Premier passeport américain avec la mention « X »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (modifiée) : Freepik
Les États-Unis ont délivré le premier passeport ayant pour toute indication de sexe la mention « X » pour ceux qui ne se reconnaissent pas comme homme ou femme (quelle époque…), rapporte Gènéthique :
Mercredi 27 octobre, aux Etats-Unis, le premier passeport indiquant le genre « X » a été délivré à une personne qui ne se reconnaît pas dans les choix traditionnels « masculin » ou « féminin ». Ned Price, le porte-parole du département américain a expliqué que cette troisième case a été ajoutée à ce document officiel, « une case X pour les personnes non binaires, intersexes » et plus largement celles qui ne se reconnaissent pas dans les critères de genre proposés jusque-là ».
Le 1er « non-binaire » officiel des États-Unis récupère son identité masculine légale
James Clifford Shupe.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (côtés flous rajoutés) : Jamie Shupe/Wikimedia Commons
Le premier Américain à se faire reconnaître officiellement comme « non-binaire » aux États-Unis a repris son identité première, véritable et légale, la veille de Noël. James Shupe, qui avait d’abord voulu être femme il y a quatre ans, puis s’était fait reconnaître par un juge d’Oregon comme « non-binaire », pour réaliser ensuite la profondeur des erreurs qu’il avait commises, à causes des problèmes mentaux qui le tenait à l’époque de sa « transition », et pour enfin recouvrer son identité masculine légale. Quand il se disait « non-binaire » il voulait même qu’on l’appelle « Jamie ». Selon CBN News :
L'Américain, qui s'était identifié auparavant comme transsexuel et qui a été le premier à obtenir le statut de non binaire aux yeux de la loi, dit qu'il a fait une erreur.
Jamie Shupe, un vétéran de l'armée américaine à la retraite, avait fait la une des journaux il y a quatre ans lorsqu'il raconta son passage [fictif]¹ d'homme à femme dans le New York Times. Un an plus tard, Shupe se présenta devant un juge d'Oregon qui accepta de le laisser s'identifier selon un troisième sexe, ni homme ni femme.
Basic Rights Oregon proclama alors que c'était « un jour important pour les Orégoniens non-binaires. »
Maintenant, Shupe, qui est né homme [qui donc a toujours été homme]², dit qu'il regrette ce qu'il a fait et que c'était une profonde erreur. À la veille de Noël, un juge d'Oregon lui redonna son sexe masculin légal et son nom, James Shupe. Il a également reçu depuis peu un nouveau permis de conduire pour faire valoir son identité retrouvée.
Shupe a déclaré lundi au journal The Star-Banner d'Ocala, en Floride, qu'il attribue son erreur à la maladie mentale, mais aussi au système de santé mentale actuel.
Car les praticiens, les thérapeutes, les infirmières et autres craignent de se faire accuser de discrimination, de transphobie, etc. :
M. Shupe dit que la communauté médicale est tellement effrayée par l'activisme transgenre, que les infirmières, les médecins et même les thérapeutes craignent beaucoup de dire non à un patient.
Il explique que les professionnels de la santé « ignoraient que je souffrais de trouble de stress post-traumatique chronique, ayant servi dans l'armée pendant près de 18 ans ». Tous mes médecins sont d'accord là-dessus. D'autres croient que j'ai un trouble bipolaire et peut-être un trouble de la personnalité limite ».
¹Fictif puisqu'il est impossible de changer de sexe.
²Commentaire d'A. H.
L’Office québécois de la langue française dérange… euh… dégénère... ah oui ! «dégenre» le français
Billet de blogue d’augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : jcomp/freepik
L’Office québécois de la langue française (OQLF), créé en 1961 par le gouvernement du Québec, est un organisme chargé de veiller à la pureté de la langue française, spécialement devant l’insidieuse langue anglaise qui a par trop la tendance à s’infiltrer dans le langage courant. L’on doit quelques heureuses inventions à cet organisme, comme « courriel » pour le néologisme anglait « email ».
Mais, comme l’explique Denise Bombardier dans Le Journal de Montréal :
Or sous la pression du lobby LGBTQ+, l’OQLF s’est fait piéger […] mine de rien, l’OQLF a décidé de se plier aux exigences du lobby LGBTQ+ en dégenrant le français. C’est ainsi qu’il cautionne toutes les théories non scientifiques opposant sexe et genre, comme on le fait dans les pays anglo-saxons.
Il faut dire que la Chambre de commerce LGBT du Québec (qu’est-ce que c’est que ça !), soutenue financièrement par l’OQLF, s’est incrustée dans l’Office et est parvenue à amener celui-ci à introduire des mots neutres qui ne sont en fait que des combinaisons androgynes… monstrueuses, au détriment du masculin et du féminin, seuls genres du français.
Mme Bombardier note donc :
Ainsi l’OQLF approuve-t-il en quelque sorte la rédaction bigenrée en proposant l’usage de termes qui combinent le masculin et le féminin. Par exemple, pour remplacer les mots frère et sœur, il propose frœur ou freureen et tancle pour désigner tante ou oncle. Ne reculant devant aucun obstacle ou aucune absurdité, l’OQLF suggère aussi qu’on remplace les pronoms ceux et celles par ceuzes et celleux et ils et elles par yels ou illes.
« frœur » et « freureen », je ne sais à quel sabir ces « mots » sont supposés ressembler, mais certainement pas à la langue française. Ne fût-ce que pour la violence qui est faite au français par cette mutation artificielle, français qui cessera bientôt de l’être, ces ajouts sont inacceptables, sans compter le côté idéologique qui se cache derrière…
Mme Bombardier souligne la participation active de l’UQUAM dans cette neutralisation du français (j’y mets ici les deux significations du mot) depuis des années. Et c’est sous l’œil bienveillant du gouvernement (tant) fédéral (que provincial) que la dénaturation s’accomplit :
Le gouvernement Trudeau est exemplaire en faisant preuve d’une tolérance sans réserve quant aux exigences transgenres. Le passeport canadien offre désormais trois options : homme, femme ou autre.
Quoi qu'il en soit, ressortez vos vieilles grammaires, car maintenant les organismes supposés préserver le français le détruise.
Crash mental : Air Canada abandonne «Mesdames, messieurs» !
Par Antoine Béllion (Avenir de la Culture) — Photo : Bill Abbott
La dictature LGBT se sent pousser des ailes au Canada et c’est tout le pays qui entre en zone de turbulences dans son sillage… Dernier exemple en date : la compagnie Air Canada a annoncé qu’elle supprimait la formulation « Mesdames, messieurs » à bord de ses appareils afin de ne pas offenser les personnes qui ont choisi le genre « X » — comprenez : « ni homme ni femme » — désormais reconnu par l’état civil canadien.
« On est en 2019, tout le monde a le droit de se sentir bien dans sa peau et de ne pas vouloir se faire appeler Monsieur ou Madame », tente de justifier une hôtesse de la compagnie nationale. Oui, en 2019, au Canada, il y a les hommes, les femmes et les « X » ! II ne faudrait surtout pas que ces derniers se sentent discriminés !
Le personnel navigant devra donc s’adapter à la novlangue et utiliser des expressions « non genrées » comme « tout le monde ». Selon un communiqué interne consulté par le quotidien québécois La Presse, « le changement se reflétera prochainement dans la transmission de l’Onboard Announcement Manual [l’annonce faite à bord de l’avion, NDLR] dans le cadre de notre engagement de respecter l’identité sexuelle, la diversité et l’inclusion ».
Le métro de Londres a fait de même en 2017, en congédiant la formule « ladies and gentlemen ». Au Canada, on peut aussi indiquer le sexe neutre sur son passeport. Au Québec, il n’est plus nécessaire d’avoir une opération de changement de sexe pour changer son identité sexuelle à l’état civil.
Interrogés par La Presse, des membres d’Air Canada affirment que le personnel navigant aura besoin de temps pour changer ses habitudes. « Certains n’aiment pas le changement. Il y a des gens habitués à faire la même annonce depuis 30 ans, il y aura donc une période d’adaptation pour eux », explique ainsi une hôtesse de l’air. Et après cette période de tolérance, une période de rééducation ? Il serait temps que les Canadiens débarquent Justin Trudeau et reprennent un peu d’altitude, car le crash mental n’est pas loin…
La Nouvelle-Écosse cède à la pression LGBT : permis de conduire neutre
Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : The Globe and Mail/Voici la source de la photo : PxHere
Les Néo-Écossais n’ont plus à indiquer leur sexe sur leur permis de conduire et leur carte d’identité avec photo.
Le gouvernement de la Nouvelle-Écosse vient d’annoncer que ses résidents qui refusent de s’identifier comme homme ou femme auront dorénavant la possibilité d’apposer un « X » ou de taire leur sexe sur leur permis de conduire et leur carte d’identité avec photo. Cette province maritime rejoint donc dans cette démarche l’Ontario, la Saskatchewan, l’Alberta, Terre-Neuve-Labrador, le Nouveau-Brunswick, le Yukon et les Territoires du Nord-Ouest.
Cette politique n’est que la seconde étape dans le processus de reconnaissance des transgenres en Nouvelle-Écosse, car depuis septembre, les Néo-Écossais peuvent apposer un « X » sur leur certificat de naissance plutôt que d’indiquer « homme » ou « femme ».
Notons également que ces derniers auront maintenant le loisir de retirer la mention de leur sexe sur leur carte d’assurance maladie, tandis que les résidents nés à l’extérieur de la Nouvelle-Écosse ont maintenant accès à des services leur permettant de supprimer cette information.
D’après la ministre provinciale des Services internes, Patricia Arab, ces mesures visent à refléter la « diversité » de la population, ajoutant que le gouvernement avait été influencé par des personnes qui soutenaient que les vieux documents ne reflétaient pas leur « identité ».
« L’une des priorités de notre gouvernement est de s’assurer que nous sommes aussi inclusifs et diversifiés que possible, et de faire en sorte que les résidents se sentent en sécurité et qu’ils ont une place ici », a lancé Mme Arab avant d’ajouter « qu’il ne s’agissait pas de la dernière étape de la discussion ».
La 1ère personne reconnue non-binaire aux États-Unis reconnaît qu’il est un homme et avoue qu’il avait des problèmes mentaux
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (modifiée) : TeroVesalainen/Pixabay — Mise à jour : 10 janvier 2020
La première personne aux États-Unis à s’être fait reconnaître non-binaire par un tribunal avoue maintenant que ses décisions étaient prises sous l’impulsion de ses problèmes mentaux. Cet homme qui pendant un temps croyait être une femme, après une grave crise mentale, puis, ne se croyant plus femme, voulait être reconnu comme non-binaire. Dernièrement, il a voulu revenir à son statut d’homme, qu’il a d’ailleurs toujours été.
James Shupe (Jamie étant son nom de « non-binaire ») explique lui-même qu’il souffrait de stress post-traumatique, ayant servi dans l’armée pendant 18 ans, qu’il a été agressé sexuellement par un homme de sa famille pendant sa jeunesse, qu’il a été influencé par de la propagande transgenre en ligne, qu’il a regardé de la pornographie durant des années, et que des médecins pensaient qu’il avait un trouble bipolaire ou un trouble de la personnalité. Il nous fait donc comprendre que ces sentiments d’être ou autre n’étaient dusqu’à ses problèmes mentaux.
Tous les médecins, infirmières, thérapeutes, sauf un, et juges l’ont confirmé dans la voie du transgenrisme, craignant pour le moins les groupes de pression LGBT. Extrait de Contre info :
Lorsque le fantasme d’être une femme a pris fin, j’ai demandé à deux de mes médecins de me permettre de devenir non binaire au lieu d’être une femme pour me sortir de l’ordinaire. Les deux ont accepté facilement. Après m’avoir rempli d’hormones — l’équivalent de 20 pilules contraceptives par jour — ils ont chacun écrit une lettre de changement de sexe. (…) Pour échapper à l’illusion d’être devenu une femme, j’ai fait quelque chose de tout à fait sans précédent dans l’histoire américaine. En 2016, j’ai convaincu un juge de l’Orégon de déclarer mon sexe non binaire — ni homme ni femme (…) La décision historique du tribunal m’a catapulté vers une renommée instantanée au sein de la communauté LGBT. Dix jours après, les médias ne m’ont pas laissé dormir (…) Devenir une femme m’avait fait entrer dans le New York Times. Convaincre un juge que mon sexe n’était pas binaire, mes photos et mon histoire ont été publiées dans des publications du monde entier. Puis, avant même que l’encre du juge n’ait séché sur sa décision de justice en Orégon, un organisme d’aide juridique LGBT basé à Washington DC m’a contacté. « Nous voulons vous aider à changer votre certificat de naissance », ont-ils proposé. En quelques mois, j’ai remporté une autre victoire historique après que le Department of Vital Records m’ait délivré un tout nouvel acte de naissance de Washington DC, où je suis né. Un groupe local, Whitman-Walker Health, a fait passer mon statut de sexe sur mon acte de naissance en « inconnu ». C’était la première fois dans l’histoire des actes de naissance qu’un acte de naissance était imprimé avec une mention autre qu'homme ou femme.
(…)
Ce n’est que lorsque j’ai dénoncé en 2017 la stérilisation et la mutilation d’enfants et de militaires transgenres que les organisations LGBT ont cessé de m’aider. La plupart des médias se sont retirés avec eux. Du jour au lendemain, je suis passé d’un libéral chéri à un paria conservateur.
[…]
(…) Je n’ai aucun trouble de développement sexuel. Toute ma confusion sexuelle était dans ma tête. J’aurais dû être soigné. Au lieu de cela, à chaque étape, des médecins, des juges et des groupes de défense des droits se sont livrés à ma fiction.
Genre neutre sur les permis : au tour de la Saskatchewan de céder devant les groupes de pression transgenre
Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Global News et The Globe and Mail/Voici la source de la photo : Pixnio
Les résidents de cette province canadienne n’auront plus à indiquer leur sexe sur leur permis de conduire.
À partir de maintenant, les personnes vivant en Saskatchewan n’auront plus à indiquer leur sexe sur leur permis de conduire. Ce serait par souci de se montrer plus « inclusive », nous dit-on, que la Saskatchewan Government Insurance (SGI), soit la société d’État qui délivre les permis de conduire dans cette province, aurait pris cette décision.
« Nous reconnaissons que certains de nos clients espèrent éviter de s’identifier en tant que femme, homme ou n’importe quel genre sur leurs pièces d’identité » a déclaré la porte-parole de l’organisation Penny McCune. Elle a ajouté que « les clients avaient maintenant la flexibilité de désigner leur sexe sur leur pièce d’identité avec un F ou un M, ou encore de choisir une option non sexuée en inscrivant un X ».
La Saskatchewan rejoint ainsi l’Alberta, l’Ontario, et Terre-Neuve-et-Labrador, trois autres provinces canadiennes qui autorisent également les résidents à ne pas indiquer leur genre sur leur permis de conduire. Rappelons d’ailleurs qu’un tribunal de la Saskatchewan avait forcé le gouvernement provincial en mai dernier à permettre aux personnes nées sur son territoire de retirer le genre de leur certificat de naissance.