la mort des enfants à naître. Les femmes ont un droit légitime à l’information non biaisée, au soutien de la société lors d’une grossesse difficile, à l’accueil de leur entourage envers leur maternité.
Si la société ne mettait pas autant de pression sur les femmes pour qu’elles avortent, et présentait au contraire un soutien solide pour la vie de chaque être humain venant au monde, il y aurait-il autant d’avortements ?
Est-ce juste d’accorder autant de semaines de congé à une mère qui assume sa maternité et accueille son enfant qu’à une mère qui renie sa maternité et choisit d’enlever la vie à son enfant (après le début de sa 20e semaine de grossesse) ?
Aux yeux de notre système, la mère qui fait volontairement tuer son enfant (après le début de sa 20e semaine de grossesse) devrait recevoir autant de soutien que celle qui respecte la vie et la dignité de son enfant… Un système logique ?
Quelques observations sur le rapport du coroner sur les décès en CHSLD durant la « première vague » en 2020
Par Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie
Le rapport du Coroner Géhane Kamel sur l’hécatombe dans les CHSLD lors de la « première vague » de la covid en 2020 vient de sortir. Ce rapport de plus de 190 pages contient plusieurs éléments valables pour les défenseurs de la vie.
Souvenez-vous qu’en fin de 2020 j’avais écrit une lettre ouverte à Mme Johanne Castonguay, Commissaire à la santé et au bien-être, concernant ce que je croyais être les véritables causes des décès en CHSLD. Je reproduis l’essentiel ici :
« À notre avis, les personnes vulnérables décédées au Québec ce printemps en nombre plus élevé que la normale ne sont pas uniquement, ni même pour la plupart, mortes d’un virus ayant un taux de létalité avoisinant celui d’une forte grippe saisonnière ; elles sont en majorité décédées pour d’autres raisons, parmi lesquelles :
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une grossière négligence, provoquée entre autres par un manque criant de main-d’œuvre dans les établissements de soins de longue durée, lui-même suscité en grande partie par une campagne de peur médiatique qui a semé la panique chez les employés de ces centres ;
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une situation de stress causée par l’isolement et les autres mesures sanitaires, affaiblissant le système immunitaire de personnes déjà très fragiles, et les rendant plus susceptibles de succomber à des maladies en temps normal relativement bénignes ;
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une politique de “triage” des personnes aînées, leur refusant en une période de pandémie un accès à des services hospitaliers qui leur étaient habituellement accordés ;
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une contamination des établissements pour personnes âgées par des personnes âgées malades qu’on a évacuées des hôpitaux (pour “libérer” 7000 lits, dont ceux de 1400 patients toujours malades), en anticipation d’une “vague” de malades plus “prioritaires” qui n’est jamais venue ;
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une suspension de plusieurs interventions chirurgicales et autres, toujours afin de “libérer” des lits pour faire face à la crise, temps d’arrêt dans les soins qui a pu indirectement causer plusieurs décès ce printemps ;
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la mise sur pied de protocoles à consonance euthanasiques ; »
4 trottoirs arc-en-ciel à Québec pour la «Journée internationale contre l’homophobie et la transphobie»
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Vladvictoria/Pixabay
Hier, le Québec s’est revêtu de couleurs arc-en-ciel pour la journée internationale contre l’homophobie et la transphobie.
Établie le 17 mai 1990, cette journée a pour but de « commémorer la décision de l’OMS le 17 mai 1990 de ne plus considérer l’homosexualité comme une maladie mentale », selon Wikipédia.
Malheureusement, notre province « est un leader mondial » de l’action envers les communautés LGBT+ comme l’affirme Manon Massé, députée et porte-parole de Québec solidaire.
Un article de Radio-Canada mettant en lumière le 17 mai rapporte qu’« À l’occasion du 17 mai, le drapeau arc-en-ciel sera hissé pour la première fois à l’hôtel de ville de Québec et il y restera accroché toute la journée. »
De plus, « Les quatre tronçons de trottoirs peints aux couleurs de l’arc-en-ciel ont... pour but de mettre les communautés LGBTQ+ en lumière. »
Évidemment, les mots phares pour la journée étaient l’inclusion, la lutte contre la discrimination, l’accueil envers la communauté LGBTQ+. Le message répété par les médias portait sur le respect des personnes LGBTQ+, victimes de « discrimination, de violences, d’intimidation » comme l’explique la directrice générale de l’organisme québécois Alliance Arc-en-ciel.
Sans aucun doute, toute personne humaine mérite le respect, et toute personne humaine possède une dignité inhérente. Mais encourager les personnes LGBT à nier la réalité sur eux-mêmes, à agir à l’encontre de leur nature, à vivre dans le désordre moral va-t-il vraiment leur apporter le respect qu’ils méritent ? Encourager les personnes à suivre le chemin dérapant qu’est le chemin LGBT, c’est les encourager à rester aveugles à la réalité.
Et comment peut-on être heureux dans l’irréalité ?
Vouloir réellement aider les personnes LGBTQ+, c’est vouloir les ramener à la réalité, et les respecter, non pas comme esclaves du désordre, mais comme des personnes humaines dignes de ce nom.
380e anniversaire de la première messe célébrée à Montréal
Première messe célébrée à Montréal, le 18 mai 2022.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Voici quelque 380 ans auparavant fut célébrée la première messe de Montréal, la messe de fondation de Ville-Marie le 18 mai 1642.
Nos ancêtres, en bons chrétiens, voulaient consacrer leur humble colonie à Dieu et la Vierge, dont la ville allait porter le nom. Ville-Marie a une histoire peu commune ! Elle fut fondée par le Chevalier Paul de Chomedey de Maisonneuve et Jeanne Mance, envoyé là par la Société de Notre-Dame de Montréal fondée par Jérôme Le Royer de La Dauversière et Jean-Jacques Olier, afin de devenir un centre d’évangélisation, d’où rayonnerait la Foi parmi les nations amérindiennes de Nouvelle-France.
Puissions-nous imiter un si bel exemple et continuer leur œuvre évangélisatrice.
Procession aux chandelles pour la Vie en plein Vieux-Québec
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie)
Montrer publiquement leur désaccord avec l’injustice de l’avortement : c’est ce qu’ont fait une cinquantaine de croyants pro-vie devant l’Assemblée nationale du Québec récemment.
En préparation à la Marche nationale pour la Vie à Ottawa, Campagne Québec-Vie a lancé une procession aux chandelles au Vieux-Québec samedi le 7 mai durant laquelle les participants ont prié pour la fin de l’avortement dans le monde, et spécialement dans notre province.
Débutant à la Cathédrale Notre-Dame-de-Québec, la procession s’est rendue au Centre Marie-de-l’Incarnation pour commémorer cette grande sainte si puissante dans l’histoire du Québec, et s’est conclue devant l’Assemblée nationale avec la bénédiction d’un prêtre participant.
Une cinquantaine de chandelles étaient allumées ; une cinquantaine de lumières pour représenter les enfants à naître tués sans pitié dans un pays qui garantit dans sa charte le « droit à la vie » de chacun. Application concrète de l’hypocrisie de notre pays et tant d’autre pays envers leurs citoyens les plus vulnérables...
Récitant le Rosaire au cours de la procession, les participants ont témoigné leur grande Foi en la puissance de la prière, sans laquelle le combat pro-vie serait impossible. Confier la protection des enfants à naître à Notre-Dame : c’est ce qui mènera à notre victoire !