Une enfant prématurée, mise au monde à 26 semaines pour sauver la vie de sa mère, est en pleine forme six mois plus tard
Ayla-Grace.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Après une épreuve médicale effrayante, la jeune Ayla-Grace a été mise au monde à seulement 26 semaines, le 29 avril 2021, afin de protéger sa vie et celle de sa mère.
Née 14 semaines avant la date prévue, après que sa mère, Jaz Smith, eût souffert d’une crise de santé, la petite fille ne pesait qu’une livre et 15 onces [878,83 g]. Selon WalesOnline, le foie de Jaz Smith a commencé à défaillir et le sang ne circulait plus vers le bébé. Mme Smith a d’abord remarqué que quelque chose n’allait pas lorsqu’elle a commencé à avoir de l’enflure à environ 24 semaines.
« Les médecins m’ont dit qu’il était trop tôt pour que ce soit une pré-éclampsie car je n’étais qu’à 24 semaines », a expliqué Smith. « Et puis la semaine suivante, j’ai de nouveau appelé l’hôpital parce que mon œdème ne voulait pas diminuer ».
« J’ai ensuite été admise à l’hôpital à 25 semaines et j’y suis restée pendant une semaine. Pour moi, ce moment a été le plus difficile car je n’étais pas autorisée à voir mon fils aîné qui n’avait que trois ans. J’ai vraiment souffert d’être loin de lui ».
Diagnostiquée à ce moment-là comme souffrant de pré-éclampsie, Mme Smith devait développer une éclampsie dans les dix jours suivants. Mais c’est là que les choses se sont aggravées.
Lire la suiteUn bébé né à 25 semaines, à qui on ne donnait que 50 % de chances de survie, se porte bien
Henry Augustus Truhill.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) ― Traduit par Campagne Québec-Vie
Henry Augustus Truhill vint au monde à 25 semaines le 1er février 2021 après que sa mère fut amenée d’urgence pour subir une césarienne, car Nicole, la mère, et Henry étaient tous deux en danger.
Selon le Média local Tucson, Nicole avait été diagnostiquée d’un décollement placentaire ce qui est une complication dangereuse lorsque le placenta se détache de la paroi utérine. Dans une telle situation, les deux vies sont à risques, car le bébé est privé d’oxygène et la mère peut faire une hémorragie.
Sur la page GoFundMe de cette famille, on mentionne que Nicole avait déjà une pré-éclampsie, une complication qui inclut une très haute pression artérielle et c’est ce qui exige une césarienne d’urgence. C’est la raison pour laquelle Nicole fut transportée par hélicoptère au Centre Médical Tucson, tandis que son époux Kyle, s’y rendit en voiture, parcourant 78 miles de distance. Une fois arrivée alors que l’équipe médicale s’affairait à préparer la mère, les médecins disaient ne donner que 50 % de chance de survie au bébé. Dans la salle opératoire, il y avait une telle tension à la naissance du bébé, car tous attendaient fébrilement d’entendre son cri, ce qu’il finit par faire à leur grand soulagement.
L’équipe médicale fit une conférence de presse pour dire qu’Henry est maintenant stable après avoir reçu plusieurs transfusions sanguines afin d’augmenter sa capacité respiratoire et donc son taux d’oxygène, ce qui fait que le bébé pouvait désormais respirer par lui-même. Alors l’équipe de spécialiste espère bien pouvoir les laisser sortir en juin prochain. Même Kyle put dire : « je n’aie jamais vu de toute ma vie quelque chose d’aussi beau et d’aussi petit et fragile, au moment de la naissance je fus submergée par l’émotion, la gratitude, la sensation d’un miracle, un grand soulagement, mais aussi la peur bleue de le perdre. Alors cette semaine je peux dire que je n’aie jamais autant pleuré de ma vie, on veut juste que notre bébé vive ! »
Sur la page GoFundMe familiale, on apprend qu’Henry fut nommé ainsi en l’honneur de son arrière-arrière-grand-père et qu’il a gagné 7 oz depuis sa naissance, que la mère se porte bien.
Il faut dire que dans ces dernières années, le taux de survie des bébés prématurés s’est amélioré, au point qu’il y en a qui viennent au monde à 21 semaines et s’en sortent quand ils reçoivent des soins médicaux. Mais en dépit de ces nouvelles encourageantes, il reste encore bien des hôpitaux qui eux refusent de mettre au monde des bébés de moins de 24 semaines. À ceux concernés, vous pouvez vérifier sur la carte de Twenty-Two Matters s’il existe près de chez vous un hôpital qui accepte de soigner les prématurés de moins de 22 semaines.
Un bébé né à 25 semaines à qui on ne donnait que 10 % de chances de survie, plus petit que la main de son père
Kevin Cook mettant sa main à côté de son bébé Mirren.
Par la Society for the Protection of Unborn Children ― Traduit par Campagne Québec-Vie
Après un combat de 16 semaines, un bébé, plus petit à sa naissance que la main de son père, à qui les médecins ne donnaient que 10 % de chance de survie, se porte bien et a quitté l’hôpital avec ses parents, Kevin et Katie Cook.
Le bébé prématuré, nommé Mirren, né à 25 semaines dans un hôpital en Écosse, ne pesait que 467 grammes.
Sa mère, Katie, souffrait de pré-éclampsie, un problème de grossesse potentiellement fatal, caractérisé par une pression artérielle élevée. Une césarienne d’urgence fut nécessaire parce qu’elle ne sentait plus le bébé bouger.
Après transfert de Mirren à l’unité des soins intensifs néonataux, ses parents durent attendre 10 jours avant de pouvoir la tenir dans leurs bras.
Katie décrit le moment où elle tint Mirren dans ses bras pour la première fois : « C’était un sentiment indescriptible, j’aurais pu me noyer dans les larmes de joie… j’ai attendu ce jour pendant longtemps. En un sens, c’était comme si elle ne m’avait pas réellement appartenue jusqu’à ce jour. »
Je me félicite d’avoir été me faire examiner, ça nous a réellement sauvées.
La césarienne fut effectuée juste à temps, soit le 10 mai dernier. Les médecins mentionnèrent à Kevin et à Katie que s’ils avaient attendu un autre 48 heures, Mirren n’eut peut-être pas survécu ; même à ce moment, on lui accordait seulement 10 % de chance de survie.
« Les prochains quatre mois ont été en dents de scie, se rappelle Katie, mais Mirren continuait à lutter.
Lire la suiteCette mère garda son bébé à travers une grossesse à haut risque, il naquit à 24 semaines et tous deux vont bien
LeAnna Haggard et sa fille.
LeAnna Haggard (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Le 7 février 2019 (Live Action News) — Ma grossesse a commencé comme beaucoup d’autres : deux petites lignes roses, le choc, la joie et un amour submergeant. Mon mari et moi étions si excités. Nous avons remercié Dieu pour ce don ; pour nous avoir donné une autre chance après la perte au premier trimestre de notre premier [enfant]. J’avais une petite vie qui grandissait en moi. J’ai commencé à bien faire les choses. Vitamines et bonne alimentation. Boire beaucoup d’eau.
J’avais quelques problèmes médicaux mineurs que mes médecins ne pouvaient pas définir, alors j’ai demandé un rendez-vous à mon obstétricien le plus tôt possible. À six semaines, nous avons vu un petit battement de cœur. J’ai été choisie pour protéger cette petite âme. À l’âge de sept semaines, j’ai commencé à tomber malade et on m’a diagnostiquée une hyperemesis gravidarum. La maladie était si grave que j’avais plusieurs sacs de liquide IV et de médicaments anti-nausée. Rien ne m’a aidée à me sentir mieux, mais mon bébé était encore en bonne santé et c’est tout ce qui comptait pour moi.
À neuf semaines, j’ai fait mes analyses sanguines prénatales de routine. J’étais encore malade, somnolant tout le temps, et il m’était difficile de me déplacer sans être essoufflée ou étourdie. Mon bébé allait bien et c’était tout ce qui comptait pour moi. Quelques heures après mon rendez-vous de neuf semaines, mon obstétricien m’a appelée. Ils n’ont pas pu me soigner. Mon nombre de globules sanguins était trop bas pour porter un bébé. Ils m’ont suggéré de voir un autre médecin.
À 10 semaines, j’ai rencontré un médecin spécialisé dans les maladies du sang. De lui, j’ai eu d’autres mauvaises nouvelles : on m’a diagnostiqué une maladie rare de la moëlle osseuse appelée anémie aplasique. Ma moëlle osseuse ne produisait pas assez de globules sanguins pour me permettre de survivre, encore moins le bébé.
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