Un contraceptif qui donne des tumeurs au cerveau
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Marco Verch/Flickr
Androcur est un produit entre autres utilisé comme contraceptif et qui a comme fâcheux effet secondaire d’augmenter de façon importante les risques de méningiomes. Extrait de Gènéthique :
Commercialisé depuis les années 1980 par les laboratoires Bayer, il a été prescrit à plus de 400 000 femmes entre 2006 et 2014. Un nombre qui confirme une « très large utilisation hors AMM* », d’après l’Assurance maladie, qui n’est pas justifiée, rappelle le Dr Isabelle Yoldjian, de l’ANSM.
Le risque de développer un méningiome — tumeur intracrânienne — est multiplié par 7 au-delà de 6 mois d’utilisation, dès 25 mg par jour, par 20 au bout de 5 ans à 50 mg par jour, ou au bout de 10 ans à 25 mg par jour. Il peut même être 30 fois plus fréquent en cas de prise prolongée.
Au moins 500 cas français de méningiomes ayant nécessité une opération sont attribuables à l’Androcur. « Avec 1,6 % de décès… et près de 30 % souffrent d’épilepsie… Des situations terribles alors que leurs troubles auraient pu être traités autrement… » Le risque était connu « de longue date », et figure même sur la notice d’utilisation depuis 2011. Certaines ont pourtant continué leur traitement même après avoir été opérées « car ni leur neurochirurgien ni leur médecin n’avait fait le lien avec l’Androcur ».
Ajoutons que l’Androcur peut occasionner la perte de mémoire, d’odorat ou de goût (agueusie).
*Il ne s’agit sûrement pas de l’Aide médicale à mourir (AMM — euthanasie) — A. M.
Le danger de suicide est plus élevé chez les femmes qui prennent la pilule
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wheeler Cowperthwaite/Flickr
Encore un danger de la pilule contraceptive. Extrait de 20 minutes :
Les femmes qui prennent la pilule courent un risque plus élevé de devenir dépressives et, par conséquent, de s'ôter la vie. C'est le résultat d'une étude danoise [...] Forte de ses constatations, l'Agence européenne des médicaments demande que la notice d'emballage de ce moyen de contraception hormonal soit adaptée afin de mettre en garde contre les risques de dépression et de suicide.
[...]
Quelques informations sur l'étude
L'étude a été réalisée en 2017 par des gynécologues de la clinique universitaire de Copenhague. Les données de près de 500 000 femmes ont été prises en compte. Parmi elles, 69 999 ont tenté de se suicider et 71 se sont suicidées. L'étude a également révélée que le taux de suicide ou de tentative de suicide était presque deux fois plus élevé auprès des femmes qui prennent la pilule.
L’« écologiste » Sir David Attenborough promeut la pilule contraceptive
Par Anne Dolhein (Réinformation.TV)
Sir David Attenborough est un naturaliste respecté, auteur de magnifiques documentaires sur la nature et le règne animal ; il est aussi un écologiste frénétique, partisan d’une inversion rapide de la courbe de croissance de la population mondiale. A 92 ans, cet homme de médias vient de créer un nouveau documentaire, Dynasties, qui a pour objet de saluer le rôle des « femelles des espèces » et d’en transposer le principe à l’être humain. En tant que narrateur du film, Sir David invite les femmes à prendre les rênes du monde, grâce notamment à un moyen simple, la pilule contraceptive.
La détestation de l’homme, profonde et subtilement distillée dont fait preuve Sir David Attenborough, s’est déjà exprimée de manière beaucoup plus radicale dans ses officines de réflexion. Ce qui est réservé au grand public — ses documentaires, commentés avec admiration dans la presse tabloïde britannique — rejoint pourtant des prises de position et l’adhésion à des combats beaucoup plus radicaux. Sir David fait ainsi partie de l’association britannique favorable au contrôle de la population, Population Matters, où il voisine avec Sir Partha Dasgupta et Paul Ehrlich (tous deux récents invités du Vatican dans le cadre de l’Académie pontificale des sciences) pour dénoncer la population humaine de la planète comme principal ennemi de la nature et de la biodiversité et pour promouvoir la contraception, l’éducation sexuelle, les ODD (Objectifs du développement durable de l’ONU), la diminution des aides aux familles nombreuses.
Lire la suiteLa moitié des femmes ayant eu un avortement utilisaient une forme de contraception
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Une étude menée en Grande-Bretagne établie que la moitié des femmes ayant eu un avortement utilisaient un mode de contraception.
Extrait du The Telegraphe :
Le British Pregnancy Advisory Service (BPAS), l'un des plus grands organismes fournisseurs d'avortement du pays, a déclaré que 51 % des 60 592 femmes ayant avorté chez eux en 2016 utilisaient au moins une forme de contraception quand elles sont devenues enceintes.
Environ 15 000 — environ un quart — utilisaient les méthodes contraceptives considérées comme les plus efficaces lorsqu'elles ont conçu, dont la pilule, l'implant ou les patchs.
[...]
Cependant, chaque année, 9 % des femmes qui prennent la pilule, la méthode la plus utilisée au Royaume-Uni, deviennent enceintes, ainsi que 6 % des femmes qui utilisent une injection contraceptive et 1 % des femmes portant un stérilet (IUD), aussi connu sous le nom de stérilet en cuivre.
La révolution sexuelle : un échec monumental
Photo : Modèle de pilule contraceptive, Europe, c. 1970 (Source : Wellcome Images)
Par Paul-André Deschesnes
Le 6 octobre 2018, une enquête très sérieuse du Journal de Montréal est dévoilée et nous donne un frisson dans le dos. La popularité de la pilule contraceptive est en chute libre en Occident, en France et au Québec.
À l’Université de Montréal, on a posé la question suivante aux étudiants et étudiantes : « Connaissez-vous quelqu’un qui a eu des problèmes avec la pilule ? » La moitié des répondants ont dit OUI !
Dans ce reportage, une dizaine de femmes témoignent avoir vécu l’enfer avec la « sainte » pilule. Une autre raconte la mort de sa fille qui croyait en la pilule « miracle ». Toutes les personnes rencontrées parlent d’effets secondaires comme maux de tête, gain ou perte de poids, acné, crampes menstruelles très douloureuses, étourdissements, douleurs tous azimuts, nausées, vomissements, fatigue chronique, changements d’humeur, baisse de la libido, état dépressif, etc. Plusieurs femmes affirment même avoir frôlé la mort. Voilà pourquoi elles lâchent la pilule, souligne le bureau d’enquête du Journal de Montréal.
Du côté des médecins, le message ne semble pas passer. On ne prend pas au sérieux toutes ces femmes, même quand elles subissent un cancer qui pourrait avoir été causé par ce petit bonbon, prescrit en quantité industrielle. Même de très jeunes filles utilisent la pilule pour faire plaisir à leur ami en mal d’une sexualité sans aucune contrainte.
Depuis près de 50 ans la pilule fait fureur en Occident. Pour les médecins, c’est un automatisme que de la prescrire, même si la sonnette d’alarme n’arrête pas de dire « attention » depuis deux décennies. Pour eux, la science médicale a fait ses preuves. Les mouvements féministes qui ont encouragé les femmes à se libérer sexuellement avec la pilule gardent aujourd’hui un profond silence, même si les risques sont de plus en plus nombreux.
Lire la suiteLe mythe de la « contraception sûre » est révolu
Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Source de l’article : Le Salon Beige
« Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS, 2005) les œstrogènes et les progestatifs, les ingrédients de chaque “pilule”, sont parmi les substances les plus cancérigènes pour les humains... », rapporte Le Salon Beige.
En outre, d’après ce site il ne se passerait pas une semaine sans que paraisse une étude mettant en garde contre les effets des ingrédients de ces pesticides antihumains que sont les pilules contraceptives, abortives, anticonceptionnelles, etc.
Natalie Portman: la contraception m’a causé une dépression entraînant des “idées noires”
Par Fr. Mark Hodges de LifeSiteNews — traduit par Campagne Québec-Vie
CAMBRIDGE, MA, June 5, 2015 - L’actrice oscarisée Natalie Portman a déclaré que sa prise de contraceptifs oraux lui a causé une dépression qui l’a plongée dans une “période sombre” alors qu’elle était étudiante au collège.
Mercredi dernier, l’actrice bien connue pour son rôle de Padme dans la populaire saga de “Star Wars” a discuté avec les finissants de l’université qu’elle avait elle-même fréquenté, Harward.
Lors de son discours d’ouverture, Portman a admit qu’elle a eu de la difficulté lors de sa première et deuxième année là-bas.
“Le fait d’être à la fois une jeune femme de 19 ans tentant de gérer ma première peine d’amour, prenant des contraceptifs oraux qui depuis ce temps ont été retirés du marché pour cause d’effets secondaires menant à la dépression tout en manquant de lumière du jour lors des mois d’hiver m’a amené à vivre certains moments très sombres,” dit-elle.
Lire la suiteÀ 21 ans, elle meurt après avoir pris la pilule anticonceptionnelle
Par Kristi Burton Brown de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Âgée de 21 ans, Fallan Kurek est morte d'une embolie pulmonaire causée par la pilule anticonceptionnelle – Rigevidon – qu'elle a prise pendant moins d'un mois. Tragiquement, sur les conseils de son médecin, Kurek avait pris la pilule seulement pour régulariser son cycle menstruel.
Le Daily Mail rapporte : Elle prenait le médicament depuis 25 jours seulement lorsqu'elle s'est évanouie à la maison à Tamworth, Staffordshire.
Les ambulanciers sont arrivés chez elle en toute hâte après qu'elle eut commencé à vomir – mais quelques minutes plus tard elle a cessé de respirer et est devenue bleue.
Lire la suiteLa pilule contraceptive blesse et tue, mais personne n’avertit les femmes
Pilules contraceptives (Wikipedia)
Par STOPP.org - traduit par Campagne Québec-Vie
Qui aurait pu croire qu’un si grand danger planait sur Kate, la jeune mariée de 28 ans? Personne ne l’avait prévenue que la pilule contraceptive qu’elle avalait chaque jour lui faisait prendre le risque de perdre connaissance, de subir un accident vasculaire cérébral (AVC) ou une crise cardiaque, ou encore de mourir subitement. Lorsqu’elle commença à ressentir des malaises, le personnel médical mit cela sur le compte de la déshydratation. Personne ne l’avertit que la contraception hormonale pouvait causer des caillots.
Kate a raconté son histoire dans un article publié sur le site « Stop The Clot » de la National Blood Clot Alliance : « What Every Woman Needs to Know about Blood Clots » (Ce que toute femme doit savoir au sujet des caillots sanguins). Tout a commencé pendant sa lune de miel à Hawaï : d’intenses douleurs au mollet se sont manifestées, si intenses qu’elles la réveillaient la nuit. Elle est allée voir un chirurgien orthopédiste qui lui a fait passer des scans, n’a trouvé aucun problème et l’a renvoyée chez elle. Elle a mis cela de côté. Sept mois après, elle s’est évanouie dans un aéroport après un vol. Le personnel médical a affirmé qu’elle était déshydratée.
Lire la suiteLa pilule contraceptive est en train de tuer les femmes, mais personne ne dit mot
Par STOPP.org - traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Wellcome Images/Wikimedia Commons
La nouvelle mariée risquait un évanouissement, un AVC (accident vasculaire cérébral), une crise cardiaque et la mort chaque jour quand elle prenait sa pilule contraceptive. Tragiquement, elle n’avait aucune idée qu'il pouvait y avoir un danger. Même le personnel médical pensait que ses symptômes ne représentaient pas une menace, et à plus d’une reprise, ceux-ci ont mis ses symptômes sur le compte de la déshydratation. Ils ne lui ont jamais dit que ce pouvait être son mode de contraception qui lui causait des caillots sanguins.
Son nom était Kate, une femme d’affaires âgée de 28 ans, dont l’histoire est racontée dans « What Every Woman Needs to Know about Blood Clots », («Ce que toute femme devrait savoir sur les caillots sanguins») publiée sur le site web National Blood Clot Alliance “Stop the Clot”. Les symptômes de Kate commencèrent lors de sa lune de miel à Hawaï. Elle ressentait tellement de douleur au niveau de son mollet, qu’elle se réveillait la nuit. Elle alla voir un chirurgien orthopédiste qui lui fit passer des scans, ne trouva aucun problème et la renvoya chez elle. Elle oublia cela. Sept mois après, elle s’évanouit dans un aéroport après un vol. Le personnel médical dit qu’elle était déshydratée.
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