La décadence promue par la Fédération des femmes du Québec
Par Paul-André Deschesnes — Photo : Pixabay
Amis lecteurs, connaissez-vous la FFQ (Fédération des femmes du Québec) ? C’est un organisme gauchiste et très féministe, qui existe depuis plusieurs années, qui est grassement subventionné par le gouvernement québécois et qui se vante de défendre et de très bien représenter les femmes du Québec.
L’an dernier, pour la première fois de son histoire, la FFQ a élu comme présidente un homme devenu femme [en apparence seulement*] après 30 ans (transgenre). Les éloges ont fusé de toutes parts et le puissant lobby transgenre a célébré cette grande victoire, fruit d’une rectitude politique complètement ridicule et insignifiante.
À la fin d’octobre 2018, la sulfureuse présidente de la FFQ a annoncé dans les médias que le Congrès avait voté à très large majorité une résolution demandant au gouvernement fédéral de légaliser la prostitution au Canada.
Mais, pourquoi légaliser cette perversion écœurante ? Actuellement, en Occident et au Québec en particulier, la rectitude politique est devenue une idéologie indiscutable et nocive « qui sème la terreur intellectuelle et sociale dans les médias et dans les instances politiques, où l’on n’ose pas dénoncer ces dérives ». (Denise Bombardier, Journal de Montréal, 3 novembre 2018.)
C’est dans cet esprit diabolique que la FFQ et sa présidente ont voté cette ignoble résolution qui fait l’éloge d’un des pires péchés qui contamine l’humanité partout sur la planète.
Lire la suiteRobert Rumilly : L'infiltration gauchiste au Canada français
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photos : Andy Langager/Flickr et Etsy
Robert Rumilly, né le 23 octobre 1897 à Fort-de-France en Martinique et mort le 8 mars 1983 à Montréal, est un historien québécois, ami de Duplessis et notamment célèbre pour son œuvre colossale : Histoire de la province de Québec (en 41 volumes).
Dans son livre « L’infiltration gauchiste au Canada français », Robert Rumilly dénonce les réseaux gauchistes qui ont préparé la Révolution tranquille, ruinant ainsi l’essor des Canadiens français.
Le livre est disponible sur le site internet Etsy.
Exposé sur la liberté à géométrie variable promue par Télé-Québec
Par Patrice-Hans Perrier (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Facebook, URBANIA et Journal de Montréal n°1 et n°2 / Voici la source de la photo : Khayman, Wikimedia, CC BY-SA 3.0
Trois annonceuses queer lancent des inversions accusatoires sur les ondes qui en disent long sur la gauche institutionnelle.
Télé-Québec remet ça avec l'argent DU contribuable. La télévision d'État mettait en scène dans son émission de la série Les Brutes, édition du 24 octobre, un panel de trois militantes queer venues déverser un flot d'inversions accusatoires régurgitées à la volée.
Le trio coloré de la rectitude queer
Cette émission a pour but de faire le procès permanent de la gent masculine, de préférence blanche, francophone et cisgenre, cela sur le mode de la dérision. On y a invité, cette fois-ci, un trio aux couleurs de l'arc-en-ciel d'une rectitude politique qui se décline selon les canons bien établis par la gauche institutionnelle.
L'animatrice blanche, sorte de pom-pom girl à la fière queue de cheval, était accompagnée de deux personnes « racisées », soit une Caribéenne arborant un [...] anneau dans le nez et l'inénarrable Dalila Awada affublée d'un voile islamique aussi large que son ego.
Une liberté d'expression à géométrie variable
Notre pom-pom girl a démarré la machine à insanités par la déclinaison suivante : « Dans les dernières années on a vu plusieurs personnes s'inquiéter pour la liberté d'expression ».
Lire la suiteL’illusoire morale laïque
Par Jean-Claude Dupuis, Ph. D. — Photo : Pixabay
Si la chroniqueuse du Journal de Montréal, Lise Ravary, tient à enlever le crucifix de l’Assemblée nationale, ce n’est pas par respect pour les autres religions, ni par indifférence religieuse. Si l’on respecte toutes les religions, il faut commencer par respecter la nôtre. Si l’on est indifférent, pourquoi s’attaquer avec tant d’énergie à une petite statue de plâtre? En fait, Madame Ravary défend une position proprement religieuse. Elle avoue son antichristianisme: « La mort de Dieu a permis au péché, emmerdeur de première classe, de prendre la poudre d’escampette. Désormais, la notion du Bien et du Mal reposerait sur la Règle d’or : Traite les autres comme tu voudrais être traité. Vive l’utilitarisme. » (JDM 22-10-2018) Dans sa jeunesse, elle était croyante; elle ne l’est plus. Les anticléricaux les plus fanatiques ne sont jamais des indifférents. Ce sont des catholiques apostats. Lise Ravary semble avoir un « compte à régler » avec l’Église, et plus particulièrement avec la notion de péché. Elle n’est pas la seule de sa génération.
Et pourtant, elle admet la fragilité de sa position philosophique. « Le péché avait ses qualités, souligne-t-elle. Dommage qu’il n’existe pas en version laïque parce que le monde commence à m’inquiéter. » (Ibid.)
Lire la suiteUne éducation à la sexualité provenant d'institutions internationales : la pourriture à l'échelle mondiale
Jean-François Denis de ThéoVox Actualité.
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Capture d'écran de la vidéo de ThéoVox Actualité
Voici une intéressante vidéo, réalisée par Jean-François Denis de ThéoVox Actualité, qui nous parle de l'influence de l'ONU, l'UNESCO, l'UNICEF et l'OMS sur l'éducation à la sexualité partout dans le monde. Le répugnant cours d'éducation à la sexualité du Québec semble suivre les directives de ces divers organismes.
Un événement de reconnaissance du deuil d'enfants décédés avant et après la naissance
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pexels/Pixabay
L'événement, appelé « Moment de reconnaissance du deuil périnatal », a eu lieu à l'Université de Québec en Outaouais (UQO) dimanche dernier et serait le premier de la sorte.
C'est assez époustouflant de voir des professionnelles de la santé parler de bébé ou d'enfant, là où de nombreuses gens glapiraient le mot « fœtus », et ce dans notre société pro-abortive. Nous pouvons constater qu'il est question d'enfant à naître comme d'un bébé, c'est-à-dire, comme d'une personne.
Le journal Le Devoir rapporte :
L’événement a été organisé par le Centre d’études et de recherche en intervention familiale (CERIF) et réunissait des parents qui ont perdu leur enfant pendant la grossesse ou dans les 28 jours suivant celle-ci.
La directrice du CERIF et professeure en sciences infirmières à l’UQO, Francine de Montigny, explique l’idée derrière ce premier rassemblement du genre en Outaouais.
« Les parents de la région qui ont vécu un deuil périnatal ont besoin d’un moment pour se souvenir de leur bébé. C’est important pour eux de déposer leur peine entourés de leur réseau de soutien ou encore de parents qui ont vécu le même drame qu’eux. »
Une mère a raconté son expérience lors de l'événement, d'après le journal Le Devoir :
Mélanie Lepage se souvient « d’avoir eu à justifier ma souffrance et à convaincre les gens que ma peine était légitime et qu’elle n’était pas exagérée. J’ai eu à presque demander l’autorisation d’être en deuil. »
Le Québec : une nation catholique
La première messe de Montréal par Georges Delfosse.
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikimedia Commons
C'est ce qu'affirme avec vérité Alexandre Cormier-Denis, animateur de la chaîne YouTube Nomos-TV. En effet, la Nouvelle-France, dont le Québec est l'héritier, a été fondé en premier lieu pour l'évangélisation des Amérindiens, et la rapide propagation de la colonie est en partie dû au zèle fervent des missionnaires ; par la suite, après la conquête de la Nouvelle-France par les Britanniques, la seule institution française (pendant une longue période) est l'Église catholique romaine (le clergé étant composé de Français et ayant à cœur ses ouailles) ; pour finir, toutes les institutions au Québec ont une origine catholique.
M. Cormier-Denis explique également que le Québec s'est, non pas laïcisé mais, sécularisé, la distinction entre la laïcisation et la sécularisation étant que la laïcisation est la séparation de l'Église et de l'État, et que la sécularisation est plutôt la cessation de la pratique parmi les Québécois.
Nouvelle tournée de la pièce « Histoire de Julie qui avait une ombre de garçon »
Par Réinformation.TV
Pour la troisième année consécutive, la pièce « Histoire de Julie qui avait une ombre de garçon » sera donnée lors d’une quinzaine de séances scolaires, en Occitanie et Nouvelle Aquitaine, sans compter les séances publiques. Entre janvier 2016 et juin 2018, la pièce a déjà été donnée 103 fois, dans 16 départements, touchant 16 000 spectateurs, dont une majorité d’enfants – avec le soutien des Conseils Départementaux.
Elle est tirée du roman éponyme (publié aux Éditions du Sourire qui mord, ça ne s’invente pas…) et a été jouée pour la première fois en avril 1982, à Québec. La déconstruction genrée a de vieilles racines…
Vigi-gender donne le témoignage d’une maman spectatrice en 2016 : « Cette pièce relate l’histoire d’une petite fille, garçon manqué, qui est opprimée par ses parents qui n’acceptent pas sa différence, et d’un petit garçon que tout le monde moque car il pleure comme une fille. Le final était, je cite textuellement : « Mais alors une petite fille a le droit d’être un garçon et un garçon a le droit d’être une fille » avec, en ombres chinoises, un garçon déguisé en fille et une fille déguisée en garçon. »
A cette même séance, les enseignants avaient aussi trouvé que certains passages étaient choquants et ont dû s’excuser auprès des parents
La théorie du genre ? Il n’en est absolument pas question selon la Compagnie, qui propose pourtant un dossier pédagogique avec des pistes d’exploitation en classe ad hoc, sur… les stéréotypes de genre.
Un nouveau ministre de l'Éducation inquiétant
Par Pour une école libre au Québec — Photo : Gilbert Bochenek/Wikimedia Commons
La CAQ (Coalition pour l’avenir du Québec) a remporté les élections et le Premier ministre a désigné Jean-François Roberge, un ancien enseignant, à la barre de ce ministère.
M. Roberge est un fervent partisan du controversé programme d’Éthique et culture religieuse. En 2012, il s’est levé en congrès de la CAQ pour défendre cette créature, il fut à l’époque mis en minorité par les militants de la CAQ.
Sur le plan de l’instruction à domicile qui connaît un succès croissant au Québec (en partie à cause de l’interdiction gouvernementale d’école religieuse décrétée illégale), on peut se faire une idée de ce que pense le nouveau ministre à la lumière de ses interventions au cours des débats qui se sont déroulés l’automne passé autour du projet de loi 144. Entre autres choses, il a présenté certains amendements proposant que l’enfant instruit à la maison doive être soumis au programme complet du ministère ainsi qu’aux examens ministériels. Réduisant la liberté de choix pédagogiques des parents à une peau de chagrin pour centraliser de plus en plus de pouvoir aux mains des bureaucrates.
Lire la suiteUn cours d'éducation sexuelle nauséabond
Par Pour une école libre au Québec — Lettre de la ESCC au ministre de l'Éducation, du Loisir et du Sport, Sébastien Proulx
(ESCC) — Monsieur le ministre, Le Conseil catholique d'expression anglaise (ESCC) a été fondé en 1981 et représente les intérêts de presque 400 000 catholiques anglophones au Québec. Au fil des ans, le Conseil s’est prononcé sur un large éventail de questions relatives à l’éducation au Québec, notamment la déconfessionnalisation et, plus récemment, le programme d’Éthique et culture religieuse (ÉCR). Le Conseil d’administration de l’ESCC désire porter à votre attention ses préoccupations concernant le programme d’éducation sexuelle introduit comme projet pilote dans 19 écoles du Québec en septembre 2015 et qui doit devenir obligatoire dans toutes les écoles du Québec en 2017. Nous tenons d’abord à féliciter le ministère de l’Éducation de se préoccuper de la santé physique et psychosociale de la jeunesse du Québec. L’environnement social actuel présente plusieurs tendances inquiétantes, notamment l’omniprésence d’attitudes et de comportements qui semblent normaliser l’exploitation et l’agression sexuelles, et la prévalence croissante des ITSS [infections sexuelles] chez les jeunes du Québec. C’est sans doute pour contrer ces tendances que le Ministère a jugé urgent de mettre en place un programme qui permettra d’aborder ces questions. Tout en comprenant bien les intentions du Ministère, le Conseil éprouve néanmoins de sérieuses inquiétudes touchant la méthode et les postulats sous-jacents du programme.
Nous sommes préoccupés par l’approche multidisciplinaire de l’éducation sexuelle telle que présentée pour le nouveau programme. Le programme encourage non seulement une méthode transversale, mais également l’implication de tous les enseignants, administrateurs et membres du personnel de soutien dans sa mise en œuvre. En théorie, on peut penser qu’une telle approche est plus globale et donc plus efficace, mais en pratique, nous estimons qu’elle mènera à une dilution du programme et à son échec. Il nous paraît illogique, sur le plan pédagogique, de (1) confier l’enseignement de la matière à des enseignants spécialisés dans d’autres disciplines et ayant peu de formation, sinon aucune, en éducation sexuelle et (2) de répartir l’enseignement à travers les disciplines sans jamais vraiment se centrer par conséquent sur la matière elle-même. Nous sommes également préoccupés par le fait que la matière est intégrée dans plusieurs disciplines différentes au lieu d’être présentée de façon distincte et séparée, ce qui, pour les parents, rend extrêmement difficile, sinon impossible, de suivre l’exposition de leur enfant à cette matière.
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