Des milliers de rapports de problèmes reproductifs suite aux vaccins covid-19, dont des fausses couches et des mortinaissances
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (modifiée) : Rawpixel.com/AdobeStock
La compagnie Pfizer, lors du lancement de son vaccin covid-19, avait émis des avertissements à son sujet comme quoi il était déconseillé pour les femmes enceintes. Plusieurs scientifiques, de leur côté, ont mis en garde les gouvernements et les populations contre les possibles effets secondaires graves de ces vaccins, dont la stérilisation pouvant résulter des particularités de la protéine de la spicule (spike) du covid-19 qu’on cherche à faire produire par le corps avec les vaccins à ARNm ou à injecter avec les vaccins plus « classiques ». Maintenant on dénombre des chiffres troublants de problèmes procréatifs suite à l’injection du vaccin de Pfizer ou d’AstraZeneca en Grande-Bretagne, principalement chez les femmes, mais aussi chez les hommes. Selon LifeSiteNews :
Des milliers de femmes dans le monde signalent des cycles menstruels perturbés après avoir s’être fait injecter un des vaccins covid-19.
Le système gouvernemental britannique de notification des effets indésirables des vaccins a recueilli plus de 2 200 rapports de troubles procréatifs après avoir reçu une injection de vaccin coronavirus, notamment saignements menstruels excessifs ou absents, retards de menstruation, hémorragies vaginales, fausses couches et mortinaissances.
Au Royaume-Uni, le système de signalement des événements indésirables Yellow Card comprend 2 233 rapports de « troubles de la reproduction et du sein » après administration des vaccins AstraZeneca et Pfizer.
Le programme britannique Yellow Card fait état le 5 avril de 1 465 réactions concernant l’appareil reproducteur ainsi que de dix-neuf « avortements spontanés » (fausses couches), de cinq accouchements prématurés et de deux mortinaissances en rapport avec le vaccin AstraZeneca.
[…]
768 autres cas de « troubles de la reproduction et du sein » ont été signalés pour le vaccin coronavirus de Pfizer au Royaume-Uni, ainsi que quarante-deux « avortements spontanés », cinq accouchements prématurés et deux mortinaissances.
Une centaine de femmes — dont Wanda Półtawska, amie de Jean-Paul II — appellent au rejet des vaccins «souillés» par l’avortement
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) ― Photo : Freepik
Un groupe international de près de cent femmes — médecins, religieuses consacrées et responsables et militantes pro-vie — ont lancé un appel aux chrétiens et à toutes les personnes de bonne volonté pour que l’on cesse de justifier moralement l’utilisation de vaccins « souillés par l’avortement », c’est-à-dire ayant recours pour leur développement, leur production ou leur contrôle à des lignées de cellules provenant de bébés avortés. La déclaration, que j’ai moi-même eu l’honneur de signer, souligne que le fait de ne pas s’opposer à cette pratique alimente et fait avancer la culture de la mort à travers le trafic et l’exploitation de bébés avortés à des fins d’expérimentation médicale.
Sa publication initiale en anglais a été faite par le vaticaniste Edward Pentin.
Parmi les signataires, originaires de 25 pays de par le monde, figure le docteur Wanda Półtawska [...], médecin polonais centenaire, amie personnelle de feu le pape Jean-Paul II et victime d’expériences pseudo-médicales menées par le médecin personnel d’Adolf Hitler dans le camp de concentration nazi de Ravensbrück. Le Dr Półtawska, également spécialiste en psychiatrie, aujourd’hui âgée de 100 ans, a consacré ces 70 dernières années à œuvrer pour la vie et pour la famille.
On notera aussi la présence, parmi les signataires, de trois anciens membres de l’Académie pontificale pour la vie : le Dr Pilar Calva (Mexique), Mercedes Wilson de Arzu (Guatemala) et Christine de Marcellus Vollmer (Venezuela). Ainsi que de l’Allemande Gabriele Kuby, amie de Benoît XVI.
Parmi les autres signataires figure Abby Johnson, une militante américaine anti-avortement qui a travaillé comme directrice de clinique pour Planned Parenthood jusqu’en 2009, et dont les mémoires ont servi de scénario pour le film Unplanned de 2019 ; et sœur Deirdre Byrne, ancienne chirurgienne générale militaire et ancienne missionnaire qui a servi au Kenya, en Afghanistan, en Haïti, en Irak et au Soudan, et dont la prise de position en faveur des enfants à naître a attiré l’attention de la nation américaine en août 2020.
L’opposition aux vaccins développés ou produits au moyen de cellules fœtales obtenues lors d’avortements a déjà suscité la controverse en France et ailleurs, autour de la question de savoir si le recours aux vaccins constitue une coopération au mal, et à quel degré. Le pape et les instances vaticanes ont implicitement ou ouvertement rejeté cette opposition en allant jusqu’à dire que la réception du vaccin constitue un devoir de charité pour le catholique.
Lire la suiteLe Père Peter Lang : l’immoralité des vaccins covid-19 développés sur des lignées cellulaires de bébés avortés
Par Fabien Laurent (Médias Presse Info) ― Photo : Rawpixel
Voici une intéressante analyse écrite par le Père Peter Lang, reprenant nombres d’avis émis notamment par des évêques et des cardinaux comme le cardinal Burke, Mgr Schneider, Mgr Viganò sur l’illicéité des vaccins développés sur des lignées cellulaires issues de bébés avortés, rassemblant plusieurs avertissements lancés par des scientifiques sur les dangers des vaccins covid-19 développés hâtivement et comprenant des technologies inusitées. J’émettrais toutefois quelques réserves sur l’importance à attacher, dans le présent jugement moral, du possible futur marquage inclus dans les vaccins covid-19 (puisque ce n'est pas le cas maintenant). Je ne suis pas certain qu’il faille forcément parler des vaccins covid-19 liés à l’avortement comme étant une sorte de « marque de la Bête » ; cependant, il est éminemment vrai que recevoir de tels vaccins est hautement immoral. C’est pourquoi je propose à votre lecture le présent article. ― A. H.
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Au milieu des mensonges et de la peur, des pressions et des intérêts personnels et financiers pour certains, voici une démonstration claire et étayée des motifs qui interdiraient à tout catholique la prise du « vaccin » contre la Covid-19. Et notre lecteur le constatera par lui-même : il ne s’agit pas ici d’une simple opinion personnelle, mais bien d’un jugement réfléchi et objectif.
Nous remercions vivement M. l’Abbé Peter Lang (1) pour sa participation à ce débat, à son honnêteté intellectuelle et à son courage [Traduction de l’allemand par le correspondant de MPI en Suisse alémanique].
(1) [Ex-]Econome en poste dans le District d’Allemagne de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X [Priorat St. Athanasius, Stuttgarter Str. 24 70469 STUTTGART FEUERBACH].
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Le vaccin contre la Covid-19 : un programme satanique ?
Les médias et les politiciens ne cessent de nous répéter, à travers une propagande massive, constante et savamment orchestrée, qu’il n’y aurait d’autre alternative contre le « Coronavirus 2019 » (Covid-19 ; SARS-CoV-2) que le vaccin. Ces derniers sont unanimes : seule la vaccination de l’ensemble de la population mondiale sera à même de garantir à l’avenir la santé et la prospérité générale. Mais est-ce vrai ? Bien sûr que non. Et même l’OMS nous avertit : « Le vaccin ne ramènera pas l’ancienne normalité » [1]. Néanmoins, partout à travers le monde, les programmes de vaccination se mettent en place. C’est pourquoi, face à toutes ces contradictions, il est de notre devoir, en tant que catholiques, de nous interroger : quels jugements devons-nous porter sur ces faits couverts par de nombreuses zones d’ombre ?
I — Remarques préliminaires
- Il conviendrait idéalement de développer la question du vaccin de façon générale, or cela nécessiterait toute une étude qui nous éloignerait du cœur de ce dont il est question ici.
- En 2005, c’était la grippe aviaire, en 2009 la grippe porcine [2], en 2014 le virus Ebola [3] et en 2016, le virus Zika [4], qui furent systématiquement présentés comme très dangereux et face auxquels la vaccination fut proposée comme étant la solution ultime, le remède miracle pour maîtriser leur propagation. Ainsi, certains gouvernements ont-ils commandé des millions de doses de vaccins, qui furent toutefois détruites par la suite [5].
- En parallèle, le mensonge du réchauffement climatique (à savoir que le CO2, qui ne représente guère plus de 0,39 % de l’atmosphère, en serait seul responsable) se propageait à travers la face de la terre.
- Une simple analyse objective agrémentée d’un peu de bon sens montre que les mensonges se succèdent les uns après les autres : ne perdons pas de vue cet état de fait lorsque nous appréhendons la question de la Covid-19. Restons donc toujours prudents face à ce qui nous est présenté comme sans alternative par les hautes sphères politiques mondiales et nationales, tout particulièrement lorsqu’elles se mettent à évoquer un « salut de l’humanité » par le vaccin contre la Covid-19.
Une étude dévoile les possibles risques d’infertilité liés aux vaccins covid
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) ― Photo : Boris Gonzales/Pixabay
Des voix scientifiques s’élèvent contre les vaccins anti-covid insuffisamment testés et aux conséquences à moyen et long termes inconnues. Sont pointés du doigt également des probables risques d’infertilité. Une nouvelle étude argentine jette des ombres et des doutes sur cette question. La protéine spike est similaire à la protéine syncytine, qui est produite pour le développement du placenta.
Depuis la première annonce des vaccins anti Covid, des voix se sont fait entendre dans la communauté scientifique appelant à prêter attention aux éventuels problèmes concernant la fertilité que les vaccinés pourraient subir. Bien sûr, ces voix ont été immédiatement étouffées par la propagande pro-vaccin habituelle qui ne peut même pas admettre à distance que les vaccins ne sont pas la panacée face à la covid comme à d’autres maux.
Et même si de nombreuses personnes pensent qu’en fait il est un peu curieux qu’un vaccin puisse avoir pour effet de rendre les hommes ou les femmes stériles, ce ne serait pourtant pas la première fois qu’à travers la pratique de la vaccination de masse de vraies mesures malthusiennes sont mises en place pour contrôler les naissances.
Lire la suite« Le cas le plus célèbre, pour ceux qui ont la mémoire courte, a eu lieu en Afrique et a été déterré en février 2015, rappelle un journaliste qui s’intéresse de cette question, Paolo Gulisano. La Conférence épiscopale du Kenya a dénoncé que 30 % des flacons de vaccin antitétanique utilisés lors d’une campagne parrainée et promue par l’OMS et l’Unicef, l’année précédente, contenait du Hcg, l’hormone gonadotrophine chorionique humaine, une hormone qui peut empêcher la grossesse [lorsqu'administrée sous la forme d'un vaccin*]. Les faits ont été mis au jour par une commission scientifique, mandatée par l’Église du Kenya et le ministère kényan de la Santé pour vérifier si dans les vaccins contre le tétanos maternel et néonatal utilisés durant la campagne était présente cette hormone capable de faire de ces vaccins un outil clandestin de régulation des naissances. La commission d’enquête a confirmé les faits, mais l’OMS et l’Unicef n’ont jamais répondu de ces responsabilités. »
Peut-on se fier aux vaccins covid ?
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : presfoto/Freepik
C’est une question que nous devrions nous poser avec au moins le même sérieux (pour ne pas dire paranoïa) que celui qui est accordé à la suprême dangerosité du covid-19.
Ah ! le covid-19 ! On lui prête toutes les capacités de contagiosité, de morbidité, de persistance, d’indétectabilité au simple citoyen asymptomatique mais de visibilité ― tel un éléphant dans un couloir ― pour le test PCR. N’échappe-t-il pas à la règle générale de l’immunité collective ? Seul un vaccin peut nous sauver…
N’y a-t-il pas d’autres remèdes, peu coûteux, simples, relativement inoffensifs, enfin, efficaces ? Non, les vieux remèdes, qui, s’ils ne soignent ou ne préviennent pas forcément la maladie mais sont du moins assez peu dangereux et bien connus, doivent suivre le chemin de la prudence extrême, de la suspicion sans pareille et du dénigrement par défaut : hydroxichloroquine, azytromycine, plitidepsine, ivermectine, etc.
L’honnêteté intellectuelle exigerait que l’on appliquât les mêmes critères aux vaccins covid… du moins la logique demanderait que l’on applique la même malhonnêteté intellectuelle à ces derniers que pour les médicaments précités. Après tout, ces vaccins sont des nouveaux venus, peu testés, à l’efficacité non garantie et aux effets secondaires inconnus.
Le même mode de pensée devrait également s’appliquer à toutes mesures proposées ou en œuvre, que décrètent dictatorialement les gouvernements du haut de leur trône démocratique, quant à leurs effets secondaires et leur efficacité (contre quoi d’ailleurs ?).
Mais il serait plus simple de regarder objectivement les faits relatifs au covid-19, les remèdes évoqués, les vaccins et les mesures « sanitaires » en général.
C’est pourquoi je propose à votre attention un texte de Rod Taylor, chef du Parti de l’Héritage Chrétien du Canada, sur la fiabilité des vaccins covid-19 en cours d’application dans le monde entier.
Lire la suiteLes vaccins covid-19 et l’utilisation de cellules problématiques, prélevées sur des bébés avortés, pour leur développement
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) ― Photo (rognée) : Freepik
Voici un article complémentaire de Pamela Acker, où elle fournit ses source. ― A. H.
Je vous propose ci-dessous ma traduction intégrale, à quelques détails près, de la transcription de l’entretien réalisé par John-Henry Westen de LifeSiteNews avec Pamela Acker, spécialiste des questions vaccinales. Cette jeune femme, remarquablement structurée dans sa tête, apporte des réponses claires et pertinentes sur la dangerosité et les risques de différents vaccins COVID, de leur mode d’élaboration et de leurs effets secondaires insuffisamment connus sur la durée.
Surtout, elle évoque la question de l’utilisation de cellules fœtales obtenues à partir d’avortement (et pas qu’un seul !), à la fois dans la phase de développement et de contrôle qualité, que dans le vaccin lui-même, s’agissant des vaccins développés par Astra Zeneca et Johnson & Johnson.
Est-il moral d’avoir recours à ces vaccins ? C’est une question sur laquelle je reviendrai dans les jours à venir, notamment avec le concours de Mgr Athanasius Schneider qui rejette les arguments de ceux qui n’y voient qu’une très, très lointaine coopération au mal.
Chose à laquelle on ne pense pas souvent dans ce dossier, ce n’est pas un bébé qui a été avorté pour obtenir ces précieuses cellules, mais plusieurs centaines ; les prélèvements ont été faits dans certains cas dans des conditions d’une affreuse cruauté ; l’utilisation des lignées de cellules embryonnaires prospère, notamment parce que personne n’exige des vaccins « éthiques ».
Je vous laisse découvrir ce passionnant entretien, dont la vidéo a été censurée par YouTube. Elle est actuellement disponible sur Rumble (pour voir la vidéo, cliquez ici). La retranscription anglaise est ici. Il est long, mais c’est un document qui doit faire partie du débat. – J.S.
Lire la suiteLe Canada a approuvé le « vaccin » Covid-19 à ARNm de Pfizer, testé sur une lignée cellulaire issue d’un bébé avorté
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik
L’agence gouvernementale Santé Canada a récemment approuvé le vaccin Covid-19 à ARNm BNT162b2 de Pfizer-BioNTech, le même que celui qu’on a commencé à employer en Grande-Bretagne, il a été notamment testé sur la lignée cellulaire HEK293 issue d’un bébé avorté, rapporte LifeSiteNews :
Le Canada a approuvé le vaccin COVID-19 de Pfizer-BioNTech, qui a été testé sur des cellules provenant d’un bébé avorté, a annoncé mercredi Santé Canada.
Children of God for Life rapporte que, bien que le vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 n’ait pas été développé à partir d’une lignée cellulaire provenant d’un bébé avorté, il a été testé — c’est-à-dire testé lors de la phase laboratoire sur des tissus cellulaires pour en vérifier la qualité — à l’aide de la lignée cellulaire HEK-293, qui provient d’un bébé avorté.
« Les données fournies confirment favorablement l’efficacité du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 ainsi que son innocuité », a déclaré l’agence gouvernementale dans son rapport autorisant son utilisation au Canada.
« Le vaccin est approuvé pour les personnes âgées de 16 ans et plus. Son innocuité et son efficacité chez les personnes de moins de 16 ans n’ont pas encore été établies », indique le rapport.
Le Premier ministre Justin Trudeau a déclaré lundi que jusqu’à 249 000 doses de ce vaccin administré en deux doses seront disponibles d’ici la fin de l’année, rapporte CBC. Il a déclaré que les vaccins sont principalement destinés aux résidents des maisons de soins de longue durée et au personnel.
Le Canada est prêt à recevoir jusqu’à 249 000 doses ce mois-ci, et 4 millions de doses du vaccin d’ici mars, selon l’Associated Press. Le gouvernement canadien a acheté 20 millions de doses de vaccin, et il a la possibilité d’en acheter 56 millions de plus.
Le fait que ce vaccin ait été testé avec la lignée HEK293 représente un obstacle à la réception dudit vaccin, puisqu’il emploie un moyen découlant d’un acte intrinsèquement immoral ― l’avortement ― dans le processus de fabrication du vaccin, ce qui relève de toute obligation morale d’accepter un tel produit, dût-il vous sauver la vie.
D’autre part, Santé Canada indiquent déjà des restrictions à l’administration du vaccin de Pfizer, deux réactions allergiques sévères ayant été constatées en Grande-Bretagne où l’on a commencé à utiliser le vaccin en question, selon un autre article de LifeSiteNews :
Santé Canada avertit les Canadiens d’éviter le vaccin COVID-19 nouvellement approuvé, créé par Pfizer-BioNTech, s’ils sont allergiques à l’un de ses ingrédients après que des réactions allergiques aient été signalées au Royaume-Uni.
« Les personnes ayant des allergies à l’un des ingrédients du vaccin contre la COVID-19 de Pfizer-BioNTech ne devraient pas le recevoir », avertit le ministère de la Santé du gouvernement du Canada dans un communiqué le 12 décembre.
« Parlez à votre professionnel de la santé de toute allergie grave ou de tout autre problème de santé que vous pourriez avoir avant de recevoir ce vaccin », ajoute-t-il.
Santé Canada rapporte que deux personnes au Royaume-Uni ont déclaré « des réactions allergiques graves au vaccin contre la COVID-19 de Pfizer-BioNTech le 8 décembre 2020 ».
« Santé Canada a fait un suivi des deux signalements de réactions anaphylactoïdes au vaccin contre la COVID-19 de Pfizer‑BioNTech au Royaume-Uni. Ces réactions sont survenues le 8 décembre 2020. Les deux personnes au Royaume-Uni avaient des antécédents de réactions allergiques graves et avaient sur elles un auto-injecteur d’adrénaline. Elles ont toutes deux reçu des soins et sont maintenant rétablies », déclare le ministère de la Santé.
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