Ambulance appelée au Planned Parenthood de New York pour la 13e fois cette année
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Operation Rescue a appris par des témoins pro-vie qu’une ambulance s’est rendue à l’établissement de Planned Parenthood, Margaret Sanger, de la ville de New York, le 14 novembre afin de transporter pour la 13e fois cette année une patiente vers un hôpital de la région.
Ce centre de Planned Parenthood est réputé pour mettre les femmes en danger. Se conformant sans doute à une demande faite lors de l’appel au 911, l’ambulance éteignit ses sirènes plusieurs pâtés de maisons avant l’établissement. Elle fut donc obligée de louvoyer à travers le trafic et les travaux de voirie, plus lentement qu’à l’ordinaire, alors qu’une femme à l’intérieur de l’établissement souffrait, en situation d’urgence médicale. Une fois arrivés, les ambulanciers paramédicaux ne purent apporter un brancard à l’intérieur à cause de l’ascenseur de l’immeuble qui était trop exigu pour contenir cet appareil médical nécessaire. Plus tard, une femme les suivit à pied et, peu de temps après, elle fut transportée vers un hôpital de la région. L’ambulance ne mit pas en marche ses sirènes avant d’avoir mis plusieurs pâtés de maisons entre elle et le centre.
Les ambulanciers se font souvent demander de venir sans sirène ni lumières, ce qui les retarde, parce que les employés des avortoirs ne veulent pas attirer l’attention sur les accidents qui s’y produisent. Cet établissement a également manqué à l’obligation d’apporter des améliorations à l’édifice afin de mieux répondre aux besoins d’une femme en état d’urgence médicale. Bien que cet avortoir prétende être un flambeau des soins de santé des femmes, des actes comme ceux-ci prouvent que Planned Parenthood se soucie peu du bien-être de ses patientes.
Ce dernier fait est loin d’être inhabituel au Planned Parenthood, Margaret Sanger. Cette dernière urgence médicale constitue le 33e cas documenté par Operation Rescue depuis 2016. Il est fort probable qu’il y en ait eu d’autres, car Operation Rescue se fie uniquement à des témoins oculaires pro-vie pour ce genre d’information. Comme les dossiers du 911 ne sont pas accessibles au public à New York, il est impossible de connaître la nature de ces urgences médicales. Néanmoins, lorsqu’au moins 13 femmes ont été blessées en un an, c’est une source d’immense préoccupation.
Operation Rescue et ses homologues pro-vie ont constaté une augmentation d’interventions d’ambulances dans cet établissement depuis l’adoption cette année de la Reproductive Health Act de New York, qui a retiré presque toutes les restrictions sur l’avortement dans cet État. Avec l’abrogation des règlements, les urgences médicales ont été à la hausse.
« New York est un exemple concret pour les législations pro-vie qui protègent les femmes contre les pratiques d’avortement bâclé », a déclaré Troy Newman, président d’Operation Rescue. « Quand les États reculent par rapport au bon sens en matière d’avortement et sur les règles de sécurité, les femmes en subissent les conséquences dans les urgences, les blessures traumatiques, et parfois dans la mort. »
Le jury déclare coupables Daleiden et les autres pro-vie qui dénoncèrent le trafic d’organes de bébés avortés de Planned Parenthood
David Daleiden à l’extérieur de la Cour supérieure de San Francisco, le 11 février 2019.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pete Baklinski/LifeSiteNews.com
Planned Parenthood doit avoir plein de juges dans sa poche… Extrait de LifeSiteNews :
David Daleiden et les enquêteurs sous couvert du Center for Medical Progress ont été reconnus coupables de multiples crimes et doivent verser des millions de dollars en dommages-intérêts à Planned Parenthood pour le travail qu’ils ont accompli en dénonçant le prélèvement d’organes sur des bébés avortés.
Le jury composé de neuf hommes et d’une femme a rendu son verdict vendredi après-midi après avoir délibéré moins de deux jours, même si ce procès civil historique a duré six semaines.
Le montant total accordé à Planned Parenthood s’élève à plus de 2 millions de dollars, selon la Thomas More Society, ce qui comprend les dommages-intérêts punitifs et compensatoires ainsi que les honoraires des avocats. Une journaliste locale de San Francisco, Helen Chistophi, a twitté depuis le palais de justice que les dommages-intérêts punitifs s’élevaient à 870 000 $.
Les avocats de la défense pro-vie ont déjà déclaré qu’ils interjetteraient appel, affirmant aux journalistes à l’extérieur de la salle d’audience que le « processus était injuste ».
« Ce procès est une vengeance contre David Daleiden qui dénonce le sale commerce de Planned Parenthood d’achats et de ventes de pièces et d’organes fœtaux », a déclaré Peter Breen, avocat principal de la défense et membre de la Thomas More Society. « Nous avons l’intention de défendre David en appel. Son enquête sur les activités criminelles du plus grand fournisseur d’avortements des États-Unis a employé des techniques journalistiques d’investigation courantes, régulièrement utilisées par les médias à travers le pays. »
« Les découvertes de David avaient révélé des pratiques si odieuses que le Congrès des États-Unis avait ordonné des enquêtes criminelles contre Planned parenthood, et que de nombreux États et élus ont décidé de lui retirer tout financement », a poursuivi Breen. « Plutôt que de faire face à ses actes odieux, Planned Parenthood a choisi de persécuter la personne qui l’a dénoncé. Je suis persuadé que lorsque cette affaire sera terminée, la justice l’emportera, et David sera justifié. »
[...]
« Alors que les meilleurs témoins Planned Parenthood ont passé six semaines à témoigner sous serment que les vidéos filmées sous couvert étaient véridiques et que Planned Parenthood vendait des organes fœtaux, sur la base d’un quid pro quo, un juge partial ayant des liens étroits avec Planned Parenthood a passé six semaines à influencer le jury avec des décisions prédéterminées et en rejetant la preuve vidéo,... » a ajouté le groupe.
Nairobi : nouveau sommet onusien à risque pour l’enfant à naître
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
La Conférence internationale sur la population et le développement (CIPD) a pour origine Margaret Sanger, fondatrice de Planned Parethood l’organisme d’extermination des enfants à naître, et est actuellement organisée par le Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP pour l’acronyne français), institution proavortement s’il en est. Extrait de l’ECLJ :
La prochaine Conférence internationale sur la population et le développement (CIPD) se tiendra à Nairobi (Kenya) du 12 au 14 novembre et sera le théâtre d’une nouvelle offensive visant à la reconnaissance d’un prétendu « droit à l’avortement ». En effet, alors que de nombreuses organisations proavortement seront présentées, notamment le Planning familial, Women Deliver ou encore Ipas (fabricant d’appareils « aspirateurs » pour avorter), plusieurs ONG pro-vie n’auraient pas été autorisées à participer.
Cette conférence sera la dernière en date d’une longue série initiée dès 1927 — bien avant la fondation de l’ONU — par Margaret Sanger, la fondatrice du Planning familial, qui était alors la figure la plus active des milieux néo-malthusiens. Ceux-ci cherchaient à convaincre les gouvernements occidentaux de la nécessité de limiter la croissance démographique des pays pauvres pour éviter des déséquilibres politiques et économiques. C’est pourquoi la diffusion de la contraception et de l’avortement est devenue une priorité d’instances telles que le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) qui organise à présent cette conférence.
Heureusement, des représentants de gouvernements seront présents à Nairobi pour défendre la vie humaine innocente dès son commencement. Le 23 septembre 2019, dix-neuf États, dont la Russie, les États-Unis, le Brésil, la Pologne, la Hongrie, l’Égypte ou encore le Congo ont d’ailleurs fait une déclaration commune en ce sens. Ils ont appelé les Nations unies à abandonner l’idéologie du « droit à l’avortement » et à se concentrer sur des défis concrets pour améliorer réellement l’accès à la santé pour tous.
Notons enfin que ces gouvernements contredisent donc les « experts » du Comité des droits de l’homme de l’ONU, qui avaient adopté l’an dernier un document de référence proposant l’avortement comme un « droit » de l’homme.
É-U. — Forte augmentation de syphilis, de gonorrhée et de chlamydia
Par Pour une école libre au Québec — Photo : geralt/Pixabay
Les cas de syphilis, de gonorrhée et de chlamydia ont atteint un niveau record en Amérique en 2018, selon un rapport publié la semaine dernière par les Centres de contrôle et de prévention des maladies des États-Unis (le CDC).
Les trois maladies sexuellement transmissibles (MST) les plus courantes ont atteint plus de 115 000 cas pour la syphilis, plus de 580 000 cas pour la gonorrhée et plus de 1,7 million de cas pour la chlamydia, a indiqué le CDC dans un communiqué de presse. Bien que toutes trois puissent être traitées avec des antibiotiques, en l’absence de traitement elles peuvent être transmises à d’autres personnes et entraîner un risque accru de VIH, de stérilité et de grossesse extra-utérine.
Parmi les informations les plus alarmantes dans ce nouveau rapport, l’on note une augmentation de 40 % du nombre (1300) de nourrissons nés avec la syphilis.
« Il existe des outils pour prévenir tous les cas de syphilis congénitale », a déclaré Gail Bolan de la Division de la prévention des MST du CDC. « Le test est simple et peut aider les femmes à protéger leur bébé de la syphilis — une maladie évitable aux conséquences potentielles irréversibles. »
Le rapport du CDC attribue ces augmentations en partie à l’usage de drogues et à la diminution de l’utilisation de préservatifs, ainsi qu’à « la pauvreté, la stigmatisation et les logements instables » réduisant « l’accès à la prévention et aux soins des MST » tant au niveau des États de la fédération qu’au niveau local.
Pour certains commentateurs, ces explications du CDC occultent des aspects fondamentaux. Le président du Family Research Council (FRC), Tony Perkins, a interviewé jeudi passé le Dr Michelle Cretella, de l’American College of Pediatricians sur le sujet.
Mme Cretella a reproché au communiqué du CDC de mettre l’accent sur le traitement secondaire, après coup, et de taire toute action de prévention primaire, c’est-à-dire de commencer par décourager les comportements à risque. Elle a noté que le gouvernement et la société n’hésitaient pas à dire de façon très catégorique et très franche aux jeunes de s’abstenir de fumer (en employant souvent un langage sans fioriture et des images effrayantes), mais tend à traiter différemment la promiscuité sexuelle à la base de la recrudescence de ces maladies vénériennes.
C’est ainsi que les cours d’éducation sexuelle à l’école ne mettent nullement en avant l’abstinence, mais valorisent souvent l’expérience et le plaisir sexuel pour peu que l’adolescent se protège. Il n’est pas évident que ces cours d’éducation sexuelle, en banalisant la sexualité, ne contribuent pas à une certaine promiscuité qui se révèle bien peu prudente. Un rapport en 2016 (sous Obama) du Bureau de la santé des adolescents avait ainsi constaté que les 3500 élèves de 87 écoles affiliées à Planned Parenthood (un organisme de « planification familiale » à gauche du spectre politique) qui avaient suivi un programme d’éducation sexuelle soutenu par Planned Parenthood étaient « beaucoup plus susceptibles d’avoir déjà été enceintes ou d’avoir provoqué une grossesse que les élèves témoins » n’ayant pas suivi ces cours d’éducation sexuelle.
Planned Parenthood veut dépenser 45 millions de dollars pour vaincre Trump et reprendre les rênes du Congrès
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Planned Parenthood a fortement intérêt pour son portefeuille à ce que l’avortement reste légal aux États-Unis, d’où le gros investissement de 45 millions de dollars qu’il opère pour contrer les républicains. Extrait de LifeSiteNews :
Planned Parenthood Votes (PPV), le super Comité d'action politique de la plus grande chaîne d'avortement du pays, a annoncé mercredi son intention de dépenser au moins 45 millions de dollars en 2020 pour maintenir le contrôle démocrate sur la Chambre des représentants des États-Unis, arracher le Sénat des mains des républicains et chasser le président Donald Trump de la Maison blanche.
L'argent servira à financer la publicité dans les médias à grande échelle, les courriels et la sollicitation sur le terrain en Arizona, Colorado, Floride, Michigan, Minnesota, New Hampshire, Caroline du Nord, Pennsylvanie et au Wisconsin, selon The Hill, avec pour message que les républicains aux niveaux national et de ce lui des États sont impliqués dans une « attaque coordonnée » contre le jugement Roe contre Wade.
« Les enjeux sont plus importants que jamais, et nous en ressortirons plus forts que jamais grâce à l'investissement le plus important que nous ayons jamais fait », a déclaré Kelley Robinson, directrice générale du PPV, au The Hill.
Tuer un « fœtus » après un avortement manqué n’est pas un infanticide, semble insinuer un sous-procureur de Californie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Activedia/Pixabay
Les défenseurs de l’avortement deviennent de plus en plus démesurés dans leurs propos. C’est un sous-procureur de Californie qui, dans le cadre de la poursuite de Planned Parenthood contre ceux qui ont dévoilé son trafic d’organes de bébés avortés, a avancé que selon la loi le fœtus n’est pas une personne, pourtant, il était question d’infanticide, de bébés tués après avoir été mis au monde (violemment), pour ce sous-procureur apparemment ce sont encore des fœtus. Extrait de LifeSiteNews :
Pour les partisans de l'avortement, la naissance a été « le point de repère déterminant », a-t-il [Tom Brejcha de la Thomas More Society] déclaré à LifeSiteNews. « Un moment, le fœtus n'est rien, l'instant d'après, c'est une personne aux yeux de la loi, ayant droit à une protection en bonne et due forme et constitutionnelle. Pourtant, ils estompent cette ligne ici. »
David Daleiden et la journaliste Sandra Merritt, responsables du projet Center for Medical Progress, sont accusés de 14 chefs d'accusation pour avoir enregistré des conversations confidentielles sans consentement, à propos des vidéos sous couverture que le CMP a publiées en 2015 pour exposer le trafic d’organes de bébé avorté opéré par Planned Parenthood.
La défense appuyant la légitimité de sa démarche (l’enregistrement de conversations confidentielles) sur l'article 633.5 du Code pénal qui autorise une exception quand l’enregistreur pense qu’il enquête sur un crime violent contre une personne. Mais pour défoncer l’argument de la défense, le sous-procureur général fait une déclaration hallucinante. Extrait de LifeSiteNews :
Mais le demandeur a semblé soutenir que tuer un « fœtus « né vivant pendant un avortement n'est pas un infanticide.
« L'accusé Daleiden a déclaré dans son témoignage que l'infanticide ou l'homicide, qu'il s'agisse d'un acte personnel ou d'un ordre donné à une autre personne de le faire, est un crime de violence qui relève de l'article 633.5 du Code pénal », déclare le mémoire présenté par le sous-procureur général Johnette Jauron.
« Cependant, par définition officielle, un fœtus n'est pas une "personne" et ne relève pas de l'exception prévue à l'article 633.5 du Code pénal. »
Le mémoire cite People c. Dennis (1998), qui fait observer « qu'un fœtus n'est pas un "être humain" ou une "personne" au sens de la loi sur le meurtre — ou de toute autre disposition du Code criminel comme celles sur l'homicide, l'homicide involontaire coupable ou dans l'article 633.5 - sauf disposition contraire expresse du législateur ».
Témoignages d’anciens travailleurs en avortement : les instruments n’étaient pas stérilisés entre les opérations
Par Sarah Terzo (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Une avorteuse raconte dans le pro-avortement Ms. Magazine que l’établissement où elle travaillait exigeait d’elle de pratiquer des avortements rapidement, les uns après les autres. Dans cet établissement, les femmes étaient expédiées dans les salles d’opération et on leur accordait un temps limité dans la salle de récupération. Elle écrit :
J’ai compris pourquoi les activistes antichoix [pro-vie] qualifiaient cet établissement « d’usine ». Je me souviens que je conduisais des heures pour me rendre à la clinique, pratiquais 26 avortements, revenais à la maison et m’endormais sur le plancher de la salle de bain. Avec un personnel composé de prestataires itinérants comme moi, cette clinique était tout simplement trop occupée pour accommoder toutes les patientes. Les femmes avaient peu de temps pour récupérer après les procédures, car elles devaient être déplacées pour qu’une autre patiente prenne place dans la salle d’opération.
D’autres avorteurs ont rapporté des histoires sur des pratiques similaires dans leur propre établissement. Une ancienne travailleuse en avortement, Shelley Guillory, ayant travaillé dans un centre d’avortement en Louisiane, a mentionné que les femmes étaient rapidement menées à travers le centre d’avortements, car plus ils pratiquaient d’avortements, plus ils gagnaient d’argent.
C’était des entrées et sorties continues. Nous faisions près de 50 à 75 avortements par jour. Bien entendu, il y a qu’un nombre limité d’heures par jour. Notre journée était de 8 heures. Imaginez pratiquer 75 avortements en 8 heures. De plus, il faut penser qu’aucun nettoyage n’est effectué entre les opérations. En résumé, le papier était changé, on faisait entrer la prochaine patiente, on mettait de l’absorbant. On se sentait comme dans une usine ; l’avortement était effectué, puis, environ 10 minutes plus tard, on pratiquait un autre avortement.
Elle mentionne qu’il y avait peu de temps pour le nettoyage :
Lire la suiteC’était horrible, dégoûtant. Il y avait du sang sur les murs datant d’opérations ayant eu lieu des semaines auparavant. Le centre n’était pas nettoyé quotidiennement. Il n’était même pas nettoyé chaque mois. L’établissement avait été nettoyé lorsque nous avons su que l’État allait venir.
Tuer un enfant à naître n’est pas un «soin de santé», déclare la Géorgie
Ultrasond 3D d'un enfant à naître.
Par Calvin Freiburger — traduit par Campagne Québec-Vie
21 août 2019 (LifeSitenews) — Alors que la Géorgie se bat pour défendre la légalité de son interdiction d’avorter des bébés au cœur battant, le procureur général de l’État Chris Carr en a profité pour affirmer que la Géorgie ne reconnaissait pas l’avortement comme une forme légitime de pratique médicale.
« Il est bien établi qu’un fœtus est un organisme vivant dans l’utérus, qu’il soit viable ou non hors de l’utérus », a soutenu le procureur général républicain, dans une motion déposée lundi devant la Cour du district du nord de la Géorgie. « En conséquence, un État peut reconnaître à juste titre qu’un enfant à naître est vivant avant même d’avoir atteint la “viabilité” et — conformément à son pouvoir de protéger la vie de l’enfant à naître — peut interdire le meurtre de cet enfant en limitant certains types d’avortements pratiqués avant le stade de viabilité. »
« Les défendeurs [c’est-à-dire l’État] dénient toutes les allégations de la plainte selon lesquelles le meurtre d’un enfant à naître vivant constitue un “soin médical” ou un “soin de santé”, » statua Carr.
Il s’agissait d’une requête de l’American Civil Liberties Union (ACLU), le Center for Reproductive Rights (CRR) et la demande de Planned Parenthood pour une injonction contre l’application de la loi LIFE (Living Infants Fairness and Equality), qui interdit l’avortement dès que le battement de cœur du fœtus peut-être détecté, sauf en cas de viol, inceste, urgence médicale physique et grossesse jugée « médicalement vaine ».
La loi, qui interdira l’avortement dans tous les autres cas dès la sixième semaine de grossesse si elle entre en vigueur en janvier 2020, est l’une des nombreuses mesures d’États qui remettent directement en question le seuil de « viabilité » de Roe c. Wade. Cela en a fait la cible d’une opposition intense, en particulier d’un boycott poussé par diverses célébrités et compagnies de divertissement.
Lire la suiteUnplanned projeté devant le « méga-centre d’avortement » de Planned Parenthood à Washington
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :
Les dirigeants de cet avortoir n’ont pas dû beaucoup aimer que des pro-vie projettent devant leur établissement le film pro-vie Unplanned, qui montre ce qui se passe réellement dans les cliniques de Planned Parenthood (au Québec une telle projection devrait se faire au minimum à cinquante mètres de l'avortoir). Extrait de LifeSiteNews :
Unplanned, le film racontant la conversion d’Abby Johnson de directrice d’établissement en avortement à celui de militante pro-vie, a été projeté sur le trottoir devant le complexe d’avortement de Planned Parenthood à Washington.
Patrick Mahoney, directeur de Christian Defense Coalition, fortement impliqué dans cette projection inusitée exprime ses pensées, selon LifeSiteNews :
« Montrer Unplanned devant un centre de Planned Parenthood est un témoignage puissant de la dignité de chaque vie et de l’exemple que nous devons tous suivre pour protéger les droits de la personne et mettre fin à la violence dans notre société », poursuit Mahoney. Le film explique aussi pourquoi la Dr Wen a été congédiée alors qu’elle révélait que Planned Parenthood avait « doublé » le nombre d’avortements et négligé les vrais soins de santé féminins.
Un vaste projet à la grandeur des États-Unis :
« Notre espoir est de lancer une campagne à l’échelle nationale pour éventuellement montrer Unplanned devant les centres d’avortement de Planned Parenthood à travers les États-Unis, » a-t-il ajouté.
Succès pro-vie de Trump
Donald Trump, Président des États-Unis.
Par Jean-Pierre Dickès (Medias-Presse.info)
Le président des Etats-Unis a à sa disposition un budget appelé Title X. Il le répartit à des œuvres humanitaires. Planned Parenthood (330 000 avortements annuels) recevait ainsi 60 millions de dollars soit un cinquième du Tittle X ! Trump a décidé de [... modifier] cette subvention [supprimant ainsi cet apport financier à PP]. C’est « la règle de la protection de la vie ». Parenthood, cette œuvre planétaire d’avortement a décidé de plaider contre Trump. Mais elle a été déboutée par la justice début juillet. C’est ainsi que 40 % du « service » d’avortements de PP ne peut plus être assuré et notamment cette organisation sera probablement obligée de tailler dans nombre d’autres prestations comme la contraception ou la stérilisation… et réduire le nombre d’avortements. L’argent ira finalement aux cliniques respectant la vie. (Lifenews.com, 19 juillet 2019)
Notez que le 15 juillet, Trump a supprimé les subventions à l’United Nations population control agency (UNFPA). Cet organisme onusien fait une promotion mondiale de l’avortement (Lifenews, 17/07/2019).
Autre nouvelle très intéressante. La nouvelle présidente de Parenthood, Leana Wen, est fortement critiquée dans son mouvement car elle refuse de dire que les hommes peuvent être « enceints ». Elle refuse d’utiliser le terme de « tranclusif » (écriture inclusive) et ne pousse pas assez la politique d’avortement. De plus elle veut orienter le mouvement vers les soins de santé au détriment de l’avortement (Lifenews, 17/07/2019) [Leana Wen s’est récemment fait renvoyer].
Enfin il ne faut pas oublier la fin des ventes de fœtus. Le gouvernement de Trump vient d’interdire les contrats commerciaux afférents à la vente de morceaux de fœtus avortés. Le prétexte en est les tentatives de créer des souris humaines. Cela aboutit d’abord à l’arrêt des subventions pour la recherche à partir de morceaux de fœtus. Voilà qui va amputer largement le budget de Parenthood qui s’était spécialisé dans ce type d’achats. Il y en a pour deux millions de dollars (ACLJ, 07/06/2019, Lifenews.com, 05/06/2019).
Après tout cela on comprend que les médias français n’aiment pas Trump. Leurs mensonges surtout par omission font que seulement 24 % des Français leur font confiance.