Le Québec aurait aujourd'hui 20 millions d'habitants s'il avait maintenu son taux de fécondité des années 50
Par Campagne Québec-Vie — Photo : deagreez/Adobe Stock
Pour estimer la population actuelle du Québec si le taux de natalité des années 1950 avait été maintenu, procédons comme suit :
1. Déterminer le taux de natalité du Québec dans les années 1950 :
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Le taux de fécondité total (TFT) au Québec dans les années 1950 atteignait un sommet d'environ 4,1 enfants par femme.
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Le taux brut de natalité (TBN) était d'environ 28,9 naissances pour 1 000 habitants en 1947, ce qui est représentatif de la période des années 1950.
2. Comparer avec le taux de natalité actuel :
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En 2023, le TFT au Québec a diminué pour s'établir à 1,38 enfant par femme, l'un des niveaux les plus bas de l'histoire de la province.
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Le TBN actuel est d'environ 9 naissances pour 1 000 habitants.
3. Analyser les tendances démographiques :
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En 1951, la population du Québec était d'environ 4,1 millions d'habitants.
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Aujourd'hui, elle est estimée à environ 8,7 millions.
4. Estimer la croissance alternative de la population :
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Si le taux de natalité élevé des années 1950 avait été maintenu, la croissance naturelle de la population aurait été significativement plus élevée.
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En utilisant des modèles démographiques de croissance, on peut estimer que la population actuelle du Québec serait comprise entre 15 et 20 millions d'habitants, voire plus.
Cela signifie que, sans la baisse du taux de fécondité observée depuis les années 1960, le Québec pourrait aujourd'hui compter plus du double de sa population actuelle. La diminution du taux de natalité depuis la Révolution tranquille a donc eu un impact majeur sur la croissance démographique de la province.
Le Québec a-t-il dépassé le cap du million d'avortements depuis 1970 ?
Par Campagne Québec-Vie — Photo : Pxhere
En 1969, l’avortement fut dépénalisé au Canada et, la même année, Henry Morgentaler a ouvert une clinique d’avortement à Montréal, marquant le début d’une ère barbare et meurtrière au Québec. Depuis lors, le nombre d’avortements a augmenté de manière significative. Selon les données disponibles, le Québec aurait pratiqué près d’un million d’avortements au fil des années !
Années 1970
Après la légalisation de l’avortement thérapeutique en 1969, le nombre d’avortements déclarés au Canada a commencé à augmenter. En 1974, environ 12 % des grossesses au Canada se terminaient par un avortement, proportion qui est passée à 19 % en 1992.
De 1977 à 1980, on compte 33 000 avortements. Au passage, dans ces années-là, le Québec comptait pour moins que le quart des avortements du Canada. La Colombie-Britannique en avait plus et l’Ontario près de quatre fois plus... Il y a peut-être eu environ 30 000 avortements dans les années 1970 (l’année 1980 exclue). Il y a eu assez peu d’avortements au début des années 1970 au Québec grâce à la résistance des médecins pro-vie qui refusaient la formation de comités d’avortement.
Années 1980
En 1980, le taux d’avortement thérapeutique au Québec était légèrement supérieur à celui de 1979.
Années 1990 à 2000
Les années 1990 ont vu une augmentation notable du nombre d’avortements au Canada. En 1992, le nombre d’avortements déclarés au Canada était de 102 085, soit une augmentation de 40,4 % par rapport à 1988, qui fut l’année fatidique où l’avortement fût complètement dépénalisé, grâce à l’arrêt Morgentaler de la cour suprême du Canada.
Étant donné que la population du Québec représentait environ 25 % de la population canadienne, on peut estimer qu’environ 25 % des avortements au Canada étaient pratiqués au Québec, cela représenterait donc environ 25 500 avortements au Québec en 1992.
Années 2000 à 2025
Selon l’Institut de la statistique du Québec, le nombre d’avortements provoqués déclarés au Québec a fluctué au cours des deux dernières décennies. Par exemple, en 2000, on comptait environ 30 000 avortements, tandis qu’en 2010, ce nombre était d’environ 27 000. Les données plus récentes indiquent une tendance à la baisse, avec environ 22 000 avortements en 2019. Ces chiffres sont disponibles dans le bilan démographique annuel publié par l’Institut de la statistique du Québec. Source
La Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) fournit également des données sur les interruptions volontaires de grossesse. Par exemple, en 2015, la RAMQ a rapporté environ 25 000 avortements remboursés. Ces données sont accessibles via les rapports annuels de la RAMQ. Source
En combinant ces sources, on observe une diminution progressive du nombre d’avortements au Québec depuis le début des années 2000, passant d’environ 30 000 par an à un peu plus de 20 000 vers la fin de la décennie 2010. Cette tendance pourrait être attribuée à divers facteurs, tels que l’amélioration de l’accès à la contraception et les changements sociétaux.
Estimation totale
En combinant ces estimations, nous obtenons :
- Années 1970 : Environ 30 000 avortements
- Années 1980 : Environ 150 000 avortements
- Années 1990 : Environ 250 000 avortements
- Années 2000 à 2025 : Environ 625 000 avortements
Cela conduit à une estimation totale d’environ 1 055 000 avortements au Québec depuis 1970.
Activisme pro-vie à l’œuvre
Par Arpad Nagy (Campagne Québec-Vie)
Il se passe beaucoup de choses sur le plan politique en ce qui concerne le mouvement pro-vie. Avec les prochaines élections fédérales et les mauvaises lois constamment proposées par notre parlement et notre Assemblée Nationale, nous devons être très attentifs à la façon dont le message pro-vie est traité.
Voici une petite mise à jour de ce qui s’est passé dans mon travail.
La semaine dernière, j’ai rencontré un candidat pro-vie qui se présentera dans ma circonscription. J’ai également identifié plusieurs autres personnes qui se présentent comme hommes et femmes qui respectent la vie dès la conception. Il y a un vent nouveau ici au Québec. Je ne sais pas si vous le sentez. Je suis convaincu qu’au moment des élections, nous aurons identifié un nombre record de candidats pro-vie. Je suis très encouragé par toutes ces personnes qui s’engagent à protéger la vie et à s’efforcer d’améliorer la qualité de vie de tous les Québécois. Comme il reste des sièges à pourvoir dans plusieurs partis politiques, je suis persuadé que d’autres pro-vie se présenteront d’ici les élections. Si vous connaissez un candidat pro-vie dans votre région, n’hésitez pas à nous le faire savoir.
Au cours des deux dernières semaines, j’ai organisé une projection en anglais de Roe Canada, une projection en français de Roe Canada, ainsi qu’une mini-conférence en français pour les jeunes adultes. Ces trois événements ont été couronnés de succès et ont été très instructifs. Nous avons eu plusieurs bonnes conversations sur la situation de l’avortement dans notre pays. Philippe a fait une excellente présentation sur l’apologétique pro-vie, et j’ai fait un exposé sur les différentes façons dont nous pouvons aider la cause pro-vie. J’organiserai d’autres événements de ce type, en particulier pour les jeunes et les jeunes adultes, mais aussi pour nos sympathisants de tous âges. Nous organiserons également des événements dans différentes villes. Restez à l’écoute !
En ce moment, je me prépare à aller en Angleterre. Je représenterai Campagne Québec-Vie et notre partenaire national, la Coalition nationale pour la vie, à la deuxième conférence de l’ARC. Cette conférence réunira des dirigeants du monde entier qui pensent qu’il existe une meilleure façon d’aborder les préoccupations les plus importantes d’aujourd’hui. J’ai déjà contacté un bon nombre de délégués qui seront présents, dont plusieurs proviennent d’organisations chrétiennes et d’organisations pro-vie du monde entier. J’ai l’intention de vous apporter des témoignages de première main sur la manière dont la lutte pour la vie se déroule dans d’autres parties du monde. Je m’intéresse particulièrement à l’Afrique, où le caractère sacré de la vie est encore ancré dans la culture. Je vous enverrai une mise à jour dans le courriel de la semaine prochaine.
Collecte de fonds pour le service d’aide à la grossesse
Par Brian Jenkins (Campagne Québec-Vie) — Traduit par l’équipe de traduction de CQV — Photo : Syda Productions/Adobe Stock
Vous êtes tous invités à participer à une collecte de fonds du carême pour soutenir le service d’aide à la grossesse de Campagne Québec-Vie.
Il y a une dizaine d’années, CQV a créé « Enceinte ? Inquiète ? » pour aider les femmes qui vivent une grossesse difficile. Au fil du temps, le programme s’est élargi pour inclure des conseils post-avortement, des soins à la petite enfance et à la famille, et nous avons aidé à deux reprises des mères portant des jumeaux.
La collecte de fonds aura lieu le samedi 8 mars 2025 dans la salle paroissiale de l’église Saint Ambroise, 1215 rue Beaubien Est, Montréal, H2S 1T8. L’accès à la salle se fait soit par l’église, soit par la rue latérale — 6520, rue de Normanville.
La soirée aura pour thème le carême, puisque les 40 jours de carême débutent le mercredi précédant la collecte de fonds. Il y aura une célébration eucharistique à 16 heures, suivie d’une soirée dans la salle paroissiale au sous-sol de l’église. Le menu sera conforme à l’esprit du carême — prière, jeûne et aumône.
En outre, un certain nombre d’intervenants ont été invités à partager leurs réflexions sur la manière de soutenir les femmes enceintes et leurs familles dans notre culture actuelle. Parmi eux, la candidate du Parti populaire du Canada aux prochaines élections fédérales, Mme Denise Coderre.
Au cours des dix dernières années, le service « Enceinte ? Inquiète ? » a été contacté en moyenne quatre-vingts à cent fois par an.
L’entrée à l’événement se fait soit par un don en argent, soit par l’apport d’un article de maternité. Par exemple, des couches (toutes tailles), des articles de toilette pour bébé, des serviettes hygiéniques, un porte-bébé, des serviettes de bain, du lait maternisé, des compresses d’allaitement, un sac à couches.
Pour plus d’informations ou pour s’inscrire, appelez le (438) 930-8643.
Enceinte ? Inquiète ? Soutien à la grossesse — Le cas de Désirée
Par Brian Jenkins (Campagne Québec-Vie) — Traduit par l’équipe de traduction de CQV — Photo : Pxfuel
Désirée nous a appelés la veille de Noël. Enceinte de quatorze semaines, sans nourriture ni abri, elle avait trouvé sur Internet le numéro gratuit de Campagne Québec-Vie et nous avait appelés.
Depuis ce premier appel, nous sommes restés en contact, tant par téléphone qu’en personne. À plusieurs reprises, nous nous sommes rencontrés dans des cafés ; deux fois, je l’ai invitée avec son partenaire à notre bureau pour un repas, et une fois à l’hôpital.
Il y a également eu des périodes de silence pendant lesquelles mes appels téléphoniques et mes messages texte sont restés sans réponse.
Le manque de stabilité dans la vie de Désirée était palpable. Que ce soit au téléphone ou en personne, sa voix était tendue et elle a fondu en larmes à plusieurs reprises. Je suis sûre que son enfant à naître a également ressenti l’anxiété de sa mère.
Lire la suitePlus de décès que de naissances au Québec
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pikist
Dernièrement, l’Institut de la statistique du Québec (ISQ) a publié un rapport sur la démographie québécoise, révélant des chiffres consternants : pour la première fois de notre histoire, il y a eu plus de décès que de naissances, rapporte La Presse.
Ainsi, entre juillet 2023 et juillet 2024, il y a eu 1550 décès de plus que de naissance, ce qu’on appelle l’accroissement naturel de la population a donc été négatif durant cette période.
Autre facteur inquiétant, mais qui suit, pour ainsi dire, naturellement la baisse de la natalité, l’âge moyen est monté jusqu’à 43 ans.
Les causes de cette dénatalité ne sont pas abordées par l’article de La Presse qui rapporte les chiffres de ISQ. Nous pouvons en nommer quelques-unes :
- La difficulté de fonder une famille : maintenant, plus que jamais, avec la hausse des prix, il est de plus en plus difficile pour les jeunes de fonder une famille.
- L’instabilité des foyers : beaucoup de jeunes, passés par les classes du monopole de l’éducation du Québec, n’ont pas appris à fonder une famille stable, bien au contraire ! ils se font enseigner à vivre dans le libertinage le plus complet, bien loin de l’idée d’avoir des enfants, avec à la clef, pour éviter cette dernière éventualité, la contraception et l’avortement comme garanties.
- En parlant d’avortement et de contraception, ce sont certainement les deux causes principales au désastre démographique du Québec, dans les dernières années, le Québec avait entre 20 000 à 30 000 avortements par an.
Quiconque a à cœur l’avenir du Québec doit s’opposer avec fermeté à ces fléaux, notamment la corruption de la jeunesse, l’avortement et la contraception.
40 Jours pour la Vie — venez prier pour l’enfant à naître
Brian Jenkins (à droite) aux 40 Jours pour la Vie de Montréal, au croisement de Berri et Sainte-Catherine.
Par Brian Jenkins (Campagne Québec-Vie) — Traduit par l’équipe de traduction de CQV — Mise à jour : 29 janvier 2025
Le début de notre période de prière bisannuelle pour la fin de l'avortement approche à grands pas.
Les 40 jours pour la vie commenceront le mercredi 5 mars, mercredi des Cendres, et se poursuivront jusqu'au dimanche 13 avril, soit un total de 40 jours consécutifs de plaidoyer en faveur de la vie.
Appel aux participants
Nous avons besoin de volontaires pour la prière. Pensez à vous inscrire, vous ainsi qu'un ami, pour une tranche d'une heure une fois par semaine au cours des 40 jours. Ce serait une pause bienvenue pour les participants habituels, sans compter qu'il s'agirait d'un acte spécial à offrir à Dieu pour le Carême.
Votre emploi du temps vous permet-il d'être présent un jour de semaine entre 10 et 17 heures ?
Lire la suiteRéseautage pro-vie avec des groupes chrétiens
Vendredi dernier, j’ai participé à une rencontre de pasteurs francophones dans la région d’Ottawa-Gatineau. Cet événement saisonnier rassemble plus de 30 pasteurs et plusieurs organisations religieuses. Ces rencontres ont pour but de créer une meilleure communauté et collaboration entre les églises de la région, ainsi que de répondre aux besoins particuliers et aux défis auxquels nous sommes faisons face. J’ai été heureux de représenter le travail pro-vie que nous faisons à Campagne Québec-Vie. Il est beau de voir que malgré les particularités de chaque église, les chrétiens se réunissent pour mieux faire avancer le royaume de Dieu dans nos villes. Il est bon de voir que les églises sont ouvertes au message pro-vie et ne restent pas silencieuses sur le sort des enfants à naître dans notre pays.
Photo: Arpad Nagy
Je me réjouis à la perspective d’une participation accrue de toutes les communautés religieuses à la prochaine Marche nationale pour la vie à Ottawa (9 mai) et à notre propre Marche québécoise pour la vie à Québec (31 mai). À cet effet, nous serions heureux de parler aux dirigeants d’église sur la façon de s’impliquer dans le travail pro-vie en tant qu’église et nous aimerions venir présenter la mission pro-vie à votre communauté. La Marche pour la vie est dans environ 4 mois, et c’est le moment de commencer à en parler. Quatre mois passeront rapidement, donc ce serait bien de voir des annonces dans les bulletins d’église bientôt!
Photo: Luc Angers. Luc Angers (directeur de UVVC et un des organisateurs de l'événement) avec une de nos hôtes de l'église le Centre.
La santé d’un garçon canadien s’améliore dans un hôpital américain alors que des médecins montréalais voulaient lui retirer l’assistance respiratoire
Le fils de Nicolas Tétrault.
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : GoFundMe
Des parents canadiens ont dû se rendre aux États-Unis pour sauver la vie de leur fils, parce que des médecins avaient annoncé qu'ils retireraient son assistance respiratoire contre leur volonté et avaient proposé de prélever ses organes.
Nicolas Tétrault a expliqué au Federalist que son fils, Arthur, s’est retrouvé à l’hôpital pour enfants de Montréal à la suite d’une noyade accidentelle. « Il est difficile d’avoir toujours une attention parfaite, et cela n’a pas été le cas », a-t-il déclaré. « Nous aurions dû le faire ; mais à l’époque, nous ne voulions pas installer une clôture autour de la piscine de la maison qui ne nous appartenait pas. »
Un accident tragique
Alors qu’il avait quitté la maison pour aller chercher l’un de ses enfants à l’école, M. Tétrault a oublié de fermer une porte, permettant ainsi à Arthur d’accéder à la piscine, ce qui a entraîné sa noyade. Tétrault a déclaré que le corps d’Arthur était « presque gelé ». Les médecins ont commencé à augmenter lentement la température d’Arthur, lui ont fait passer une IRM et lui ont administré des sédatifs pour éviter les crises d’épilepsie. Tout cela fait des soins habituellement prodigués ; une fois le patient stabilisé, les sédatifs sont supprimés et le tube respiratoire est retiré pour vérifier si le patient est capable de respirer seul.
Lire la suiteUn ancien conseiller municipal affirme qu’un hôpital canadien voulait « prélever les organes et tuer » son jeune fils
Le fils de Nicolas Tétrault.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Nicolas Tétrault/X
2 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Un ancien politicien canadien a déclaré qu’il avait dû fuir avec sa famille aux États-Unis après que le personnel du Montreal Children’s Hospital lui ait dit que son fils, qui s’était noyé, serait débranché du respirateur artificiel et que ses organes pourraient alors être « prélevés ».
Dans un message publié sur les réseaux sociaux après Noël, Nicolas Tétrault, ancien conseiller municipal de Montréal, a raconté comment il avait été contraint d’obtenir des soins appropriés pour son fils, Arthur, au centre médical Ochsner de la Nouvelle-Orléans.
Selon M. Tétrault, son fils s’est noyé le 8 octobre 2024 et a été transporté à l’hôpital du Lakeshore à Pointe-Claire, au Québec, où il a été « réanimé ».
Il a ensuite été transféré au Montreal Children’s Hospital pour des soins urgents et, selon M. Tétrault, il a reçu « un très bon service », sauf à la fin lorsque, environ cinq ou six semaines après l’incident, les médecins « ont décidé qu’Arthur n’avait aucune chance de survie et qu’ils allaient le débrancher le 29 novembre ».
M. Tétrault note que le personnel de l’hôpital lui a dit qu’il fallait préparer les funérailles de son fils, car il était [tout juste] « bon pour donner les organes ».
M. Tétrault a déclaré que le personnel de l’hôpital de Montréal lui a dit que son fils était « bon pour les ordures », ajoutant qu’il avait également été « surmédicamenté » par le personnel de l’hôpital.
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