L'American Psychological Association se penche sur la polygamie
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info)
L’Association des psychologues américains (APA) a constitué une équipe afin de « satisfaire les exigences des personnes qui pratiquent la non-monogamie consensuelle, y compris à travers leurs identités marginalisées. »
Outre à la polygamie, le feu vert est donné aussi « au polyamour, aux relations ouvertes, aux oscillations, à l’anarchie relationnelle et autres types de relations éthiques non-monogames ».
Les motifs d’une telle ouverture ? :
Trouver l’amour et l’intimité sexuelle, écrit l’APA est une partie centrale de l’expérience de vie de la plupart des personnes. Toute fois la capacité de s’engager dans l’intimité désirée sans la stigmatisation sociale et médicale n’est pas une liberté pour tous.
L’APA ressort le même raisonnement sentimental et subjectiviste qui a vendu au monde, au cours des décennies passées, comme un bien attaché à la liberté individuelle les mœurs homosexuelles. De fait s’il est licite d’avoir des rapports affectifs et sexuels avec une personne du même sexe, pourquoi il ne serait pas licite d’en avoir avec plusieurs personnes en même temps ?
Puisque plus aucune loi morale et divine ne fait barrage à la sacro-sainte liberté individuelle, le fruit le plus vénéneux mais logique des droits de l’homme, de l’approbation de l’homosexualité à l’approbation de la polygamie, de l’inceste et de la pédophilie, le pas est vite franchi […]
Des adultes ayant été élevés dans des familles « gaies » craignent de révéler leur triste expérience
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Max Pixel
C’est l’affligeante réalité qui se cache derrière la propagande LGBT qui veut faire paraître les « familles » « gaies » comme normales. Quatre adultes, élevés dans des familles « gaies », ont donné leur témoignage à la Cour du 5e circuit en Nouvelle-Orléans, qui doit statuer sur le maintien du statut du mariage comme étant entre un homme et une femme, au Texas, en Louisiane et au Mississippi. Extraits de CNS.News :
Lire la suiteDans son mémoire, Dawn Stefanowicz a décrit son expérience de vie dans un « ménage »* homosexuel.
« Je n’étais pas entourée de couples hétérosexuels moyens », dit-elle dans son mémoire. « Les partenaires de papa dormaient et mangeaient dans notre maison, et ils m’ont emmenée dans des lieux de rencontre des communautés LGBT. J’ai été exposée à des activités sexuelles ouvertes comme la sodomie, la nudité, la pornographie, le sexe en groupe, le sadomasochisme et de tout acabit. »
« Il n’y avait aucune garantie que les partenaires de mon père resteraient là pour longtemps, et pourtant j’ai souvent dû leur obéir, » dit-elle. « Mes droits et mon innocence ont été violés. »
« En tant qu’enfants, nous ne sommes pas autorisés à exprimer notre désaccord, notre douleur et notre confusion », explique Stefanowicz. « La plupart des enfants [devenus]** adultes issus de foyers homosexuels ne se sentent pas en sécurité ou libres d’exprimer publiquement leurs histoires et les défis de leur vie ; ils craignent de perdre leur permis professionnel, de ne pas obtenir de l’emploi dans le domaine de leurs préférences, d’être coupés de certains des membres de leur famille ou de perdre quelques relations qu’ils avaient avec leurs parent(s) “gais”*. Certains parents “gais”* ont menacé de ne laisser aucun héritage si leurs enfants n’acceptaient pas le partenaire du jour de leur parent. »
Un juge reconnaît trois parents pour un enfant!
Par Le Peuple — Sources de l'article : CTV News
C’est une première au pays : des adultes impliqués dans un ménage à trois ont été reconnus comme parents d’un nouveau-né.
Deux hommes impliqués dans une relation polyamoureuse avec la mère d’un enfant né en 2017 viennent d’être reconnus comme les parents légaux du poupon. [horreur]*
C’est ainsi que le juge Robert Fowler, de la division des affaires familiales de la Cour Suprême de Terre-Neuve et du Labrador, a rendu une décision qui est une première au pays. Le magistrat estime que « la société est en changement perpétuel et [que] les structures familiales se transforment en conséquence ».
Rappelons que les relations polyamoureuses sont légales au Canada, a contrario de la bigamie ou de la polygamie qui demeurent interdites.
Toutefois, c’est la première fois qu’un magistrat reconnaît qu’un trio composé d’une femme et de deux hommes obtiennent la parentalité légale d’un enfant. Le juge Fowler souligne que cette situation inusité « doit être reconnue comme une réalité et non pas comme un préjudice qui pourrait porter atteinte aux intérêts de l’enfant ».
Si les membres de ce trio entretiennent une liaison amoureuse depuis trois ans, le père biologique de l’enfant demeure totalement inconnu.
*Note d'A.H.