Planned Parenthood l’a poussée à avorter, mais elle a choisi la vie
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : lightfield studios/Adobe Stock
Dans une tribune récente publiée dans Newsweek, Jessica Riojas, une Californienne, a raconté une histoire beaucoup trop courante : s’étant retrouvée enceinte de façon inattendue pendant ses études, elle a consulté un centre de Planned Parenthood (PP) pour discuter des options qui s’offraient à elle. Mais au lieu de lui donner des conseils, les responsables du centre lui ont dit que sa seule « option » était l’avortement.
Riojas explique :
... J’ai découvert que j’étais enceinte. Comme la plupart des autres étudiantes dans ma situation, je me suis sentie seule, effrayée, incertaine de mon avenir et incroyablement mal préparée. Je me suis rendue au centre local de Planned Parenthood, où un conseiller a essayé de me convaincre que j’étais irresponsable, que je n’étais pas prête à être mère et que l’avortement était ma seule option.
Heureusement, quelque chose en elle lui disait que l’avortement n’était pas vraiment le seul choix qu’elle avait. Riojas a expliqué que, bien que ne se considérant ni pro-vie ni pro-choix à l’époque, elle avait pris dans un stand d’information de Students for Life l’image en relief d’un enfant à naître à 12 semaines de grossesse. Cette figurine lui plaisait et elle la gardait dans sa voiture. Après avoir parlé avec les conseillers de PP, elle a de nouveau contemplé la représentation grandeur nature d’un enfant à naître et elle a su qu’elle garderait son enfant.
Mme Riojas affirme qu’elle était la cible parfaite pour l’industrie de l’avortement : elle n’avait pas beaucoup d’argent et elle espérait terminer ses études. Les défenseurs de l’avortement affirment que les femmes dans cette situation sont incapables d’élever un enfant, mais Mme Riojas était mieux placée pour le savoir et elle leur a prouvé le contraire. Elle a déclaré qu’au cours du semestre où elle a donné naissance à sa fille, elle a obtenu une moyenne de 4,0 GPA. Elle a terminé son diplôme de premier cycle à l’université et a enchaîné avec une maîtrise en orthophonie. Elle travaille maintenant à plein temps comme orthophoniste, tout en étant mère.
Lire la suiteLe Vermont oblige les écoles publiques à donner des préservatifs aux enfants
Par Fabien Laurent (Médias Presse Info) — Photo : WaveBreakMediaMicro/Adobe Stock
Une nouvelle loi du Vermont qui vient d’entrer en vigueur oblige toutes les écoles secondaires publiques à fournir des préservatifs à tout élève qui en fait la demande, et ce dès l’âge de 12 ans. Le gouverneur Phil Scott, un républicain pro-avortement, a signé la loi à la fin de l’année dernière.
Le géant de l’avortement Planned Parenthood (le planning familial) est directement impliqué. Selon le rapport, « les écoles n’ont pas à payer pour les préservatifs, ils sont fournis par Planned Parenthood of Northern New England ».
Planned Parenthood est une chaîne d’avortements multimilliardaire qui réalise environ 40 % de tous les avortements aux Etats-Unis.
Le Vermont Right to Life Committee s’est inquiété du fait que le nouveau programme a le « potentiel d’augmenter les taux d’avortement dans le Vermont », rapporte CBN News. Ce qui n’est pas sans fondement comme la suite le montrera.
Le Vermont est le premier Etat américain à exiger la distribution gratuite de préservatifs dans tous les collèges et lycées publics. Les législateurs ont déclaré que le programme contribuera à prévenir et à réduire les taux de grossesses non désirées et de maladies sexuellement transmissibles.
La loi demande aux responsables des districts scolaires et aux infirmières scolaires de déterminer « la meilleure façon de mettre des préservatifs à la disposition des élèves ». Les préservatifs doivent être placés dans des endroits sûrs et facilement accessibles aux élèves, notamment dans le bureau de l’infirmière scolaire.
Lire la suiteLe New Hampshire supprime le financement de Planned Parenthood et des autres centres d’avortement
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : ArtFamily/AdobeStock
16 septembre 2021 (LifeSiteNews) — Un bureau de l’exécutif du New Hampshire a interdit aux fournisseurs d’avortement, dont Planned Parenthood, de recevoir des fonds destinés à la « planification familiale ».
Le Conseil exécutif de l’État du Granit a voté mercredi pour « rejeter les contrats de planification familiale avec trois fournisseurs de santé reproductive de l’État qui fournissent également des soins d’avortement avec un financement distinct — Planned Parenthood of Northern New England, Lovering Health Center, et Equality Health Center », a rapporté le Conway Daily Sun.
Le Conseil exécutif a autorité sur tous les contrats et dépenses de l’État. La démarche est similaire à la règle fédérale Protect Life Rule du président Donald Trump qui interdisait aux bénéficiaires de fonds du titre X de commettre des avortements.
Cornerstone Action, un groupe pro-vie du New Hampshire, s’est réjoui du vote.
« Le conseiller Dave Wheeler continue d’être un modèle d’homme d’État ayant des principes », a écrit Cornerstone sur Facebook. « Ce matin, Wheeler a donné l’exemple à ses collègues républicains du Conseil exécutif en rejetant avec succès des contrats qui auraient directement financé des cliniques d’avortement, notamment des cliniques gérées par Planned Parenthood of Northern New England et deux autres cliniques du New Hampshire qui pratiquent des avortements facultatifs. »
« Ce faisant, le conseiller Wheeler et ses collègues républicains ont confirmé l’interdiction légale de l’État de fournir des fonds pour la planification familiale aux cliniques d’avortement : une victoire pour les droits de conscience des habitants de l’État du Granit », a déclaré Cornerstone.
Lire la suiteGoogle supprime les annonces payées par Live Action pour faire connaître le remède à la pilule abortive
Par Cassy Fiano-Chesser (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Christian Post
16 septembre 2021 (LiveAction) — La journaliste du Daily Beast, Emily Shugerman, a publié un article à charge critiquant Live Action pour une campagne publicitaire promouvant l’inversion de la pilule d’avortement. Shugerman, qui est ardemment pro-avortement et a travaillé pour attaquer la loi texane Heartbeat Act, a soutenu que l’inversion de la pilule abortive (APR) est dangereuse et non prouvée, et a cité une litanie de militants de l’industrie de l’avortement pour faire valoir son point de vue. L’article s’appuie sur un rapport du Center for Countering Digital Hate, qui indique que les publicités de Live Action ont été vues des millions de fois sur Facebook et Google.
L’industrie de l’avortement s’oppose à l’inversion de la pilule abortive car cette pratique met en doute que toutes les femmes qui choisissent l’avortement sont certaines de leur décision, et aussi parce qu’environ 40 % de tous les avortements se font aujourd’hui par la méthode de la pilule abortive ─ une source de revenus importante pour l’industrie.
Shugerman a commencé par remettre en question l’histoire de Rebekah Hagan, qui a témoigné avoir commencé le processus d’avortement par pilule, mais l’a immédiatement regretté. Elle a choisi d’essayer la méthode d’inversion de la pilule abortive, et affirme que cela a sauvé la vie de son fils ─ mais Shugerman insinue que cette histoire a été inventée, écrivant : « C’est du moins ce que des dizaines de publicités sur Facebook voudraient vous faire croire. »
Censure en ligne
Le 10 mai 2021, Live Action a placé des annonces stratégiques sur Google qui informaient les femmes de la possibilité d’inverser le processus de la pilule abortive, ce qui implique un traitement avec une hormone de grossesse sûre appelée progestérone, qui est utilisée en toute sécurité depuis des décennies comme traitement standard pour prévenir les fausses couches. L’objectif du traitement APR est de surpasser les effets de blocage de la progestérone de la mifépristone, également connue sous le nom de pilule abortive. Ce traitement aurait déjà sauvé la vie de plus de 2 500 enfants, avec un taux de réussite de 68 %.
Lire la suiteL’administration Biden poursuit le Texas sur sa loi interdisant l’avortement dès les battements de cœur
Merrick Garland, procureur général des États-Unis.
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie
Washington DC., 9 septembre 2021 (LifeSiteNews) — L’administration Biden a enclenché une poursuite fédérale contre l’État du Texas, alléguant que sa Loi sur les battements de cœur violerait à la fois la loi fédérale et un précédent judiciaire de longue date, mais qui, dans les faits, interdit l’avortement après six semaines de vie du fœtus.
Le 1er septembre, la loi Texas Heartbeat est entrée en vigueur dans l’État de l’étoile unique. Signée en mai par le républicain Greg Abbott, cette loi oblige les avorteurs à détecter les battements de cœur du bébé et interdit l’avortement si un battement de cœur peut être entendu (généralement dès six semaines), avec des exceptions uniquement pour les urgences médicales.
Au lieu que l’État poursuive les contrevenants, la loi habilite « exclusivement » les citoyens à engager des poursuites civiles contre les avorteurs. L’avorteur encourt une peine minimale de 10 000 dollars d’amende par avortement et toute mesure injonctive supplémentaire jugée « suffisante pour empêcher le défendeur de violer le présent chapitre ou de se livrer à des actes qui favorisent ou encouragent les violations du présent chapitre ».
Ce mécanisme d’application unique a été considéré comme responsable de la surprenante décision de la Cour suprême des États-Unis de ne pas bloquer l’entrée en vigueur de la loi, ainsi que des décisions des chaînes d’avortement Planned Parenthood et Whole Woman’s Health de suspendre temporairement les avortements au-delà de six semaines de grossesse au Texas.
Lire la suiteL’impact des dangereux Objectifs de développement durable des Nations unies sur les enfants et la famille, et leur déplorable approbation par le Vatican
Par Matthew McCusker (Society for the Protection of Unborn Children) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (rognée) : Kostia/AdobeStock
Les Objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies, approuvés par les États membres le 25 septembre 2015, comprennent des points précis qui appellent à un « accès universel à la santé sexuelle et reproductive » d’ici 2030. Ce terme est entendu par les organes de l’ONU, de nombreux gouvernements internationaux et des agences internationales pour désigner, entre autres, l’accès à l’avortement et à la contraception. Ces objectifs favoriseront également l’imposition de « programmes complets d’éducation sexuelle » nuisibles. Dans ce document d’information, nous expliquerons comment l’approbation des ODD par le pape François en septembre 2016 et le soutien antérieur offert à ces derniers par d’autres organes du Saint-Siège ont intensifié la menace que représentent les ODD pour les membres les plus vulnérables de la famille humaine.
1. Les Objectifs de développement durable des Nations unies appellent à un « accès universel à la santé sexuelle et reproductive »
Les Objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies consistent en 17 objectifs et 169 points qui doivent être atteints d’ici 2030.
L’objectif 3 des ODD est d’« Assurer une vie saine et promouvoir le bien-être de tous à tout âge ».
Le point 7 de cet objectif appelle les États-nations à :
« assurer l’accès universel aux services de soins de santé sexuelle et reproductive, notamment pour la planification familiale, l’information et l’éducation, et l’intégration de la santé reproductive dans les stratégies et programmes nationaux ».
L’objectif 5 des ODD consiste à « Réaliser l’égalité des sexes et rendre autonomes toutes les femmes et les filles. »
Le point 6 de cet objectif indique que les nations doivent :
« Assurer l’accès universel à la santé sexuelle et reproductive et aux droits en matière de procréation, comme convenu conformément au Programme d’action de la Conférence internationale sur la population et le développement et au Programme d’action de Beijing, ainsi qu’aux documents issus de leurs conférences de révision. » [1]
2. L’expression « accès universel à la santé sexuelle et reproductive » inclut l’accès universel à l’avortement et à la contraception.
L’expression ci-après, « santé sexuelle et reproductive et droits reproductifs » et d’autres formulations similaires sont couramment utilisées par les organes des Nations Unies et par de nombreux gouvernements nationaux et agences internationales pour désigner, entre autres, l’accès à l’avortement et à la contraception, y compris la contraception dont le mode d’action peut être abortif. Les mouvements de contrôle de la population et de « droits reproductifs » ont toujours voulu que ces termes incluent l’avortement, ainsi que la contraception, et ils les utilisent systématiquement dans ce sens ; il est toutefois important de noter que ces mouvements n’ont jamais réussi à établir un « droit à l’avortement » en droit international. [2]
Lire la suiteGoDaddy rejette le site de Texas Right to Life qui permet de signaler les violations à la loi du Texas sur l’avortement
Par Kennedy Hall — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : shotprime studio/AdobeStock
3 septembre 2021, Texas (LifeSiteNews) — GoDaddy, le géant de l’hébergement de domaines internet, est en train de retirer de sa plateforme le site internet prolifewhistleblower.com, géré par Texas Right to Life. Ce site permettait aux gens de signaler des violations de la nouvelle et robuste loi pro-vie de l’État du Texas qui protège de l’avortement les bébés dont le cœur bat.
Un porte-parole de GoDaddy a déclaré dans un courriel adressé au New York Times et à The Verge : « Nous avons informé prolifewhistleblower.com qu’ils ont 24 heures pour passer à un autre fournisseur car ils ont violé nos conditions de service. »
« Dommage pour la foule [des anti-vie] : nous ne serons pas réduits au silence », a répondu Texas Right to Life. « Les anti-vie nous détestent parce que nous sommes en train de gagner. Nous transférons nos données à un autre fournisseur et le site sera restauré dans les 24-48 heures. Revenez bientôt. »
Depuis que la loi texane sur les battements de cœur est entrée en vigueur mercredi dernier, les utilisateurs et les codeurs de TikTok ont inondé le site prolifewhistleblower.com de fausses informations. Les trolls ont prétendu que le Gouverneur républicain Greg Abbott avait violé la loi et ont envoyé des signalements au sujet de personnages fictifs de bandes dessinées.
Une panique généralisée s’est emparée des partisans de l’avortement depuis que la Cour suprême des États-Unis a autorisé l’entrée en vigueur de la loi qui permet aux particuliers de poursuivre les avorteurs ou toute personne aidant ou encourageant l’avortement d’un bébé dont le cœur bat. Le refus de la Cour suprême de bloquer la loi a effectivement mis fin à tous les avortements après six semaines dans le deuxième État le plus grand et le plus peuplé des États-Unis.
Ce soir, un juge de l’État du Texas a également empêché temporairement Texas Right to Life de se prévaloir de la loi contre Planned Parenthood, la plus grande entreprise d’avortement d’Amérique.
Lire la suiteLe Texas devient le premier État à appliquer la « loi sur les battements de cœur », protégeant l’enfant à naître
Par LiveActionNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pixel-Shot/AdobeStock
Le 1er septembre 2021 à minuit, la Cour suprême des États-Unis n’avait pas encore répondu à l’appel d’urgence des partisans de l’avortement visant à empêcher l’entrée en vigueur de la loi texane sur les battements de cœur, qui protège les enfants à naître dès les premiers battements de cœur détectables (vers cinq à six semaines de gestation). Selon Associated Press, au moins 12 autres États avaient précédemment adopté des lois visant à protéger les enfants au même stade de la gestation, mais aucune n’avait été autorisée à entrer en vigueur jusqu’à présent, faisant du Texas le premier État à réussir à faire appliquer une telle loi.
Les médias ont rapporté que les centres d’avortement de l’État ont cessé de programmer des avortements au-delà de six semaines quelques jours avant la date d’entrée en vigueur du 1er septembre. L’AP a noté que « Planned Parenthood fait partie des prestataires d’avortement qui ont cessé de programmer des avortements au-delà de six semaines de la conception ».
Selon l’appel d’urgence, la loi « réduira immédiatement et de manière catastrophique l’accès à l’avortement au Texas, empêchant les soins pour au moins 85 % des patientes texanes recherchant un avortement (celles qui sont enceintes de six semaines ou plus) et forçant probablement de nombreuses cliniques d’avortement à fermer leurs portes ». Le Texas Policy Evaluation Project de l’Université du Texas à Austin estime qu’environ 80 % des avortements dans l’État seront évités. Toutefois, ces estimations ne sont pas vérifiables car les données sur les avortements au Texas regroupent les avortements pratiqués à huit semaines ou avant. Les données du ministère de la Santé et des Services sociaux du Texas montrent qu’en 2020, 53 922 avortements ont été pratiqués au Texas pour des résidentes du Texas. Parmi ceux-ci, 45 458 (environ 84 %) ont eu lieu à huit semaines ou moins de grossesse. La loi texane sur les battements de cœur ne restreint pas l’avortement en fonction de l’âge gestationnel, mais de la détection des battements de cœur du fœtus par la méthode que l’avorteur juge appropriée ─ probablement une échographie ou un moniteur Doppler des battements de cœur du fœtus. Selon la loi, « un médecin n’enfreint pas cette section s’il effectue un test de détection des battements de cœur du fœtus comme requis [...] et ne détecte pas de battements de cœur du fœtus. » Il est donc difficile de déterminer combien d’avortements seront évités, mais il s’agira probablement d’un pourcentage élevé, peut-être même supérieur à 85 %.
« À l’heure actuelle, dans le grand État du Texas, chaque enfant dont le battement de cœur est détectable est légalement protégé contre la violence de l’avortement. C’est un pas en avant historique pour les droits humains fondamentaux », a déclaré Lila Rose, fondatrice et présidente de Live Action. « J’applaudis les courageux défenseurs et législateurs du Texas d’avoir adopté cette loi innovante conçue pour résister au raz-de-marée d’attaques des avorteurs et de leurs apologistes. Les citoyens et les législateurs doivent être vigilants dans leur défense de cette loi car nous savons que l’industrie de l’avortement est déterminée à profiter de la mort d’autant d’enfants qu’elle le peut. Quoi qu’il arrive, aujourd’hui est un jour de fête, et un sursis vital pour les précieux enfants dont la mort est programmée derrière les portes d’une entreprise d’avortement du Texas. Des dizaines de centres de grossesse favorisant la vie, dans tout l’État, se tiennent prêts à fournir les ressources et la compassion nécessaires pour que chaque mère et chaque père soient équipés pour prendre soin de leurs enfants et de leurs familles. Le mouvement pro-vie continuera à se battre jusqu’à ce que chaque enfant soit protégé par la loi et soutenu pour qu’il puisse vivre pleinement son potentiel. »
La loi texane sur le battement de cœur est unique en ce sens qu’elle prévoit des sanctions civiles contre ceux qui commettent ou « aident et encouragent » un avortement dès qu’un battement de cœur est détectable. Comme l’a rapporté Live Action News en mai après la signature de la loi, « bien que la loi ne prévoie pas de sanction pour les femmes qui se font avorter après la détection d’un battement de cœur chez leur enfant, elle permet aux particuliers d’intenter des poursuites contre un médecin qui pratique un avortement sur un tel enfant », ainsi que contre ceux qui aident une femme à se faire avorter. L’industrie de l’avortement a réagi en qualifiant la partie de la loi relative aux actions civiles de « prime à l’avortement ».
Le cœur d’un enfant à naître commence à battre entre 16 et 22 jours après la fécondation, mais une vie humaine unique commence au moment de la fécondation.
Le gouverneur d’Illinois signe une loi instaurant une «éducation sexuelle» explicite qui promeut l’avortement
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gorodenkoff/AdobeStock
Le gouverneur de l’Illinois, J.B. Pritzker, a signé vendredi un projet de loi mettant en place une éducation sexuelle qui promeut l’avortement, ignorant les plaintes des démocrates et des républicains concernant ce programme au contenu sexuellement explicite qui sera imposé aux enfants dès la maternelle.
Breitbart rapporte que Pritzker a fait l’éloge du projet de loi 818 du Sénat de l’État comme d’une initiative qui « aidera à garder nos enfants en sécurité ».
La nouvelle loi, qui entre en vigueur immédiatement, exige que les écoles publiques qui dispensent une éducation sexuelle suivent les normes nationales d’éducation sexuelle. Les parents peuvent en faire dispenser leurs enfants.
Les normes nationales d’éducation sexuelle ont été élaborées par des groupes de promotion de l’avortement, dont Planned Parenthood, Sister Song et Advocates for Youth. Ces « normes » enseignent aux enfants que l’avortement n’est qu’une « procédure médicale ou chirurgicale qui met fin à une grossesse » et leur indiquent comment trouver des centres d’avortement dans leur région.
M. Pritzker a affirmé que la nouvelle loi allait « moderniser » l’éducation sexuelle dans l’État et « garantir que des leçons importantes comme le consentement et la sécurité sur internet soient enseignées dans les salles de classe ».
« En travaillant ensemble, nous continuerons à renforcer notre système éducatif et à offrir l’avenir brillant que nos enfants méritent », a-t-il déclaré dans un communiqué.
Cependant, la loi a été repoussée par des législateurs républicains et démocrates ainsi que par des parents préoccupés.
Lire la suiteL’Université de Pittsburgh prélève les reins sur des bébés avortés dont le cœur palpite probablement encore
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Selon le Center for Medical Progress, l’Université de Pittsburgh a peut-être fourni cette semaine, par inadvertance, de nouvelles preuves que des bébés avortés sont mis au monde vivants afin que leurs organes puissent être prélevés pour la recherche scientifique, ce dont ils meurent ensuite.
Comme LifeNews.com l’a largement rapporté, en début de semaine l’organisme Judicial Watch et le Center for Medical Progress ont exposé des preuves de bébés nés potentiellement vivants lors d’avortements et d’autres pratiques inquiétantes ; ces preuves se trouvent dans des documents qu’ils ont obtenus suite à une demande en vertu de la Loi sur la liberté d’information auprès du ministère de la Santé et des Services sociaux des États-Unis.
Les documents montrent que le gouvernement fédéral a versé à l’Université de Pittsburgh au moins 2,7 millions de dollars provenant des impôts fédéraux au cours des cinq dernières années, afin qu’elle devienne un « Centre de tissus », c’est-à-dire d’organes — et autres morceaux — de bébés avortés destinées à la recherche scientifique.
Dans une entrevue accordée à Fox News, un porte-parole de l’université de Pittsburgh a défendu ses pratiques. Toutefois, le Center for Medical Progress a fait observer que les déclarations de l’université confirment que le cœur des bébés avortés bat toujours alors que leurs reins sont prélevés pour la recherche scientifique.
« Pitt [c’est-à-dire l’Université de Pittsburgh] admet maintenant aux médias que les bébés avortés sont encore vivants au moment où leurs reins sont prélevés, afin de bénéficier des subventions [des Instituts nationaux de la santé] », a déclaré David Daleiden, fondateur et président du Center for Medical Progress.
Daleiden poursuit : « Dans sa demande de subvention pour le GUDMAP, Pitt annonçait au gouvernement fédéral que des avortements par induction du travail, où le bébé est expulsé entier de la mère, seraient “utilisés pour obtenir les tissus”. Le sens évident de la demande de subvention GUDMAP, et de la déclaration de l’Université de Pittsburgh l’expliquant, est que Pitt et les prestataires d’avortement de Planned Parenthood responsables de ses avortements “de recherche” font en sorte que des bébés, dont certains ont atteint l’âge de la viabilité, soient mis au monde vivants, et ils les tuent ensuite en leur coupant les reins. »
Lire la suite