En 1977, une jeune fille de 12 ans demandait à Pierre, le père de Justin Trudeau, de mettre fin à l'avortement
Lori Mallett (à gauche), Pierre Elliott Trudeau (à droite).
Par Pete Baklinski (Coalition nationale pour la Vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le 14 mars 2023 — En 1977, une jeune fille des Prairies, âgée de 12 ans, a écrit une lettre puissante au premier ministre de l'époque, Pierre Elliott Trudeau, le suppliant de faire quelque chose, n'importe quoi, pour mettre fin au meurtre d'enfants dans l'utérus par l'avortement.
La lettre, datée du 16 mars 1977, commence ainsi : « Cher Monsieur le Premier ministre. J'ai 12 ans et je suis en 7e année. J'ai deux frères qui ont 9 et 11 ans. »
« Mes frères et moi sommes très inquiets et préoccupés, et nous aimerions attirer votre attention sur le nombre de bébés à naître qui ont été tués et qui sont en train d'être tués. »
« Vous ne devez pas le savoir, sinon vous auriez fait quelque chose à ce sujet ! »
Cette lettre a été écrite par Lori Mallett de Swift Current, en Saskatchewan.
Jack Mallett, le père de Lori, a récemment envoyé une copie de la lettre à Campaign Life Coalition, racontant à l'organisation pro-vie l'histoire de la vie courte mais marquante de sa fille.
La lettre écrite en 1977 par Lori Mallett au premier ministre Pierre Elliott Trudeau.
Lori avait quatre ans lorsque, en 1969, le dirigeant libéral Pierre Trudeau a décriminalisé l'avortement, ce que les défenseurs de la vie appellent le « jour d'infamie » du Canada. Auparavant, toute personne, y compris la mère, qui avait délibérément l'intention de « provoquer une fausse couche chez une personne de sexe féminin » était « coupable d'un acte criminel » et « passible d'une peine d'emprisonnement à perpétuité ». Pierre Trudeau a supervisé l'adoption d'un projet de loi qui prévoyait des exceptions à la loi, autorisant un médecin à tuer l'enfant à naître d'une femme dans un « hôpital agréé » avec l'approbation préalable d'un « comité d'avortement thérapeutique ».
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Par Jeff Gunnarson — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Campaign Life Coalition
29 avril 2022 (LifeSiteNews) — Le 14 mai 1969 sera pour toujours un jour d’infamie, un jour de honte, un jour d’immense disgrâce pour notre pays bien-aimé. Ce jour-là, il y a 53 ans, le Parlement a voté une loi qui a autorisé le massacre barbare des bébés à naître.
Tuer des bébés dans le ventre de leur mère était auparavant une infraction pénale. À juste titre. Les bébés à naître, comme tout le monde, sont des êtres humains et méritent de bénéficier des droits de l’homme et d’une protection juridique. Les bébés à naître, aussi petits soient-ils, sont des personnes.
Mais le premier ministre de l’époque, Pierre Trudeau, a fait fi de l’humanité des enfants à naître, en donnant à leurs mères le « choix » moralement odieux et méprisable de décider du sort des précieuses vies qui grandissent en elles.
L’avortement est devenu la plus grande violation des droits de l’homme de notre pays. Depuis ce jour d’infamie, l’avortement a tué plus de 4 millions de bébés à naître au Canada, soit environ 100 000 par an.
Il y a vingt-quatre ans, des Canadiens pro-vie, comme vous et moi, ont commencé à défiler dans les rues de la capitale de notre pays. Nous refusions d’ignorer la grave injustice infligée aux membres les plus petits de la famille humaine. Nous avons résolu de faire quelque chose sur la place publique pour mettre fin à la tuerie. Nous avons décidé de prendre position et d’être une voix pour ceux qui sont incapables de prendre position et d’avoir une voix.
Le président fondateur de Campaign Life Coalition, Jim Hughes, a écrit ce qui suit au sujet de notre première marche en 1998 :
« Mais le but de se rassembler à Ottawa ce 14 mai n’est pas seulement de sensibiliser à l’importance historique de l’occasion : plus important encore, le but est aussi d’aider à reconstruire une culture de vie au Canada dès maintenant. La commémoration du 14 mai devrait renouveler la ferveur des pro-vie ordinaires, réveiller les consciences de nos concitoyens canadiens et, surtout, inciter nos dirigeants politiques à voir la vérité et à agir sur la question déterminante de notre époque. »
Hughes a souligné l’importance de la participation des pro-vie de tout le pays à cet événement.
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Par Everyday for Life — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : deagreez/AdobeStock
Avez-vous peur de vous exprimer sur cette « pandémie » et surtout sur les enjeux de cette élection fédérale ? Les grands partis nous ont dit quelle était leur position sur les questions morales, le port du masque, les confinements, les passeports vaccinaux et les mandats. Dans une démocratie, les croyants ne devraient pas s’autocensurer par peur des conséquences. Si c’était la règle, nous n’aurions pas de martyrs chrétiens.
Pourquoi cette peur ? Est-ce la perte d’un emploi bien rémunéré ? De ne pas obtenir une bonne pension ? Le risque d’offenser la famille, les amis et les autres personnes avec lesquelles nous interagissons quotidiennement ?
Cependant, si nous ne nous exprimons pas et ne nous impliquons pas pour défendre ce que nous croyons, d’autres le feront, et ils feront la promotion de choses que nous ne soutenons pas. C’est parce que nous restons de côté que nous en sommes là où nous en sommes aujourd’hui. Où sont les actes des apôtres d’aujourd’hui ? Le silence ne nous mène nulle part en termes de morale solide. Le Canada est déjà une nation anti-chrétienne et anti-vie. La croyance et le culte religieux sont acceptables en privé, mais ne sont plus les bienvenus sur la place publique.
Considérez le projet de loi C-16. Cette loi a modifié la Loi canadienne sur les droits de la personne et le Code criminel. Cette loi non seulement contredit la vision catholique et chrétienne de la personne, mais rend également cette position illégale. Elle ajoute l’identité de genre, l’orientation sexuelle et l’expression de genre à la liste des motifs de discrimination interdits. Cette loi est entrée en vigueur en 2019.
Ensuite, il y a le projet de loi C-14. Cette loi a modifié le Code criminel pour permettre l’aide médicale à mourir. En bref, elle a légalisé l’euthanasie et le suicide assisté par un médecin. Le projet de loi a été adopté en 2016. Plus de 20 000 Canadiens ont été tués intentionnellement depuis que l’euthanasie est devenue légale. Et combien d’autres ont été tués pendant cette « pandémie », sans que nous le sachions ?
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Geneviève de Vriendt, membre de l'équipe de Campagne Québec-Vie.
Par David McLoone — Traduit par Campagne Québec-Vie
27 août 2021, Québec (LifeSiteNews) — Alors que l’héritage catholique du Québec est rapidement oublié et enterré, une jeune femme courageuse de la province a entrepris de restaurer la culture de la foi, de la famille et de la vie dans la région.
Geneviève De Vriendt, une jeune fille de 16 ans passionnée par la vie et la foi, est membre du groupe chrétien pro-vie du Québec, Campagne Québec-Vie, dont la mission est « de construire une société chrétienne qui défend la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle ».
À cette fin, Geneviève De Vriendt a déclaré à LifeSiteNews qu’elle avait entrepris de créer un « bureau permanent de la foi, de la famille et de la vie à Québec », comprenant le personnel et le matériel nécessaires pour promouvoir cette cause dans toute la province.
« Notre plan est de promouvoir un retour à la Foi et à la Vie pour le Québec, en commençant par sa capitale », a-t-elle ajouté.
Le président de Campagne Québec-Vie, Georges Buscemi, a récemment accordé une entrevue au Dr Thomas Ward de l’Académie Jean-Paul II pour la vie humaine et la famille. Buscemi a expliqué dans l’entrevue que le Québec avait autrefois un lieu unique dans l’histoire de l’Amérique du Nord en tant que « microcosme de la chrétienté dans une mer de protestantisme ».
« Des religieux et des religieuses dirigeaient les hôpitaux et les écoles. L’écrasante majorité de la population assistait régulièrement à la messe. Les familles nombreuses de 8, 9, 12 enfants… n’étaient pas du tout rares », a déclaré M. Buscemi.
Cependant, dès le début des années 1960, l’enseignement catholique a subi un coup dur de la part du nouveau gouvernement libéral qui a retiré le système scolaire à l’Église, le sécularisant complètement, a expliqué M. Buscemi. « Pendant ce temps, l’esprit du temps alimenté par les médias dictait que le “Québec était en retard” sur le plan économique, en raison de son style d’éducation catholique/classique. Les Québécois devaient répondre aux “besoins d’aujourd’hui” en devenant plus libéraux et plus avisés sur le plan économique. »
Mais les dégâts causés « par la sécularisation du système éducatif n’ont pu être égalés que par ceux qui se sont produits dans le système de santé », a ajouté M. Buscemi. « Les hôpitaux gérés par l’Église et remplis de religieuses en habit ont rapidement été remplacés par des hôpitaux gérés par l’État. Ceux-ci ont très vite commencé à autoriser les stérilisations et à distribuer des contraceptifs. Le système de santé publique a aussi lancé la création de centres d’avortement. »
Lire la suiteSur les causes de l’effondrement de l’Église au Québec, et sur ce qui la redressera — par Georges Buscemi
Ruines de l'église incendiée Saint-Jean-Baptiste de Morinville en Alberta, à laquelle il a sans doute été mis feu criminellement, peut-être en réaction de la prétendue culpabilité de l'Église dans l'« affaire » des pensionnats autochtones, martelée par les médias et le gouvernement. Évidemment, il s'agit d'une autre province, mais le pays est le même, et le nom, tant de la ville que de l'église, évoque bien le malheureux Québec.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Ce qui suit est un entretien entre le Dr Thomas Ward, président de l’Académie Jean-Paul II pour la vie humaine et la famille (dont l’acronyme anglais est JAHLF) et Georges Buscemi, membre fondateur de l’Académie et président de Campagne Québec-Vie, sur les causes de l’effondrement de l’Église au Québec, autrefois berceau du catholicisme en Amérique du Nord, sur ce qui la redressera au milieu du chaos libéral grandissant.
L’Académie Jean-Paul II pour la vie humaine et la famille a été fondée par des laïcs en 2017 suite au changement radical de l’Académie pontificale Jean-Paul II, et au renvoi consécutif de la quasi-totalité de ses membres conservateurs (dont plusieurs ont participé à la fondation de JAHLF), opéré par le pape François en 2016. JAHLF a pour but de poursuivre les objectifs de l’ancienne Académie Jean-Paul II, ainsi que ceux de l'ancien Institut pontifical Jean-Paul II sur le mariage et la famille déclare, le site internet de JAHLF :
En octobre 2017, la nouvelle Académie Jean-Paul II pour la vie humaine et la famille (JAHLF) a été créée pour poursuivre les mêmes objectifs que l’Académie pontificale pour la vie originelle, fondée en 1994 par saint Jean-Paul II pour l’étude interdisciplinaire sur la vie humaine dans toutes ses étapes et sa défense. Déjà en 1981, le Pape Jean-Paul II avait fondé l’Institut pontifical Jean-Paul II sur le mariage et la famille, pour étudier le berceau de la vie humaine : le mariage et la famille. La JAHLF reprendra l’étude tant de la vie humaine que du mariage et de la famille humaine.
Elle a été fondée par quelques anciens membres de l’Académie pontificale pour la vie, dont un ancien professeur de l’Institut pontifical Jean-Paul II pour le mariage et la famille.
Entretien entre le Dr Thomas Ward, président de l’académie « JAHLF », et Georges Buscemi
TW : Le Québec a eu une merveilleuse histoire d’activité missionnaire à travers le monde. Pouvez-vous expliquer l’effondrement apparent de l’Église au Québec ?
GB : L’effondrement de l’Église au Québec remonte à une période que les historiens appellent « la Révolution tranquille », qui a commencé à la fin des années 50, avec la mort d’un éminent leader de « droite », le Premier ministre de la province, Maurice Duplessis.
Jusqu’à cette époque, le Québec était une anomalie sur le continent nord-américain : un microcosme de la chrétienté dans une mer de protestantisme. Au Québec, l’Église et l’État étaient intimement liés. Des religieux et des religieuses dirigeaient les hôpitaux et les écoles. L’écrasante majorité de la population assistait régulièrement à la messe. Les familles nombreuses de 8, 9, 12 enfants (mon propre professeur de physique venait d’une famille de plus de 20 enfants) n’étaient pas du tout rares. Cependant, la poussée démographique particulièrement intense qui a suivi la Seconde Guerre mondiale a servi de prétexte à l’intervention de l’État dans les écoles et les hôpitaux. On disait qu’il n’y avait pas assez de religieux pour tout le monde. Les laïcs devaient avoir leur heure, évinçant les religieux et les religieuses de ces rôles cruciaux.
Lire la suiteUn dirigeant du mouvement pro-vie britannique avertit le mouvement pro-vie canadien d’éviter leur erreur stratégique
John Smeaton, directeur de la Society for the Protection of Unborn Children (SPUC).
Par Pete Baklinski (Campaign Life Coalition) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pete Baklinski/LifeSiteNews
L’un des chefs pro-vie les plus respectés au monde avertit le mouvement pro-vie canadien de ne pas commettre la même erreur stratégique que lui et d’autres pro-vie ont commise il y a près de 40 ans dans la lutte contre l’avortement au Royaume-Uni.
John Smeaton, directeur de la Society for the Protection of Unborn Children (SPUC), la plus ancienne organisation de campagne et d’éducation pro-vie au monde, a expliqué à Campaign Life Coalition, dans le cadre d’une entrevue exclusive, comment, dans les années 1980, le mouvement pro-vie britannique — dont faisait partie la SPUC — a fait campagne pour la réduction du délai maximal d’avortement de 28 à 18 semaines. Cela a malheureusement entraîné des conséquences tragiques sur les efforts du mouvement pour protéger les bébés à naître.
M. Smeaton, qui est également vice-président de la Fédération internationale du droit à la vie, a expliqué (lire l’entrevue complète ci-dessous) comment de nombreux pro-vie de l’époque avaient espéré qu’une loi sur la gestation contribuerait à réduire le nombre total d’avortements. Au lieu de cela, la loi de 1990 sur la fécondation humaine et l’embryologie, comportait tellement d’exceptions que, selon M. Smeaton, elle a essentiellement augmenté « le délai d’avortement dans presque tous les cas et dans de nombreux cas jusqu’à la naissance. »
« Ce sont les pro-vie qui ont fait pression pour que la loi de 1990 contienne des dispositions relatives à l’avortement, dans l’espoir de pouvoir insérer certaines restrictions, notamment des délais précoces », a déclaré M. Smeaton.
Il explique comment des pro-vie biens intentionnés se sont retrouvés pris au piège.
« Les députés savaient qu’ils ne pourraient pas faire passer les amendements sur les “délais” sans faire d’exception pour permettre à certains bébés d’être avortés au-delà de la “limite” », dit-il. « Le résultat a été une “limite” de 24 semaines (et non les 18 semaines pour lesquelles nous avions fait campagne), mais pour les bébés handicapés, et dans d’autres cas, toutes les limites ont été supprimées ce qui a mené à l’avortement jusqu’à la naissance. C’est un résultat amer, tragique, qui résulte de deux erreurs évidentes, une erreur de tactique et une erreur de principe », a déclaré M. Smeaton.
Lire la suiteIl est temps de repousser cinquante ans de libéralisme : avortement, euthanasie, idéologie du genre, etc.
Photo : Pickpik
Voici un message de Richard Décarie, ex-candidat à la course à la chefferie du Parti conservateur du Canada, en soutien à Derek Sloan candidat à la même course :
Il y a plus de cinquante ans, en 1968, Pierre Elliott Trudeau a présenté une loi pour légaliser l’avortement avec certaines limites.
En 1988, la Cour suprême du Canada a aboli toute limite à l’avortement, légalisant l’avortement sur demande.
Il y a trois ans, en 2017, le gouvernement de Justin Trudeau a légalisé l’utilisation de Mifegymiso pour provoquer des avortements par voie chimique et a présenté le projet de loi C-16 « en vue des expériences des personnes transgenres ».
En mars, le gouvernement de Justin Trudeau a annoncé une loi criminalisant la soi-disant « thérapie de conversion » au Canada.
Les élites libérales des médias et soi-disant « progressistes » de notre Parti souhaitent que des gens comme vous et moi restent silencieux et absents du débat public.
Pour eux, les conservateurs sociaux provie et profamille ne doivent être ni vus ni entendus.
Je pense qu’il est temps que le chef de notre Parti prenne une position ferme en déclarant clairement que « C’est assez ! »
Sans équivoque et sans se dérober.
C’est la raison pour laquelle Derek Sloan se présente comme chef du Parti conservateur du Canada.
Lire la suite28 janvier, jour anniversaire de la décision R. c. Morgentaler qui a décriminalisé l’avortement au Canada
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (côtés flous rajoutés) : Joconde Database/Wikimedia Commons
Aujourd’hui, 28 janvier 2020, c’est le 32e anniversaire de ce triste jour où la Cour suprême du Canada décriminalisa l’avortement.
Le 28 janvier 1988, le tribunal donna raison au Dr Henry Morgentaler, ainsi qu'à ses comparses les Drs Leslie Frank Smoling et Robert Scott (qui pratiquaient tous trois des avortements illégaux), qui « avait soutenu que, aux termes de la Charte canadienne des droits et libertés, le Code criminel limitait la liberté d’une femme. La cour a conclu que la loi n’était pas appliquée de façon égale dans l’ensemble du pays, ce qui allait à l’encontre de la garantie de sécurité de la personne prévue à l’article 7 de la Charte canadienne des droits et libertés », d’après Wikipédia. Et depuis ce jugement, aucune loi n’a été votée par le gouvernement fédéral sur la question de l’avortement, laissant ainsi un vide juridique… abyssal.
L’avortement avait déjà été permis (mais non décriminalisé) sous certaines conditions (comme toujours) plutôt laxistes en 1969 par l’adoption du projet de loi omnibus libéral C-195, laissant se perpétrer quelque 11 152 avortements impunément pour la seule année 1970. C’est à Pierre-Elliot Trudeau, défunt ex-Premier ministre du Canada et père de l’actuel, que nous devons ce projet de loi néfaste, alors qu’il était ministre de la Santé ; tout comme nous lui devons cette douteuse Charte canadienne des droits et libertés.
Après le jugement R. c. Morgentaler de 1969, suivit celui de 1989, Tremblay c. Daigle, toujours pondu par la même catastrophique Cour suprême, ôtant tout droit à l'enfant à naître et au père de celui-ci.
Aujourd’hui, l’on compte environ 100 000 avortements par année au Canada, dont 30 000 au Québec, autant d’enfants à naître assassinés.
Ce jour devrait être un jour de deuil national
Des Canadiens protestent contre la piastre célébrant la décriminalisation des actes homosexuels
Des membres de CitizenGO protestant contre le « huard gai » devant l'Hôtel royal canadien de la Monnaie, à Ottawa, le 12 avril 2019.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : CitizenGo/Facebook
Le gouvernement canadien, ayant à sa tête Justin Trudeau (digne fils de son père), émettra bientôt des piastres « gaies » représentant sur le côté pile un duo d’homosexuels. Le pauvre huard sera remplacé sur ces pièces par une face (composée de deux faces) créant ainsi le un dollar à deux faces… De l’argent bien menteur.
Des Canadiens ont protesté le 12 avril devant l’Hôtel de la Monnaie royale à Ottawa pour montrer leur désaccord avec cette propagande LGBT et la honte que représente la piastre « gaie » pour notre pays. Extrait de LifeSiteNews :
Les Canadiens ont manifesté à Ottawa le 12 avril, devant l’Hôtel de la Monnaie royale contre une nouvelle pièce de monnaie qui sera émise au cours des prochaines semaines pour commémorer la décriminalisation des actes sexuels homosexuels.
L’organisateur CitizenGO a publié le 11 avril une déclaration dans laquelle il annonçait avoir recueilli plus de 48 000 signatures à l’appui de sa « demande à l’Hôtel de la Monnaie d’annuler l’émission de cette pièce de un dollar ». Au milieu de l’après-midi le 12 avril, cependant, plus de 49 563 personnes avaient signé.
[...]
Le gouvernement actuel, dirigé par Justin Trudeau, a approuvé la pièce le 14 décembre 2018.
Selon la Radio-Canada, le dessin est un « .... représentation stylisée de deux visages humains se chevauchant dans un grand cercle, la moitié gauche de la face gauche vue de face et la face droite de profil à gauche, les deux faces formant un visage entier vu de face composé de deux yeux avec sourcils, un nez, une bouche et deux oreilles avec une petite boucle à l’oreille gauche... »
Il est entendu que les deux visages humains appartiennent à un « couple »* du même sexe.
La pièce mettra aussi en valeur l’année « 1969 », lorsque les actes homosexuels privés ont été décriminalisés par le gouvernement dirigé par le père de Trudeau, Pierre Trudeau, et « 2019 ».
Le mot « égalité » en français et en anglais sera
inclus, de même que les initiales de l’artiste, actuellement connues sous l’acronyme « RA »
*Parenthèses rajoutées — A. H.