Canada : des « transgenres » meurtriers et violeurs bientôt dans les prisons pour femmes
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pxfuel/Burst
Faut-il le rappeler ? Grâce à la loi C-16 de Justin Trudeau votée le 17 juin 2017, l’« orientation de genre » a été reconnue au Canada… jusque dans les pénitenciers. Ce qui fait qu’aujourd’hui, on en parlait depuis un certain temps, des « transgenres » ou hommes se prétendant « femmes » seront transférés en tant que « femmes » dans les établissements réservés à la gent féminine. Or, dans ce lot, on trouve un nombre significatif de meurtriers, de violeurs et même de pédophiles — ce qui est encore plus inquiétant quand on songe que certaines prisons pour femmes peuvent permettre à celles-ci de voir leurs enfants.
Selon le Toronto Sun, d’après la traduction d’Eugène d’Estimauville de Beaumouchel sur Horizon Québec Actuel, les détenues sont inquiètes du prochain transfère d’une douzaine de « transgenres » dans leurs établissements :
Ce qui attise cette peur est l’arrivée de « détenues » ayant commis des agressions sexuelles violentes — et des meurtres.
Une douzaine d’autres transgenres devraient arriver à Grand Valley [qui ne comprend pas le programme mère-enfant]*.
« C’est bizarre, parmi les conditions qu’on leur a imposées, il y a de ne pas s’approcher des femmes et des enfants. Où sont-ils placés ? Avec des femmes et des enfants », a déclaré Mason au Toronto Sun.
Elle décrit les têtes d’affiche de cette audacieuse réforme qui chamboule le Service correctionnel du Canada (SCC) :
Matthew Harks, Tara Pearsall, Fallon Aubee, Tara Desousa et Jean Boulachanis.
Un pédophile en série, un délinquant sexuel en série, un tueur à gages, un tueur d’enfants et un meurtrier.
Ces criminels qui se prétendent transgenres sont dangereux. Et les détenues de sexe féminin le savent.
La liste des exigences du SCC pour être transféré d’une prison pour hommes à une prison pour femmes est dérisoire.
Enfin, après avoir lu ceci, je ne pense pas que vous voterez pour Trudeau…
*Commentaire d’A.H.
Californie : des « ressources de grossesse » dans les prisons pour femmes en prévoyance de transferts d’hommes…
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Matthew Henry/Burst
Le système pénitencier californien, dans la section féminine, a mis en place de nouvelles mesures et des « ressources de grossesse » (de vraies : soins prénataux, adoption ; et de fausses : préservatifs, contraception, avortement), en prévoyance du transfert d’hommes se prétendant « femmes » vers leurs établissements, permis par une nouvelle loi de l’État. Ces mesures sont un aveu implicite que ces « femmes transgenres » n’en sont pas de vraies femmes et qu’il en résultera des incidents fâcheux. Selon le Women Liberation Front (un site féministe que je ne citerai pas souvent) :
Les femmes incarcérées dans la plus grande prison pour la gent féminine de Californie décrivent leurs conditions comme « le pire des cauchemars » après l’introduction de nouvelles ressources de grossesse dans les cliniques du Central California Women’s Facility (CCWF). Ces nouvelles ressources constituent un aveu tacite de la part des responsables que les femmes doivent s’attendre à être violées lorsqu’elles sont logées en prison avec des hommes, où toute relation sexuelle est considérée comme non consensuelle par défaut dans le système.
De nouvelles affiches sont récemment apparues dans les salles médicales, décrivant les options disponibles pour les « personnes enceintes » en prison, notamment les soins prénataux, l’avortement et l’adoption. L’affiche déclare également que les femmes ont droit à « des conseils offerts par un prestataire de soins de santé agréé sur la contraception et le choix des méthodes de régulation des naissances dans les 60 à 180 jours précédant la date de libération prévue ». Cependant, les seules méthodes disponibles pour les femmes incarcérées afin de prévenir une grossesse sont les préservatifs, qui sont apparus peu après les hommes, et les contraceptifs d’urgence Plan B.
« Personnes enceintes » ! L’idéologie du genre, à l’origine du transfert d’hommes se prétendant « femmes » dans les établissements destinés à ces dernières, se rencontre jusque sur les affiches s’adressant aux futures victimes… (Au passage, les « contraceptifs d’urgence Plan B » sont en fait des abortifs, mais ceci n’est pas le sujet de mon billet.)
Lire la suiteUn libéral soutient les espaces non mixtes, ayant appris des prisons féminines où l’on met des « transgenres »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Les activistes transgenres qui réclament que les représentants de leur… nouvelle catégorie soient traités selon qu’ils se disent « hommes » ou « femmes », ou autres… semblent aveugles aux conséquences de leurs réclamations. Arrêter la puberté d’un enfant, lui administrer des hormones qui se rencontrent surtout chez l’autre sexe puis l’amputer de quelques organes sains afin qu’il « ressemble » à une personne de l’autre sexe est des plus aberrants. Autoriser des « femmes » qui ne le sont que de nom à entrer dans les espaces réservés aux vraies femmes est d’une absurdité sans nom, comme si le fait de se dire femme allait garantir une perception de femme, une sensibilité de femme et finalement, le plus important dans ce cas, des appétits de femme et non d’homme… Ce n’est pas comme si rien n’arrivait, et malgré tout leur propagande continue, aveugle et sourde.
Un politicien libéral (d’après ses positions et non selon le parti auquel il a pu appartenir) a bien compris cette leçon, du temps où il était ministre et supervisant le système carcéral, selon LifeSiteNews
Au Royaume-Uni, le plus libéral des candidats à la direction du parti conservateur de l’année dernière, et désormais candidat non affilié à un parti aux élections de Londres, Rory Stewart, a raconté que lorsqu’il était ministre responsable des prisons, il y avait eu des cas (comme il l’a dit) de « prisonniers masculins s’identifiant comme femmes » violant des membres du personnel. Pour cette raison, il n’est pas favorable à l’ouverture des « espaces féminins », tels que les toilettes publiques, à tous venants.
Une aile de prison séparée pour les hommes « transgenres »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Enfin, en Grande-Bretagne, se seront-ils décidés à mettre des criminels prétendant être des femmes dans un lieu séparé de celui où sont incarcérées les criminelles, bien que ce soit toujours dans une prison féminine. Malgré l’irraison de l’acceptation de la théorie du genre de la part des autorités britanniques, celles-ci auront fini par céder devant l’évidence, même si elles ne l’avouent pas, un homme, ça reste un homme. Extrait de LifeSiteNews :
Le ministère de la Justice a annoncé qu’il inaugurait la toute première aile au Royaume-Uni, pour hommes criminels dits « transgenres » prétendant être des femmes, dans un établissement pénitentiaire.
Trois prisonniers de sexe masculin, qui portent des « Gender Recognition Certificates » (Certificats de reconnaissance du sexe), seront confinés dans une aile de la prison pour femmes HMP Downview, à Surrey, dans le sud de Londres. Le ministère de la Justice a mentionné la sécurité des prisonniers comme étant sa plus grande préoccupation.
L’annonce a été faite après que Karen White, un homme prétendant être une femme, ait agressé sexuellement deux détenues à la prison de New Hall de Wakefield [...]
Blanc est un homme mais « s’identifie » comme une femme. Classé par un juge comme « prédateur » et danger pour les enfants et les femmes, il purge une peine d’emprisonnement à perpétuité pour des délits sexuels. Un tribunal a par la suite déterminé que White avait utilisé son « personnage transgenre » pour entrer en contact avec des femmes vulnérables en prison.
Mauvaise nouvelle : des hommes pourront aller dans des prisons pour femmes
Il a été confirmé que les détenus pourront choisir leur prison selon leur « identité de genre ».
Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Source : CBC News / Photo : Pixabay
Le système carcéral du Canada a révisé ses politiques concernant les détenus transgenres et placera désormais les détenus dans un établissement pour hommes ou pour femmes en fonction de leur « identité de genre ». Rappelons que la discrimination basée sur « l'identité ou l'expression de genre » est maintenant interdite au Canada.
Ainsi, selon la nouvelle politique du Service correctionnel du Canada (SCC), les détenus transgenres peuvent être placés dans un établissement de leur choix, peu importe leur anatomie ou leur sexe, à moins que des problèmes de santé ou de sécurité majeurs ne puissent être résolus. Ces changements de politique ont débuté le 27 décembre 2017.
Déjà en juillet dernier, le SSC avait approuvé la requête d'une détenue transgenre, Fallon Aubee, qui demandait à être transféré dans un pénitencier pour femmes. Fallon Aubee – qui s'appelait autrefois Jean Paul – avait été condamné en 2003 à la prison à vie pour meurtre.
Pasteur : Je préfère aller en prison que de financer l’avortement
Par Christina Becky Yeh de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Mise à jour : Les églises en Californie poursuivent l’État en justice contre l’assurance obligatoire de l’avortement
Le groupe juridique pro-vie, l’Alliance pour la Défense de la Liberté (ADL, Alliance Defending Freedom), a intenté un procès devant la cour fédérale contre le Département de Gestion des Soins de Santé (DGSS) pour « avoir obligé les églises à financer l’interruption volontaire de grossesse dans leurs régimes d’assurance maladie ».
Les églises engagées dans la poursuite sont : Foothill Church de Glendora, Calvary Chapel Chino Hills de Chino, et The Shepherd of the Hills Church de Porter Ranch.
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