Un drag queen à la Grande Bibliothèque pour lire pendant une heure des « contes » à des enfants de 3 à 5 ans!!
Source : Dominique Scali (JDM)
Montréal — Un drag queen à la Grande Bibliothèque pour lire pendant une heure des « contes » à des enfants de 3 à 5 ans!! On croit se tromper! Selon le Journal de Montréal ce personnage doit mettre un de ses déguisements et raconter des « contes » qui, dans certains, pourront aborder des questions de genre.
« “Un exemple que je prends souvent, c’est celui de Mickey Mouse. Est-ce un garçon ou une fille ? On ne le sait pas. Mais ce qui est important, c’est qu’on le trouve amusant et coloré”, illustre M. Potvin [le drag queen]. » rapporte le JDM. Voici une façon non rationnelle de penser ; trouver cela amusant ! ce n'est pas parce qu'on trouve une chose amusante qu'elle sera moins dangereuse. Quant à la souris (fort discutable) de Disney, ce n'est pas un excellent exemple de la théorie du genre étant donné que c'est un personnage imaginaire.
Pauvres enfants!
En cette période de dénonciations d’inconduite sexuelle au Québec, n’oublions pas le rôle des parents
Par Solange Lefebvre-Pageau du Centre international de recherche d’éducation familiale (CIREF)
En la troisième semaine du mois d’octobre 2017, marquée par de nombreuses dénonciations d’inconduites sexuelles au Québec, les médias nous ont fait entendre, plusieurs fois, la rengaine : Éducation à la sexualité en milieu scolaire de la maternelle au secondaire.
Curieusement, les parents sont absents de cette proposition reliée à l’éducation sexuelle de leurs petits et de leurs ados. On fait comme si la famille n’existait pas ou, encore, qu’elle n’avait plus raison d’être comme la principale éducatrice de sa progéniture à deux des éléments essentiels d’humanité : l’amour et la sexualité, deux réalités fondamentales que nous ne devrions jamais dissocier si nous voulons véritablement faire œuvre d’éducation.
En entendant le refrain qui prône l’éducation à la sexualité en milieu scolaire, les paroles choquantes d’un conférencier me sont revenues à la mémoire avec force. Elles furent prononcées en 1986, lors d’un Symposium sur l’éducation sexuelle tenu à Liverpool (citées par Valerie Riches, Sex & Social Engineering, Family Education Trust, 1994).
Lire la suiteDès la première année de la légalisation de l’euthanasie on en rapporte près de 2000
Par Alex Schadenberg (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
10 octobre 2017, (Euthanasia Prevention Coalition) (Coalition pour la prévention de l'euthanasie) — Les données du deuxième rapport intérimaire sur l'aide médicale à mourir de Santé Canada indiquent qu'il y a eu 1982 morts assistées (1 977 cas d’euthanasie et 5 cas de suicide assisté) du 17 juin 2016 au 30 juin 2017) depuis la légalisation [« de l’aide médicale à mourir »].
Il y a eu 167 euthanasies déclarées au Québec avant que le gouvernement fédéral ne légalise l'aide à mourir. Par conséquent, le 30 juin, 2 149 morts assistées avaient été déclarées au Canada (1 982 + 167).
Les gouvernements canadiens ont établi un système d'auto-déclaration, c'est-à-dire que le médecin qui donne la mort est le même médecin que celui qui signale le décès (il n'y a pas de contrôle de la loi). Il est donc possible qu'il y ait une sous-déclaration et de l’abus de la loi. D'après le premier rapport du gouvernement du Québec sur l’euthanasie, 14 % des euthanasies n'étaient pas conformes à la loi.
Lire la suiteLettre d'opinion : « Cours d'éducation sexuelle : Le pompier pyromane »
Par Stéphane Bürgi, marié, père de quatre jeunes enfants, agent de pastorale et doctorant au Centre d'études du religieux contemporain de l'Université de Sherbrooke
Depuis quelques années, il est question d'éducation sexuelle au Québec. Hypersexualisation, maladies transmissibles sexuellement, grossesses précoces, le tout accompagné de détresses psychologiques : personne ne peut aujourd’hui nier que les jeunes ont un réel besoin d’éducation à la sexualité.
Doit-on pour autant se réjouir de l'arrivée du nouveau cours dans les salles de classe du Québec? En fait, si on y regarde de plus près, on peut sérieusement se demander si le contenu du programme, plutôt que d'offrir une solution, ne fera pas qu'aggraver le problème.
Par exemple, est-il approprié d'enseigner, en classe, le fonctionnement des organes sexuels – incluant la fonction du plaisir – dès les premières années du primaire? Il s'agit pourtant d'un apprentissage prévu dans le programme, où il est écrit qu'un enfant de 6-7 ans doit pouvoir « situer les organes sexuels des filles et des garçons et leurs fonctions (reproduction, plaisir, élimination) »
Lire la suiteDébat pro-vie en France provoqué par...Québec-Vie ?
Mairie de Laroque-Timbaut dans le sud-ouest de la France
Par Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie — Photo : Wikimedia Commons
Lorsque nous avons lancé notre site Web de nouvelles pro-vie nous n'aurions jamais pu croire que notre influence s'étendrait jusqu'en... France.
Mais en 2015 nous avons vite constaté que même si notre site de nouvelles avait principalement pour but de sensibiliser la population québécoise sur les enjeux reliés à la foi, la famille et la vie humaine, les Français aussi pouvaient être fort intéressés par ce que nous publiions. C'était à un tel point qu'en février 2015, un article à lui seul avait été lu par plus d'un million de Français !
Lire la suite
Projet de loi 144 : des craintes pour les parents qui font l’école à la maison
Assemblée nationale du Québec — Photo : Wikimedia Commons
(pouruneécolelibre) — Radio-Canada communique :
« Les parents qui font l’école à la maison ont suivi attentivement cette semaine la commission parlementaire sur le projet de loi 144. Ce projet de loi, qui vise à garantir à tous les enfants de 6 à 16 ans l’accès à l’éducation, encadrera mieux les familles qui ont fait ce choix. »
Admirez l’euphémisme : on pourrait presque croire que l’État va aider les parents. Il s’agit en réalité de contrôler de plus près les parents et de les empêcher, si le gouvernement le décide, de faire les choix éducatifs qu’ils préfèrent. Bref, de serrer encore la vis.
« Le ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, souhaite mettre de l’ordre dans les règles encadrant ce choix éducatif. »
Qui peut être contre l’ordre ? Mais y avait-il désordre ? De quelle manière ? À nouveau, il s’agit d’une présentation méliorative et non objective. Rappelons qu’il n’y a aucune preuve que plus de contrôles tatillons améliorent les résultats des enfants instruits à domicile.
Lire la suite« Plus tôt cette semaine, il a laissé entendre qu’il voulait respecter les droits des parents tout en évitant les abus et les laisser-aller. »
Le raz-de-marée LGBT
Par Paul-André Deschesnes
L’été 2017 nous a abondamment chloroformés et intoxiqués avec ses 250 festivals au Québec. L’heure est aux divertissements de tout acabit. Le bon peuple ne pense qu’à s’amuser et se distraire en oubliant complètement ses fins dernières et son éternité qui arriveront bien un jour.
Dans cette ambiance jouissive, permissive et athée, il y a eu un événement historique qui s’est passé au cours de ce tsunami de festivités. Je veux parler de l’incontournable défilé de la fierté LGBTQ qui s’est déroulé à Montréal le dimanche (Jour du Seigneur ???) 20 août 2017. Il y avait 300,000 spectateurs (un record historique) agglutinés le long du parcours (familles, adultes, enfants, bébés en grand nombre, etc.) pour admirer cette croustillante parade où la nudité règne toujours en maître. Du jamais vu !
En tête du cortège, on a longuement applaudi Justin Trudeau, premier ministre du Canada, Philippe Couillard, premier ministre du Québec, Denis Coderre, maire de Montréal, et cette année, une première, Léo Varadkar, le premier ministre de la très catholique Irlande, invité spécial de Monsieur Trudeau, car il est sorti du placard il y a quelques mois.
Lire la suiteAuto génocide québécois : déconstruction d’une société
Le Québec est en danger
Par Isabelle O’Connor Montcerf-Lytton (VivereCanada)
Le gouvernement du Québec a lancé, ce 29 juin, sa Stratégie pour l’égalité homme-femme visant à éliminer toute disparité homme-femme. Là où le bât blesse, c’est de tenter de faire croire, dès le plus jeune âge, que les hommes et les femmes sont non seulement égaux mais aussi identiques et interchangeables. Choisir de nier leurs différences, leur complémentarité, au lieu de les reconnaître et les célébrer, c’est diluer la force du couple naturellement procréateur, qui est le fondement même d’une société (à preuve le lamentable taux d’échec de la procréation artificielle, financée à coup de millions par le gouvernement québécois). Financer des phénomènes antinatalistes comme par exemple le mouvement « child-free », lequel prône le non-désir d’enfant, sans parler de la sexualité contraceptive et abortive, c’est financer son auto génocide. Le Québec n’a pas besoin des autres pour l’éradiquer. Il le fait lui-même. Qu’il réajuste le tir avant qu’il ne soit réellement trop tard. Il est minuit et une.
Est-il vrai que l’éducation à la sexualité en milieu scolaire fait l’objet d’un consensus au Québec ?
Voici une annonce pour un événement, organisée par le CIREF, à ne pas manquer.
Échange sur la question
Le Centre international de recherche et d’éducation familiale (CIREF) qui fait la promotion de la culture de l’amour et de la sexualité intégrés, de la naissance à la maturité, propose aux parents un jour, parents toujours et à leurs loyaux collaborateurs une importante rencontre où nous aborderons l’une des questions cruciales de notre temps pour qui croit en la famille, choix de Dieu, et veut la protéger. Aussi, bienvenue aux jeunes adultes !
Lire la suiteTrès bon texte sur la déshumanisation du Québec
Sur le site de La Vie est Belle du 27 janvier 2014, un texte de Luc Phaneuf à lire :
(les nouvelles églises ouvertes tous les jours)
(Photo : Jean Gagnon sur wikimedia.org, licence creative commons)
Pardonnez ma franchise : le Québec me déprime. Comprenez-moi bien : je ne suis pas au bord de la dépression, loin s’en faut. Ma vie, globalement, va plutôt bien : la famille est en santé, la femme est heureuse – Happy wife happy life, affirme l’adage -, mon travail me passionne toujours autant, je déborde de projets sportifs et intellectuels, j’ai repris la guitare après une pause de 15 ans… Rien dans ma vie quotidienne ne me tire vers le bas, tout au contraire
Rien ? Non, pas tout à fait. Le problème, c’est, comment dire, le Big Picture, l’actualité, et je ne parle pas ici des problèmes en Syrie ou en Palestine. Non, ce qui m’irrite jusqu’à risquer de me faire perdre ma sérénité d’âme et d’humeur, ce sont nos affaires à nous, les Québécois, telles que colportées par l’actualité et ses débats.
(...)