Les mondialistes se servent-ils de la crise du coronavirus pour détruire et recréer l’ordre mondial ?
Par Steve Jalsevac ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Image : Tumisu/Pixabay
Ce qui est à voir, c’est si le coronavirus est en soi un véritable élément de crise, et si ce n’est pas ce qu’on en fait qui est catastrophique. ― A. H.
17 avril 2020 (LifeSiteNews) — En février 2017, une vidéo de Remnant TV sur le discours d’investiture du président Trump, intitulée Here’s why they hate him (Voici pourquoi ils le détestent), m’a grandement inspiré. J’y fis suite en écrivant The surprising real reason for the hate against Donald Trump, l’un de nos articles les plus regardés en 2017. Je vous suggère de le lire pour mieux comprendre la signification de la nouvelle vidéo, Covid-19 : Globalism’s perfect storm (Covid-19 : véritable tempête des mondialistes), présentée ci-dessous, et mes profondes inquiétudes concernant un programme mondial très vaste dont la route croise certainement celle de la pandémie du virus de Wuhan. (Note : je l’appelle le « virus de Wuhan » parce que la norme générale est d’utiliser le nom du lieu d’où provient un virus pandémique dans l’attribution d’un nom à celui-ci, bien que l’OMS corrompue, en réaction aux pressions de la Chine communiste, ait insisté pour que nous utilisions tous le terme inoffensif de « covid-19 »).
Depuis ses débuts, LifeSite s’est attaché à présenter aux lecteurs une vue d’ensemble exceptionnelle des liens entre les nombreuses questions qui menacent la vie et la famille. Dans cet article et la vidéo qui l’accompagne, vous trouverez des informations et des réflexions cruciales sur les changements extraordinaires qui se produisent actuellement.
Le thème de l’article de 2017 portait sur la haine dont Donald Trump est l’objet, haït avant tout parce qu’il était considéré comme une grande menace pour les plans des mondialistes visant à instaurer leur Nouvel ordre mondial (NOM), anti-Dieu, antifamille et antivie, devant être mis en œuvre sous le Président Clinton. L’article était plus pertinent que je ne l’eusse pu imaginer.
Depuis, les mondialistes ont employé tout ce qui était possible, avec l’entière coopération de leurs vicieux alliés des médias principaux de fausses nouvelles, afin de persuader le public que Trump est un homme malfaisant, incompétent et corrompu qui doit être destitué de la présidence américaine. Il faut que cela advienne pour la continuation des plans destinés à changer définitivement les États-Unis, à détruire le système capitaliste et le remplacer par une nouvelle économie contrôlée par les mondialistes, et à changer essentiellement le monde.
Vous ne me croyez pas ? Regardez la vidéo.
Le coronavirus, un cadeau pour les mondialistes
Le virus de Wuhan semble être un bienfait incroyable et suspectement opportun pour les mondialistes, leur permettant de faire avancer leur programme d’une façon plus rapide qu’à ce que nous eussions pu nous attendre. Certains sont même allés jusqu’à sembler ne pas vouloir d’une solution rapide au virus, se moquant et essayant d’arrêter des traitements prometteurs qui sauvent déjà la vie de nombreux patients contaminés.
Voyez ci-dessous la vidéo du Remnant qui illustre ce que j’essaie de transmettre dans cet article. Il s’agit d’une vidéo percutante et directe dans le style de Remnant TV. Elle compile des séquences de vidéos étonnantes et d’autres preuves qui devraient vous amener à vous poser au moins de nombreuses questions sérieuses. Si vous ne regardez pas la vidéo, vous serez bien plus démunis pour essayer de comprendre, comme le dit Michael, « la folie imprudente et irresponsable » sous-tendant le but réel des efforts extrêmes de restriction, qui ont causé une frayeur et une dévastation économique massives, et le but réel du déferlement d’attaques médiatiques dirigées contre le président Trump.
Lire la suiteAnalyse du coronavirus par Reinformation.TV : Dans la Matrice globalitaire
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Image : Ben-busy/Flickr
Jeanne Smits, dont nous reproduisons souvent les articles et dont vous aurez pu remarquer la sagacité à travers sa plume éloquente, présente sur Reinformation.TV une brochure de quelque 120 page analysant le coronavirus et l'agitation qui l'entoure :
On nous dit que le coronavirus est une catastrophe. En quoi l’est-il, en quoi ne l’est-il pas ? Il y a le fait médical, qu’il faut examiner de près, et puis il y a le bruit fait autour de lui, un bruit excessif qui rappelle, par exemple, celui des médias occidentaux autour de la guerre du Golfe. Un bruit qui assourdit et anesthésie le jugement, associé à un parfum d’opération psychologique.
Analyse d’Alain Escada, président de Civitas, de la crise du coronavirus
Alain Escada, président de Civitas.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Alain Escada, président du mouvement politique Civitas, écrit dans un récent communiqué ses réflexions sur le coronavirus, ayant attendu jusqu’à maintenant en observant l’agitation mondiale qui entoure le coronavirus pour donner une analyse plus juste de la situation actuelle. Je vous invite à lire ce texte très pertinent sur ce que nous vivons aujourd’hui, et dont je vous donne ici un faible aperçu.
M. Escada dénonce dans son communiqué l’esprit de mensonge qui règne dans le gouvernement français et le monde médiatique, ces médias financés par l’État ou par de puissants milliardaires (ce qui est largement vrai dans la plupart des États), il montre du doigt la suppression des libertés élémentaires (nécessaires à nos devoirs) sous la commande d’un gouvernement libertarien qui installe une surveillance de dictature afin de s’assurer de la soumission des quelques possibles récalcitrants, qui oseraient, par exemple, rendre visite à un parent mourant, ou qui (horreur !) s’aviseraient d’aller assister à la messe. Pendant ce temps-là, les zones dans lesquels l’État ne fait habituellement pas régner l’ordre sont exemptes de la discipline martiale qui chape le reste du pays… Quelle cohérence !
Ce gouvernement impréparé, le personnel médical manque de tout, et opiniâtrement irresponsable, ne dédaigne-t-il pas certaines aides proposées et certaines possibles solutions, isole dans le même temps les personnes âgées et malades des leurs ou du prêtre, les exposant ainsi à un délaissement mortel, tandis que l’État profite de la terreur coronavirienne pour faire avancer la Culture de mort. Selon Medias-Presse.info (MPI) :
Lire la suiteQu’importe aux personnes âgées d’être épargnées du coronavirus si c’est pour finir leurs derniers jours dans un abandon forcé. Beaucoup se laissent donc mourir tout simplement parce que ces mesures strictes de confinement leur ont fait perdre goût à la vie. D’autres voient leur santé mentale ou physique se détériorer jusqu’au stade fatal parce qu’elles ont été privées des stimulations de leur entourage habituel.
Et, comme s’il fallait par tous les moyens réduire le nombre de personnes âgées durant cette épidémie, un décret ministériel encourage le personnel médical à « soulager » les personnes âgées simplement suspectes d’être contaminées par le coronavirus en les traitant au rivotril, ce qui est tout simplement une euthanasie qui ne dit pas son nom comme l’a très bien expliqué le Docteur Nicole Delépine.
Toujours dans une perspective mortifère, le ministre de la Santé Olivier Véran déclare à l’Assemblée Nationale que l’avortement « doit être encouragé » durant l’épidémie de coronavirus et joint les actes à la parole en prenant des mesures pour faciliter l’avortement à domicile durant les neuf premières semaines de grossesse.
Quand un organisme de George Soros invente des théories du complot
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik
Un récent article de l’Open Democracy, organisme financé par George Soros, parlait des buts cachés des organismes pro-vie ukrainiens, de leurs mensonges et de leurs puissants soutiens, tels que la Maison-Blanche ! n’assénant pour prouver ses assertions que des propos pour le moins sans fondements. D’après International Family News (IFN) :
Le quotidien ukrainien Kyiv Post a reproduit un article publié par le site Open Democracy de George Soros. Il commence sans nuance ainsi : « L’avortement est légal en Ukraine depuis des décennies — mais des groupes soutenus par la Maison Blanche de Trump trompent les femmes vulnérables. »
Rien que cette première phrase est une merveille de désinformation ! Tout d’abord, elle « oublie » opportunément de rappeler que l’avortement a été légalisé en Ukraine, comme dans l’ensemble de l’Union soviétique, par le bolchevisme qui a laissé des souvenirs particulièrement sinistres en Ukraine, où l’Holodomor, le génocide par la faim perpétré par Staline et ses sbires, a fait autour de 5 millions de victimes au début des années 1930. Par ailleurs, qui donc trompe les femmes vulnérables ? Les organisations pro-vie qui leur proposent de les aider à garder leur bébé ou le Planning familial qui leur assure que l’avortement est une banale opération sans conséquence ? Enfin, je reste toujours sidéré par le complotisme des anti-complotistes : telle qu’est écrite la phrase, on a l’impression que les organisations pro-vie agissant en Ukraine auraient demandé soit un soutien officiel, soit même un soutien financier à la Maison-Blanche. Mais c’est parfaitement farfelu. Que Donald Trump soutienne moralement le mouvement pro-vie est une chose ; que la collaboration des différents groupes pro-vie du monde entier se décide dans le bureau ovale en est une autre — tout à fait différente et tout à fait délirante !
Des méthodes de recherches qui ne respectent pas la déontologie journalistique internationale… :
Lire la suiteLa suite de l’article n’est pas beaucoup plus sérieuse. La « journaliste » Tetiana Kozak appelle le Karkhiv Pregnancy Assistance Center, établissement qui est soutenu tout à fait officiellement et publiquement par la belle œuvre Heartbeat International (elle aussi tout à fait officiellement et publiquement pro-vie). Comme de bien entendu, son appel téléphonique est basé sur un mensonge : elle se fait passer pour une étudiante réfugiée, enceinte après un viol, qui songe à l’avortement. Je rappelle que la déontologie journalistique internationale interdit en principe ce genre de pratique. Sauf cas exceptionnel (comme aller filmer des chefs de guerre ou des criminels mafieux), un journaliste doit normalement se présenter comme journaliste pour ses enquêtes. Mais Mme Kozak doit sans doute penser que les pro-vie sont de dangereux criminels !
Canada : les libéraux envisagent de censurer les critiques du tableau officiel sur le coronavirus
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Notre gouvernement libéral bien-aimé, qui se soucie tellement de notre santé qu’il a tardé à faire cesser tout vol en provenance de Chine ou de fermer le chemin Roxham, songe maintenant à nous contrôler au point de censurer ce qui se dit sur Internet à propos du coronavirus. Ce n’est pas que j’ai quelque chose contre la censure en soi, mais aux mains des libéraux, qui agissent de façon si incohérente et irrationnelle, notamment par rapport au virus couronné, et étant donné que l’exposé officiel sur le coronavirus est des plus incomplets, contradictoires et peu fiables, comment ne pas y voir une tentative de réduire au silence ceux qui dévoilent leurs mensonges ou leur incompétence (ou les deux). Selon la CBC (traduction d’Horizon Québec Actuel) :
Le président du Conseil privé, Dominic LeBlanc, a déclaré que le gouvernement fédéral envisage de présenter une loi pour ériger en infraction le fait de diffuser sciemment de la désinformation.
[…]
LeBlanc a déclaré qu’il avait déjà discuté de la question avec d’autres ministres du Cabinet, dont le ministre de la Justice David Lametti. Si le gouvernement décide de donner suite, a-t-il dit, cela pourrait prendre un certain temps pour rédiger une loi.
[…]
« Les législatures et les parlements se réunissent à peine à cause du contexte actuel de la pandémie, donc ce n’est pas une solution rapide, mais c’est certainement quelque chose auquel nous serions ouverts en tant que gouvernement », a déclaré LeBlanc. Le député néo-démocrate Charlie Angus a déclaré qu’il appuierait une législation pour lutter contre la désinformation en ligne.
« Les temps extraordinaires nécessitent des mesures extraordinaires et il s’agit de protéger le public », a-t-il déclaré. « Ce n’est pas une question de liberté d’expression. C’est une question de personnes qui travaillent activement à propager la désinformation, que ce soit par le biais de fermes de robots trolls, que ce soit des opérateurs d’État ou que ce soit vraiment des théoriciens du complot… »
Il y a sûrement beaucoup de désinformations qui circulent en ce moment, et divers gouvernements, potentats et organismes du monde ne sont probablement en reste…
Coronavirus et mondialisme : l’analyse de Valérie Bugault
Par Pierre-Alain Depauw (Medias-Presse.info) ― Photo : Freepik
Le site Strategika publie un entretien avec Valérie Bugault :
1°) Strategika – On lit beaucoup d’éléments contradictoires selon les différentes sources d’information disponibles ou selon les avis des professionnels de la santé. Quelle est la réalité effective de cette pandémie selon vous ?
VB : Comme le dit très bien notre ami Lucien Cerise, il faut distinguer entre la réalité sensible dans le monde réel et la narration des faits qui est diffusée.
Voici, textuellement, ce qu’il dit :
« En France, et plus largement en Occident, la crise sanitaire du coronavirus présente un cas pratique d’ingénierie sociale et de gouvernance par le chaos. Nous retrouvons la même structure qu’avec la “menace terroriste” : un mélange de réel et de fiction, combinés à deux stratagèmes bien connus qui sont 1) le pompier pyromane et 2) le triangle de Karpman. Sur le mélange réel/fiction, souligné dans son dernier livre par le professeur Raoult — qui se fait le disciple occasionnel de Jean Baudrillard : les partisans du “tout réel” ont tort, les partisans du “tout fiction” ont tort. Exemple : ce n’est pas parce que la “version officielle” de la crise coronavirus est fausse qu’il n’y a pas d’épidémie ; de même, ce n’est pas parce que la “version officielle” des attentats terroristes est fausse que les attentats n’ont pas lieu. Des événements ont lieu, et c’est la narration explicative qui est fausse, pas les événements en eux-mêmes. L’analyse de la crise actuelle révèle aussi l’application des techniques du pompier pyromane et du triangle de Karpman, c’est-à-dire le jeu de rôles bourreau/victime/sauveur. Le pouvoir laisse la situation de crise s’installer, voire l’aide à s’installer, volontairement ou involontairement. Dans le réel, le pouvoir occupe donc la place du pyromane, donc du bourreau. Puis, une fois que la crise est installée et en cours, le pouvoir se présente comme le sauveur, qui va donc nous sauver de la crise qu’il a lui-même installé furtivement, tel un pompier qui éteindrait l’incendie après l’avoir lui-même allumé discrètement. »
Nous sommes face à une sorte de dissonance cognitive globale parce que les phénomènes auxquels nous sommes confrontés reçoivent une ou plusieurs explications officielles partielles (dans le meilleur des cas), contradictoires et/ou erronées qui ne permettent pas un accès intellectuel à l’ensemble du phénomène. En réalité, la méthodologie suivie dans la couverture de cette crise du coronavirus est similaire à celle qui nous est imposée d’une façon générale pour orienter les processus intellectuels : un séquençage (puisque le mot est désormais à la mode) ou un émiettement des connaissances, une sorte de fordisme appliqué à toute l’échelle des connaissances. A cela s’ajoute un autre phénomène d’émiettement et d’isolement des populations : les milieux médicaux fréquentent peu ou pas d’autres milieux, chacun restant dans son pré carré par l’organisation même de la société. Ainsi, les constats et la vie que mènent les uns sont quasi hermétiques aux constats et à la vie que mènent les autres, leurs seuls points de contact étant leur façon (directe ou indirecte) de consommer.
[…] Dans l’ordre nous avons : l’apparition peu préparée d’un virus en Chine, pays qui connaît historiquement cette typologie de virus. Ensuite, une série de nouvelles alarmistes en forme d’hécatombe. Ensuite, bien sûr, le virus se répand sur la surface du globe pendant que l’on apprend que la Banque mondiale (que je ne présente plus) avait prévu, dès 2017, des « bonds spécifiques aux pandémies ». Ensuite une litanie de pays touchés et d’innombrables populations confinées pour, prétendument, lutter contre la propagation dudit virus. Pendant que les « morts » se multiplient et que les services hospitaliers étouffent littéralement sous cette affluence de gens à détecter ou à traiter.
Lire la suiteLes militants du climat : les citoyens doivent rester en «mode d’urgence» pour contrer le «changement climatique»
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : luis_molinero/Freepik
Évidemment, les réchauffistes n’auraient pas manqué de profiter de la situation actuelle, autrement dit le problème du coronavirus ou ce qu’on en fait, ne manquant surtout pas d’en souligner ce qui est selon eux d’une extrême gravité, mais prenant le soin de faire du « changement climatique » une question bien supérieure. D’après eux, le « mode d’urgence » est le meilleur moyen de rétablir le climat, autrement dit, instaurer un « mode d’urgence » permanent, ce qui s’apparenterait tout simplement à de la dictature, quelque chose comme Justin Trudeau avec les pleins pouvoirs pour un temps indéterminé, jusqu’à ce que la planète soit sauvée…
Plusieurs personnages politiques, politisés ou militants comme Margaret Klein Salamon, l’activiste en herbe Greta Thunberg, l’ex-président des É.-U. Barack Obama, la directrice du groupe Climate Mobilization Margaret Klein Salamon, le secrétaire général de l’ONU António Guterres, etc., s’accordent tous pour comparer le coronavirus au « changement climatique », selon LifeSiteNews :
Les alarmistes du climat font l’éloge des blocages nationaux et des déclarations d’urgences nationales lancées dans le monde entier en réponse à la pandémie de coronavirus comme modèle de réponse au « changement climatique ».
« Nous essayons depuis des années de faire sortir les gens du mode normal et de les mettre en mode urgence », déclare Margaret Klein Salamon, directrice du groupe Climate Mobilization.
« Ce qui est possible politiquement est fondamentalement différent lorsque beaucoup de gens se mettent en mode d’urgence — lorsqu’ils acceptent catégoriquement qu’il y a un danger, et que nous devons faire tout notre possible si nous voulons être en sécurité. En outre, c’était intéressant de voir cette théorie validée par la réaction au coronavirus », déclare-t-elle.
« Maintenant, le défi consiste à maintenir le mode d’urgence activé en ce qui concerne le climat, où les dangers sont d’une amplitude plus grande. Nous ne pouvons pas penser que nous allons “revenir à la normale”, parce que les choses n’étaient pas normales ».
Greta Thunberg, l’adolescente militante du climat qui s’est bâti une réputation l’année dernière, déclarait à la Fondation Thomson Reuters, la semaine dernière, que si le coronavirus est un phénomène terrible, « il montre aussi une chose : qu’une fois que nous sommes dans une crise, nous pouvons agir pour faire quelque chose rapidement, agir vite ».
Le journaliste et commentateur conservateur Matt Walsh a publié sur Twitter en début de semaine qu'il "semble probable" qu'un futur président démocrate "déclarera le changement climatique ou la violence par balles comme "urgence nationale" et s'en servira comme excuse pour restreindre drastiquement les libertés civiles, en citant la riposte au coronavirus comme précédent".
La vérité sur la soi-disant « thérapie de conversion »
Par Michael L. Brown ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : freepik
9 juillet 2019 (LifeSiteNews) — À la lumière de la dernière attaque contre les efforts de changement d'orientation sexuelle (ECOS ― sexual orientation change efforts, SOCE), à savoir l’interdiction faite par Amazon des livres sur le sujet, nous faisons bien de séparer les faits de la fiction. Ces tentatives de changement sont-elles vraiment si dangereuses ? Devraient-elles être interdites et même criminalisées ?
Selon les critiques, la « thérapie de conversion » est dangereuse et nuisible car elle tente de changer quelque chose qui ne peut être changé, un peu comme si on essayait de transformer un gaucher en droitier. Dans la droite ligne de cette analogie, cela laisse également entendre qu'il y a quelque chose de fondamentalement mauvais à être gaucher.
Comme l'exprime le projet de loi SB 1172 de Californie, qui a été promulgué en 2012 et qui a criminalisé l’ECOS pour les mineurs, « les efforts de changement d'orientation sexuelle posent des risques critiques pour la santé des lesbiennes, des gays et des bisexuels, [en provocant] notamment la confusion, la dépression, la culpabilité, l'impuissance, le désespoir, la honte, le retrait social, le suicide, l'abus de substances, le stress, la déception, l'autocritique, une diminution de l'estime de soi et de son authenticité envers les autres, une augmentation de la haine de soi, d'hostilité et de blâme contre les parents, de sentiments de colère et de trahison, la perte d'amis et de partenaires romantiques potentiels, des problèmes dans l'intimité sexuelle et émotionnelle, des dysfonctionnements sexuels, des comportements sexuels à haut risque, des sentiments de déshumanisation et de mensonge envers soi-même, une perte de confiance et le sentiment d'avoir perdu du temps et des ressources. C'est ce que documente le groupe d’étude de l'American Psychological Association sur les réponses thérapeutiques appropriées à l'orientation sexuelle dans son rapport 2009 du groupe d’étude sur les réponses thérapeutiques appropriées à l'orientation sexuelle ».
Est-ce vrai ? Certainement pas.
Selon Christopher Doyle, lui-même ancien homosexuel et aujourd'hui thérapeute agréé, « malgré les allégations de préjudice citées dans le SB 1172, le groupe d’étude de l'American Psychological Association n'a pas réellement fourni de preuves à l'appui des 28 risques de santé énumérés ci-dessus. En fait, aucun de ces risques pour la santé n'a été documenté dans la littérature scientifique évaluée par les pairs, à l'exception de quelques rapports anecdotiques publiés et non publiés concernant des adultes. Mais il n'y a pas une seule étude basée sur des résultats dans la littérature scientifique sur les mineurs suivant une thérapie d’ECOS pour soutenir ces affirmations. »
Lire la suiteLes efforts du parti communiste pour rejeter la faute sur les autres, la « pandémie » du coronavirus est « made in China »
Par Steven Mosher (LifeSiteNews) ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Image (rognée) : geralt/Pixabay
12 mars 2020 (Population Research Institute) — Je n'arrive pas à croire qu'il y ait tant de personnes dans les médias et dans le monde politique à couvrir la Chine. Étonnamment, ils qualifient même de « raciste » l'acte de noter le fait que le coronavirus vienne de là.
Mais il est courant de donner à une maladie le nom de son lieu d'origine [ou, où du moins on la découverte]. Après tout, le virus Ebola est nommé d'après un fleuve d'Afrique, tandis que le virus Zika est nommé d'après un lieu d'Afrique. Le virus du Nil occidental provient du fleuve du même nom, tandis que la maladie de Lyme est nommée d'après Lyme, dans le Connecticut.
Bien sûr, il arrive que nous nous trompions. Il existe de nouvelles preuves que la grippe dite « espagnole », qui a provoqué la grande épidémie en 1918-1919, a en fait été introduite en Europe pendant la Première Guerre mondiale par des ouvriers chinois engagés pour creuser des tranchées. En d'autres termes, comme le coronavirus chinois auquel nous avons affaire aujourd'hui, elle est originaire de Chine. Elle devrait s'appeler la grippe chinoise et non la grippe espagnole. Je suppose que nous devons des excuses à l'Espagne.
Mais il y a une autre raison, encore meilleure, de désigner la Chine comme la source de ce fléau. Les dirigeants communistes chinois ont caché l'épidémie à leur propre peuple — et au monde entier — pendant deux longs mois. Pendant ce temps, le coronavirus chinois a atteint des proportions épidémiques dans la ville de Wuhan et la campagne environnante. Ce n'est qu'après qu'environ 5 millions de personnes aient quitté Wuhan dans les semaines précédant le Nouvel An lunaire chinois que les autorités communistes ont admis avoir un problème et ont mis toute la ville en quarantaine. Bien sûr, à ce moment-là, ces voyageurs et touristes avaient propagé la maladie dans toutes les régions de Chine et du monde.
La pandémie à laquelle le monde est aujourd'hui confronté est donc une catastrophe provoquée par l'homme, et les hommes qui ont créé ce désastre sont les dirigeants du Parti communiste chinois, à commencer par le président à vie Xi Jinping lui-même. Ce à quoi nous sommes maintenant confrontés, c'est le « coronavirus fabriqué en Chine par le Parti communiste chinois ». C'est un peu long et maladroit comme appellation, aussi l'appellerais-je le « coronavirus chinois » pour faire court. Parce que c'est ce que c'est.
Lire la suiteUne société pro-avortement augmente la souffrance des mères qui ont une fausse couche
Par Alithea Williams (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Juan Pablo Arenas/Pexel
4 février 2020 (Society for the Protection of Unborn Children) — En décembre, une nouvelle étude a fait l’objet d’une vaste couverture médiatique. Elle suggérait qu’une femme sur six qui perd un bébé au début de la grossesse ressent des symptômes de stress post-traumatique à long terme. Cette étude a été discutée dans les lieux de travail, a suscité l’intérêt sur Twitter, et a entraîné des conversations très nécessaires sur la façon dont nous, en tant que société, prenons soin des femmes qui éprouvent la dévastation de la perte d’un bébé.
Les résultats sont certainement frappants. Dans l’étude menée par l’Imperial College de Londres et la KU Leuven en Belgique auprès de 650 femmes, 29 % présentaient des symptômes de stress post-traumatique un mois après la perte de grossesse, et ce chiffre ne diminuait qu’à 18 % après neuf mois. Un mois après leur perte, 24 % de femmes avaient des symptômes d’anxiété et 11 % de dépression. Vu à quel point la fausse couche est courante (jusqu’à une femme sur deux subit une perte de grossesse), cela représente un impact énorme sur la santé mentale.
Le fait que je fasse partie du mouvement pro-vie signifie que je pense probablement plus à la maternité, à la grossesse et à la vie dans le ventre de la mère que la plupart des gens. Mais ce ne fut que jusqu’à ce que deux de mes amies eussent souffert trois fausses couches dans un court laps de temps que j’acquis une idée de l’impact réel. Intellectuellement, je savais à quel point c’était commun, mais je n’avais jamais pensé que cela pouvait arriver à mes amies — en particulier à des femmes en bonne santé, dans la vingtaine, et qui ont tout fait « correctement ». De même, alors que je savais que la perte d’un bébé était une chose triste à se produire, le fait que ce sont des bébés que j’aurais aimé visiter, auxquels j’aurais donné des cadeaux, et dont les mères sont des amies qui vivent encore avec les pertes, fait de cette situation quelque chose de beaucoup plus réel et dévastateur.
À la suite de cette étude, beaucoup de femmes ont partagé courageusement leurs expériences, certaines d’entre elles auraient difficilement trouvé du crédit auprès si elles ne faisaient pas écho de ce que j’avais entendu de mes amies.
Une des choses les plus difficiles à entendre est l’indifférence et la froideur que nombreuses femmes reçoivent de la part des professionnels de la santé. Les femmes racontent ne pas avoir reçu de soins de suivi ou de conseils et avoir entendu leur bébé décrit comme un « produit » ou du « contenu » [d’utérus].
En réponse à cette nouvelle étude, mon amie Emma a décrit son expérience dans un récent post Facebook :
Lire la suiteJe n’ai que du respect pour les hommes et les femmes qui ont pris soin de moi pendant ma grossesse extra-utérine, l’opération d’urgence subséquente, puis la fausse couche. Je sais que nos infirmières et nos médecins sont incroyablement occupés et surchargés et il est difficile d’établir un lien émotionnel avec chaque patient que vous voyez - et encore moins trouver de la sympathie pour quelque chose que vous voyez littéralement tous les jours et que vous savez être, a) commun et b) inévitable. Mais... les souvenirs demeurent. Je me souviens de toutes les phrases désinvoltes qui m’ont blessée — quelqu’un a même essayé d’utiliser la phrase « tas de cellules » avec moi — ainsi que de toutes les actions qui semblaient signifier que mon bébé et moi n’étions pas une priorité. Je me souviens d’avoir crié à quelqu’un que mon bébé était en train de mourir quand je sentis que le sang ruisselait dans mes leggings. J’étais désespérée de comprendre ce qui se passait et comment cela pouvait m’arriver... Elle me tendit un tampon et m’a dit d’aller régler ça aux toilettes.