Rencontre d’un militant pro-vie avec son député fédéral : les coupes de subventions faites par le gouvernement Trudeau envers les pro-vie
Cet article nous a été envoyé par un militant pro-vie
Sur le sujet qu’on pourrait effectivement aussi appeler : Justin Trudeau veut faire mourir les organismes pro-vie. C’est sur les nouvelles exigences pour les employeurs qui appliquent pour le programme Emploi d'été Canada (EÉC) qu’ils doivent accepter que la pratique de l’avortement est maintenant un droit et donc que les enfants à naître n’en sont pas vraiment et qu’aucune protection de leur vie n’est à envisager.
Mon rendez-vous était de 12H50 à 13H10 avec L’hon. Denis Paradis, député de Brome-Missisquoi (Parti libéral du Canada), il y avait une secrétaire qui participait aussi à la rencontre. En gros, je suis satisfait d’y avoir été, le député Denis Paradis m’a assuré qu’il transmettra mon (le) message à qui de droit (sans me dire à qui précisément). Je lui ai dit : « Je suis inquiet que dans le programme EÉC, de ces nouvelles exigences pour les employeurs ». J’ai parlé seulement de celle par rapport à l’idée que l’employeur, celui qui remplit la demande, doit accepter que l’avortement est une pratique à accepter pleinement (et qui est dit dans d’autres termes dans la demande EÉC). Pas eu le temps de dire : Ce sont des termes qui dissimulent ce qu’ils veulent apporter.
Il m’a répondu que dans notre comté, pour lui c’est un autre point qui le chicote et c’est dans un tout autre ordre d’idées. C’est sur la répartition des subventions aux OBNL (Organismes à but non lucratif) versus celles qui sont accordées aux organismes privés, au niveau du % de la portion subventionnée pour chacun. Il m’a dit que pour lui, c’est ça qui le chicote et que les modifications qui ont eu lieu (avortement, LGBTQ), ce n’était pas nécessaire de l’avoir, mais plutôt au niveau de la répartition du barème des subventions (ONBL) versus pour une entreprise privée qui participe à EÉC. Il dit que lui, il est un pragmatique et que c’est plutôt cette modification-là qu’il aurait voulu voir arriver. C’est positif pour nous, à moins qu’il disait ça pour me faire plaisir. Comme je disais, il m’a assuré qu’il transmettra mon (le) message à qui de droit (sans me dire à qui précisément). Et il m’a dit aussi que la liberté de religion — j’ai ajouté : « liberté de conscience » — est importante à sauvegarder pour tous comme aussi pour les appliquants à ce programme (EÉC).
Lire la suiteBlasphémer l’amour
Montréal.
Par Paul-André Deschesnes — Photo : abdallahh/Flickr
Chers lecteurs, trouvez-vous mon titre trop provocateur ? Pourtant, c’est la triste réalité !
En janvier 2018, tous les médias du Québec nous ont invités à nous rendre à la grande salle de la place Bonaventure de Montréal, afin d’admirer le « Salon de l’amour et de la séduction », un événement « jouissif et instructif », un incontournable rendez-vous dans notre Métropole hyper décadente qui s’est tenu les 19, 20 et 21 janvier 2018.
Annuellement, tous les commerçants du sexe se ruent en très grand nombre pour annoncer leur « bonne nouvelle », pour exposer leur cochonnerie et pour faire des affaires d’or devant la foule en délire qui en redemande toujours plus.
Cette année, on nous a annoncé que l’on peut satisfaire tous les groupes d’âge (bientôt les enfants, pourquoi pas ?) en quête de jouissances sexuelles tous azimuts. Il paraît que les aînés sont maintenant présents en très grand nombre à ce salon de l’ordure, car ils s’autoproclament très actifs et très performants sur le plan sexuel.
Lire la suiteMauvaise nouvelle : le premier ministre du Québec veut « adapter » toutes les écoles aux transgenres
Par Paul-André Deschesnes
L’Occident décadent est en train de bâtir une société très bizarre, où les minorités de toutes sortes font la loi et imposent leur croyance à tous les niveaux.
Le premier ministre du Québec a annoncé officiellement le 17 janvier 2018, qu’il faut de toute urgence « adapter toutes les écoles primaires, secondaires, collégiales, et universitaires aux élèves, étudiants et professeurs transgenres ».
Tous ces élèves doivent maintenant être identifiés par le prénom et le sexe qu’ils viennent de choisir. Ils doivent aussi avoir accès aux vestiaires, douches et toilettes de leur choix (hommes, femmes ou toilettes neutres). Le gouvernement va donc débloquer des millions de dollars pour ajouter dans tous les établissements scolaires du Québec des toilettes neutres car il faut respecter la nouvelle identité sexuelle de tous et toutes ; c’est un droit fondamental reconnu par les Chartes en vigueur au Québec et au Canada.
Lire la suiteBonne nouvelle : de nombreux médecins refusent d’administrer l'euthanasie
Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — source, le journal La Presse
Une étude, unique en son genre, dirigée par deux chercheuses québécoises, le Dr. Lucie Opatrny et l'éthicienne Marie-Ève Bouthillier, auprès des médecins de Laval et rapporté par le journal La Presse, montre que beaucoup de médecins refusent d’administrer « l’aide médicale à mourir » (AMM) (l’euthanasie).
Un sondage réalisé par le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de Laval auprès des médecins de son territoire, avant l'entrée en vigueur de la loi, révèle qu’un tiers d’entre eux avait annoncé qu’il ne s’impliquerait pas dans l’AMM (l’euthanasie).
Un an et demi plus tard, le CISSS de Laval s’est aperçu que 77% des médecins ayant reçu une demande AMM (l’euthanasie) ont refusé de participé à l’AMM (l’euthanasie) « (47 sur 61), se prévalant tous de la clause d'objection de conscience. » Rapporte le journal La Presse.
Ainsi les médecins répugnent à participer à un meurtre.
Le Dr. Opatrny pense que d’autres régions vivent dans la même situation qu’à Laval « Alors », dit-elle « on souhaite que ces résultats servent à alimenter la réflexion partout au Québec ». Révèle le journal La Presse.
Lire la suiteGratuité de la pilule abortive : Le fœtus aux égouts
Par Paul-André Deschesnes
En décembre 2017, le Québec aurait fait un «très grand pas en avant», selon les féministes et tout le gratin de la gauche québécoise qui carbure aux idéologies de la «pensée unique».
Le gouvernement québécois a donné le feu vert à la diabolique pilule abortive pour les femmes qui veulent se débarrasser rapidement de leur bébé sans être obligées de passer par une clinique d’avortement.
Cette pilule «miracle» (300 dollars), prescrite par un médecin et obtenue gratuitement dans toutes les pharmacies du Québec peut être utilisée à la maison jusqu’à la neuvième semaine de grossesse. La femme prend ce «médicament» le soir au coucher et dès le lendemain matin, elle expulse son bébé assise sur le siège de la toilette ; elle tire la chasse d’eau et envoie cet enfant à naître aux égouts municipaux.
En Occident, cette façon d’avorter est de plus en plus populaire. Plusieurs pays dits très postmodernes ont déjà légalisé cette cochonnerie satanique. Les autres vont très bientôt le faire car il y a une très forte demande pour ce «bonbon» empoisonné.
Lire la suiteLe nouveau Centre diocésain pour le mariage, la vie et la famille voit le jour
Katerine Perrault et Ellen Roderick directrices du Centre diocésain pour le mariage, la vie et la famille
Par diocesemontreal
L’archidiocèse de Montréal annonce la création d’un organisme pour renforcer la vie de famille : le Centre diocésain pour le mariage, la vie et la famille.
Ce nouveau centre résulte de la fusion de l'Office de la famille et de son équivalent anglophone, le Family Life Office, et perpétuera les valeurs et les efforts mis en place par ses deux directeurs Serge et Sylvie Vallée, nouvellement retraités.
Le Centre diocésain pour le mariage, la vie et la famille répond aux besoins exprimés depuis deux ans par les communautés montréalaises. Le Centre est sous la direction de Mesdames Katerine Perrault et Ellen Roderick, toutes deux diplômées de l'Institut pontifical Jean-Paul II d'études sur le mariage et la famille, basé à Rome* avec une filiale à Washington D.C.
La mission du Centre consiste à redynamiser les efforts diocésains d'évangélisation dédiés au mariage, à la vie et à la famille, grâce à la formation, l'accompagnement et l'engagement culturel [...] Le Centre diocésain pour le mariage, la vie et la famille concrétise ainsi le désir de l'Église catholique à Montréal de partager avec les personnes de bonne volonté les richesses et les promesses de bonheur que comporte le plan divin sur l'amour humain.
Lire la suiteCQV sur Infoman? Et élections 2018
Vidéo de Georges Buscemi, président de CQV, sur l’émission Infoman
Par Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie
Si vous avez par chance visionné l’émission Infoman de fin d’année (émission satirique de nouvelles sur Radio-Canada), qui précédait le Bye-Bye, vous aurez peut-être remarqué qu’on y avait intégré (autour de la 24ième minute) une courte partie de notre plus récente vidéo sur le phénomène des « transgenres ».
Cela démontre qu’ensemble nous réussissons à nous faire entendre. En fait, je crois que de plus en plus de gens sont prêts à nous écouter, surtout qu’il est plus difficile, après plus de 50 ans de « Révolution tranquille » au Québec, de nier les dommages qu’ont causés à la société l’avortement et l’abandon de Dieu.
Et ce n’est pas arbitrairement que nous lions manque de foi et avortement : l’effacement presque complet du fait religieux dans le paysage politique du Québec a fait en sorte que plus rien ne peut suffisamment freiner les passions déchaînées d’un humain qui s’est retrouvé sans boussole.
Le virage antireligieux des années 60 au Québec ouvrit la voie à l’homosexualité, à l’avortement, au divorce, à la stérilisation, à l’euthanasie, etc.
Lire la suiteLe Canada a légalisé l’euthanasie. Maintenant, des parents demandent aux médecins de tuer leurs enfants malades
Par Lianne Laurence — traduit par Campagne Québec-Vie
Toronto, 20 novembre 2017 (LifeSiteNews) — L’euthanasie est légale au Canada depuis un peu plus d’un an et davantage de parents demandent aux pédiatres d’euthanasier leur enfant ou nourrisson handicapé ou mourant, rapporte un sondage de la Société Canadienne de Pédiatrie (SCP).
L’activiste américain anti-euthanasie Wesley Smith a déclaré que les résultats de l’enquête attestent l’existence d’une pente moralement glissante, que descend une nation quand elle accepte de reconnaître que « tuer est une réponse acceptable à la souffrance humaine. »
« Une fois que l’idée d’euthanasie est déchaînée, elle ne cesse jamais de s’étendre », écrit-il dans le National Review.
« Je suppose que Robert Latimer – le fermier canadien qui a assassiné sa fille parce qu’elle avait une paralysie cérébrale – était un visionnaire, » ajouta-t-il.
La SCP a sondé ses membres à la lumière de la possibilité que le Canada étende le programme d’euthanasie aux enfants. Présentement, l’euthanasie n’est disponible que pour des adultes consentants.
En effet, le gouvernement libéral de Justin Trudeau a indiqué la possibilité d’inclure cette éventualité dans ce projet de loi, adopté en juin 2016.
Lire la suiteL'hécatombe
Par Paul-André Deschesnes
J’ai devant moi le journal régional québécois «Info-Laurentides» du 13 décembre 2017 qui annonce une très triste nouvelle.
L’évêque du lieu (diocèse de St-Jérôme) informe la population que «d’ici juin 2018, le nombre de paroisses va passer de 35 à 9 et le nombre d’églises en fonction va chuter de 54 à 21.» Du jamais vu au Québec en si peu de temps.
Selon ce pasteur, il ne reste plus que 2% de la population qui pratique encore sa religion en fréquentant son église locale le dimanche. La dîme est en chute libre. Les quêtes ne rapportent presque plus rien, le chauffage et l’entretien coûtent une fortune et le gouvernement offre très peu d’aide financière pour renflouer les coffres. De plus, les vocations sacerdotales sont très rares et le nombre de prêtres est en voie d’extinction.
Pendant que les églises tombent en ruines au Québec, le bon peuple, neutre, apostat et de plus en plus athée et agnostique ne semble pas préoccupé par cette catastrophe. Seul le petit reste de 2% se dit très attristé par cette sombre perspective.
Que vont devenir tous ces temples sacrés ? L’évêque nous confirme qu’ils seront vendus ou démolis. Il n’y a aucune autre solution. C’est la peine capitale !
Lire la suiteLe Canada réduit les restrictions pour la prescription de pilules abortives dangereuses
Par Lianne Laurence — traduit par Campagne Québec-Vie
Ottawa, le 7 novembre 2017 (LifeSiteNews) — Le gouvernement canadien étend l’accès à la pilule abortive, permettant son utilisation pour avorter des enfants à naître jusqu’à 9 semaines après la fécondation. De plus, il sera dorénavant possible aux pharmaciens de la distribuer directement, sans l’avis d’un médecin.
La décision de Santé Canada était basée sur de l’information fournie par Linepharma, commanditaire du médicament, selon une information du département, mise à jour et publiée jeudi [7 novembre].
Linepharma est représentée au Canada par la compagnie Celopharma.
Santé Canada a dit avoir effectué « une étude approfondie des publications scientifiques nouvelles et actuelles sur l’innocuité et l’efficacité de Mifegymiso. »
Elle a donc autorisé ce qui suit :
- Mifegymiso peut maintenant être administré jusqu’à la 9e semaine (63 jours) de grossesse, au lieu de la limite précédente allant jusqu’à la 7e semaine (49 jours).
- Mifegymiso peut maintenant être distribué directement aux patients par le pharmacien, ou par tout professionnel de la santé pouvant prescrire des médicaments.
- Les professionnels n’ont plus besoin de compléter un programme d’éducation avant de prescrire Mifegymiso.
- L’obligation du consentement écrit du patient pour l’utilisation de Mifegymiso a été retirée.
- Les professionnels de la santé n’ont plus besoin de s’enregistrer chez Celopharma pour pouvoir prescrire ou distribuer Mifegymiso.