Planned Parenthood tue plus d’enfants à naître que jamais, et est le second plus grand fournisseur de «transitions» aux É.-U.
Par Jonathon Van Maren ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : AdobeStock
1er mars 2021 (LifeSiteNews) ― La semaine dernière, le Family Research Council (FRC) a publié son rapport annuel The Real Planned Parenthood : Leading the Culture of Death. Il s’agit d’un regard qui donne à réfléchir sur la plus grande entreprise d’avortement d’Amérique, qui a non seulement perpétré plus de la moitié de tous les avortements signalés aux États-Unis de 2018 à 2019, mais qui s’est également développée sur le marché en pleine expansion de l’hormonothérapie transgenre. Au cours de l’année fiscale 2019-2020, Planned Parenthood a tué 354 871 bébés.
Selon le FRC, Planned Parenthood a reçu 38 % de son financement — 618,1 millions de dollars — du gouvernement américain, la majeure partie par le biais du Medicaid. « Le revenu total de Planned Parenthood pour 2019-2020 était de 1,6 milliard de dollars, le plus élevé de son histoire », rapporte le FRC. « Planned Parenthood a fait état de 888,3 millions de dollars d’actifs nets non affectés, dans lesquels il peut puiser s’il venait à perdre le financement gouvernemental. »
Selon l’auteur du rapport, directrice du Center for Human Dignity du FRC, Mary Szoch : « Sur la base de l’augmentation annuelle du nombre d’avortements pratiqués par Planned Parenthood et de la diminution du nombre d’avortements pratiqués au niveau national, il appert que Planned Parenthood devient de plus en plus un monopole de l’avortement ». Dans des séquences filmées sous couverture par David Daleiden et ses collègues du Center for Medical Progress, des propriétaires de cliniques d’avortement indépendantes ont été filmés en train de se plaindre du fait que Planned Parenthood les poussait de plus en plus à la faillite.
Le rapport du FRC souligne également que la thérapie hormonale transgenre est maintenant disponible dans 200 centres de Planned Parenthood dans 31 États, faisant du géant de l’avortement le deuxième plus grand fournisseur de « traitements » transgenres (si on peut appeler ça ainsi) dans le pays.
Lire la suiteP. Acker: plusieurs vaccins covid emploient une lignée cellulaire de bébés avortés, peut-être vivants lors de la récolte des tissus
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) ― Photo : Freepik
A la suite de l’entretien accordé à la mi-janvier par Pamela Acker à John-Henry Westen pour LifeSite, Pamela Acker a vu certaines de ses affirmations sur l’inacceptabilité de l’utilisation de lignées cellulaires trouvant leur origine dans des fœtus avortés contestés par des lecteurs. D’autres ont demandé des éclaircissements et des précisions.
Je vous propose ci-dessous ma traduction intégrale de sa réponse publiée vendredi dernier par LifeSite, où figure la totalité des sources citées par Pamela Acker par le biais de liens actifs. Il est donc possible à chacun de vérifier le sérieux de ses dires. — J.S.
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Un certain nombre de questions ont été posées à LifeSiteNews à propos d’une interview que j’ai donnée à John-Henry Westen le 12 janvier 2021 [traduction française intégrale ici]. On m’a demandé de répondre à certaines de ces questions, en commençant par des interrogations sur l’origine de la lignée cellulaire HEK-293, qui a été utilisée dans le développement de nombreux vaccins COVID actuellement à l’essai.
Frank Graham, le chercheur qui a développé cette lignée, a tiré son nom de son origine (rein embryonnaire humain) et aussi de la méthode qu’il a utilisée pour numéroter ses expériences (c’était la 293e). Dans l’interview accordée à LifeSite, j’ai émis l’hypothèse que cette lignée cellulaire pourrait avoir été le fruit de centaines d’avortements. D’aucuns ont remis cette hypothèse en question, affirmant que Frank Graham lui-même a déclaré que ladite lignée cellulaire était basée sur un seul avortement et deux expériences. Il est allégué que par conséquent, c’est l’affirmation selon laquelle un seul avortement a été pratiqué qui est correcte, ce que cela a des répercussions sur la nature morale de la décision d’utiliser ou non ces vaccins entachés par l’avortement.
Plusieurs aspects de ce raisonnement doivent être abordés. Le premier est celui qui concerne le développement d’une lignée cellulaire.
Lorsqu’une lignée cellulaire est développée (qu’il s’agisse d’une lignée cellulaire humaine ou animale), elle est généralement produite à partir d’un échantillon de tissu provenant d’un seul individu (les lignées cellulaires hybrides font exception). Ainsi, d’une part, il est techniquement correct de dire que la lignée cellulaire a été développée en utilisant un seul bébé avorté. Cependant, cela ne donne pas une idée exacte du nombre de vies qui ont été réellement sacrifiées dans le processus de développement d’une lignée cellulaire de fœtus avorté.
Lire la suiteLa pro-avortement Kamalas Harris bientôt à la tête des États-Unis ?
Kamala Harris.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Gage Skidmore/Flickr
Le fait est que la vice-présidente des États-Unis, Kamala Harris, activiste forcenée de l’avortement, remplit des fonctions présidentielles dans les tous débuts de l’administration Biden, elle passe des appels auprès de chefs d’État étrangers pour traiter avec eux. Le fait est qu’il est inhabituel que le vice-président des États-Unis se chargeât d’une telle tâche, surtout au début d’une nouvelle administration. Une réponse toute simple, Joe Biden est de moins en moins apte à remplir ses fonctions et Kamala Harris est tout simplement en train de le remplacer dans la pratique… avant sans doute de s’y substituer en invoquant quelque chose comme le 25e Amendement. Selon LifeSiteNews :
Lire la suiteCela n’a pas pris beaucoup de temps. Elle n’est même pas seulement depuis quatre semaines dans l’administration Biden, et Kamala est déjà en train d’assumer l’une des fonctions clés du président : traiter avec les dirigeants étrangers.
Hier, la Maison-Blanche a publié un document intitulé « Lecture de l’appel de la vice-présidente Kamala Harris avec le président français Emmanuel Macron ». La « lecture » précise :
[...]
Harris s’est également entretenu récemment avec le Premier ministre canadien Justin Trudeau sur le covid, le changement climatique et la diversité [...]
Il est étrange qu’un vice-président passe des appels, habituellement réservés au chef d’État, à des alliés clés des États-Unis et à d’autres personnes quelques semaines à peine après le début d’une nouvelle administration. Pouvez-vous imaginer Dick Cheney faisant de tels appels au cours des premières semaines de l’administration George Bush, ou Joe Biden lui-même réalisant des appels présidentiels pour son homologue Barack Obama au début de 2009 ?
Si cela s’était produit, les médias auraient rapidement commencé à remettre en question les capacités du président en question face à la tâche.
Dans le cas de Joe Biden, cependant, ses capacités — telles qu’elles sont — ne sont pas vraiment remises en question. Il est évident depuis le début de sa campagne présidentielle qu’il était en déclin cognitif et que, s’il était élu, il aurait besoin d’un « premier ministre » de facto pour l’aider à s’acquitter des tâches quotidiennes de sa fonction.
Le Time révèle la vaste cabale qui s’était formée contre Trump lors des élections
Donald Trump, président des États-Unis éjecté par fraudes électorales.
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) ― Photo : Gage Skidmore/Flickr
Trump a crié à la fraude, à la conspiration menée par toute la bien-pensance universelle contre lui afin qu’il perde les élections. Le monde s’est moqué de lui, l’a traité de complotiste, a diabolisé ses soutiens. Tout le monde se souviendra des graves allégations de fraude formulées par l’équipe juridique de Trump au lendemain de la victoire de l’opposant démocrate, qualifiées de théories de « conspiration » et sans fondement. « Ils nous ont volé les élections », avait déclaré Trump devant ses partisans le 6 janvier. Et pourtant…
Tout à leur victoire, les opposant à Donald Trump se relâchent et ne cachent plus les sombres manœuvres entreprises pour empêcher que l’ancien président des Etats-Unis ne fasse un second mandat à la Maison-Blanche.
Ce qui ressemble bien à une vaste conspiration commence à émerger dans la presse mainstream, racontée en détail par des protagonistes fiers d’eux-mêmes. Le Time dans un article du 4 février dernier intitulé L’histoire secrète de la campagne fantôme qui a sauvé les élections de 2020, de la journaliste Molly Ball (biographe de la présidente de la Chambre Nancy Pelosi) décrit ce qui s’est passé, recueillant les témoignages de toutes les figures clés du plan.
Il n’y a peut-être pas eu de fraude, qui n’a de toute façon pas été légalement prouvée [ce qui n'est pas tout à fait vrai*], mais Donald n’a pas eu tort de parler de « conspiration » contre lui. Dans son étude le Time relate une histoire interne sans précédent et dramatique d’un « effort extraordinaire visant à “garantir que le vote soit libre et équitable” ».
Lire la suiteLe Texas peut enfin cesser de financer Planned Parenthood, grand exécuteur d’avortements
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Pxfuel — Mise à jour : 9 février 2021; 26 février 2021
Un groupe pro-avortement s'est pourvu en justice, faisant en sorte que le Texas ne peut, momentanément, cesser de financer Planned Parenthood.
Planned Parenthood s'est fait donner un autre deux semaines.
Grâce à une décision de la Cour du 5e circuit rendue en novembre 2020, l’État du Texas n’est plus obligé de financer Planned Parenthood, grand fraudeur et exécuteur d’avortements, depuis le 3 février 2021. Selon LiveActionNews :
Après que le géant de l’avortement eût demandé un délai de grâce de six mois pour permettre aux patientes de trouver de nouveaux prestataires tout en continuant à recevoir des soins, le tribunal a rejeté cette demande mais a accordé un délai de grâce de 30 jours se terminant le 3 février.
Le procureur général du 5e circuit et du Texas a basé cette décision en partie sur l’implication de Planned Parenthood dans le trafic de parties de corps de bébés avortés qui a été révélé en 2015. « Une vidéo d’infiltration a clairement montré que Planned Parenthood admettait avoir un comportement immoral et illégal, comportant des violations à la loi fédérale par la falsification du calendrier et des méthodes d’avortement afin d’obtenir des tissus fœtaux pour leur propre recherche », soulignait une déclaration du procureur général. « Planned Parenthood n’est pas un prestataire “qualifié” au sens du Medicaid Act, et ne devrait pas recevoir de subventions publiques dans le cadre du programme Medicaid ».
En 2013, Planned Parenthood avait été condamné à une amende de 1,4 million de dollars pour avoir demandé et reçu frauduleusement plus qu’il n’y avait droit sous le régime Medicaid de l’État du Texas, rapportait Live Action News.
Hommage à Trump pour ses accomplissements
Donald Trump, lors de la Marche pour la Vie à Washington en 2020, premier président américain à participer en personne à la marche.
Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Jim Hale/LifeSiteNews
« Un bon arbre ne peut produire de mauvais fruits, ni un mauvais arbre produire de bons fruits. Tout arbre qui ne produit pas de bons fruits sera coupé et jeté au feu. Vous les reconnaîtrez donc à leurs fruits. » (Mt 7 : 18-20)
Oui, je rends hommage à ce personnage honni par les médias (qui nous honnissent aussi…) pour ses accomplissements dans le domaine de la protection de la vie à naître, de la famille, de la nation et du christianisme.
Sans doute que beaucoup trouvent à redire sur lui, à cause entre autres des bobards qu’ont répandus les gros médias et de leurs omissions, sur sa vie personnelle et ses opinions passées (il était pro-avortement autrefois), sur son parler et sa manière, et enfin, sur certaines de ses politiques.
Mais un nombre appréciable de personnes ont vu en lui, certes non un idéal, mais un refuge face à Hilary Clinton en 2016 et à Joe Biden en 2020. Si vous voulez critiquer Trump, il faut le comparer, dans la mesure du possible, à ses deux opposants des deux dernières élections américaines.
En outre, plus de 74 millions d’Américains ont voté pour cet homme : Donald J. Trump. C’est un record pour un deuxième mandat dans l’histoire des États-Unis.
Certes, on peut par exemple lui reprocher de s’être plié à l’exercice de mascarade du covid-19, comme la plupart des dirigeants dans le monde. Mais aurait-il pu affronter l’hystérie générée et propagée par les médias libéraux, lui qui était toujours à deux doigts de se faire destituer, sort près duquel il est passé pour deux motifs grotesques : le premier, qui rentre tout à fait dans la catégorie décrite par le néologisme si médiatique « théorie du complot », d’interférences russes dans les élections de 2016 en faveur de Donald Trump (comme quoi il n’y a que Trump pour tricher, selon les démocrates…) ; le second, avoir incité l’« attaque » du Capitole le 6 janvier 2021, alors qu’il y a des doutes très raisonnables quant à la cause de cet incident ― du reste, c’est aux détracteurs de fournir des preuves sérieuses et non des suppositions nébuleuses. Mais certains, souscrivant au mythe de la « pandémie » qui paralyse le monde, blâment précisément Trump pour n’avoir pas assez confiné…
Cependant, il a produit de bons fruits, et même d’excellents fruits, durant les quatre années de son mandat de président des États-Unis, et il serait injuste de les ignorer : Trump a été l’un des présidents américains les plus pro-vie de l’histoire, et ce, malgré la féroce opposition qu’il a rencontrée chez les démocrates et les médias libéraux, notamment, et la corruption de l’État américain ; s’il a produit des fruits pourris, on peut espérer qu’ils n’auront pas gâté ceux qui étaient sains. Une chose est certaine, il demeurera dans l’Histoire.
Lire la suiteJoe Biden mange et boit sa propre mort spirituelle
Joe Biden.
Par Austin Ruse (Crisis Magazine) Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gage Skidmore/Flickr/Wikimedia Commons
Hier matin, dans la grande cathédrale de St Matthew à Washington DC., Joe Biden a mangé et bu sa propre mort spirituelle. Qu’il ait reçu la Sainte Eucharistie des mains d’un cardinal de l’Église ajoute scandale au scandale. Une émission de radio a appelé cela une messe pour Planned Parenthood. Et ce fut le cas.
Joe Biden est un ennemi de la foi catholique. Ce fait doit être répété aussi souvent qu’il est humainement possible. Joe Biden se présente comme un catholique fidèle, mais il ne croit pas aux enseignements fondamentaux de la foi sur la personne humaine ou la sexualité humaine. Qui plus est, il met de l’avant cette incrédulité dans la politique publique et aura désormais toute la force du gouvernement fédéral derrière cette incrédulité.
Nous savons ce qu’il fera peu après avoir prêté serment. Il rétablira une politique qui utilisera l’argent américain pour cibler et tuer les enfants à naître dans le monde en développement. Biden est un extrémiste de l’avortement. Il est en faveur de l’avortement pendant les neuf mois de la grossesse et au-delà.
Sur la question des LGBT, Biden est à fond le train. Considérez que la seule fois où Joe Biden a officié à un mariage [civil], c’était entre deux hommes. C’est relativement bénin comparé au fait qu’il va signer l’Equality Act, qui va mettre fin au sport féminin en Amérique. Il est choquant de constater que les féministes ne se scandalisent pas qu’on permette à des « filles » ayant des organes génitaux masculins de participer à des compétitions avec des filles et même à se doucher avec de vraies filles. Biden va autoriser les « femmes » transgenres à entrer dans l’armée. Et c’est ce qui va se passer. Les hommes qui pensent être des femmes seront autorisés à aller dans les douches des femmes, et si une vraie femme se détourne avec pudeur, il portera plainte contre elle pour harcèlement. Ce type de persécution est similaire à ce qui est arrivé aux pasteurs chrétiens dans l’armée qui prêchent la vérité de l’Évangile sur les hommes et les femmes.
Il signera également le Global Equality Act qui aura pour but d’exporter la révolution sexuelle LGBT à travers la politique étrangère américaine. Cette loi sera également utilisée pour empêcher les chefs religieux étrangers de venir dans notre pays comme s’ils étaient des oligarques russes ou des dirigeants d’ISIS.
Lire la suiteBiden relancera le financement de l’avortement à l’étranger ― les évêques africains inquiets
Joe Biden.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (rognée) : Phil Roeder/Flickr
Joe Biden, nouveau président élu frauduleusement, a nommé Samantha Power administratrice de l’USAID, agence gouvernementale gérant l’aide des États-Unis aux pays en développement. Mme Power s’était distinguée par le passé par son activisme pro-LGBT. Devant ce président pro-avortement et la nouvelle administratrice, les évêques africains expriment leurs inquiétudes, selon International Family News :
Lire la suiteNouvel administrateur à l’USAID.
Les préoccupations portent sur l’USAID, l’agence gouvernementale américaine qui gère l’aide aux pays en développement. Le 13 janvier, Biden a annoncé la nomination de Samantha Power au sein de l’administration de cette agence. Elle est une journaliste et diplomate lauréate du prix Pulitzer qui, pendant la présidence de Barack Obama, a joué un rôle au sein du Conseil National de Sécurité où elle s’est distinguée entre autres activités, par son soutien à la cause LGBT+.
Un président pro-avortement, pro-LGBT+
Selon certains dirigeants de l’Église catholique africaine, contactés par AciAfrica, la nomination de Power va déclencher « une attaque culturelle et idéologique » sur le continent noir « par la promotion de programmes contraires à la culture africaine, tels que l’avortement et l’homosexualité ». Mgr Emmanuel Badejo, du diocèse d’Oyo au Nigéria, estime que Power complique une situation déjà défavorable, considérant que Biden, bien qu’il se dise catholique, est sur le point de devenir « le président le plus radicalement pro-avortement et pro-LGBT+ de l’histoire des Etats-Unis ».
Le prélat est donc convaincu que les quatre prochaines années seront très difficiles pour l’Église. « Nous devons renforcer la foi afin de survivre au conflit » qui va inévitablement surgir avec la nouvelle politique américaine, témoigne Mgr Badejo. Un jugement quasiment identique à celui exprimé il y a quelque temps par le président des évêques catholiques américains, Mgr José Horacio Gómez.
Mgr Viganò : l’imposture de l’élection de Biden, marionnette du Nouvel ordre mondial
Mgr Carlo Maria Viganò (au centre), évêque américain (au fond), Joe Biden (à gauche, bien sûr) et le président des États-Unis Donal Trump (à droite).
Par Michelle Marie (Médias Presse Info)
Ce message [ci-dessous de Mgr Carlo Maria Viganò] a été publié dans la nuit en anglais sur le site américain The Remnant. En voici une traduction :
Le monde dans lequel nous vivons est, pour reprendre une expression de l’Évangile, « in se divisum » (Mt 12, 25). Cette division consiste, me semble-t-il, en un divorce entre réalité et fiction : réalité objective d’un côté, et fiction médiatique de l’autre. Cela vaut certainement pour la pandémie, utilisée comme outil d’ingénierie sociale en vue de la Grande réinitialisation, mais encore plus pour le surréalisme de la scène politique américaine, où les preuves d’une fraude électorale colossale sont censurées par les médias, qui proclament à présent la victoire de Joe Biden comme étant un fait accompli.
La réalité du Covid est en dissonance manifeste avec ce que les grands médias veulent nous faire avaler, mais pas assez pourtant pour démanteler le grotesque échafaudage de mensonges auquel le plus grand nombre s’est résigné.
De même, le spectacle offert par les fraudes électorales, la violation flagrante des règles du vote et la falsification systématique des résultats contraste avec le discours des géants de l’information, pour lesquels Joe Biden est incontestablement le nouveau président des États-Unis. Discours univoque et ne souffrant pas la contradiction, sur la supposée fureur ravageuse d’une grippe saisonnière responsable du même nombre de décès que l’année dernière, ou sur l’inévitable élection d’un candidat corrompu et inféodé à l’État profond. Et, de fait, Biden a déjà promis de rétablir le confinement.
La réalité n’a plus aucune espèce d’importance lorsqu’elle est un obstacle à la réalisation du plan ourdi. Le Covid et Biden sont deux hologrammes, deux créations artificielles, prêtes à être adaptées encore et encore aux besoins du moment ou remplacées le moment venu par le Covid-21 et Kamala Harris. Les accusations d’irresponsabilité lancées aux partisans de Trump pour avoir organisé leurs rassemblements s’évanouissent dès que ce sont les supporters de Biden qui descendent dans la rue, comme durant les manifestations du BLM. Ce qui est criminel pour les uns est licite pour les autres. Sans explication, sans logique, sans raison. Le simple fait d’être de gauche, de voter Biden, de mettre le masque est un laissez-passer pour se permettre n’importe quoi. Alors qu’être de droite ou sceptique sur l’efficacité des masques est une condamnation d’office pour les électeurs de Trump. Sans autre forme de procès, les étiquettes de fascistes, souverainistes, populistes, négationnistes leur sont collées et ceux qui sont ainsi stigmatisés doivent battre en retraite sans piper mot.
Lire la suiteLe président du Guatemala, Alejandro Giammattei, interdit à Planned Parenthood de s’installer dans le pays
Le Dr Alejandro Giammattei, président du Guatemala.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Gobierno de Guatemala/Flickr
Voilà un président qui se tient debout dans ses bottes, selon LifeNews :
La chaîne d’avortement Planned Parenthood ne pourra pas s’installer au Guatemala, annonçait lundi le président de ce pays d’Amérique centrale.
Le Guatemala protège les enfants à naître en interdisant l’avortement, et le président Alejandro Giammattei a insisté sur le fait qu’il continuerait ainsi, rapporte l’AFP. Lundi, Giammattei déclara qu’il avait abrogé un accord gouvernemental avec Planned Parenthood qui aurait permis à ce dernier d’ouvrir un établissement dans le pays.
« Je suis un défenseur loyal de la vie et j’insiste pour dire que dans mon gouvernement je ne cautionnerai pas la création, l’enregistrement ou le lancement d’une organisation qui va à l’encontre de la vie », écrivait-il sur Twitter.
Au début de la semaine, le gouvernement avait publié l’accord passé avec la chaîne d’avortement afin d’« établir une branche », appelée Planned Parenthood Global Guatemala LLC, dans le pays, selon l"article.
L’annonce eut rapidement suscité l’indignation du public à laquelle Giammattei répondit par l’annulation de l’accord, quelques heures plus tard, selon l’article.
« Je reconnais la vie dès sa conception, et par conséquent, dans mon gouvernement, je ne tolérerai aucun mouvement qui violerait ce qui est statué dans notre constitution », affirma-t-il.
Olé !