Chelsea Clinton et son blasphème pro-avortement : si Jésus était là aujourd’hui, il travaillerait chez Planned Parenthood…
Chelsea Clinton.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Lorie Shaull/Flickr
Mise à jour : 10 mai 2021 — Faute de savoir si le tweet sur lequel je base mon article a vraiment existé, je ne peux affirmer la véracité des faits se rapportant audit tweet. J'ai essayé de vérifier avec le Wayback Machine, impossible de voir le contenu du 3 mai sur le compte de Chelsea Clinton. — A. H.
Chelsea Cliton, fille de l’ex-président Clinton, pro-avortement notoire, elle-même présidente de la Fondation Clinton qui entretien des liens étroits avec Planned Parenthood, aurait écrit le tweet suivant, aussi blasphématoire qu’ignorant ou propagandiste (ou les deux) :
L’archevêque Salvatore Cordileone a tort de refuser la Sainte Communion au président Biden et à la présidente de la Chambre des représentants Pelosi parce qu’ils soutiennent le droit donné par Dieu à la femme de choisir. Si Jésus était vivant aujourd’hui, il travaillerait à Planned Parenthood. Lisez votre Bible mon Père.
Ce commentaire au sujet de Mgr Slavatore Joseph Cordileone, l’archevêque de San Francisco qui a écrit un long texte au sujet des politiciens pro-avortement se disant « catholiques », ne nécessite pas une longue réfutation :
- Dieu n’a jamais donné le droit à qui que ce soit le de tuer un être innocent, en l’occurrence l’enfant à naître.
- Jésus ne travaillerait pas chez Planned Parenthood s’il était sur terre aujourd’hui, tout l’enseignement qu’Il a laissé à l’Église catholique indique très clairement qu’Il interdit l’avortement. En plus d’être erroné, la proposition « Si Jésus était vivant aujourd’hui… » laisse entendre que Jésus serait mort actuellement, ce qui est tout simplement hérétique, Jésus étant ressuscité le troisième jour à compter de celui où Il est mort sur la croix, Il est vivant maintenant.
- Quant à lire la bible, rien dans les Écritures n’indique que Jésus aurait approuvé l’avortement, au contraire, l’Ancien Testament, pour ne nommer que lui, et dont Jésus se servait souvent lors de son ministère sur terre, montre avec clarté l’amour de Dieu pour l’enfant à naître : « Avant que Je t’eusse formé dans les entrailles de ta mère, Je t’ai connu ; avant que tu fusses sorti de son sein, Je t’ai sanctifié » (Jr 1:5). Bref, l’ignorant n’est pas celui qu’elle croit…
Ah ! au passage, Mme Clinton (Chelsea) participera à la 5e conférence du Vatican sur la santé, en compagnie d’une belle bande de pro-avortement, pro-contraception, malthusianistes, etc…
La conférence du Vatican sur la santé réunira plusieurs promoteurs de la contraception et de l’avortement
Par Riccardo Cascioli (La Nuova Boussola Quotidiana) — Lu sur Benoît-et-moi — Photo : Pikist
La cinquième conférence internationale du Vatican, qui se tiendra du 6 au 8 mai sur le thème de la santé, a déjà fait scandale tant par les orateurs invités (dont beaucoup sont liés au commerce des vaccins anti-Covid) que par l’affiche qui en fait la publicité, véritable manifeste d’athéisme pratique. Mais il y a un aspect encore plus inquiétant : le principal bailleur de fonds de la conférence est la Fondation John Templeton, engagée dans la diffusion de la contraception et spécialisée dans l’implication des organisations religieuses dans les campagnes de contrôle des naissances. Et Pfizer, présent à la conférence, est également le fabricant de contraceptifs injectables aux effets à long terme, qui ont causé tant de désastres dans le tiers monde. Et pourtant, un Motu Proprio de Benoît XVI interdit ces mixtures.
La cinquième conférence internationale du Vatican qui se tiendra du 6 au 8 mai sur le thème « Explorer l’esprit, le corps et l’âme – S’unir pour prévenir et s’unir pour guérir » a déjà créé un scandale notable. Tout d’abord en raison de la présence de certains intervenants, entre le bizarre et l’embarrassant : La première catégorie comprend Chelsea Clinton, fille de l’ancien couple présidentiel américain, l’ancien mannequin Cindy Crawford, des chanteurs de rock tels que Joe Perry du groupe Aerosmith ; à la seconde appartient le gourou New Age Deepak Chopra ; la conservationniste [c’est à dire pour la conservation des espèces et des espaces naturels, NDT] Dame Jane Goodall, partisane fanatique du contrôle des naissances et de la réduction de la population (à Davos, il y a un an, elle a déclaré que la population mondiale devrait être ramenée au niveau d’il y a 500 ans, c’est-à-dire entre 420 et 560 millions) ; et surtout les plus grands promoteurs de la vaccination de masse, de l’immunologiste Anthony Fauci aux hauts dirigeants de Pfizer et Moderna, Albert Bourla et Stéphane Bancel, en passant par le directeur de Google Health, David Feinberg.
Que font tous ces gens au Vatican (même si c’est virtuellement, étant donné les limitations fixées par le Covid), à parler de santé, invités du Conseil pontifical pour la culture, dirigé par le cardinal Gianfranco Ravasi ? Une question d’autant plus urgente que ces conférences internationales sont nées en 2011 pour promouvoir la recherche sur les cellules souches adultes, en réponse à la tendance du monde industriel et scientifique à se concentrer plutôt sur les cellules embryonnaires. Surtout, il est inévitable de rapprocher l’enthousiasme du Vatican pour les vaccinations (y compris la promotion de l’endoctrinement vaccinal à l’église, comme nous l’avons révélé hier) et la présence des deux sociétés pharmaceutiques qui se partagent la plus grosse part du gâteau des revenus des vaccins. Au minimum, une coïncidence inopportune.
Lire la suiteDans le monde de la recherche, on greffe de la peau de bébés avortés sur des rongeurs…
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie
5 janvier 2021 (LifeSiteNews) — Cela fait cinq ans que David Daleiden et le Center for Medical Progress ont révélé que des parties de corps prélevées sur des bébés avortés étaient utilisées pour la recherche médicale, dans ce qui semble être une histoire moderne de Frankenstein fœticide. Il a été révélé que les avorteurs modifiaient les procédures chirurgicales pour s’assurer que certaines parties du corps n’étaient pas écrasées, afin qu’elles soient encore utilisables par les chercheurs. StemExpress envoyait par FedEx des parties de corps de bébés provenant de Planned Parenthood pour qu’elles restent fraîches. Chaque cycle de nouvelles a engendré de nouvelles horreurs.
David Daleiden et les héroïques journalistes infiltrés qui ont passé des années à dénoncer cette barbarie cachée sont toujours embourbés dans un enchevêtrement de batailles judiciaires avec l’industrie de l’avortement, mais de nouvelles révélations qui confirment leurs exposés continuent d’émerger. Stacy Trasancos, experte en chimie, a par exemple récemment publié une enquête sur les pratiques de laboratoire de l’Université de Pittsburgh, où les parties de corps de bébés avortés, tués au cours du deuxième trimestre, sont utilisées pour des expériences.
Selon Trasancos, les expériences utilisant des parties de bébés avortés comprennent la greffe du cuir chevelu de bébés avortés sur des souris pour créer des « souris humanisées ». Une fois cette opération terminée, les chercheurs ont ensuite enregistré l’impact de l’intégration des cheveux de bébé sur l’immunité des souris à divers agents pathogènes. Des photographies montrent de petites touffes de cheveux d’enfant poussant sur le flanc des rongeurs où les chercheurs les ont replantés après les avoir prélevés sur le crâne d’enfants tués dans le ventre de leur mère.
Selon le Dr Trasancos, l’étude de l’Université de Pittsburgh a utilisé un certain nombre de bébés avortés entre 18 et 20 semaines, avec le soutien du National Institute of Allergy and Infectious Diseases, pour examiner la « peau humaine pleine épaisseur » sur les souris et les rats humanisés :
Cette peau humaine provenant de fœtus a été greffée sur des rongeurs tout en greffant simultanément les tissus lymphoïdes du même fœtus et les cellules souches hématopoïétiques du foie, de sorte que les modèles de rongeurs ont été humanisés avec des organes et de la peau provenant du même enfant. La peau humaine a été prélevée sur le cuir chevelu et le dos des fœtus afin que les greffes avec et sans poils puissent être comparées dans le modèle de rongeur. Les tissus graisseux excédentaires attachés à la couche sous-cutanée de la peau ont été coupés, puis la peau du fœtus a été greffée sur la cage thoracique du rongeur, où sa propre peau avait été enlevée. Des cheveux humains sont apparus à l’âge de 12 semaines, mais uniquement dans les greffons prélevés sur le cuir chevelu des fœtus. Dans les greffes de cuir chevelu, on peut voir de fins cheveux humains, longs et foncés, entourés des courts poils blancs de la souris. Les images montrent littéralement une plaque de cheveux de bébé poussant sur le dos d’une souris.
Il n’y a pas que l’Université de Pittsburgh. L’Université de Californie-San Francisco a utilisé les corps de 249 enfants du deuxième trimestre pour la recherche, prélevant leurs foies pour divers tests. L’Université de Yale a utilisé quinze bébés tués au deuxième trimestre pour dissection, utilisant leur moelle osseuse, leur rate et leur foie pour des recherches sur les niveaux immunitaires. À l’UCSF, les appareils reproducteurs et les intestins fœtaux ont été prélevés sur des bébés avortés et transplantés sur des rats. Le scalpage des bébés opéré par l’Université de Pittsburgh n’est pas une atrocité ponctuelle. C’est une pratique courante.
C’est aussi la conséquence inévitable de la vision du monde pro-choix : les enfants in utero ne sont pas suffisamment humains pour bénéficier de la protection de la loi, mais ils le sont suffisamment pour que leurs corps soient pillés pour la recherche médicale. Ceux d’entre nous qui comprennent que ce sont des enfants qui sont tués et que ce sont des cheveux d’enfants qui poussent sur des rats — doux, délicats et grotesquement mal placés — sont écœurés par tout cela. Mais ceux qui nient, face à tant de preuves, que ces enfants sont humains n’ont aucune raison solide de s’opposer à ces expériences, si ce n’est le cri de leur propre conscience. Pourquoi jeter un corps en parfait état quand on peut le recycler ?
Les crimes mêmes que nous commettons contre ces petites personnes confirment leur humanité, car s’ils n’étaient pas humains, ils ne seraient pas utiles à la recherche humaine. Ces expériences confirment leur humanité — et le fait que nous sommes en train de perdre la nôtre.
Une centaine de femmes — dont Wanda Półtawska, amie de Jean-Paul II — appellent au rejet des vaccins «souillés» par l’avortement
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) ― Photo : Freepik
Un groupe international de près de cent femmes — médecins, religieuses consacrées et responsables et militantes pro-vie — ont lancé un appel aux chrétiens et à toutes les personnes de bonne volonté pour que l’on cesse de justifier moralement l’utilisation de vaccins « souillés par l’avortement », c’est-à-dire ayant recours pour leur développement, leur production ou leur contrôle à des lignées de cellules provenant de bébés avortés. La déclaration, que j’ai moi-même eu l’honneur de signer, souligne que le fait de ne pas s’opposer à cette pratique alimente et fait avancer la culture de la mort à travers le trafic et l’exploitation de bébés avortés à des fins d’expérimentation médicale.
Sa publication initiale en anglais a été faite par le vaticaniste Edward Pentin.
Parmi les signataires, originaires de 25 pays de par le monde, figure le docteur Wanda Półtawska [...], médecin polonais centenaire, amie personnelle de feu le pape Jean-Paul II et victime d’expériences pseudo-médicales menées par le médecin personnel d’Adolf Hitler dans le camp de concentration nazi de Ravensbrück. Le Dr Półtawska, également spécialiste en psychiatrie, aujourd’hui âgée de 100 ans, a consacré ces 70 dernières années à œuvrer pour la vie et pour la famille.
On notera aussi la présence, parmi les signataires, de trois anciens membres de l’Académie pontificale pour la vie : le Dr Pilar Calva (Mexique), Mercedes Wilson de Arzu (Guatemala) et Christine de Marcellus Vollmer (Venezuela). Ainsi que de l’Allemande Gabriele Kuby, amie de Benoît XVI.
Parmi les autres signataires figure Abby Johnson, une militante américaine anti-avortement qui a travaillé comme directrice de clinique pour Planned Parenthood jusqu’en 2009, et dont les mémoires ont servi de scénario pour le film Unplanned de 2019 ; et sœur Deirdre Byrne, ancienne chirurgienne générale militaire et ancienne missionnaire qui a servi au Kenya, en Afghanistan, en Haïti, en Irak et au Soudan, et dont la prise de position en faveur des enfants à naître a attiré l’attention de la nation américaine en août 2020.
L’opposition aux vaccins développés ou produits au moyen de cellules fœtales obtenues lors d’avortements a déjà suscité la controverse en France et ailleurs, autour de la question de savoir si le recours aux vaccins constitue une coopération au mal, et à quel degré. Le pape et les instances vaticanes ont implicitement ou ouvertement rejeté cette opposition en allant jusqu’à dire que la réception du vaccin constitue un devoir de charité pour le catholique.
Lire la suitePlanned Parenthood tue plus d’enfants à naître que jamais, et est le second plus grand fournisseur de «transitions» aux É.-U.
Par Jonathon Van Maren ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : AdobeStock
1er mars 2021 (LifeSiteNews) ― La semaine dernière, le Family Research Council (FRC) a publié son rapport annuel The Real Planned Parenthood : Leading the Culture of Death. Il s’agit d’un regard qui donne à réfléchir sur la plus grande entreprise d’avortement d’Amérique, qui a non seulement perpétré plus de la moitié de tous les avortements signalés aux États-Unis de 2018 à 2019, mais qui s’est également développée sur le marché en pleine expansion de l’hormonothérapie transgenre. Au cours de l’année fiscale 2019-2020, Planned Parenthood a tué 354 871 bébés.
Selon le FRC, Planned Parenthood a reçu 38 % de son financement — 618,1 millions de dollars — du gouvernement américain, la majeure partie par le biais du Medicaid. « Le revenu total de Planned Parenthood pour 2019-2020 était de 1,6 milliard de dollars, le plus élevé de son histoire », rapporte le FRC. « Planned Parenthood a fait état de 888,3 millions de dollars d’actifs nets non affectés, dans lesquels il peut puiser s’il venait à perdre le financement gouvernemental. »
Selon l’auteur du rapport, directrice du Center for Human Dignity du FRC, Mary Szoch : « Sur la base de l’augmentation annuelle du nombre d’avortements pratiqués par Planned Parenthood et de la diminution du nombre d’avortements pratiqués au niveau national, il appert que Planned Parenthood devient de plus en plus un monopole de l’avortement ». Dans des séquences filmées sous couverture par David Daleiden et ses collègues du Center for Medical Progress, des propriétaires de cliniques d’avortement indépendantes ont été filmés en train de se plaindre du fait que Planned Parenthood les poussait de plus en plus à la faillite.
Le rapport du FRC souligne également que la thérapie hormonale transgenre est maintenant disponible dans 200 centres de Planned Parenthood dans 31 États, faisant du géant de l’avortement le deuxième plus grand fournisseur de « traitements » transgenres (si on peut appeler ça ainsi) dans le pays.
Lire la suiteP. Acker: plusieurs vaccins covid emploient une lignée cellulaire de bébés avortés, peut-être vivants lors de la récolte des tissus
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) ― Photo : Freepik
A la suite de l’entretien accordé à la mi-janvier par Pamela Acker à John-Henry Westen pour LifeSite, Pamela Acker a vu certaines de ses affirmations sur l’inacceptabilité de l’utilisation de lignées cellulaires trouvant leur origine dans des fœtus avortés contestés par des lecteurs. D’autres ont demandé des éclaircissements et des précisions.
Je vous propose ci-dessous ma traduction intégrale de sa réponse publiée vendredi dernier par LifeSite, où figure la totalité des sources citées par Pamela Acker par le biais de liens actifs. Il est donc possible à chacun de vérifier le sérieux de ses dires. — J.S.
*
Un certain nombre de questions ont été posées à LifeSiteNews à propos d’une interview que j’ai donnée à John-Henry Westen le 12 janvier 2021 [traduction française intégrale ici]. On m’a demandé de répondre à certaines de ces questions, en commençant par des interrogations sur l’origine de la lignée cellulaire HEK-293, qui a été utilisée dans le développement de nombreux vaccins COVID actuellement à l’essai.
Frank Graham, le chercheur qui a développé cette lignée, a tiré son nom de son origine (rein embryonnaire humain) et aussi de la méthode qu’il a utilisée pour numéroter ses expériences (c’était la 293e). Dans l’interview accordée à LifeSite, j’ai émis l’hypothèse que cette lignée cellulaire pourrait avoir été le fruit de centaines d’avortements. D’aucuns ont remis cette hypothèse en question, affirmant que Frank Graham lui-même a déclaré que ladite lignée cellulaire était basée sur un seul avortement et deux expériences. Il est allégué que par conséquent, c’est l’affirmation selon laquelle un seul avortement a été pratiqué qui est correcte, ce que cela a des répercussions sur la nature morale de la décision d’utiliser ou non ces vaccins entachés par l’avortement.
Plusieurs aspects de ce raisonnement doivent être abordés. Le premier est celui qui concerne le développement d’une lignée cellulaire.
Lorsqu’une lignée cellulaire est développée (qu’il s’agisse d’une lignée cellulaire humaine ou animale), elle est généralement produite à partir d’un échantillon de tissu provenant d’un seul individu (les lignées cellulaires hybrides font exception). Ainsi, d’une part, il est techniquement correct de dire que la lignée cellulaire a été développée en utilisant un seul bébé avorté. Cependant, cela ne donne pas une idée exacte du nombre de vies qui ont été réellement sacrifiées dans le processus de développement d’une lignée cellulaire de fœtus avorté.
Lire la suiteLa pro-avortement Kamalas Harris bientôt à la tête des États-Unis ?
Kamala Harris.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Gage Skidmore/Flickr
Le fait est que la vice-présidente des États-Unis, Kamala Harris, activiste forcenée de l’avortement, remplit des fonctions présidentielles dans les tous débuts de l’administration Biden, elle passe des appels auprès de chefs d’État étrangers pour traiter avec eux. Le fait est qu’il est inhabituel que le vice-président des États-Unis se chargeât d’une telle tâche, surtout au début d’une nouvelle administration. Une réponse toute simple, Joe Biden est de moins en moins apte à remplir ses fonctions et Kamala Harris est tout simplement en train de le remplacer dans la pratique… avant sans doute de s’y substituer en invoquant quelque chose comme le 25e Amendement. Selon LifeSiteNews :
Lire la suiteCela n’a pas pris beaucoup de temps. Elle n’est même pas seulement depuis quatre semaines dans l’administration Biden, et Kamala est déjà en train d’assumer l’une des fonctions clés du président : traiter avec les dirigeants étrangers.
Hier, la Maison-Blanche a publié un document intitulé « Lecture de l’appel de la vice-présidente Kamala Harris avec le président français Emmanuel Macron ». La « lecture » précise :
[...]
Harris s’est également entretenu récemment avec le Premier ministre canadien Justin Trudeau sur le covid, le changement climatique et la diversité [...]
Il est étrange qu’un vice-président passe des appels, habituellement réservés au chef d’État, à des alliés clés des États-Unis et à d’autres personnes quelques semaines à peine après le début d’une nouvelle administration. Pouvez-vous imaginer Dick Cheney faisant de tels appels au cours des premières semaines de l’administration George Bush, ou Joe Biden lui-même réalisant des appels présidentiels pour son homologue Barack Obama au début de 2009 ?
Si cela s’était produit, les médias auraient rapidement commencé à remettre en question les capacités du président en question face à la tâche.
Dans le cas de Joe Biden, cependant, ses capacités — telles qu’elles sont — ne sont pas vraiment remises en question. Il est évident depuis le début de sa campagne présidentielle qu’il était en déclin cognitif et que, s’il était élu, il aurait besoin d’un « premier ministre » de facto pour l’aider à s’acquitter des tâches quotidiennes de sa fonction.
Le Time révèle la vaste cabale qui s’était formée contre Trump lors des élections
Donald Trump, président des États-Unis éjecté par fraudes électorales.
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) ― Photo : Gage Skidmore/Flickr
Trump a crié à la fraude, à la conspiration menée par toute la bien-pensance universelle contre lui afin qu’il perde les élections. Le monde s’est moqué de lui, l’a traité de complotiste, a diabolisé ses soutiens. Tout le monde se souviendra des graves allégations de fraude formulées par l’équipe juridique de Trump au lendemain de la victoire de l’opposant démocrate, qualifiées de théories de « conspiration » et sans fondement. « Ils nous ont volé les élections », avait déclaré Trump devant ses partisans le 6 janvier. Et pourtant…
Tout à leur victoire, les opposant à Donald Trump se relâchent et ne cachent plus les sombres manœuvres entreprises pour empêcher que l’ancien président des Etats-Unis ne fasse un second mandat à la Maison-Blanche.
Ce qui ressemble bien à une vaste conspiration commence à émerger dans la presse mainstream, racontée en détail par des protagonistes fiers d’eux-mêmes. Le Time dans un article du 4 février dernier intitulé L’histoire secrète de la campagne fantôme qui a sauvé les élections de 2020, de la journaliste Molly Ball (biographe de la présidente de la Chambre Nancy Pelosi) décrit ce qui s’est passé, recueillant les témoignages de toutes les figures clés du plan.
Il n’y a peut-être pas eu de fraude, qui n’a de toute façon pas été légalement prouvée [ce qui n'est pas tout à fait vrai*], mais Donald n’a pas eu tort de parler de « conspiration » contre lui. Dans son étude le Time relate une histoire interne sans précédent et dramatique d’un « effort extraordinaire visant à “garantir que le vote soit libre et équitable” ».
Lire la suiteLe Texas peut enfin cesser de financer Planned Parenthood, grand exécuteur d’avortements
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Pxfuel
Mise à jour : 11 mars 2021 — Le juge du Texas a déclaré que l'État pouvait cesser de financer Planned Parenthood.
Mise à jour : 26 février 2021 — Planned Parenthood s'est fait donner un autre deux semaines.
Mise à jour : 9 février 2021 — Un groupe pro-avortement s'est pourvu en justice, faisant en sorte que le Texas ne peut, momentanément, cesser de financer Planned Parenthood.
Grâce à une décision de la Cour du 5e circuit rendue en novembre 2020, l’État du Texas n’est plus obligé de financer Planned Parenthood, grand fraudeur et exécuteur d’avortements, depuis le 3 février 2021. Selon LiveActionNews :
Après que le géant de l’avortement eût demandé un délai de grâce de six mois pour permettre aux patientes de trouver de nouveaux prestataires tout en continuant à recevoir des soins, le tribunal a rejeté cette demande mais a accordé un délai de grâce de 30 jours se terminant le 3 février.
Le procureur général du 5e circuit et du Texas a basé cette décision en partie sur l’implication de Planned Parenthood dans le trafic de parties de corps de bébés avortés qui a été révélé en 2015. « Une vidéo d’infiltration a clairement montré que Planned Parenthood admettait avoir un comportement immoral et illégal, comportant des violations à la loi fédérale par la falsification du calendrier et des méthodes d’avortement afin d’obtenir des tissus fœtaux pour leur propre recherche », soulignait une déclaration du procureur général. « Planned Parenthood n’est pas un prestataire “qualifié” au sens du Medicaid Act, et ne devrait pas recevoir de subventions publiques dans le cadre du programme Medicaid ».
En 2013, Planned Parenthood avait été condamné à une amende de 1,4 million de dollars pour avoir demandé et reçu frauduleusement plus qu’il n’y avait droit sous le régime Medicaid de l’État du Texas, rapportait Live Action News.
Hommage à Trump pour ses accomplissements
Donald Trump, lors de la Marche pour la Vie à Washington en 2020, premier président américain à participer en personne à la marche.
Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Jim Hale/LifeSiteNews
« Un bon arbre ne peut produire de mauvais fruits, ni un mauvais arbre produire de bons fruits. Tout arbre qui ne produit pas de bons fruits sera coupé et jeté au feu. Vous les reconnaîtrez donc à leurs fruits. » (Mt 7 : 18-20)
Oui, je rends hommage à ce personnage honni par les médias (qui nous honnissent aussi…) pour ses accomplissements dans le domaine de la protection de la vie à naître, de la famille, de la nation et du christianisme.
Sans doute que beaucoup trouvent à redire sur lui, à cause entre autres des bobards qu’ont répandus les gros médias et de leurs omissions, sur sa vie personnelle et ses opinions passées (il était pro-avortement autrefois), sur son parler et sa manière, et enfin, sur certaines de ses politiques.
Mais un nombre appréciable de personnes ont vu en lui, certes non un idéal, mais un refuge face à Hilary Clinton en 2016 et à Joe Biden en 2020. Si vous voulez critiquer Trump, il faut le comparer, dans la mesure du possible, à ses deux opposants des deux dernières élections américaines.
En outre, plus de 74 millions d’Américains ont voté pour cet homme : Donald J. Trump. C’est un record pour un deuxième mandat dans l’histoire des États-Unis.
Certes, on peut par exemple lui reprocher de s’être plié à l’exercice de mascarade du covid-19, comme la plupart des dirigeants dans le monde. Mais aurait-il pu affronter l’hystérie générée et propagée par les médias libéraux, lui qui était toujours à deux doigts de se faire destituer, sort près duquel il est passé pour deux motifs grotesques : le premier, qui rentre tout à fait dans la catégorie décrite par le néologisme si médiatique « théorie du complot », d’interférences russes dans les élections de 2016 en faveur de Donald Trump (comme quoi il n’y a que Trump pour tricher, selon les démocrates…) ; le second, avoir incité l’« attaque » du Capitole le 6 janvier 2021, alors qu’il y a des doutes très raisonnables quant à la cause de cet incident ― du reste, c’est aux détracteurs de fournir des preuves sérieuses et non des suppositions nébuleuses. Mais certains, souscrivant au mythe de la « pandémie » qui paralyse le monde, blâment précisément Trump pour n’avoir pas assez confiné…
Cependant, il a produit de bons fruits, et même d’excellents fruits, durant les quatre années de son mandat de président des États-Unis, et il serait injuste de les ignorer : Trump a été l’un des présidents américains les plus pro-vie de l’histoire, et ce, malgré la féroce opposition qu’il a rencontrée chez les démocrates et les médias libéraux, notamment, et la corruption de l’État américain ; s’il a produit des fruits pourris, on peut espérer qu’ils n’auront pas gâté ceux qui étaient sains. Une chose est certaine, il demeurera dans l’Histoire.
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