« Je vous souhaite de regarder la réalité en face »: Lettre ouverte au premier ministre Justin Trudeau
Famille de l'auteur. « Monsieur le Premier Ministre, comme vous je connais la beauté et la profondeur du rôle de père comme protecteur des personnes faibles et vulnérables, spécialement des enfants.»
Bravo ! Sous peu, nous dépasserons notre objectif de 4000 signatures contre l'acharnement de Justin Trudeau contre les pro-vie et les chrétiens.
(Si vous ou vos amis n'avez pas encore signé notre pétition, faites-le dès aujourd'hui >>)
Aussi, nous avons contacté dernièrement un député libéral du Québec, et nous lui ferons parvenir la lettre ouverte à Justin Trudeau que vous trouverez ci-dessous. Finalement, dans un futur proche, nous présenterons vos pétitions à Ottawa. Nous vous tiendrons au courant de nos démarches ! (Pour suivre tous les rebondissements de l'affaire des subventions pour étudiants et les autres actes injustes du gouvernement libéral de Justin Trudeau, allez ici >>)
Continuons le bon combat,
Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie
« Je vous souhaite de regarder la réalité en face »: Lettre ouverte au premier ministre Justin Trudeau
Le très honorable Justin Trudeau, C.P., député
Premier Ministre du Canada
Édifice Langevin Ottawa (Ontario)
K1A 0A2
Monsieur le Premier Ministre,
Je vous écris pour vous exprimer ma profonde déception devant la nouvelle que votre gouvernement désormais refusera d’accorder des subventions, dans le cadre du Programme « Emploi d’été Canada », aux organismes dont le « mandat principal » est de combattre l’injustice de l’avortement. Je vous écris aujourd’hui pour 1) vous décrire un peu mon historique personnel ainsi que celui de l’organisme pro-vie que je représente, Campagne Québec-Vie, pour vous faire comprendre comment des milliers de Canadiens comme moi-même pourraient s’opposer à ce que vous pensez être un droit inviolable, l’avortement, 2) réfuter votre prétention, infondée, que le droit absolu à l’avortement est enchâssé dans la constitution canadienne et la Charte des droits et libertés, 3) vous présenter néanmoins un point sur lequel nous semblons être en accord; 4) vous proposer une voie à suivre qui serait véritablement au service du bien commun de tous les Canadiennes et Canadiens.
Monsieur le Premier Ministre, comme vous je suis père de famille dans la quarantaine. Comme vous je connais la beauté et la profondeur du rôle de père comme protecteur des personnes faibles et vulnérables, spécialement des enfants. Néanmoins, voilà dix ans que je me bats bec et ongles contre le prétendu « droit » à l’avortement tandis que vous êtes un défendeur inconditionnel de ce « droit » qu’auraient les femmes de mettre un terme à la vie de l’enfant qui grandit en elles.
Comment expliquer une telle divergence d’opinion, spécialement lorsque vous ne cessez d’affirmer publiquement votre attachement au catholicisme, dont l’enseignement, de la bouche de ses dirigeants (dont le Pape Jean-Paul II et le Pape François), ne peut être plus clair : que tout avortement provoqué est un « meurtre » absolument à proscrire ?
Monsieur, j’étais comme vous un catholique qui ne se souciait pas de la vie des enfants à naître. Je dois vous avouer par contre que je n’étais pas « pro-choix ». Pour moi, la question ne m’intéressait simplement pas. Vers la mi-trentaine, j’étais étudiant au doctorat, et catholique pratiquant. La question de l’avortement commençait, en ces temps-là, à m’intéresser davantage, étant donné les enseignements de l’Église sur cette question. Rien par contre ne m’avait préparé pour l’expérience que j’ai faite lorsque j’ai visionné une vidéo d’avortement diffusée lors d’une soirée organisée par un groupe « pro-vie » de l’université où j’étudiais. La vue de ces petits corps démembrés d’enfants à naître qui ont perdu la vie faute de protection m’a marqué, tel un fer rouge, la conscience pour toujours. Jamais je ne pourrai effacer ni nier la réalité de ce qu’est un avortement : loin d’être un droit, ce geste n’est rien d’autre que le meurtre d’un être humain innocent. J’ai vu de mes yeux le corps d’un enfant avorté de 20 semaines de gestation se faire enrouler dans du papier ciré pour être jeté à l’incinérateur : est-ce là une valeur canadienne dont tous peuvent être fiers ?
Loin d’être un droit à défendre et à promouvoir partout dans le monde, l’avortement est une tragédie indicible. Monsieur le Premier Ministre, au-delà du débat, il y a la réalité : celui du petit bébé, de l’enfant, qui est visé par l’avorteur et tué à chaque fois qu’un avortement a lieu. Comment pouvez-vous ignorer cet enfant? Moi, il m’a fallu cette vidéo pour me réveiller. Je vous souhaite aussi ce réveil, car même si la réalité peut choquer et même nous blesser, il vaut mieux souffrir dans la réalité que de jouir dans un monde d’illusions réconfortantes.
Ne vous méprenez pas : je suis tout aussi conscient d’une autre réalité, celle de la femme enceinte en détresse. Elle aussi a ses angoisses et ses besoins. Elle aussi souffre terriblement. C’est pourquoi l’organisme au sein duquel j’œuvre depuis 10 ans, Campagne Québec-Vie, tout en condamnant l’avortement, offre également un service d’aide et d’écoute auprès de ces femmes. Par contre, autant que nous aimerions trouver pour ces mamans un moyen de sortir de leur impasse, jamais nous ne pourrions leur offrir comme solution légitime la mise à mort de leur enfant à naître.
Maintenant, passons à votre prétention que l’avortement serait un droit absolu, selon la Charte et son interprétation par la Cour suprême du Canada. Une lecture attentive de l’arrêt Morgentaler (1988), cette décision de la Cour suprême qui dépénalisa l’avortement au Canada, nous indique clairement que ce soi-disant « droit » est restreint et que « parvenu à un certain point (p. ex. du développement de l’enfant), les intérêts légitimes de l’État vis‑à‑vis... la vie fœtale justifient de le restreindre. » (para. 236). Donc cette décision indique que l’avortement peut être restreint par le parlement. D’ailleurs, une telle tentative, menée par le gouvernement de Brian Mulroney, a été défaite de justesse au Sénat, en troisième lecture.
Passons maintenant au principe qui nous unit. Vous serez peut-être surpris, mais je suis en complet accord avec vous sur le point suivant : un État qui serait doté d’une Charte digne de ce nom ne serait aucunement obligé d’octroyer des fonds à des groupes qui combattent sa charte ou les droits qu’elle reconnaît. Je ne vois pas en quoi un État de droit aurait intérêt, par exemple, à subventionner des groupes qui feraient la promotion de l’esclavage. Je sais que si un jour le droit à la vie de l’enfant à naître est inscrit dans notre Charte, je ne serais pas de ceux qui se plaindraient de voir un groupe « pro-choix » se faire refuser son financement !
C’est d’ailleurs pourquoi je trouve spécieuse votre distinction entre « mandat principal » et « mandat secondaire » dans cette affaire d’allocation de fonds pour le Programme « Emploi d’été Canada ». Contre votre affirmation que les religions seront épargnées de votre épuration, j’ajoute que tôt ou tard une Église qui n’aurait que le « mandat secondaire » de combattre l’avortement passera dans votre collimateur et se fera refuser son financement, et pour cause : comment refuser le financement à un organisme comme le mien qui combat l’avortement tout en l’accordant à une Église qui m’enjoint par sa doctrine et par la bouche de ses dirigeants de continuer mon combat ? Pour reprendre l’exemple de l’esclavagisme, si moi-même j’étais premier ministre, je ne verrais pas en quoi je pourrais refuser le financement aux organismes pro-esclavage tout en l’accordant aux organismes religieux qui encouragent l’esclavage.
Monsieur Trudeau, je veux maintenant oser vous suggérer une voie à suivre qui serait, selon moi, véritablement au service du bien commun de tous les Canadiennes et Canadiens. Tout simplement, je vous souhaite de regarder la réalité en face. Vous êtes manifestement attaché au catholicisme : demandez-vous pourquoi. Demandez-vous pourquoi vous passez sous silence l’existence de cet enfant qui est la victime de l’avortement, quand notre Église enseigne qu’il faut défendre à tout prix ces petites vies innocentes. Si vous aimez défendre les marginalisées et les persécutés, demandez-vous pourquoi vous refusez de voir en la personne de l’enfant à naître le marginalisé par excellence. J’ai la conviction qu’une fois vos yeux ouverts à la réalité de l’avortement, vous serez du même coup amené à comprendre cette religion catholique que vous semblez affectionner sans trop la connaître. Surtout, en souffrant ici-bas en tentant d’enrayer l’avortement, vous aurez réellement fait la promotion du bien commun de notre pays. En souffrant pour défendre les victimes innocentes de l’avortement, vous aurez surtout partagé le lot de tous les disciples du Christ, c’est-à-dire la souffrance dans l’espoir d’une autre patrie (« Ils désirent une patrie meilleure » [Hébreux 11:16]). Surtout, en souffrant pour mettre terme à l’avortement, vous aurez imité Celui qui a souffert le premier pour nous sauver. C’est qu’il faut parfois même souffrir jusqu’à être coupé de l’héritage de son père terrestre, pour faire la volonté du Père céleste.
Vôtre pour la Vie,
Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie
Notre travail n'est possible
que par vos prières et vos dons.
Un professeur de cégep suspendu pour prétendue « homophobie », la haine est peut-être ailleurs
Cégep du Vieux Montréal
Le professeur de philosophie Jean Laberge a été suspendu du Cégep du Vieux Montréal en attente d’éventuelles sanctions, a appris Radio-Canada. La direction lui reproche des propos homophobes tenus en dehors de l’établissement, notamment sur sa page Facebook. Le professeur compte plaider le droit à la liberté d’expression.
Jean Laberge est un professeur « controversé » selon Radio-Canada. Fervent catholique, de droite, il se qualifie lui-même de « mouton noir » du Cégep du Vieux Montréal.
Depuis plusieurs mois, ses publications indisposent des étudiants et des collègues. Que ce soit sur sa page Facebook, publique, ou sur le site web du Huffington Post, où il tient un blogue. C’est un texte publié le 17 janvier sur son compte Facebook qui a provoqué la réaction de la direction du cégep.
Jean Laberge y exprime son « aversion » pour l’homosexualité. Il parle de sa « peur » et son incompréhension de l’homosexualité, même s’il précise qu’il la « respecte ».
Lire la suite« L’État a un intérêt légitime à protéger l’enfant à naître » — Déclaration à l’occasion du 30e anniversaire de la décision Morgentaler
Parlement du Canada.
Par S.E. Monseigneur Lionel Gendron, évêque de Saint-Jean–Longueuil et président de la Conférence des évêques catholiques du Canada (CECC)
Il y a trente ans jour pour jour [le 27 janvier — NDLR], la Cour suprême du Canada a statué que les dispositions sur l’avortement, alors en vigueur dans le Code criminel de notre pays, violaient le droit de la femme garanti par la Charte concernant la sécurité de sa personne, et qu’elles étaient donc inconstitutionnelles. Depuis ce jugement, il n’existe aucune loi pénale qui réglemente l’avortement au Canada. Or, Monsieur Gerard Mitchell, ancien juge en chef de l’Île-du-Prince-Édouard, a fait remarquer qu’à l’époque de la décision Morgentaler en 1988, « aucun des sept juges n’a soutenu qu’il existe un droit constitutionnel à l’avortement sur demande ». Au contraire, « tous les juges reconnaissaient que l’État a un intérêt légitime à protéger l’enfant à naître ». En dépit des efforts héroïques de nombre de citoyennes, de citoyens et d’organismes canadiens pour assurer en droit la pleine protection de l’enfant à naître, plusieurs gouvernements fédéraux successifs ont failli à la tâche de prendre des mesures décisives. Le Canada est aujourd’hui l’un des seuls pays au monde où l’avortement soit encore permis à toutes les étapes de la croissance prénatale et pour quelque motif que ce soit.
Légal ou non, chaque avortement fait au moins quatre victimes : l’enfant à naître, la mère, le père et la communauté. Les gestes de la mère, qu’ils soient contraints ou posés librement, lui causent une blessure qui perdure souvent toute sa vie. L’avortement peut aussi susciter des tensions destructrices entre les parents et avec leurs familles. Même si certaines voix continuent de présenter l’accès sans réserve à l’avortement comme le garant de la liberté des femmes, l’avortement ne fait rien, en réalité, pour répondre aux vrais défis que doit relever la femme confrontée à une grossesse non désirée. Il ne corrige pas non plus les autres facteurs sociaux qui limitent injustement la liberté des femmes. L’avortement permet simplement à la société d’éviter plus facilement le devoir moral qui lui incombe d’assurer la protection et l’hébergement des plus vulnérables : les mères enceintes, les enfants à naître et toutes les personnes dans le besoin. L’avortement n’est jamais une solution.
Lire la suiteRencontre d’un militant pro-vie avec son député fédéral : les coupes de subventions faites par le gouvernement Trudeau envers les pro-vie
Justin Trudeau, premier ministre du Canada.
Cet article nous a été envoyé par un militant pro-vie
Sur le sujet qu’on pourrait effectivement aussi appeler : Justin Trudeau veut faire mourir les organismes pro-vie. C’est sur les nouvelles exigences pour les employeurs qui appliquent pour le programme Emploi d'été Canada (EÉC) qu’ils doivent accepter que la pratique de l’avortement est maintenant un droit et donc que les enfants à naître n’en sont pas vraiment et qu’aucune protection de leur vie n’est à envisager.
Mon rendez-vous était de 12H50 à 13H10 avec L’hon. Denis Paradis, député de Brome-Missisquoi (Parti libéral du Canada), il y avait une secrétaire qui participait aussi à la rencontre. En gros, je suis satisfait d’y avoir été, le député Denis Paradis m’a assuré qu’il transmettra mon (le) message à qui de droit (sans me dire à qui précisément). Je lui ai dit : « Je suis inquiet que dans le programme EÉC, de ces nouvelles exigences pour les employeurs ». J’ai parlé seulement de celle par rapport à l’idée que l’employeur, celui qui remplit la demande, doit accepter que l’avortement est une pratique à accepter pleinement (et qui est dit dans d’autres termes dans la demande EÉC). Pas eu le temps de dire : Ce sont des termes qui dissimulent ce qu’ils veulent apporter.
Il m’a répondu que dans notre comté, pour lui c’est un autre point qui le chicote et c’est dans un tout autre ordre d’idées. C’est sur la répartition des subventions aux OBNL (Organismes à but non lucratif) versus celles qui sont accordées aux organismes privés, au niveau du % de la portion subventionnée pour chacun. Il m’a dit que pour lui, c’est ça qui le chicote et que les modifications qui ont eu lieu (avortement, LGBTQ), ce n’était pas nécessaire de l’avoir, mais plutôt au niveau de la répartition du barème des subventions (ONBL) versus pour une entreprise privée qui participe à EÉC. Il dit que lui, il est un pragmatique et que c’est plutôt cette modification-là qu’il aurait voulu voir arriver. C’est positif pour nous, à moins qu’il disait ça pour me faire plaisir. Comme je disais, il m’a assuré qu’il transmettra mon (le) message à qui de droit (sans me dire à qui précisément). Et il m’a dit aussi que la liberté de religion — j’ai ajouté : « liberté de conscience » — est importante à sauvegarder pour tous comme aussi pour les appliquants à ce programme (EÉC).
Lire la suiteBlasphémer l’amour
Montréal.
Par Paul-André Deschesnes
Chers lecteurs, trouvez-vous mon titre trop provocateur ? Pourtant, c’est la triste réalité !
En janvier 2018, tous les médias du Québec nous ont invités à nous rendre à la grande salle de la place Bonaventure de Montréal, afin d’admirer le « Salon de l’amour et de la séduction », un événement « jouissif et instructif », un incontournable rendez-vous dans notre Métropole hyper décadente qui s’est tenu les 19, 20 et 21 janvier 2018.
Annuellement, tous les commerçants du sexe se ruent en très grand nombre pour annoncer leur « bonne nouvelle », pour exposer leur cochonnerie et pour faire des affaires d’or devant la foule en délire qui en redemande toujours plus.
Cette année, on nous a annoncé que l’on peut satisfaire tous les groupes d’âge (bientôt les enfants, pourquoi pas ?) en quête de jouissances sexuelles tous azimuts. Il paraît que les aînés sont maintenant présents en très grand nombre à ce salon de l’ordure, car ils s’autoproclament très actifs et très performants sur le plan sexuel.
Lire la suiteMauvaise nouvelle : le premier ministre du Québec veut « adapter » toutes les écoles aux transgenres
Par Paul-André Deschesnes
L’Occident décadent est en train de bâtir une société très bizarre, où les minorités de toutes sortes font la loi et imposent leur croyance à tous les niveaux.
Le premier ministre du Québec a annoncé officiellement le 17 janvier 2018, qu’il faut de toute urgence « adapter toutes les écoles primaires, secondaires, collégiales, et universitaires aux élèves, étudiants et professeurs transgenres ».
Tous ces élèves doivent maintenant être identifiés par le prénom et le sexe qu’ils viennent de choisir. Ils doivent aussi avoir accès aux vestiaires, douches et toilettes de leur choix (hommes, femmes ou toilettes neutres). Le gouvernement va donc débloquer des millions de dollars pour ajouter dans tous les établissements scolaires du Québec des toilettes neutres car il faut respecter la nouvelle identité sexuelle de tous et toutes ; c’est un droit fondamental reconnu par les Chartes en vigueur au Québec et au Canada.
Lire la suiteBonne nouvelle : de nombreux médecins refusent d’administrer l'euthanasie
Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — source, le journal La Presse
Une étude, unique en son genre, dirigée par deux chercheuses québécoises, le Dr. Lucie Opatrny et l'éthicienne Marie-Ève Bouthillier, auprès des médecins de Laval et rapporté par le journal La Presse, montre que beaucoup de médecins refusent d’administrer « l’aide médicale à mourir » (AMM) (l’euthanasie).
Un sondage réalisé par le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de Laval auprès des médecins de son territoire, avant l'entrée en vigueur de la loi, révèle qu’un tiers d’entre eux avait annoncé qu’il ne s’impliquerait pas dans l’AMM (l’euthanasie).
Un an et demi plus tard, le CISSS de Laval s’est aperçu que 77% des médecins ayant reçu une demande AMM (l’euthanasie) ont refusé de participé à l’AMM (l’euthanasie) « (47 sur 61), se prévalant tous de la clause d'objection de conscience. » Rapporte le journal La Presse.
Ainsi les médecins répugnent à participer à un meurtre.
Le Dr. Opatrny pense que d’autres régions vivent dans la même situation qu’à Laval « Alors », dit-elle « on souhaite que ces résultats servent à alimenter la réflexion partout au Québec ». Révèle le journal La Presse.
Lire la suiteGratuité de la pilule abortive : Le fœtus aux égouts
La pilule abortive, le RU-486.
Par Paul-André Deschesnes
En décembre 2017, le Québec aurait fait un «très grand pas en avant», selon les féministes et tout le gratin de la gauche québécoise qui carbure aux idéologies de la «pensée unique».
Le gouvernement québécois a donné le feu vert à la diabolique pilule abortive pour les femmes qui veulent se débarrasser rapidement de leur bébé sans être obligées de passer par une clinique d’avortement.
Cette pilule «miracle» (300 dollars), prescrite par un médecin et obtenue gratuitement dans toutes les pharmacies du Québec peut être utilisée à la maison jusqu’à la neuvième semaine de grossesse. La femme prend ce «médicament» le soir au coucher et dès le lendemain matin, elle expulse son bébé assise sur le siège de la toilette ; elle tire la chasse d’eau et envoie cet enfant à naître aux égouts municipaux.
En Occident, cette façon d’avorter est de plus en plus populaire. Plusieurs pays dits très postmodernes ont déjà légalisé cette cochonnerie satanique. Les autres vont très bientôt le faire car il y a une très forte demande pour ce «bonbon» empoisonné.
Lire la suiteLe nouveau Centre diocésain pour le mariage, la vie et la famille voit le jour
Katerine Perrault et Ellen Roderick directrices du Centre diocésain pour le mariage, la vie et la famille
Par diocesemontreal
L’archidiocèse de Montréal annonce la création d’un organisme pour renforcer la vie de famille : le Centre diocésain pour le mariage, la vie et la famille.
Ce nouveau centre résulte de la fusion de l'Office de la famille et de son équivalent anglophone, le Family Life Office, et perpétuera les valeurs et les efforts mis en place par ses deux directeurs Serge et Sylvie Vallée, nouvellement retraités.
Le Centre diocésain pour le mariage, la vie et la famille répond aux besoins exprimés depuis deux ans par les communautés montréalaises. Le Centre est sous la direction de Mesdames Katerine Perrault et Ellen Roderick, toutes deux diplômées de l'Institut pontifical Jean-Paul II d'études sur le mariage et la famille, basé à Rome* avec une filiale à Washington D.C.
La mission du Centre consiste à redynamiser les efforts diocésains d'évangélisation dédiés au mariage, à la vie et à la famille, grâce à la formation, l'accompagnement et l'engagement culturel [...] Le Centre diocésain pour le mariage, la vie et la famille concrétise ainsi le désir de l'Église catholique à Montréal de partager avec les personnes de bonne volonté les richesses et les promesses de bonheur que comporte le plan divin sur l'amour humain.
Lire la suiteCQV sur Infoman? Et élections 2018
Vidéo de Georges Buscemi, président de CQV, sur l’émission Infoman
Par Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie
Si vous avez par chance visionné l’émission Infoman de fin d’année (émission satirique de nouvelles sur Radio-Canada), qui précédait le Bye-Bye, vous aurez peut-être remarqué qu’on y avait intégré (autour de la 24ième minute) une courte partie de notre plus récente vidéo sur le phénomène des « transgenres ».
Cela démontre qu’ensemble nous réussissons à nous faire entendre. En fait, je crois que de plus en plus de gens sont prêts à nous écouter, surtout qu’il est plus difficile, après plus de 50 ans de « Révolution tranquille » au Québec, de nier les dommages qu’ont causés à la société l’avortement et l’abandon de Dieu.
Et ce n’est pas arbitrairement que nous lions manque de foi et avortement : l’effacement presque complet du fait religieux dans le paysage politique du Québec a fait en sorte que plus rien ne peut suffisamment freiner les passions déchaînées d’un humain qui s’est retrouvé sans boussole.
Le virage antireligieux des années 60 au Québec ouvrit la voie à l’homosexualité, à l’avortement, au divorce, à la stérilisation, à l’euthanasie, etc.
Lire la suite