Elon Musk : « Les contraceptifs hormonaux font grossir, doublent le risque de dépression et triplent le risque de suicide »
Elon Musk.
Par Patrick Delaney — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
19 février 2024 (LifeSiteNews) — Elon Musk, milliardaire propriétaire de la plateforme de médias sociaux X, a fait connaître les graves dangers des contraceptifs abortifs vendredi, générant une réponse virale d’affirmation, y compris de femmes témoignant de la façon dont ces produits chimiques leur ont fait du mal.
Depuis la révolution sexuelle des années 1960, le contrôle des naissances est un élément essentiel de la culture occidentale, avec la promesse initiale de « libérer les femmes », en leur permettant d’éviter d’avoir des enfants tout en menant un style de vie sexuellement actif. Pendant des décennies, des programmes gouvernementaux de grande envergure ont servi à promouvoir ces produits chimiques abortifs dans le cadre de l’enseignement et dans d’autres contextes, de sorte qu’ils sont utilisés très couramment par les femmes et les jeunes filles dans une grande partie du monde.
« Les contraceptifs hormonaux font grossir, doublent le risque de dépression et triplent le risque de suicide », écrit Elon Musk sur X. « Le consensus scientifique est clair, mais très peu de gens semblent le savoir ».
Lire la suiteLes médecins ne sont pas honnêtes au sujet de la pilule
Autumn Mackenzie (24 ans) a échappé à la vie sous contraception et pense que vous devriez en faire autant.
Par Autumn Mackensie (Reactionary Feminist), d'abord paru sur Catholic Credo — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Andrey Popov/Adobe Stock
Les médecins mentent aux femmes à propos de la pilule
Je me souviens parfaitement de ce rendez-vous. Après avoir passé toute une séance de cours de ma dernière année de licence, le front en sueur sur le linoléum des toilettes du sous-sol du bâtiment de psychologie de Texas A&M, à me tordre de douleur en proie aux crampes, j’ai pris rendez-vous pour une consultation sur les contraceptifs. J’avais entendu dire que la pilule aidait à lutter contre l’acné et les crampes. J’avais aussi en tête l’avantage de ne pas avoir d’enfant.
Le médecin m’a expliqué que la pilule que je devais prendre, Lo Loestrin Fe, était une pilule combinée contenant 10 microgrammes d’estradiol, un œstrogène synthétique, et 1000 microgrammes d’acétate de noréthindrone, une progestérone synthétique. Elle m’a demandé si j’avais des migraines. J’ai répondu par la négative et elle m’a renvoyée chez moi, se contentant de me dire de revenir si j’avais des effets secondaires indésirables.
Lire la suiteLa FDA de Biden approuve la première pilule contraceptive en vente libre sans limite d’âge
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Andrey Popov/Adobe Stock
13 juillet 2023 (LifeSiteNews) — La Food & Drug Administration (FDA) des États-Unis a annoncé jeudi qu’elle avait approuvé la première pilule contraceptive en vente libre, qui sera disponible sans limite d’âge à partir de l’année prochaine.
L’Associated Press rapporte que la FDA a approuvé la vente sans ordonnance de la pilule Opill, fabriquée par la société irlandaise Perrigo. La pilule, qui doit être prise tous les jours à la même heure, utilise un progestatif pour empêcher les spermatozoïdes d’atteindre le col de l’utérus, selon le fabricant. Cette décision fait suite à un vote unanime, en mai, d’un groupe de conseillers extérieurs à l’agence.
« Il s’agit d’une véritable transformation de l’accès aux soins contraceptifs [sic] », a déclaré Kelly Blanchard, présidente d’Ibis Reproductive Health. « J’espère que cela aidera les gens à surmonter les obstacles qui existent actuellement ».
« Les effets secondaires courants de la pilule comprennent des saignements, des maux de tête, des vertiges, des nausées et des crampes, selon la FDA », rapporte l’AP. « L’étiquette avertit également que certains médicaments peuvent interférer avec l’efficacité d’Opill, notamment les médicaments contre les crises d’épilepsie, le VIH et l’hypertension ». L’article ajoute que la pilule pourrait favoriser la croissance de tumeurs chez les femmes ayant des antécédents de cancer du sein.
Avant le vote de mai, la FDA s’était inquiétée du fait que les instructions de l’entreprise n’étaient pas suffisamment claires pour les femmes souffrant de complications médicales et que, dans l’une des études de Perrigo, 30 % des femmes avaient déclaré avoir pris plus de pilules que ce qui avait été distribué pour l’étude, ce qui avait faussé les données de l’entreprise concernant les résultats.
Lire la suiteUne étude montre que les adolescentes qui utilisent la pilule contraceptive font face à un taux de dépression 130 % plus élevé
Par Jean Mondoro — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : yta/Adobe Stock
26 juin 2023 (LifeSiteNews) — Une nouvelle étude montre un lien entre les contraceptifs oraux et des taux plus élevés de dépression, en particulier chez les femmes qui ont commencé à prendre ces produits à l’adolescence.
Des données récemment publiées au Royaume-Uni ont révélé que les taux de dépression étaient plus élevés au cours des deux premières années d’utilisation des contraceptifs oraux et que les filles qui prenaient ces produits avant ou à l’âge de 20 ans font face à des taux de dépression 130 % plus élevés que leurs pairs qui n’en utilisaient pas.
« Nous avons observé que les deux premières années d’utilisation de contraceptifs oraux étaient associées à un taux de dépression plus élevé que chez les filles qui n’en avaient jamais pris », ont conclu les chercheurs. « Bien que le risque ne soit pas aussi prononcé au-delà des deux premières années, l’utilisation de contraceptifs oraux est toujours associée à un risque accru de dépression au cours de la vie ».
« En outre, l’utilisation de contraceptifs oraux (CO) pendant l’adolescence pourrait augmenter le risque de dépression plus tard dans la vie. Nos résultats sont cohérents avec une relation de cause à effet entre l’utilisation de CO et la dépression, comme le confirme l’analyse de la fratrie. »
Les chercheurs ont noté que « pour valider la causalité, nous avons examiné les facteurs de confusion familiaux dans 7 354 paires de frères et sœurs », ce qui a renforcé et confirmé les résultats. Ils ont également averti que « les médecins et les patientes devraient être conscients de ce risque potentiel lorsqu’ils envisagent l’utilisation de contraceptifs oraux ».
Lire la suiteLa FDA modifie la description de la « pilule du lendemain » pour en nier le potentiel abortif
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : dragonstock/Adobe Stock
3 janvier 2023, Washington, D.C. (LifeSiteNews) — La Food & Drug Administration (FDA) des États-Unis a annoncé qu’elle allait modifier l’étiquetage de la pilule contraceptive d’urgence Plan B afin de « clarifier » qu’il ne s’agit pas d’un abortif, malgré les preuves que ce produit peut fonctionner de façon à tuer des embryons déjà conçus.
Dans une annonce faite le 23 décembre, la FDA a déclaré que Plan B « ne fonctionnera pas si une personne est déjà enceinte, ce qui signifie qu’il n’affectera pas une grossesse existante. Plan B One-Step prévient la grossesse en agissant sur l’ovulation, qui se produit bien avant la nidation. Les preuves ne permettent pas d’affirmer que le médicament affecte l’implantation ou le maintien d’une grossesse après l’implantation, il n’interrompt donc pas une grossesse. »
La FDA a affirmé qu’elle supprimait le langage reconnaissant la possibilité d’empêcher l’implantation parce qu’un examen de « la science actuelle permet de conclure que Plan B One-Step agit en inhibant ou en retardant l’ovulation et les changements hormonaux de milieu de cycle » et qu’« il n’y a pas d’effet direct sur les processus postovulatoires, tels que la fécondation ou l’implantation ».
En fait, cependant, Plan B a une capacité abortive, et le fait qu’il empêche la fécondation ou l’implantation dépend du moment où il est pris par rapport au cycle de la femme. Les pro-vie accusent depuis longtemps les militants de l’avortement de nier ce fait, non pas scientifiquement, mais en usant d’expédients.
Lire la suiteUn médecin avec plus de 8 millions d’abonnés sur YouTube expose les dangers physiques de la pilule contraceptive
Par Mary Zwicker — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : jajam e/Adobe Stock
4 octobre 2022 (LifeSiteNews) — Un médecin bien connu sur YouTube a publié une vidéo qui explique les dangers de la contraception artificielle et plaide plutôt pour une forme naturelle de planification familiale*.
Le Dr Eric Berg, un médecin avec plus de 8 millions d’abonnés sur YouTube, a publié une vidéo sur YouTube avec une discussion sur le « côté obscur de la pilule contraceptive » qui expose les effets négatifs de la pilule sur les femmes et offre une alternative naturelle.
« Il n’y a en fait pas de véritable œstrogène ou progestérone dans une pilule contraceptive », a déclaré le Dr Berg. « Ce que vous avez, c’est une version synthétique modifiée d’une certaine manière pour imiter l’œstrogène et la progestérone ».
Le Dr Berg a poursuivi en disant que ce que les femmes ne réalisent pas, c’est que le remplacement des œstrogènes et de la progestérone produits naturellement par une version artificielle peut entraîner diverses complications.
Parmi les nombreux risques pour la santé, la pilule contraceptive peut « augmenter le risque de crise cardiaque, de pression artérielle, d’accident vasculaire cérébral, de caillots sanguins, de cancer du sein, de démence, de dépression, d’acné, de sautes d’humeur, [et] elle peut même déclencher des maladies auto-immunes ». Il poursuit en décrivant comment le contrôle des naissances prive également les femmes de nombreux minéraux nécessaires tels que le zinc, le sélénium et le magnésium, et de vitamines telles que la B12.
« Ce que beaucoup de femmes ne réalisent pas, c’est que lorsque vous prenez cette pilule, vous arrêtez la production d’œstrogène et de progestérone », a-t-il dit.
Le Dr Berg a poursuivi en expliquant qu’il s’agit d’une action dangereuse car les femmes, contrairement aux hommes qui produisent de la testostérone tous les jours, produisent leurs hormones nécessaires en « deux pics importants ». C’est-à-dire qu’au lieu de produire les hormones nécessaires quotidiennement, les femmes produisent les hormones à deux moments de leur cycle, l’un où elles voient une augmentation des œstrogènes et l’autre où elles voient une augmentation de la progestérone.
Lire la suiteDémystifier 5 mythes sur le mouvement pro-vie répandus par les pro-avortement
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Doug Mainwaring/LifeSiteNews
11 août 2022 (LifeSiteNews) — La Jane’s Army — un groupe qui se consacre à l’élection de politiciens pro-avortement dans l’Illinois — a produit un document indiquant « Les 10 pires choses à propos du mouvement anti-choix ». Il a été porté à mon attention que l’American Life League était spécifiquement mentionnée, alors bien sûr j’ai dû le lire pour voir ce que ce groupe avait à dire.
Ce que j’ai trouvé, c’est un document truffé de déclarations trompeuses, d’informations erronées et d’arguments bizarres qui n’ont même pas de sens.
Comme l’un des objectifs importants de l’American Life League (ALL) est d’aider à enseigner la vérité tout en construisant une culture de vie, je pense qu’il est extrêmement important d’aborder chacune des 10 « pires choses » énumérées par Jane’s Army. Dans cet article en deux parties, nous allons décortiquer certaines des affirmations de Jane’s Army (en gras) et ensuite expliquer la vérité en termes simples.
1. Le mouvement anti-choix [dont ALL] ne veut pas seulement interdire l’avortement, il veut aussi interdire le contrôle des naissances ».
ALL et d’autres organisations qui s’opposent au contrôle des naissances s’y opposent pour de nombreuses raisons. Elle [la pilule] peut agir comme un abortif et tuer un très jeune bébé à naître.
En outre, nous connaissons les effets néfastes du contrôle des naissances sur le corps de la femme. Parce que nous aimons les mères et les bébés, nous voulons que les femmes sachent la vérité sur les effets de la pilule sur leur santé, d’autant plus que le Centre international de recherche sur le cancer a classé la pilule dans le groupe n°1 des agents cancérigènes.
Enfin, nous nous opposons au contrôle des naissances parce qu’il est contraire à l’enseignement de l’Église catholique, car il contrecarre l’un des deux objectifs du mariage. Un mariage est censé être à la fois unitif et procréatif. L’utilisation du contrôle des naissances contrecarre l’aspect procréatif. Mais malgré toutes les preuves que la pilule nuit aux femmes, il semble peu probable que le contrôle des naissances soit un jour interdit. Les législateurs ne votent même pas sur cette question à l’heure actuelle et ne prévoient pas de le faire dans un avenir proche. Parler d’hypothèses ne fait donc qu’alimenter la colère et le ressentiment, ce qui semble être l’intention du groupe.
Lire la suiteLa France va proposer la contraception gratuite et anonyme aux femmes de moins de 25 ans
Par Jeanne Smits — Traduit par Campagne Québec-Vie
Paris, 22 septembre 2021 (LifeSiteNews) — Au début du mois, le ministre français de la Santé Olivier Véran a fièrement proclamé qu’à partir du 1er janvier 2022, la contraception sera 100 % « gratuite » pour toutes les femmes jusqu’à 25 ans, ainsi que les tests de grossesse, les rendez-vous médicaux et les bioanalyses en lien avec le contrôle des naissances. Moins de 24 heures plus tard, la décision de la France a été saluée avec enthousiasme par le Forum économique mondial dans une courte vidéo publiée sur son compte Twitter officiel.
M. Véran a fait son annonce sur la chaîne de télévision nationale France 2, financée par les contribuables, en expliquant que la principale raison pour laquelle un certain nombre de jeunes femmes n’utilisent pas la contraception est son coût. Cette déclaration a été contredite par le centre d’information de la Fondation Jérôme Lejeune, Gènéthique.
Depuis 2013, les filles âgées de 15 à 18 ans peuvent déjà obtenir des contraceptifs gratuits en France, et depuis juillet dernier, les filles de moins de 15 ans ont été ajoutées à la liste, car, selon le gouvernement, chaque année, environ 1 000 filles âgées de 12 à 14 ans deviennent enceintes. 770 de ces grossesses se terminent par un avortement. La contraception est livrée de manière anonyme aux mineures.
Véran explique : « J’ai constaté, en lien avec les autorités scientifiques, que la contraception est moins utilisée chez un certain nombre de jeunes femmes, et que la plupart y renoncent pour des raisons financières. »
« La contraception hormonale sera prise en charge, ainsi que les tests biologiques qui l’accompagnent, la consultation pour la prescription et tous les soins liés à cette contraception jusqu’à 25 ans », a-t-il ajouté.
L’État français dépensera 21 millions d’euros par an pour payer la contraception des jeunes femmes, ce qui revient à faire payer par le contribuable la facture des jeunes qui décident d’avoir une vie sexuelle active sans en accepter les conséquences naturelles : grossesse et accouchement.
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La contraception et l’avortement sont-ils liés ? Voici les faits
Par Anne Marie Williams (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : bisonov/AdobeStock
Molly Jong-Fast, auteur et journaliste, a écrit dans un article paru dans Vogue : « Le mouvement anti-contraception est le nouveau mouvement anti-avortement » ; allant droit au but, elle affirme que « les républicains ont commencé à brouiller les lignes entre le contrôle des naissances et l’avortement dans l’espoir de rendre plus difficile pour les femmes américaines d’obtenir à la fois un contrôle des naissances et un avortement ». Mais l’article de Jong-Fast omet de reconnaître que ce ne sont pas les « républicains » qui ont brouillé les pistes entre l’avortement et la contraception, mais l’industrie de l’avortement elle-même.
Fait : Certains moyens de contraception peuvent fonctionner comme des abortifs.
Jong-Fast fait spécifiquement référence au récent débat au Missouri sur la restriction du financement par Medicaid de Planned Parenthood en raison de sa distribution de « médicaments » potentiellement abortifs ─ tels que Plan B et Ella, qui sont distribués comme « contraception d’urgence » ─ et de stérilets.
Jong-Fast a déclaré que la tentative infructueuse du Missouri de cesser de financer Planned Parenthood était « une ruse, qui consiste à attaquer le contrôle des naissances pour s’attaquer à l’avortement, mais cela n’a pas marché... pour l’instant ».
Jong-Fast cite également le PDG de Planned Parenthood, Alexis McGill-Johnson, qui se lamente : « Nous entendons déjà des membres du Congrès américain répandre les mêmes faussetés que celles que nous avons vues au Missouri, confondant les médicaments qui empêchent la grossesse ─ la contraception et la pilule du lendemain ─ avec les médicaments qui mettent fin à la grossesse. »
Jong-Fast ne comprend pas ou ignore volontairement le fait que les stérilets, la contraception d’urgence et la pilule contraceptive peuvent fonctionner comme des abortifs, c’est-à-dire qu’ils peuvent provoquer des avortements précoces comme mécanisme secondaire, d’après la notice même de leurs fabricants.
Lire la suiteLa pilule provoque 2 500 accidents et 20 décès par an en France
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Encore un danger de la pilule contraceptive, comme s’il n’était pas évident qu’il était dangereux d’entraver un processus physiologique naturel aussi important que la procréation. Selon Le Monde :
Utilisées par 4,27 millions de femmes (chiffres de 2011), les pilules contraceptives, toutes générations confondues, provoquent chaque année « en moyenne » 2 529 accidents thromboemboliques veineux (formation de caillots dans les veines) et « vingt décès prématurés » de femmes, selon un rapport diffusé mardi par l’Agence du médicament (ANSM) et qui porte sur les années 2000 à 2011.
Ces décès sont liés à la survenue d’une embolie pulmonaire, forme la plus grave de l’accident thromboembolique, selon l’ANSM qui publie ce rapport dans le cadre du point régulier réalisé sur l’utilisation des pilules en France depuis l’alerte lancée en début d’année sur les pilules de 3e et 4e génération.
14 décès sont attribuables aux pilules de 3e et 4e générations, tandis que 6 le sont aux pilules de 1ère et 2e générations.