Le poids de l’avortement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Phnh Phng/Pixnio
Les partisans de l’avortement ont généralement l’habitude de nier que celui-ci ait des effets néfastes tant physiques que psychologiques (et spirituels) sur les femmes. Or, voici le témoignage, comme tant d’autres, d’une jeune femme qui montre la vraie face de l’avortement : le regret, l’angoisse, les problèmes psychologiques, etc.
La jeune femme, qui se présente sous le nom de Clém, a 26 ans et vit avec un homme de 41 ans avec lequel elle a eu un enfant. L’homme en question avait déjà une fille, aussi sont-ils quatre dans la même maison. Elle explique, d’après La Mariée en Colère :
Tout a commencé il y a un an, à cette période j’ai senti en moi un changement inhabituel, au fond de moi et étant passée par là l’année précédente, je savais plus ou moins qu’un petit être avait pris place en moi pour faire son nid pour les 9 prochains mois. Or dans ma tête j’avais le sentiment que ce n’était pas le bon moment pour l’accueillir pour de multiples raisons (financières, professionnelles) et je savais que Papa n’était pas prêt pour un 3ème enfant puisqu’il n’en désire plus à 41 ans.
La jeune femme prit un test de grossesse qui s’avéra être positif. Partagée entre la joie et l’inquiétude, elle se rendit chez son médecin, puis prit un rendez-vous pour une échographie qui lui révéla qu’elle était enceinte de jumeaux. Dans la même journée, elle révéla à celui avec qui elle vivait l’état des choses :
J’ai donc pris mon courage et annoncé « Je suis enceinte » sans réaction de sa part et une tête d’enterrement figée sur son visage, j’ai ajouté « Et ils sont 2 ». A ce moment-là, j’ai vu que cette nouvelle ne lui plaisait pas du tout. C’est alors avec le cœur serré et une boule dans la gorge que je l’ai rassuré « Ne t’inquiète pas je vais interrompre la grossesse » et là il m’a répondu « OK ça va aller alors ! ».
Quelques jours plus tard, elle avorta par le moyen de la pilule abortive :
Sans entrer dans les détails, sachez que j’ai mieux vécu mon premier accouchement que cette IVG.
Suite à ça, oui je suis passée par une période de soulagement, mais la réalité m’a très vite rattrapée : mon anxiété s’est accentuée, j’ai découvert les crises d’angoisse et les crises de nerfs […]
Je l’assume et le dis haut et fort, oui j’ai le sentiment d’avoir tué mes enfants ! Croiser une femme enceinte, une poussette ou un nouveau-né est devenu pour moi une terrible torture…
Aujourd’hui à l’âge de 26 ans je suis sous antidépresseur, somnifère, anxiolytique et consulte depuis plusieurs mois un psychiatre et psychologue qui tentent de m’apporter du soutien et des solutions pour retrouver ma joie de vivre et goût à la vie, mais pour moi ça semble peine perdue je n’arriverai pas à oublier, à les oublier…
Je n’ai pas osé dire ce que je désirais au fond de moi et je les ai perdus pour toujours…
La pilule abortive prescrite plus de 13 000 fois au Canada depuis 2017
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
13 000 enfants à naître avortés ? Combien de femmes blessées par ce pesticide antihumain ? Extrait de LifeSiteNews :
Conçue pour tuer les bébés à naître, la pilule abortive Mifegymiso à deux étapes (RU-486) aurait été prescrite au moins 13 000 fois au Canada depuis son lancement en janvier 2017 [jusqu’en octobre 2018].
À l’aide de chiffres obtenus des autorités sanitaires provinciales, le National Post a publié le 15 octobre le nombre de prescriptions connues de Mifegymiso. Mais il est probable que beaucoup plus de prescriptions ont été faites pour le Mifegymiso au Canada parce que le territoire du Yukon n’a pas divulgué au National Post le nombre de ces ordonnances de pilules abortives, pour des raisons dites de protection des renseignements personnels.
De plus, l’Île-du-Prince-Édouard et la Nouvelle-Écosse n’ont pas répondu à la demande d’information du journal au sujet de ces prescriptions. La pilule abortive est accompagnée d’un cortège de mauvais effets secondaires et a entraîné la mort de nombreuses femmes [...]
« Il a été prouvé que ce produit est très dangereux pour les femmes », a déclaré Patricia Maloney, auteur du blogue Run With Life.
Selon Maloney, même certains auteurs pro-avortement ont écrit sur les dangers de cette méthode de pilule abortive, y compris Renate Klein qui a aidé à écrire le livre RU486 : Misconceptions, Myths and Morals.
Alors que les avortements en Irlande commencent, le ministre de la Santé veut censurer les pro-vie
Les « Sept Pacifiques » portent un témoignage pro-vie devant un centre d’avortement de Galway, en Irlande.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton — Campagne Québec-Vie
Il est affligeant de voir à quelle vitesse l’Irlande se transforme avec ses politiciens prêts à se lancer tête baissée dans des projets de loi qui n’existent pas forcément dans les pays qui ont légalisé l’avortement. Extrait de LifeSiteNews :
Lire la suiteLa stratégie que les partisans de l’avortement utilisent pour réduire au silence les pro-vie consiste à créer des zones de censure, semblables à celles qui sont déployées au Royaume-Uni autour des centres d’avortement. Ces zones empêchent tout témoignage pacifique à proximité des centres d’avortement, ainsi que l’offre d’un soutien pratique et moral aux femmes enceintes, et l’offre d’une alternative à l’avortement.
Jeudi matin, le 3 janvier 2019, un groupe de 7 hommes et femmes a passé quelques heures devant le Galvia West Medical Centre à Galway. Ces témoins pro-vie portaient des pancartes sur lesquelles on pouvait lire : « Il y a toujours une meilleure option », « Aimez-les tous les deux », « Dites non à l’avortement à Galway ». Le groupe est parti juste avant le déjeuner.
Un obstétricien-gynécologue : « J’ai vu de première main comment “l’accès à l’avortement” aide les hommes qui profitent des femmes »
Par Steven Braatz — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Juan Paul Arenas/Pixnio
Analyse
12 Décembre 2018 (LifeSiteNews) — Lorsque le gouverneur de Californie Jerry Brown a opposé son veto à un projet de loi exigeant que la pilule abortive soit offerte dans les cliniques publiques universitaires en septembre dernier, la sénatrice Connie Leyva, qui a présenté le projet de loi, a déclaré : « C’est extrêmement important pour la santé des femmes, c’est extrêmement important pour leur choix et, que lui, un homme, décide ce que les femmes peuvent faire avec leur corps était très décevant ». Le sénateur Leyva prévoit de présenter à nouveau le projet de loi lorsque le gouverneur Newsom entrera en fonction, selon un article paru dans le Daily Californian.
Sénateur Leyva, je m’inquiète au sujet d’un autre genre d’homme qui sera ravi de la réintroduction de ce projet de loi. L’homme auquel je pense sera très heureux de voir votre projet de loi signé par le gouverneur Newsom. L’homme auquel je pense est celui qui profite des femmes.
Nous connaissons tous la sorte d’homme que je décris, l’homme qui utilise tout simplement les femmes pour le sexe et se soustrait aux conséquences. Au nom de tous les hommes, je vous demande pardon, mais nous ne sommes pas tous comme ça, je vous l’assure. Malheureusement, certains hommes, conditionnés par la pornographie et une culture hypersexualisant nos jeunes, profitent des femmes et ne se sentent pas responsables de prendre soin d’elle, de sa grossesse ou de son enfant.
Je sais que c’est vrai parce que je suis un obstétricien-gynécologue. J’entends des histoires de femmes.
En parlant d’un avortement antérieur, les femmes expriment presque toujours des remords et confient souvent quelque chose sur les raisons pour lesquelles elles ont subi cet avortement. Le petit ami qui exerce des pressions, la menace de partir ou de la faire partir semblent avoir une influence puissante sur la prise de décision d’une jeune femme. Il lui est plus facile de lui faire prendre une pilule que de lui faire subir un avortement chirurgical. Avec l’aide de la sénatrice Leyva, elle n’aura même pas besoin d’aller dans une clinique d’avortement. Il [l’homme] lui fera traverser le campus et ensemble, ils demanderont cette pilule. Ils diront : « Ouf, c’était pas loin, mais c’est fini maintenant. » Alors qu’ils sont sur le point de quitter la clinique, il demandera : « Pourra-t-on bientôt recommencer ? »
L’avortement tue des êtres humains, mais ici en Californie, beaucoup de nos législateurs ne semblent pas s’en soucier. Ils ne semblent pas non plus être préoccupés par les conséquences de l’avortement. Des femmes sont mortes après avoir pris la pilule abortive « extrêmement sûre ». Étant donné leur ambition sans bornes de faciliter l’accès à l’avortement à tout prix, je ne peux qu’espérer qu’ils se rendront compte que la pilule abortive ne profite qu’à ceux qui en bénéficient le plus : les hommes qui profitent des femmes.
Les complications des avortements chimiques doublées : les avortements à domicile sont soupçonnés d’en être la cause
Par Jeanne Smits (Réinformation.TV)
Une étude universitaire suédoise de grande envergure sur les avortements chimiques révèle une forte augmentation des complications liées à cette procédure. Elles ont doublé en l’espace de six ans entre 2008 et 2015. Si l’étude publiée dans BMC Women’s Health n’apporte pas de certitude sur la cause de cette évolution, ses auteurs estiment qu’elle pourrait bien être liée au nombre croissant d’avortements médicaux désormais pratiqués à domicile plutôt que dans un environnement hospitalier.
Le taux de complications est passé de 4,2 % en 2008 à 8,2 % en 2015 pour les avortements par RU 486 au cours des 12 premières semaines de gestation.
L’étude réalisée en Suède s’est intéressée à toutes les femmes ayant eu recours à cette procédure en passant par l’hôpital Skaraborg : 4.945 avortements au total. En Suède, la procédure officielle pousse les médecins à recommander aux femmes d’absorber les « médicaments » abortifs (le professeur Jérôme Lejeune parlait plutôt de « pesticides anti-humains ») à la maison et surtout, d’en attendre les effets à domicile, là encore sans surveillance médicale.
Lire la suite125 femmes prennent des pilules abortives pour protester contre les lois pro-vie
Par Micaiah Bilger (LifeNews)— traduit par Campagne Québec-Vie
Dans une manifestation de défi meurtrière [pour les enfants à naître*], 125 femmes en Corée du Sud ont avalé des pilules abortives afin de protester contre les lois pro-vie du pays.
Le Korea Bizwire rapporte que la manifestation a eu lieu dimanche [en août*] devant le Pavillon Bosingak à Séoul, en Corée du Sud. Selon l’article, 30 autres femmes ont pris des vitamines afin que les autorités ne soient pas en mesure de dire quelles femmes ont ingéré les pilules abortives.
Portant du noir, elles ont demandé au gouvernement de légaliser le meurtre d’enfants à naître. Le groupe pro-avortement a prétendu que 125 femmes avortent leur enfant à naître illégalement chaque jour en Corée du Sud.
Extrait de l’article:
Lire la suite30 autres participantes ont pris des pilules contenant des vitamines, car elles ne peuvent être distinguées des pilules abortives, un geste qui a couvert les femmes ayant avalé du mifépristone durant la démonstration, ces pilules étant présentement interdites…
Le Collège des médecins du Québec désapprouve la distribution de la pilule abortive par les personnes non compétentes
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le Collège des médecins du Québec avertit avec raison que la pilule abortive (RU-486) ne devrait pas être distribuée par n'importe qui (il vaudrait encore mieux que personne du tout ne distribue cette cochonnerie). Malheureusement, le gouvernement canadien a étendu le droit de distribution aux pharmaciens (entre autres) qui ne sont pas formés pour prescrire la pilule et faire un suivi. Toutefois, même administrée par un médecin à la compétence formée (et à la conscience déformée), le RU-486 reste un «pesticide antihumain»* qui tue un enfant à naître, et un produit dangereux qui ne mérite pas le nom de médicament dont l'affuble le Collège des médecins :
Lire la suiteLe régime combiné de mifépristone et de misoprotol (Mifegymiso), mieux connu du grand public sous le nom de « pilule abortive », est maintenant disponible au Québec. Ce médicament est indiqué pour les grossesses évolutives intra-utérines de 63 jours et moins d’âge gestationnel.
Le déploiement de ce nouveau traitement suscite des questions de la part des cliniciens. Le Collège des médecins du Québec réitère l’importance de tenir compte des directives cliniques qu’il a publiées en décembre 2017. Ces directives visent à encadrer les activités d’avortement médical pratiqué à l’aide de la pilule abortive et les procédures qui y sont associées.
Pour faciliter la compréhension de tous, nous vous présentons quelques questions-réponses afin de clarifier le cadre normatif entourant cette pratique au Québec.
Le Guatemala suit l'exemple pro-vie de l'Argentine et fait échouer un projet de loi sur l'avortement
Drapeau du Guatemala.
Par LifeSitenews — traduit par Campagne Québec-Vie
6 septembre 2018, (Society for the Protection of Unborn Children) [Société pour la protection des enfants à naître)] — Le mois dernier, le Sénat argentin a rejeté un projet de loi visant à [... étendre] l'avortement. Tandis qu'au Guatemala, la majorité pro-vie n'a même eu à attendre les résultats d'un vote, car la pression qu'elle a exercée a obligé les groupes soutenant la clause, qui auraient légalisé l'avortement dans certaines circonstances, à l'abandonner.
Un projet de loi parrainé par le parti d'opposition de gauche Convergencia contenait une disposition qui permettrait aux mineures victimes d'abus sexuels d'avorter au cours des 12 premières semaines de grossesse.
Défendre la vie humaine
Le Guatemala n'autorise l'avortement que lorsque la vie de la mère est en danger et il s'est fermement opposé à toute tentative visant à imposer une généralisation de l'avortement. L'année dernière, l'armée a bloqué un navire néerlandais qui distribuait des pilules abortives illégales, affirmant qu'elle défendrait «la vie humaine et les lois de notre pays».
Lire la suiteCulture de mort : la Californie veut que ses universités offrent la pilule abortive
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info)
Nouvelle attaque contre la vie ! Aux États-Unis, la Californie veut devenir le premier État fédéral à rendre disponible dans les centres sanitaires des campus universitaires les pilules abortives.
Divers mouvements américains pro-vie dénoncent cette proposition de loi qui sera soumise au vote de la California State Assembly la semaine prochaine. Le projet de loi prévoit que les collèges et les universités puissent offrir les pilules abortives à leurs étudiantes.
Cette législation, qui a déjà été approuvée par le Sénat de l’État de Californie en janvier dernier, est une proposition radicale, la première du genre. Selon ses promoteurs elle devrait encourager les étudiantes à avorter. Le « State Senate Bill 320 », sponsorisé par la sénatrice démocrate Connie Leyva, demande que les centres estudiantins rendent disponibles ces pilules abortives jusqu’à la 10e semaine de grossesse. Le texte prévoit également que les écoles financées par les contribuables couvrent le coût des avortements dans leurs plans d’assurance sanitaire des étudiants. La sénatrice Leyva et les autres activistes pour l’avortement veulent fournir un meilleur accès à l’interruption de grossesse pour les jeunes femmes. Pourtant l’association Californians for Life a révélé que la distance moyenne entre une université publique et un centre d’avortement est de moins de 6 milles.
Si ce plan pro-avortement était approuvé, il rentrerait en vigueur à partir du 1er janvier 2022.
Quatre vidéos sur les méthodes d’avortement
Objets servant lors d’avortements.
Par Campagne Québec-Vie — Vidéos réalisées par le groupe LiveActionNews et traduites par Un feu sur la terre
Voici quatre vidéos, sur comment sont pratiqués plusieurs méthodes d’avortement, réalisées par le groupe LiveActionNews et dont la traduction (sous-titrage en français) est actuellement présente sur la chaîne YouTube du site Un feu sur la terre.
L’avortement fauche chaque année sa moisson de millions d’enfants à naître et laisse d’innombrables blessures, tant physiques que psychiques et spirituelles, aux pères et aux mères de ces enfants et à bien des gens.
Pour combattre ce fléau, le Dr Anthony Levatino, obstétricien-gynécologue, nous explique par ces vidéos en quoi consistent les principales méthodes d’avortement. Celui-ci en a pratiqués environ 1200 avant d’arrêter, horrifié par cette abomination.
Ces quatre vidéos « ont été révisées par des médecins et des professionnels de la santé », affirme Lila Rose présidente de LiveActionNews.
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