Les « drag-queens », le symptôme de la transgression
Par Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie
Un nouveau phénomène se répand à une vitesse fulgurante dans nos sociétés, c’est le transgenrisme, dont la manifestation la plus colorée est celle des « drag queens » (ou reines de la drague), ces hommes travestis au maquillage clownesque qui se pavanent désormais sur les plateaux de télé, dans les festivals d’été et dans les écoles (un conseil scolaire a payé une « reine » du nom de Barbada 1 400 $ pour une seule prestation dans une école).
Ces drags queens se prolifèrent à un tel point qu’on les invite jusqu’aux plus profonds recoins du Québec, comme à la paroisse Sacré-Cœur, de la municipalité du même nom sur la Côte-Nord, dans le cadre d’un festival d’été. Heureusement que cette fois-ci, la possibilité qu’un tel spectacle puisse profaner un temple de Dieu avait soulevé un tel tollé (une campagne de pétition de Campagne Québec-Vie comptant près de 1500 signatures en deux jours aidant), que les marguilliers de la paroisse ont décidé de ne plus rendre disponible leur église pour la prestation des drag queens.
Pourquoi cet empressement de la part des écoles, des médias et des festivals d’inviter de telles personnes ? La réponse c’est que les drag queens, représentants colorés de la mouvance transgenre, mouvance qui nie que le corps humain détermine l’identité sexuelle d’une personne (affirmant donc qu’une personne puisse être « biologiquement » mâle mais « psychiquement » femelle), ne sont que la dernière manifestation d’une mouvance séculaire de révolte contre l’ordre naturel voulu par Dieu. Cette révolte, dont la continuation et l’approfondissement est nécessaires pour la préservation des acquis de la nouvelle caste au pouvoir (pouvoir financier, élites politique et culturelle), doit donc être revigorée et explicitée continuellement, par une propagande médiatique tapageuse et envahissante. Les drag queens sont donc aujourd’hui à la fine pointe d’une Révolution contre Dieu et sa Loi qui finira par les écarter au profit de nouveaux représentants, encore plus subversifs.
Lire la suiteDécès de Gilles Noël
Gilles Noël.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (côtés flous rajoutés) : Robert Manon/La Presse/Bibliothèque et Archives nationales du Québec
Gilles Noël, né en 1950, homme politique québécois, a étudié à l’École polytechnique de Montréal, il a été professeur de physique au Cégep du Vieux-Montréal et a enseigné au Cégep de Saint-Jean-sur-Richelieu. Il est décédé d’un problème cardiaque le 21 juillet 2023.
M. Noël était un solide pro-vie qui a fidèlement appuyé Campagne Québec-Vie. Il a notamment participé à la conférence de CQV en 2011 à Québec. Il a participé pendant une décade à une manifestation périodique devant un avortoir de Montréal depuis les années 1990.
Il a rédigé en 2002, en tant que président du Centre national Robert Rumilly, un mémoire contre la législation légalisant les unions civiles entre personnes de même sexe qui a été envoyé à la Commission permanente des institutions de l’Assemblé nationale du Québec chargée d’examiner le projet de loi. Il a également témoigné en personne devant la commission.
M. Noël était partisan de l’aide psychologique pour les personnes désirant se défaire de l’attirance pour les personnes de même sexe — le Québec et le Canada ont depuis malheureusement interdit ces pratiques, sous l’appellation « thérapie de conversion ». M. Noël prônait également l’abstinence pour empêcher la propagation du sida.
Il a fondé en 2000 le parti Démocratie chrétienne du Québec (devenu par la suite Parti unité nationale). Ce parti, comme son fondateur, s’oppose à l’avortement et au « mariage gay », tout en proposant une aide financière directe aux mères afin de favoriser la famille et la natalité.
Ses funérailles seront célébrées à 11 h le 29 juillet en l’église St-Jean-Baptiste, 1251, 5e Avenue, Shawinigan, (secteur Grand-Mère), G9T 2N6.
Que son âme repose en paix.
Les adolescents québécois qui ont piétiné le drapeau de la « fierté » LGBT à l’école accusés d’« incitation à la haine »
Drapeau LGBT arraché par un élève à l'école du Chêne-Bleu à Pincourt.
Par l’équipe de LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie
19 juillet 2023 — Six adolescents du Québec font apparemment face à des accusations au criminel pour avoir enlevé un drapeau de la « fierté » LGBT qui flottait dans leur école secondaire de la région de Montréal.
Selon un reportage vidéo de Rebel News, six écoliers âgés de 13 à 16 ans de l’école secondaire du Chêne-Bleu à Pincourt, au Québec, font face à des accusations criminelles pour avoir enlevé et piétiné un drapeau de la « fierté » gaie en mai.
L’incident, qui a eu lieu le 16 mai, a été filmé et rapporté par LifeSiteNews à l’époque.
Dans un courriel envoyé à Rebel News, la Sûreté du Québec (SQ) — la police provinciale du Québec — a confirmé qu’elle avait enquêté et soumis au Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP) des accusations d’« incitation à la haine » contre « six jeunes mineurs âgés de 13 à 16 ans ».
Dans son courriel, la SQ confirme également que l’enquête et les accusations subséquentes sont liées au retrait et au piétinement du drapeau dit « de la fierté » le 16 mai dernier à l’école secondaire de Pincourt, au Québec.
La SQ n’a toutefois pas pu confirmer qui avait déposé la plainte initiale, mais a réitéré qu’elle avait collaboré avec le DPCP pour porter les accusations.
Dans une entrevue vidéo accordée à Rebel News par l’un des adolescents impliqués, le jeune homme, dont le visage a été flouté et la voix modifiée pour protéger son identité, a déclaré au média qu’une semaine avant sa participation au retrait et au piétinement du drapeau, un groupe d’élèves de l’école avait tenté de lui arracher la croix qu’il portait au cou tout en insultant sa foi chrétienne.
Lire la suiteL’église Sacré-Cœur n’ouvrira pas ses portes pour accueillir un spectacle de « drag-queens »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Khayman/Wikimedia Commons/Répertoire du patrimoine culturel du Québec — Mise à jour 26 juillet 2023
Bonne nouvelle, le spectacle de drag-queens qui devait se tenir dans l’église Sacré-Cœur du village Sacré-Cœur-sur-Le-Fjord-Du-Saguenay, dans le cadre du Festival du Fjord, n’aura finalement pas lieu dans l’édifice sacré ! L’église de la Côte-Nord n’accueillera pas un spectacle de drag, contrairement à ce que titrait (triomphalement ?) TVA Nouvelles le 14 juillet.
La pression populaire aura fait reculer les marguilliers de la fabrique ou les organisateurs du festival, sans doute peu désireux d’attirer une telle attention sur leur localité.
Nous avons d’abord appris, par un sympathisant de Campagne Québec-Vie, que le festival avait été déplacé. Un membre de sa famille ayant contacté la municipalité de Sacré-Cœur au sujet du spectacle de drag-queens, il s’est fait répondre qu’il devait avoir lieu dans le Centre récréatif.
Nous avons vu ensuite sur la page Facebook « Les Drags du Fjord | Festival du Fjord » que l’événement aurai lieu dans le « Centre récréatif (aréna) » du village Sacré-Cœur, le 1er septembre.
Victoire ! Bonne nouvelle ! Il est certes dommageable que l’événement de « drag » ait tout de même lieu, mais au moins il ne se tiendra pas dans l’église du Sacré-Cœur.
Nous avons fait quelques efforts pour dénoncer la tenue de ce spectacle dans une église, notamment en écrivant en un article, en rédigeant une pétition et en envoyant un courriel à nos lecteurs. À quel point notre action a-t-elle influencé la décision des organisateurs de l’événement ? Nous avons en tout cas la joie de voir que le sacrilège n’aura pas lieu.
Dieu merci !
Le Centre de services scolaires de Québec a dépensé 1 600 $ pour la conférence d’un drag-queen
Sébastien Potvin, drag-queen dit Barbada de Barbades.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie
17 juillet 2023 (LifeSiteNews) — Un Centre de services scolaires du Québec a payé le tristement célèbre drag-queen Barbada de Barbades plus de 1 000 $ avec l’argent des contribuables pour une conférence scolaire.
Récemment, le Centre de services scolaires de la Capitale a versé 1 400 $ à Sébastien Potvin, enseignant au primaire et drag-queen, connu sous le nom de scène de Barbada de Barbades, pour une conférence de drag-queen d’une heure et 35 minutes.
Le Centre de services scolaires de la Capitale, qui est responsable des écoles de la ville de Québec, a versé à M. Potvin 1 400 $ et 209,65 $ en taxes de vente provinciale et fédérale, ce qui fait un total de 1 609,65 $, selon les dossiers obtenus par Rebel News.
Le nom de l’école où la conférence a eu lieu n’a pas été révélé par Rebel News pour des raisons journalistiques.
Ce n’est pas la première fois que le gouvernement québécois finance des événements LGBT pour promouvoir le mode de vie LGBT auprès des Canadiens.
Des documents récemment divulgués montrent que le gouvernement fédéral du premier ministre Justin Trudeau a donné 12 millions de dollars de l’argent des contribuables pour financer des organisations et des événements de « fierté » entre 2020 et 2022.
De même, en juin, le gouvernement Trudeau s’est engagé à verser 1,5 million de dollars pour ce qu’il prétend être un « financement d’urgence » pour le mois de la « fierté » aux organisations qui organisent des défilés afin de renforcer la sécurité lors de ces événements.
Lire la suiteDrag-queen dans une église au Québec
Église Sacré-Cœur de Jésus.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : LostRen/Wikimedia
Pétition : Non aux drag-queens à l’église Sacré-Cœur-de-Jésus
Ceci n’est pas le titre d’une émission douteuse, c’est un simple fait, c’est un événement à venir. Un événement de drag-queen aura lieu dans l’église Sacré-Cœur-de-Jésus dans la municipalité de Sacré-Cœur-sur-Le-Fjord-Du-Saguenay. La fabrique de cette paroisse du diocèse de Baie-Comeau a accepté la tenue du Festival du Fjord dans l’église du 31 août au 3 septembre, chose déjà scandaleuse en soi, dont un spectacle de « drag-queen ».
Un spectacle familial, garantit l’un des membres organisateurs, selon Le Journal de Québec :
« C’est un spectacle pour toute la famille, assure le président du comité, Billy Hovington. On veut montrer c’est quoi l’art de la drag et dans le fond, l’art de la drag, c’est du transformisme. »
Mais qu’est-ce qu’un « drag-queen » ou « reine de la drague » ? Si l’on se fie au nom, il s’agit d’une entreprise de séduction à des fins très intéressées. D’ailleurs, ce genre de personnage et de spectacle correspondant se trouvaient dans les cabarets et autres lieux interdits aux mineurs. Ce n’est qu’assez récemment que les drag-queens sont sortis de leurs tavernes pour lire des histoires aux enfants dans les bibliothèques et les écoles, ou pour se trémousser devant eux de façon obscène... Tout cela dans le but avoué de changer leur vision du monde et de leur identité propre. Maintenant, apparemment, ils s’en viennent dans les églises, ce qui est doublement scandaleux.
Lire la suiteEntretien de Georges Buscemi sur Nomos-TV : Le combat pro-vie au Québec
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Nomos-TV/Odysee
Voyez l’entretien de Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie (CQV), avec Alexandre Cormier-Denis sur la chaîne de Nomos-TV. Dans cette entrevue, M. Buscemi explique en quoi consiste la mission de CQV : son combat contre l’avortement, l’euthanasie, l’idéologie du genre ; ses efforts pour l’établissement d’une société chrétienne où seront respectés Dieu, la famille, et la vie innocente, depuis la conception jusqu’à la mort naturelle, ainsi que les raisons pour tenir un programme aussi vaste et varié.
Les sujets abordés dans cet entretien portent aussi bien sur les effets de l’annulation de Roe v. Wade sur le comportement des pro-avortement au Canada, que sur les principes subjectifs de la métaphysique moderne desquels découle l’idéologie « pro-choix », en passant par Edward Feser et son livre La dernière superstition sur la philosophie traditionnelle, les bénéfices d’un retour à une civilisation chrétienne occidentale ainsi que les applications concrètes de l’apologétique pro-vie au Québec.
Vous pouvez voir la vidéo sur la chaîne Odysee de Nomos-TV.
Saint Jean-Baptiste, patron des Canadiens français — anniversaire de la chute de Roe
Saint Jean-Baptiste par le Titien.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Museo del Prado/Wikimedia Commons
Saint Jean-Baptiste, « précurseur du vrai Dieu » comme le chante notre hymne national, est pour ainsi dire l’âme de la nation canadienne-française. Jean-Baptiste qui est « la voix de celui qui crie dans le désert : Rendez droit le chemin du Seigneur » (Jn 1,23) a consacré sa vie à la glorieuse mission que Dieu lui avait confiée : préparer les âmes à la venue du Christ.
C’est d’une mission similaire que notre nation a été investie : porter l’évangile du Christ aux peuples d’Amérique du Nord, pour apporter « la vraie lumière, qui éclaire tout homme venant en ce monde » (Jn 1,9). Et c’est avec zèle que nos ancêtres, dignes hérités de la France catholique, se sont acquittés de cette tâche divine. Notre nation est demeurée chrétienne jusqu’à récemment, rayonnant à travers le monde cet esprit missionnaire.
Le Pape saint Pie X ne s’y est pas trompé quand il nous a donné pour patron l’illustre saint Jean-Baptiste. Le Pape Pie X a attribué, fait particulier, Jean-Baptiste à un peuple, les Canadiens français, et non à un territoire, ce qui montre qu’il comprenait avec pertinence la situation de notre nation.
La décadence et la disparition de notre nation ont commencé avec le rejet de la foi de ses ancêtres, de la foi de Jean-Baptiste. Tant que notre peuple a été fidèle a sa foi, il n’a cessé de grandir et de s’accroître. Quand il est devenu « laïciste », ou du moins une partie de celui-ci, il s’est divisé, adoptant toute sorte de pratiques abjectes, comme l’avortement, à tel point que ses dirigeants proclament que cette dernière pratique fait partie des « principes fondamentaux du Québec ». Absurdité sans nom ! On ne fonde pas un peuple sur ce qui le détruit. Une nation ne peut pas être une nation si elle tue sa descendance, sa natalité : elle cesse d’être...
Saint Jean-Baptiste a été un farouche défenseur du mariage. Il est significatif que ce soit en défendant cette sainte institution que l’« homme envoyé de Dieu » (Jn 1,6) a perdu la vie, c’est dire en effet l’importance du lien matrimonial et de son importance en tant que fondement de la famille.
Ainsi, demandons à saint Jean-Baptiste qu’il nous obtienne le courage et l’humilité qui l’animaient afin d’être comme lui d’ardents hérauts du Christ et pour défendre les vraies vertus du Canada français, dont l’une des plus éminentes est le respect du mariage et de la famille.
Aujourd’hui, en plus de la Saint-Jean, c’est le premier anniversaire de la chute du jugement Roe vs Wade chez nos voisins étatsuniens, une victoire majeure pour les pro-vie dans ce pays et signe d’espoir pour tous les pro-vie du monde. C’est, en effet, le jour habituel de la Nativité de saint Jean-Baptiste, et exceptionnellement de la fête du Sacré-Cœur, que le jugement Dobbs, invalidant Roe, a été rendu en 2022.
Vous souhaitant une bonne Saint-Jean,
Augustin Hamilton
Le Québec est la région du monde où l’euthanasie est la plus pratiquée : 7 % des décès
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
Dans le cadre d’une série d’articles sur la loi canadienne sur l’euthanasie (AMM), James Reinl, correspondant du Daily Mail pour les affaires sociales, a publié le 15 juin un article sur le Québec qui a désormais le taux d’euthanasie le plus élevé au monde. Reinl rapporte :
Lire la suiteLe Québec est devenu la région du monde où l’euthanasie est la plus pratiquée, près de 5 000 Québécois ayant opté pour le suicide assisté l’année dernière, alors même que les autorités de la province canadienne facilitent la fin de vie des malades en phase terminale.
Près de 8 % des décès au Québec sont des suicides assistés — ce qui est beaucoup plus élevé que dans les autres provinces du Canada et même que dans des pays comme la Belgique et les Pays-Bas, où les lois permettant l’euthanasie sont beaucoup plus anciennes.
Ces nouvelles données surviennent alors que les autorités québécoises élargissent l’accès au suicide assisté aux personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer et autres maladies graves, et exigent que tous les centres de soins palliatifs et les hôpitaux privés de la province proposent cette procédure.
Des pro-vie lancent la tournée des « Visages de l’avortement » pour changer les cœurs et les esprits à travers le Canada
Le Canadian Centre for Bio-Ethical Reform.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie
15 juin 2023 (LifeSiteNews) — Des militants pro-vie ont lancé une tournée des « Visages de l’avortement » à travers le Canada pour « confronter les Canadiens aux visages des victimes de l’avortement ».
Cet été, le personnel et les stagiaires d’été du Canadian Centre for Bio-Ethical Reform (CCBR) voyageront à travers les dix provinces, organisant des présentations et se livrant à l’activisme de rue pour changer les cœurs et les esprits dans la nation.
« Chaque jour au Canada, près de 300 enfants sont tués par l’avortement — sans nom et sans visage », peut-on lire dans un communiqué de presse du CCBR.
« Pour mettre fin à ce massacre et épargner aux femmes le traumatisme de l’avortement, le CCBR s’engage à rendre visibles les victimes de l’avortement, à réhumaniser ceux qui ont été déshumanisés — afin de confronter la culture aux victimes de l’avortement », poursuit le communiqué.
Au cours de cette tournée, le CCBR utilisera un camion cube des « Truth Trucks » (Camions de la vérité), avec des photographies de bébés assassinés sur les côtés, un camion vidéo et des panneaux de signalisation portés à la main pour montrer aux Canadiens la vérité sur l’avortement par le biais de photographies de victimes d’avortements.
La tournée vise à montrer aux Canadiens ce que fait un avortement : il assassine un être humain innocent dont le visage se développe.
« La relation avec le visage est immédiatement de nature éthique. Le visage est ce qu’on ne peut tuer, ou du moins dont le sens consiste à dire : “tu ne tueras point” » écrit le CCBR, citant le philosophe Emmanuel Levinas.
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