Tous les faits pro-vie sur la contraception hormonale (que vous ne voulez probablement pas entendre)
Par Abby Johnson de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Autant vous le dire tout de suite : cet article va déplaire à beaucoup. Mais je mets un point d'honneur à dire la vérité, et parfois la vérité fait mal. Et si nous sommes pro-vie, nous ne pouvons tout simplement pas ignorer cette information... alors même qu'elle risque d'affecter notre mode de vie actuel.
Voici la première des trois parties d'un article sur la contraception hormonale. J'espère que vous lirez les trois parties et que vous partagerez cette information factuelle avec des gens qui ne connaissent pas ces vérités.
Les pro-vie répètent depuis toujours que «la vie commence à la conception.» Mais le croyons-nous vraiment ? Croyons-nous vraiment que la vie commence à ce moment incroyable de conception ? Ou pensons-nous en réalité qu'il commence à l'implantation ? Vous pouvez penser que c'est une question idiote. «Bien sûr, les pro-vie croient que la vie commence à la conception ! Evidemment ! Nous le répétons depuis des années !»
Lire la suiteMesdames, nous méritons mieux que les méthodes contraceptives hormonales
Par Abby Johnson de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Est-ce que c'est le mieux qu'on puisse obtenir?
Les femmes d'aujourd'hui ont été convaincues que leur fertilité était brisée. Ainsi, puisque leur fertilité était brisée, elles l'ont réparée grâce à la pilule contraceptive. Elles ont pensé qu'être capable de concevoir était un fardeau ou un problème. Elles ont donc « réparé » quelque chose qui, en fait, n'était pas brisé du tout.
Dans aucun autre cas ceci est considéré comme étant une bonne idée. Vous ne perdez pas de temps à essayer de réparer quelque chose qui fonctionne correctement au départ. C'est de la contre-productivité. Si je prenais du temps à démonter une voiture flambant neuve n'ayant aucun problème mécanique, ce serait idiot. Non seulement ce serait une perte de temps totale, mais aussi, je m'organiserais pour briser quelque chose qui était en fait en parfait état avant que je ne commence mon projet.
C'est ce que les femmes ont fait à leurs corps. En essayant de « réparer » quelque chose qui n'était pas brisé au départ, elles se sont créé encore plus de problèmes. Elles prennent la pilule contraceptive pour « réparer » leur fertilité parfaitement fonctionnelle, ce qui entraîne une augmentation fulgurante de cas de cancers du sein et de cancers du système reproducteur. Quand on y pense, ça n'a aucun sens.
Lire la suiteQuelle est la différence entre l'avortement chimique et la contraception orale d'urgence (COU) ?
L’avortement chimique et la contraception orale d’urgence (COU) ont en commun un même effet, soit de provoquer l’avortement d’un enfant déjà conçu, avec pour différence que la COU :
a) est beaucoup moins puissante (à base de levonorgestrel (« Plan B ») ou d’œstrogène avec norgestrel ou levonorgestrel – « Méthode Yuzpe »), d’où la limite de cinq jours pour qu’elle puisse agir, comparativement à jusqu’à cinq et sept semaines d’aménorrhée pour l’avortement chimique (selon qu’il s’agit du cocktail chimique à base de méthotrexate - agent de chimiothérapie non autorisé pour l’avortement mais tout de même utilisé à cette fin - ou à base de RU486 (mifépristone), cocktail anti-ulcère commercialisé un peu partout dans le monde pour l’avortement et pour lequel une autorisation pour le Canada est à l’étude, avec décision de Santé Canada prévue pour l’automne 2014). La COU a un taux d’échec non négligeable d’entre 5 % et 42 %, et Santé Canada a fait ajouter sur son emballage qu’elle est totalement inefficace pour les femmes ayant un indice de masse corporelle très élevé ;
b) a un deuxième effet possible, contraceptif, celui-là, en : i) formant une barrière muqueuse au col de l’utérus pour tenter d’entraver le transport des spermatozoïdes jusqu’à l’ovule et d’empêcher ainsi la rencontre des deux gamètes (conception) ; ii) bloquant ou retardant l’ovulation.
L’avortement chimique et la COU ont en commun le type de produit chimique utilisé, soit des hormones, ou « stéroïdes » (tout comme la contraception régulière, d’ailleurs). Or, il faut savoir que les hormones sont un élément déterminant de la santé, et que le fait de déranger leur équilibre naturel a un effet très important sur le système immunitaire, entre autres. Il est universellement reconnu que de nombreux cancers sont attribuables à des déséquilibres hormonaux.
Si la COU est beaucoup plus faible que l’avortement chimique, pour avoir l’effet escompté, elle est tout de même jusqu’à cinquante fois plus forte que la contraception dite « régulière »...
Ainsi, les femmes décrivent l’expérience de la COU comme « extrêmement pénible », comportant de violentes nausées pouvant durer plusieurs heures, soit bien au-delà du vomissement du contenu de l’estomac, ce qui est exténuant à l’extrême. Les femmes rapportent que la douleur et la souffrance liées à la COU sont comparables à un empoisonnement à l’alcool (lendemain de veille, « gueule de bois »), mais encore dix fois plus souffrant, si c’est possible de concevoir une telle souffrance.
Et l’avortement chimique, pour sa part, est encore beaucoup, beaucoup plus intense que la COU….Qui veut de cela ? Vraiment ? Qui considère vraiment que la femme mérite une telle punition, une telle torture ? On peut accepter une telle souffrance pour sauver sa vie (chimiothérapie, par exemple), mais à chaque fois que la femme a pris sa pilule contraceptive en retard ou que ses règles sont un tant soit peu retardées et qu’elle soupçonne une grossesse ? On se fie au fait que la femme prend ces produits « en privé » et qu’elle n’aura pas le courage de dénoncer la violence de l’expérience. Eh bien cette souffrance des plus inacceptables pour les femmes doit être connue et reconnue. Le droit au consentement éclairé le commande, ainsi que la présentation des autres options que sont l’adoption ouverte, semi-ouverte ou fermée.
Marion Larat, celle par qui les dangers de la pilule contraceptive ont été médiatisés
Sur le site du journal Le Monde du 29 juillet 2014, un article à lire en entier :
(Photo : Ceridwen sur wikipédia.org, licence creative commons)
J'ai 26 ans, et il y a huit ans j'ai fait un accident vasculaire cérébral massif. A l'époque, j'étais en khâgne, à Bordeaux et j'ai failli mourir. Un soir, je me suis effondrée dans la salle de bains et j'ai plongé dans le coma. Trois jours plus tard, je me suis réveillée hémiplégique et aphasique. J'ai subi neuf opérations et des mois de rééducation pour recouvrer l'usage de mes jambes et de la parole, mais je suis demeurée épileptique et, bien que je n'aime pas trop qu'on le dise, « handicapée à 65 % ». Je n'étais pas loin de la dépression…
Ce n'est qu'en 2010 qu'une gynécologue m'a permis de comprendre l'origine de mon accident : ma prétendue « micro-pilule »
(...)
Et pourtant, ces pilules sont toujours sur le marché. Il y a des idéologies plus fortes que le souci de la santé des femmes...
À lire également cet autre article du journal Le Monde du 29 juillet sur le sujet :
(...)En juin, la Commission régionale de conciliation et d'indemnisation des accidents médicaux de la région Aquitaine, confirme le lien : « L'AVC est survenu dans les trois mois de la prescription du Méliane. Ces éléments constituent autant de présomptions graves, précises et concordantes permettant d'imputer la survenue de l'AVC à l'administration du Meliane. » (...)
Et cet appel de Marion Larat aux femmes pour qu'elles confrontent avec elle les compagnies pharmaceutiques fabriquant des pilules contraceptives comme elle le fit à la réunion des actionnaires de Bayer. Sur le site du Huffington Post du 6 juillet 2014(mise à jour) :
Ça y est, je fais mes valises: demain, mes parents et moi nous partons à l'assemblée générale de Bayer. Nous allons manifester contre les pilules de 3e et 4e génération, 3 fois plus dangereuses que les autres et n'apportant pas plus de bénéfices. (...)
Il dit, ouvertement, que ses pilules sont fantastiques, même si aux Etats-Unis, il a payé plus d'un milliard de dollars pour faire taire les victimes.
Alors, aujourd'hui, c'est un appel à toutes les filles ayant souffert de la pilule de troisième et quatrième génération, et même de la pilule en général, que je lance. (...)
Vous savez, plus fort que la somme des volontés individuelles est une seule volonté collective, tous tournés contre les lobbyistes pharmaceutiques... Alors oui, il faut s'indigner, en portant plainte. (...)
Maintenant, je comprends qu'on rentre vraiment en guerre. (...)
La génération anti-pilule contraceptive...
Sur le site du journal Le Figaro du 11 juillet 2014 :
(Photo : Beppie K sur flickr.com, licence creative commons)
«Conseiller un jour la pilule à ma fille? Pour rien au monde » À 24 ans, Alexandra n'est pas prête d'être maman mais a déjà son avis bien arrêté sur la pilule contraceptive. (...) «Je regrette d'avoir jamais commencé» souffle-t-elle . Un discours ferme qui semble se répandre chez les filles de sa génération.
(...)
Non seulement les jeunes utilisent moins la pilule pour se prémunir d'une grossesse non désirée, mais elles ont en plus un regard de plus en plus noir sur celle-ci. Toujours selon l'enquête Fécond, l'image sociale de la pilule s'écroule chez les femmes, et encore une fois, particulièrement chez les jeunes.
Pour expliquer cette désaffection, il y a bien sûr l'effet du scandale de 2012, qui révélait au grand public le risque (connu par les spécialistes) de thrombose veineuse profonde associé aux pilules œstro-progestatives de 3e et 4e générations. (...)
Et il y a aussi toute une gamme d'effets secondaires qui peuvent être très graves. L'article du Figaro apporte plusieurs témoignages sur les conséquences de la pilule contraceptive.
« Une étude fait le lien entre contraceptifs oraux et faible réserve ovarienne »
Sur le site de genethique.org du 4 juillet 2014 :
(Photo : University of Copenhagen sur wikipédia sans copyright)
(...)L'étude a été réalisée auprès de 833 femmes ayant consulté la clinique de l'université de Copenhague. Dirigée par Kathrine Petersen et ses collègue de cette même université, l'étude révèle que "les volumes moyens des ovaires des femmes sous contraception orale (près de 30% du groupe) étaient significativement plus réduits que ceux des patientes employant d'autres moyens de contraception". Selon les groupes, ces volumes étaient de 29 à 52% plus petits, "avec une réduction plus prononcée chez les femmes de 19 à 30 ans". (...)
Un autre effet secondaire à ajouter à l'utilisation de la pilule contraceptive...
Un médecin courageux de Calgary refuse de prescrire la pilule contraceptive
Sur le site de Radio-Canada du 30 juin 2014 :
(Photo : Mozillaman sur flickr.com, licence creative commons)
Un écriteau de la clinique WestGlen Medical Centre indique que, lorsque la Dre Chantal Barry est de service, celle-ci ne prescrit pas la pilule.
(...)
En vertu d'une politique du Collège des médecins et chirurgiens de l'Alberta, les docteurs ne sont pas obligés d'apporter des soins qui soient contraires à leurs principes moraux ou religieux.
Mais il ne s'agit pas soins ici, mais de pilules contraceptives qui vont à l'encontre du cycle naturel chez la femme. Et qui sont cause de décès et de nombreux effets secondaires indésirables...
En France, une baisse marquée de l'utilisation de la pilule contraceptive suite aux nombreuses poursuites judiciaires
Sur le site de sante.lefigaro.fr du 23 juin 2014 :
(Photo : Ceridwen sur wikimédia.org, licence creative commons)
(...) Mais en 2012, éclatait le scandale: le grand public apprenait que les pilules contraceptives de 3e et 4e génération, très largement prescrites, majoraient le risque de thrombose veineuse profonde. Résultat, les ventes de pilules contraceptives de 3e et de 4e générations ont baissé de 60% par rapport à 2013, selon l'Agence nationale du médicament. (...)
Mais le «modèle contraceptif», longtemps centré sur la pilule, a changé: les femmes ne sont plus «que» 41% à prendre la pilule (elles étaient 50% en 2010). (...)
La contraception est l'une des premières étapes menant à l'avortement. Il faut plutôt parler des méthodes de régulation naturelle des naissances, dans un esprit d'ouverture et d'amour de la vie.
En France, les femmes délaissent la pilule contraceptive
Sur le site de genethique.org, du 14 mai 2014 :
(Photo : mr.paille sur flickr.com, licence creative commons)
Une étude menée conjointement par l’Institut d’étude démographiques (Ined), l’Institut national de santé et l’Inserm, montre plus d’un an après la polémique sur les pilules de 3eet 4e génération (Cf. Synthèse Gènéthique du 30 septembre 2013 et 6 février 2014), que les femmes se détournent de la pilule comme moyen de contraception.
L’étude Fécond menée en 2013 et publiée aujourd’hui est le fruit d’une enquête portant sur 4 400 femmes et 1 500 hommes interrogés sur leurs habitudes contraceptives. On y apprend que le recours à la pilule diminue depuis le début des années 2000. Par ailleurs, la polémique de janvier 2013 sur les pilules de 3e et 4e génération a renforcé cette tendance.
Il faut faire connaître les méthodes naturelles de régulation des naissances, dans un esprit d'ouverture à la vie!
Les témoignages des effets secondaires terribles de la pilule contraceptive ne se comptent plus...
Sur le site Urbania une très grande quantité de témoignages (de 2013 et 2014) qui viennent confirmer la catégorie « poison » des pilules contraceptives, et le bienfait des méthodes naturelles de régulation des naissances, qui, elles, ne rapportent rien aux compagnies pharmaceutiques... :
(photo : Ceridwen sur wikimedia.org, licence creative commons)
Laissez-moi vous parler de la fois où j’ai servi de cobaye pour une compagnie pharmaceutique. C’est l’histoire d’une fille qui, pour faire comme toutes les autres filles, a consulté un gynécologue afin de se faire prescrire cette petite pilule miracle, celle qui permettait d’avoir des rapports sexuels sans le risque gênant d’une grossesse encombrante.
Et voilà qu’on me prescrit une pilule de troisième génération, Yasmin, qui selon le médecin devant mon apparente inquiétude ne me causera aucun souci de santé à condition que je la prenne religieusement chaque matin. Une consultation de deux minutes et demie et je pars avec une prescription! Facile comme ça! C’est pas merveilleux, la vie moderne, rien qu’un peu?
La vérité, c’est que ce n’est pas si merveilleux que ça. Quelques jours plus tard, ayant commencé mon traitement, je commence à ressentir des douleurs allant du supportable au « j’ai tellement mal que je vomis ». Les jours passent et mes règles ne cessent pas. Deux semaines ensuite et je recontacte le gynéco qui me rassure : « Tu n’as pas à t’inquiéter, c’est ton corps qui se place, qui s’habitue au traitement hormonal. Tu ne dois pas cesser le traitement, tu verras, ça va s’arranger. » (...)
Ne manquez pas d'aller lire les très nombreux témoignages dans les commentaires de cet article!