La Cour suprême américaine rejette le recours du Planning familial contre la limitation de l’avortement
Par Jeanne Smits (reinformation.tv)
Défaite pour la fédération du Planning familial, victoire pour les pro-vie ! Dans une décision laconique, la Cour suprême des Etats-Unis a refusé de donner suite à une demande de Planned Parenthood America en vue de faire bloquer une loi de l’Arkansas de 2015 qui impose aux médecins prescrivant des pilules abortives l’obligation de détenir des « privilèges d’admission » leur permettant de faire accéder leurs patientes aux hôpitaux les plus proches en cas de problème. La loi de limitation effective devrait pouvoir entrer en vigueur dès la mi-juillet, puisque cette décision renverse celle d’une cour d’appel donnant raison au Planning.
Il ne s’agit pas, on l’aura compris, d’une loi restreignant l’accès à l’avortement en tant que tel. Mais elle fait deux choses : elle attire l’attention sur le caractère potentiellement dangereux pour la femme des avortements médicamenteux en même temps qu’elle durcit les conditions de prescriptions des pilules abortives, avec des effets pratiques d’envergure. Dans le cadre de la lutte générale pour le respect de la vie, c’est un petit pas, mais qui a son importance, d’autant qu’on le doit à une décision de la Cour suprême qui souffle la pluie et le beau temps dans ce domaine.
En 2016, la Cour suprême avait ainsi annulé une loi semblable adoptée par le Texas.
Lire la suiteUne militante proavortement a mensongèrement déclaré qu’on l’avait attaquée pour ses convictions
Par Calvin Freiburger — traduit par Campagne Québec-Vie
Kitchener, Ontario, 5 avril 2018 (LifeSiteNews) — La police a déposé une accusation de méfait public à l’encontre d’une militante pro-choix reconnue coupable d’avoir inventé qu’elle s’était faite attaquer […]
En mars dernier, une femme non identifiée originaire de Kitchener et âgée de 41 ans a déclaré aux autorités qu’un homme l’avait traitée de « meurtrière » et lui avait jeté un seau de peinture rouge aux abords du Tim Hortons situé à l’angle de Charles Street et de Borden Avenue, rapporte CBC News. La femme participait à des rassemblements locaux proavortement et a déclaré avoir été harcelée plusieurs fois déjà en raison de sa position, ajoute le Record.
Cependant, à la suite d’une enquête, la police a conclu que les déclarations étaient fausses.
« À l’issue des investigations, les détectives ont conclu que l’agression n’avait pas eu lieu », a annoncé ce mercredi [4 mai 2018] le porte-parole de la police régionale de Waterloo, Cherri Greeno.
Lire la suiteAu cours de sa première année, la pilule abortive a été prescrite 4 253 fois au Canada. Autant d’enfants à naître morts ?
Échographie d’un enfant à naître.
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Plus de 4 000 bébés à naître ont [sûrement*] été tués par la pilule abortive au Canada après que le gouvernement ait autorisé la pilule mortelle sur le marché en 2017.
La CBC a rapporté les nouveaux chiffres de Santé Canada cette semaine [la semaine dernière], la première indication nous révélant combien cette pilule abortive est répandue au Canada. Elle est vendue sous l’appellation Mifegymiso.
« En 2017 », selon les estimations de Santé Canada, « environ 4 253 nouvelles ordonnances de Mifegymiso ont été distribuées par des pharmacies de détail canadiennes. »
Les autorités sanitaires canadiennes ont approuvé les dangereuses pilules abortives sur le marché en 2017 et, quelques mois plus tard, ont étendu leur utilisation.
Contrairement aux États-Unis, la pilule n’est devenue disponible qu’en 2017 au Canada. Mifegymiso est une méthode d’avortement utilisant deux médicaments connus aux États-Unis sous le nom de mifepristone, ou RU-486, et de misoprostol. Les médicaments abortifs sont responsables de la mort de plus de 2 millions de bébés à naître aux États-Unis et d’au moins 14 femmes, depuis qu’ils ont été approuvés lors de l’administration Clinton.
Lire la suitePilule abortive en Outaouais
Par Isabelle O’Connor
Ainsi la pilule abortive sera accessible en Outaouais et payée par les contribuables. Les femmes qui ont déjà vécu les nausées et les crampes liées à la contraception du lendemain, eh bien, prenez cette horrible expérience et multipliez-la par dix. C’est ça, l’avortement chimique, qui peut prendre des heures et même des jours. Le corps qu’on voit dans la toilette, tout calciné et déchiqueté (ou ailleurs, car on ne maîtrise pas où et quand ça se termine), ça marque l’esprit pour un bon bout de temps. Les violentes contractions requises pour expulser le bébé provoquent souvent des hémorragies et autres dommages graves à l’appareil féminin. Comme c’est triste que les corps des femmes soient traités comme de vulgaires broyeurs. Vraiment pas fameux pour l’estime de soi. En plus, il faut faire vérifier par la suite que tous les membres et organes ont été expulsés, et il peut arriver qu’on doive procéder à un curetage chirurgical par la suite pour éviter l’empoisonnement généralisé.
Gratuité de la pilule abortive : Le fœtus aux égouts
La pilule abortive, le RU-486.
Par Paul-André Deschesnes
En décembre 2017, le Québec aurait fait un «très grand pas en avant», selon les féministes et tout le gratin de la gauche québécoise qui carbure aux idéologies de la «pensée unique».
Le gouvernement québécois a donné le feu vert à la diabolique pilule abortive pour les femmes qui veulent se débarrasser rapidement de leur bébé sans être obligées de passer par une clinique d’avortement.
Cette pilule «miracle» (300 dollars), prescrite par un médecin et obtenue gratuitement dans toutes les pharmacies du Québec peut être utilisée à la maison jusqu’à la neuvième semaine de grossesse. La femme prend ce «médicament» le soir au coucher et dès le lendemain matin, elle expulse son bébé assise sur le siège de la toilette ; elle tire la chasse d’eau et envoie cet enfant à naître aux égouts municipaux.
En Occident, cette façon d’avorter est de plus en plus populaire. Plusieurs pays dits très postmodernes ont déjà légalisé cette cochonnerie satanique. Les autres vont très bientôt le faire car il y a une très forte demande pour ce «bonbon» empoisonné.
Lire la suiteLe Canada réduit les restrictions pour la prescription de pilules abortives dangereuses
Par Lianne Laurence — traduit par Campagne Québec-Vie
Ottawa, le 7 novembre 2017 (LifeSiteNews) — Le gouvernement canadien étend l’accès à la pilule abortive, permettant son utilisation pour avorter des enfants à naître jusqu’à 9 semaines après la fécondation. De plus, il sera dorénavant possible aux pharmaciens de la distribuer directement, sans l’avis d’un médecin.
La décision de Santé Canada était basée sur de l’information fournie par Linepharma, commanditaire du médicament, selon une information du département, mise à jour et publiée jeudi [7 novembre].
Linepharma est représentée au Canada par la compagnie Celopharma.
Santé Canada a dit avoir effectué « une étude approfondie des publications scientifiques nouvelles et actuelles sur l’innocuité et l’efficacité de Mifegymiso. »
Elle a donc autorisé ce qui suit :
- Mifegymiso peut maintenant être administré jusqu’à la 9e semaine (63 jours) de grossesse, au lieu de la limite précédente allant jusqu’à la 7e semaine (49 jours).
- Mifegymiso peut maintenant être distribué directement aux patients par le pharmacien, ou par tout professionnel de la santé pouvant prescrire des médicaments.
- Les professionnels n’ont plus besoin de compléter un programme d’éducation avant de prescrire Mifegymiso.
- L’obligation du consentement écrit du patient pour l’utilisation de Mifegymiso a été retirée.
- Les professionnels de la santé n’ont plus besoin de s’enregistrer chez Celopharma pour pouvoir prescrire ou distribuer Mifegymiso.
Des drones servent à transporter des pilules abortives en contrebande
Par Paul-André Deschesnes
Le magazine l’Actualité de mars 2017 nous a donné l’incroyable information suivante : l’usage des drones est de plus en plus répandu et très populaire. On utilise cette nouvelle technologie pour faire la guerre, pour tuer de présumés terroristes, pour espionner les pays et les personnes, pour livrer des colis et pour s’amuser.
Un organisme pro-avortement du nom de « Women on Waves » basé aux Pays-Bas utilise maintenant des drones pour livrer de grandes quantités de pilules abortives en Irlande du Nord. À cet endroit, l’avortement et la diabolique pilule ne sont pas autorisés. D’autres organismes pro-avortement et fortement subventionnés par des gouvernements de gauche se proposent d’imiter la Hollande et de faire pleuvoir des quantités industrielles de pilules sur des pays pro-vie comme la Pologne et certains pays d’Afrique et d’Amérique du Sud
Tous les moyens sont bons pour répandre la culture de la mort.
Au Canada, le gouvernement Trudeau a annoncé qu’il prend la relève pour répandre l’accès à l’avortement dans les pays en voie de développement. Ottawa a débloqué des dizaines de millions de dollars pour plusieurs ONG américains (organismes non gouvernementaux), car Trump a décidé de son côté de leur couper les vivres. La ministre fédérale de la Santé n’arrête pas de faire des discours à la Chambre des Communes sur les grands bienfaits de l’avortement comme un excellent « soin de santé » pour justifier ces folles dépenses.
Lire la suiteElle a pris la pilule abortive, ensuite elle a vu son enfant de 7 semaines
Par Sarah Terzo de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
La clinique d'avortement Planned Parenthood avait informé Christina que son avortement par la pilule serait “comme une ménorragie,” elle n’était donc pas préparée pour les douleurs atroces, des saignements abondants, et le fait de voir son enfant avorté avec un corps parfaitement formé.
Christina était enceinte de 9 semaines (9 semaines d'aménorrhée, 7 semaines de la conception --Ed) lorsqu’elle se présenta à Planned Parenthood sous la pression de son fiancé. Elle avait déjà un enfant de 4 mois à la maison et elle ne jouissait pas d’une bonne santé. Voici ce qu’elle reçut de Planned Parenthood en termes de “conseils” :
Lire la suiteLa conseillère me demanda si j’étais sous la contrainte, si ma décision était personnelle à 100 %. Elle me conseilla de m’assurer que c’est cela que je voulais.
Tragédie : La pilule abortive RU-486 autorisée au Canada
Par Paul-André Deschesnes
Le Canada et le Québec en particulier sont des champions dans les soins de santé.
Nos tribunaux et nos gouvernements neutres, païens et athées ont décrété au fil des ans que :
1- L’avortement est un soin de santé.
2- L’euthanasie est un soin de santé.
3- La prostitution est un soin de santé. (Plus de 300 bordels au Québec et Amnistie internationale propose de légaliser la prostitution dans tous les pays du monde, journal Le Devoir 12 août 2015).
4- Les sex-shops offrent des soins de santé.
Voilà qu’un nouveau soin de santé vient de faire son apparition. En effet, Santé Canada a confirmé le 30 juillet 2015 que la pilule abortive RU-486 sera maintenant autorisée et disponible dans tout le pays. Cette pilule permet aux femmes d’avorter à la maison en «toute tranquillité» jusqu’à la 49e journée de grossesse. Cette pilule satanique a été approuvée aux États-Unis en 2000 et en France, il y a 25 ans. «Actuellement, 60 pays ont accès à la pilule abortive». (Journal La Presse, 31 juillet 2015)
Lire la suiteVoici Gabriel. Sa mère l’avorta… puis eut un changement de cœur. Et c’est là que l'incroyable est survenu.
Par Leslie Palma-Simoncek de PriestsforLife.org - Traduit par Campagne Québec-Vie
18 février 2015 (PriestsforLife.org) – L’an dernier, Andréa Minichini était assise dans une salle d’examen du Planning familial au New Jersey, sachant qu’elle ne voulait absolument pas avaler la pilule mortelle qu’elle tenait dans sa main.
Le docteur l’avertit que la pilule coûtait chère et qu’elle fonderait si elle ne la prenait pas rapidement. Le docteur – qu’elle n’avait jamais vu auparavant – lui répéta ce qu’elle et son petit ami s’étaient déjà dit, soit que ce n’était pas le bon moment pour avoir un enfant.
Elle avala donc la pilule et revint à la maison avec une autre pilule, contenant du misoprostol, qu’elle devait prendre 24 heures après.
“J’attendis les 24 heures, puis j’allai à l’urgence,” dit-elle.
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