Un ancien vice-président de Pfizer : les vaccins covid présentent un « risque grave » d’infertilité pour les femmes
Par Celeste McGovern — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : shotprime studio/AdobeStock
(LifeSiteNews) — Les scientifiques savent depuis près de dix ans que les nanoparticules lipidiques, comme celles actuellement utilisées dans les tout nouveaux vaccins COVID à ARNm, s’accumulent dans les ovaires et sont potentiellement toxiques pour la santé reproductive, a déclaré un ancien vice-président et chercheur principal chez Pfizer lors d’une conférence organisée jeudi par LifeSiteNews sur les dangers des vaccins COVID pour la fertilité.
« On ne vous dit pas la vérité », a déclaré Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer et directeur scientifique au niveau mondial pour la pharmacologie et la toxicologie respiratoires, qui est maintenant le conseiller scientifique en chef de la Fondation Truth for Health. « En y réfléchissant, j’essaie d’imaginer que je m’adresse à mes propres filles, qui sont de jeunes adultes, pour lesquelles je serais très inquiet si elles recevaient ces vaccins. »
Yeadon a cité des études datant de 2012 qui mettent en garde contre les dangers potentiels pour la reproduction des nanoparticules lipidiques qui sont utilisées dans les injections COVID.
Les vaccins à ARNm de Moderna et de Pfizer utilisent tous deux des nanoparticules lipidiques ou des lipoprotéines spécialisées pour transporter leur principal ingrédient ─ une protéine ARNm instable qui amène les cellules à produire la fameuse protéine de pointe du coronavirus et à déclencher une réponse immunitaire. Ce sont ces molécules qui ont eu besoin de températures extrêmement basses pour préserver la stabilité du lipide enveloppant le fragile ARNm.
Accumulation dans les organes reproducteurs
Des chercheurs allemands ont signalé dans leur article publié il y a neuf ans, « Accumulation of nanocarriers in the ovary: A neglected toxicity risk ? », qu’il existe un « risque potentiel de toxicité de tous les systèmes d’administration de médicaments à l’échelle nanométrique » et une accumulation de différentes molécules porteuses microscopiques dans les ovaires des rongeurs. Les chercheurs ont injecté des lipides « nanoporteurs », dont certains contenaient un ingrédient que l’on trouve aussi dans les vaccins COVID à ARNm de Pfizer et Moderna : le polyéthylène glycol.
Lire la suiteEuramia, un empire mondialiste à la Orwell
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie)
Orwell devient réel
Dans le roman dystopien de George Orwell, 1984, le monde est divisé en trois grands empires : Eurasia, Eastasia et Oceania. Ces trois empires totalitaires sont semblables, leurs idéologies ne différant qu’en surface. Ils maintiennent un état de conflit perpétuel et changeant entre eux pour justifier leurs mesures dictatoriales et consommer les biens manufacturés. On maintient ainsi la population des « proles » (ou prolétaires) dans un état de crainte et de dépendance. Orwell, qui était tout de même de son époque, donnait à l’empire d’Oceania des contours semblables, grosso modo, à ceux de l’Empire britannique incluant les États-Unis. Dans le roman, le Canada faisait donc partie de l’Oceania. Orwell imaginait, par ailleurs, que l’Europe de l’Ouest faisait partie de l’Eurasia.
Malheureusement, un monde semblable est en train d’émerger dans la réalité que nous traversons présentement. C’est un monde où quelques empires se partagent la planète et maintiennent, entre eux, des tensions larvées qui justifient leurs mesures dictatoriales.
L’Agenda 2030*, que le Great Reset veut imposer, se présente comme un projet universel. En pratique, cependant, son application la plus virulente se limitera aux pays industrialisés de l’Europe de l’Ouest et de l’Amérique du Nord, c’est-à-dire à ce qu’on appelait, il y a quelques mois à peine, le monde libre. En effet, la Russie semble assez indépendante pour résister au putsch mondialiste et le parti communiste chinois définit ses propres objectifs. Par ailleurs, les pays moins « avancés » de l’Afrique et du Sud seront en quelque sorte protégés de la dictature technocratique du Great Reset par l’incompétence de leurs bureaucraties et par des modes de vie encore traditionnels.
Ce qui s’est déroulé sous nos yeux, pendant ces derniers mois, c’est donc, au delà d’une crise sanitaire, la transformation du monde occidental en un empire fasciste dominé par un cartel financier. Hier, nous étions les citoyens libres d’états démocratiques souverains gouvernés par des élus qui veillaient à nos intérêts. Ce n’était, à la lumière de ce que nous vivons, qu’une façade. La pandémie a révélé à quel point nos élites sont des satrapes insidieux au service du pouvoir mondialiste.
Lire la suiteUn prêtre : utiliser le vaccin covid c’est être moralement complice du prélèvement d’organes par vivisection de bébés avortés
Le Père Dominic Clovis.
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie
(Note de l’éditeur : le Père mentionne que [la lignée de cellules] HEK-293 a nécessité 292 avortements avant que l’on puisse obtenir la lignée cellulaire HEK-293. Pamela Acker, chercheuse en vaccins, affirme que ce n’est pas tout à fait exact — bien qu’il ait fallu certainement de multiples avortements pour obtenir des lignées de cellules souches, comme ce fut le cas avec les lignées cellulaires MRC-5, WI-38, PRC, etc.)
Toronto, Ontario, 22 juin 2021 (LifeSiteNews) — Un prêtre canadien a émis un blâme grave contre ce qu’il décrit comme une complicité morale avec le prélèvement d’organes sur des bébés vivants, dont les lignées cellulaires [qui en ont été issues] ont été utilisées pour développer les vaccins COVID-19.
Dans une homélie prononcée à la paroisse Saint-Augustin de Canterbury à Toronto, le Père Dominic Clovis, IVE (Institutum Verbum Incarnatum, Institut du Verbe Incarné), a insisté sur la gravité morale de l’acceptation et de l’utilisation de tels « vaccins » en rappelant que lors des procès de Nuremberg, les médecins et les scientifiques ont refusé d’utiliser les informations obtenues à partir des cruelles expérimentations humaines des nazis, car ils considéraient que cela revenait à en approuver les atrocités et pensaient que cela inciterait d’autres personnes à les reproduire.
Le Père Clovis a commencé ainsi : « Imaginez que vous connaissez un magasin qui appartient à un démon. Et tout dans ce magasin est bon marché. Vous pouvez obtenir d’excellents produits de haute qualité à des prix très bas. Vous obtenez les derniers iPhone pour environ vingt dollars, quelque chose de vraiment bon marché ─ et vous obtenez une crème anti-âge vraiment géniale, de sorte que vous paraissez 50 ans plus jeune, vous retrouvez l’apparence de vos 20 ans. Ou un médicament absolument extraordinaire ─ il pourrait vous guérir de n’importe quelle maladie. »
« Est-ce que vous iriez dans ce magasin, est-ce que vous achèteriez la crème anti-âge, est-ce que vous achèteriez cet iPhone ou ce médicament en sachant que vous l’achetez à un démon ? »
« Nous savons tous que le péché est un acte personnel. Lorsque nous péchons, nous choisissons personnellement de le faire. Cependant, nous pouvons être responsables des péchés commis par les autres en coopérant avec eux. Ainsi, je n’ai pas besoin de braquer une banque ou de tirer sur quelqu’un si j’ai aidé [les bandits] à braquer la banque et à tirer. En coopérant, je peux les aider. Mais il ne s’agit pas seulement d’aider directement. »
Le père Clovis a expliqué qu’il y a « quatre façons de coopérer au péché de quelqu’un d’autre », parmi lesquelles l’aide directe, comme « conduire volontairement » quelqu’un à un vol de banque, n’est qu’un type de coopération.
« Nous pouvons le faire en commandant ─ nous pouvons ordonner un assassinat, ou vous pouvez ordonner [à une femme] d’aller à la clinique d’avortement et de se faire avorter, ou vous pouvez ordonner [à quelqu’un] de voler quelque chose. »
« Vous pouvez non seulement commander, vous pouvez aussi conseiller, vous pouvez féliciter. “Bravo, tu as été avec tant de femmes, tu es un grand homme, tu es vraiment viril”. En approuvant, nous pourrions participer au péché de quelqu’un d’autre, et aussi en ne le divulguant pas ou en ne l’empêchant pas alors que nous avons l’obligation de le faire. »
« Nous pourrions aussi participer au péché de quelqu’un d’autre en protégeant le malfaiteur. Ainsi, le péché rend les hommes complices les uns des autres », a continué le P. Clovis.
« Après la Seconde Guerre mondiale, il y a eu les procès de Nuremberg. Ceux-ci ont révélé que des médecins [nazis] avaient fait des expériences humaines sadiques. Sadiques, car ils les faisaient en n’ayant aucun problème à voir leurs prisonniers souffrir. En fait, ils auraient même pu y prendre plaisir. Ils ont mené ces expériences dans leurs camps, par centaines, peut-être par milliers. »
Lire la suiteLes lignées cellulaires issues de bébés avortés… employées pour les vaccins covid-19 actuels
Par Pierre-Alain Depauw (Médias Presse Infos) — Photo : Freepik
En quoi les vaccins contre la Covid 19 sont-ils liés à l’avortement ?
(Docteur Eva-Maria Hobiger)
Source : Fraternité Saint Pie X, district d’Autriche. Avril 2021.
Aux États-Unis d’Amérique, l’utilisation de cellules fœtales humaines dans le domaine pharmaceutique, mais aussi dans les cosmétiques et autres secteurs industriels est, depuis des décennies, l’objet de débat et de dénonciation publique par les mouvements pro-vie. En revanche dans la zone germanophone, ce sujet est peu connu, même parmi les professionnels de santé, et peu de gens savent dans quelles circonstances sont obtenues les lignées de cellules fœtales nécessaires à la production de vaccins.
Beaucoup pensent que si l’avortement est un mal on peut toutefois, dans le cas où il est déjà survenu, utiliser le fœtus mort pour la recherche. Mais peu de gens savent qu’afin de produire des cellules aptes à des mises en culture, les avortements nécessaires doivent être ciblés et planifiés ; que la grossesse doit déjà avoir atteint une certaine durée ; que l’interruption de cette grossesse se fait souvent par césarienne et que bien souvent le cœur bat encore lorsque l’embryon arrive au laboratoire pour le prélèvement de ses organes. Des informations comme celles-ci ne sont pas relayées par les médias et vous ne pouvez pas les trouver sur Google ; ces faits dérangeants, vous préférez les tenir éloignés du grand public.
Il serait également souhaitable que le débat actuel sur la vaccination contre la Covid-19 nous éclaire sur les raisons de la récupération d’organes fœtaux, en particulier pour le motif que dans TOUS les vaccins actuellement disponibles, des lignées cellulaires fœtales ont été utilisées à un certain moment, dans la recherche, le développement, la production ou l’expérimentation.
Cela a commencé voici 85 ans.
Dès le XXème siècle, dans les années 30, des expériences ont commencé par des mises en culture à partir de tissus fœtaux. À l’époque, le mobile était la recherche d’un vaccin contre la poliomyélite, qui finalement fut mis sur le marché à la fin des années 50. Dans un article médical de 1936, nous lisons : « Une nouvelle approche a été obtenue grâce à l’utilisation d’embryons humains âgés de 3 à 4 mois, obtenus stérilement par césarienne. » [i]
En 1952, nous lisons dans un journal médical au sujet de la production de cultures tissulaires : « Les embryons humains de 2,5 à 5 mois de grossesse ont été admis dans les services gynécologiques des hôpitaux. Ils ont été placés dans un récipient stérile et immédiatement transportés dans le laboratoire de virologie de l’hôpital pour enfants voisin. Les échantillons morts n’ont pas été utilisés, et pour certains des embryons, le cœur battait encore au moment où ils sont arrivés au laboratoire de virologie. » [ii] Et dans un autre travail de la même année, il est écrit : « Tissu embryonnaire humain : ce matériel a été utilisé dans la plupart des expériences. Il a été obtenu dans des conditions stériles par césarienne. Des embryons de 12 à 18 semaines de grossesse ont été utilisés. » [iii]
Lire la suiteUn chercheur dans le domaine des vaccins affirme que la protéine « spike » est une toxine dangereuse
Professeur Byram Bridle.
Par Celeste McGovern — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : University of Guelph
Note de l'éditeur : Cet article a été modifié pour indiquer que 11 des 13 sujets vaccinés dans une étude récente d'Ogata avaient une protéine détectable du coronavirus SRAS dans leur circulation sanguine, y compris trois personnes qui avaient des protéines de spicule mesurable. Alors que l'article faisait référence à une déclaration du groupe du professeur Bridle indiquant que la protéine de spicule était présente pendant 29 jours chez une personne, l'étude en question indique que la protéine spike a été trouvée chez la personne le jour 29, un jour après une deuxième injection de vaccin, et qu'elle était indétectable deux jours plus tard.
31 mai 2021 (LifeSiteNews) — Une nouvelle recherche montre que la protéine de spicule [spike protein] de coronavirus induite par le vaccin contre le COVID-19 pénètre de manière inattendue dans la circulation sanguine, ce qui constitue une explication plausible aux milliers d’effets secondaires signalés, allant des caillots sanguins et des maladies cardiaques aux lésions cérébrales et aux problèmes de reproduction, a déclaré la semaine dernière un chercheur canadien spécialiste des vaccins contre le cancer.
« Nous avons fait une grosse erreur. Nous ne nous en étions pas rendu compte jusqu’à maintenant », a déclaré Byram Bridle, immunologiste viral et professeur associé à l’Université de Guelph, en Ontario, dans une intervue accordée à Alex Pierson jeudi dernier, dans laquelle il a prévenu les auditeurs que son message était « effrayant ».
« Nous pensions que la protéine de spicule était un excellent antigène cible, nous ne savions pas du tout que la protéine de spicule elle-même était une toxine et une protéine pathogène. Donc, en vaccinant les gens, nous leur inoculons par inadvertance une toxine », a déclaré Bridle dans l’émission, qui n’est pas facile à trouver par une recherche sur Google mais qui est devenue virale sur internet cette fin de semaine.*
Bridle, un chercheur en vaccinologie qui a reçu l’an dernier une subvention gouvernementale de 230 000 dollars pour ses recherches sur le développement du vaccin COVID, a déclaré que lui et un groupe de scientifiques internationaux ont déposé une demande d’information auprès de l’agence de réglementation japonaise pour avoir accès à ce qu’on appelle l'« étude de biodistribution ».
« C’est la toute première fois que des scientifiques ont pu voir où vont ces vaccins à ARN messager [ARNm] après la vaccination », a déclaré Bridle. « Peut-on supposer qu’ils restent dans le muscle de l’épaule ? La réponse courte est : absolument pas. C’est très déconcertant. »
Lire la suiteUn ancien vice-président de Pfizer au sujet des vaccins covid-19 : « Votre gouvernement vous ment de telle sorte que cela pourrait vous conduire à la mort »
Dr Michael Yeadon.
Par Patrick Delaney ― Traduit par Campagne Québec-Vie (traduction s’inspirant pour la première moitié de celle de Pierre-Alain Depauw sur Médias Presse Info) ― Photo :
7 avril 2021 (LifeSiteNews) — Le Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer dont il fut le scientifique en chef pour les allergies et les voies respiratoires, a passé 32 ans dans l’industrie à diriger la recherche sur les nouveaux médicaments et a pris sa retraite du géant pharmaceutique avec « le poste de recherche le plus élevé » dans son domaine. Il a accordé un entretien téléphonique d’une grande importance au site LifeSiteNews.
Il y dénonce la propagande « manifestement fausse » des gouvernements au sujet du COVID-19, y compris le « mensonge » de variants dangereux, l’aspect totalitaire des « passeports vaccinaux » et la forte possibilité que nous ayons affaire à une « conspiration » qui pourrait conduire à quelque chose de bien pire que les guerres et les massacres du 20e siècle.
Ses principaux arguments sont les suivants
- Il n’y a « aucune possibilité » que les variants actuels du COVID-19 échappent à l’immunité. C’est « un mensonge flagrant ».
- Pourtant, les gouvernements du monde entier répètent ce mensonge, ce qui indique que nous ne sommes pas seulement témoins d’un « opportunisme convergent », mais d’une « conspiration ». Pendant ce temps, les médias et les plateformes Big Tech sont engagés dans la même propagande et la censure de la vérité.
- Les sociétés pharmaceutiques ont déjà commencé à développer des vaccins « complémentaires » (« de rappel »), inutiles, contre les « variants ». Ces entreprises prévoient fabriquer des milliards de flacons, en plus de la campagne expérimentale actuelle du « vaccin » COVID-19.
- Les organismes de réglementation, comme la Food and Drug Administration américaine et l’Agence européenne des médicaments, ont annoncé que puisque ces vaccins « d’appoint » seront si semblables aux injections précédentes qui ont été approuvées par une autorisation d’utilisation d’urgence, les sociétés pharmaceutiques ne seront pas tenues de « d’effectuer des études de sécurité clinique ».
- Ainsi, cela signifie pratiquement que la conception et la mise en œuvre de vaccins à ARNm répétés et forcés « passeront directement de l’écran d’ordinateur d’une société pharmaceutique à l’injection dans le bras de centaines de millions de personnes d’une séquence génétique superflue pour laquelle il n’y a absolument aucun besoin ni aucune justification ».
- Pourquoi font-ils cela ? Puisqu’aucune raison bénigne n’est perceptible, l’utilisation de passeports vaccinaux combinée à une « réinitialisation bancaire » pourrait aboutir à un totalitarisme sans précédent. Si l’on se rappelle la méchanceté de Staline, Mao et Hitler, le « dépeuplement massif » reste une issue logique.
- Le fait que cela pourrait être vrai signifie que chacun doit « se battre comme un fou pour s’assurer que ce système ne se réalise jamais ».
Le Vatican accueillera Chelsea Clinton, le Dr Fauci, les PDG de Moderna et Pfizer et autres figures peu catholiques pour sa 5e conférence sur la santé
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) — Photo : Pikist
Le Vatican a annoncé la tenue de sa cinquième conférence internationale sur la santé, intitulée « Explorer l’esprit, du corps et de l’âme », qui accueillera un grand nombre d’orateurs mondialistes et favorables à l’avortement, tels Chelsea Clinton, vice-présidente de la Fondation Clinton, qui entretient des liens étroits avec les avorteurs industriels de Planned Parenthood, les PDG des sociétés Pfizer et Moderna, qui fabriquent des vaccins au moyen de lignées de cellules obtenues à partir de fœtus avortés, le directeur des National Institutes of Health des États-Unis et le Dr Anthony Fauci, artisan du confinement et de la dictature sanitaire version US. L’événement, qui aura lieu en ligne du 6 au 8 mai, a pour principal organisateur le Conseil pontifical pour la culture sous la responsabilité du cardinal Ravasi.
Mais la Cura Foundation est aussi impliquée, comme lors de conférences précédentes dans ce cycle. Si elle ne soutient pas la recherche sur les cellules souches embryonnaires sur son site, cette organisation philanthropique explique : « Nous stimulons le changement par la génomique, l’intelligence artificielle et les big data, afin de soutenir et de concrétiser la révolution de la médecine régénérative. – Nous sommes les champions des corps sains résistants aux maladies. Nous nous efforçons d’aider les gens à vivre plus longtemps, mieux et sans souffrance. »
Parmi les intervenants figurent des noms aussi éminents que divers. Si les PDG de Moderna et de Pfizer sont probablement invités en tant que développeurs du vaccin anti-COVID, il faut noter que Pfizer produit et commercialise des pilules abortives. Et que le PDG de Moderna, Stéphane Bancel, est entré dans le classement Forbes des milliardaires français grâce à la pandémie… On notera que le directeur du National Institute of Health (NIH), Francis Collins préconise l’utilisation de tissus fœtaux dans des projets de recherche. Le directeur de Google Health, David Feinberg s’exprimera lui aussi : au nom des projets du groupe Alphabet en matière d’intelligence artificielle et de traitement des données des patients — une activité qui a déjà suscité quelques scandales médiatiques ?
Egalement invité à la conférence du Vatican : le PDG de Salesforce, Marc Benioff, ce milliardaire qui s’est offert le magazine Time en 2018 consacre également 1 % du capital, du temps de travail et des produits Salesforce à des « œuvres de charité ». « Les causes qu’il soutient sont variées : égalité homme/femme, LGBT, antiracisme », note L’Echo, média belge. A tu et à toi avec « l’élite » mondialiste et libérale, sa société a interdit les courriels des républicains et de la campagne Trump à la suite des manifestations du 6 janvier au Capitole, et même toute interrogation à propos de l’élection américaine de 2020. Time le décrit comme « l’un des dirigeants les plus ardents » pour la défense des LGBT.
Prendront également la parole lors de la conférence l’écologiste et primatologue Jane Goodall, représentante des Nations unies et amie des chimpanzés, marraine de « Population matters », autrefois l’« Optimum Population Trust ». Cette association prône l’harmonie entre l’homme et la nature par l’inversion de la croissance de la population moniale. Elle promeut l’égalité de genre, veut abattre « toutes les barrières au planning familial moderne », et encourage les familles de petite taille. Elle a joué un rôle de pointe dans la limitation des allocations familiales aux deux premiers enfants en Angleterre. Sur son site, on trouve une vidéo présentant Jane Goodall qui critique l’Eglise catholique dans son rôle de frein au discours sur le contrôle de la population.
Lire la suiteLa conférence du Vatican sur la santé réunira plusieurs promoteurs de la contraception et de l’avortement
Par Riccardo Cascioli (La Nuova Boussola Quotidiana) — Lu sur Benoît-et-moi — Photo : Pikist
La cinquième conférence internationale du Vatican, qui se tiendra du 6 au 8 mai sur le thème de la santé, a déjà fait scandale tant par les orateurs invités (dont beaucoup sont liés au commerce des vaccins anti-Covid) que par l’affiche qui en fait la publicité, véritable manifeste d’athéisme pratique. Mais il y a un aspect encore plus inquiétant : le principal bailleur de fonds de la conférence est la Fondation John Templeton, engagée dans la diffusion de la contraception et spécialisée dans l’implication des organisations religieuses dans les campagnes de contrôle des naissances. Et Pfizer, présent à la conférence, est également le fabricant de contraceptifs injectables aux effets à long terme, qui ont causé tant de désastres dans le tiers monde. Et pourtant, un Motu Proprio de Benoît XVI interdit ces mixtures.
La cinquième conférence internationale du Vatican qui se tiendra du 6 au 8 mai sur le thème « Explorer l’esprit, le corps et l’âme – S’unir pour prévenir et s’unir pour guérir » a déjà créé un scandale notable. Tout d’abord en raison de la présence de certains intervenants, entre le bizarre et l’embarrassant : La première catégorie comprend Chelsea Clinton, fille de l’ancien couple présidentiel américain, l’ancien mannequin Cindy Crawford, des chanteurs de rock tels que Joe Perry du groupe Aerosmith ; à la seconde appartient le gourou New Age Deepak Chopra ; la conservationniste [c’est à dire pour la conservation des espèces et des espaces naturels, NDT] Dame Jane Goodall, partisane fanatique du contrôle des naissances et de la réduction de la population (à Davos, il y a un an, elle a déclaré que la population mondiale devrait être ramenée au niveau d’il y a 500 ans, c’est-à-dire entre 420 et 560 millions) ; et surtout les plus grands promoteurs de la vaccination de masse, de l’immunologiste Anthony Fauci aux hauts dirigeants de Pfizer et Moderna, Albert Bourla et Stéphane Bancel, en passant par le directeur de Google Health, David Feinberg.
Que font tous ces gens au Vatican (même si c’est virtuellement, étant donné les limitations fixées par le Covid), à parler de santé, invités du Conseil pontifical pour la culture, dirigé par le cardinal Gianfranco Ravasi ? Une question d’autant plus urgente que ces conférences internationales sont nées en 2011 pour promouvoir la recherche sur les cellules souches adultes, en réponse à la tendance du monde industriel et scientifique à se concentrer plutôt sur les cellules embryonnaires. Surtout, il est inévitable de rapprocher l’enthousiasme du Vatican pour les vaccinations (y compris la promotion de l’endoctrinement vaccinal à l’église, comme nous l’avons révélé hier) et la présence des deux sociétés pharmaceutiques qui se partagent la plus grosse part du gâteau des revenus des vaccins. Au minimum, une coïncidence inopportune.
Lire la suiteNouveau mouvement en faveur de la vie : Non à l’exploitation des cellules de fœtus avortés
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) ― Photo (modifiée) : cookie studio/Freepik
La crise du covid a mis en lumière de façon glaçante, et dans le monde entier, la manipulation étendue de cellules de fœtus avortés volontairement dans la production des vaccins, et ce depuis des décennies. Les thérapies anti-covid AstraZeneca, Johnson & Johnson, Pfizer, Moderna, souillées d’une manière ou d’une autre par ces cellules de fœtus humains, ont poussé, et ce malgré le feu vert donné par le Vatican bergoglien*, divers théologiens, clercs, religieux, à approfondir les questions éthique et morale par rapport à leur utilisation et à en déclarer l’usage immoral, à émettre un Non Possumus argumenté et réfléchi.
Il y a deux mois, Mgr Schneider, qui fut un des premiers à se lever contre ces vaccins compromis avec l’industrie de l’avortement, avait lancé un appel pour un « nouveau mouvement pour la vie » qui s’oppose à l’utilisation de cellules et de tissus de bébés avortés. Il ne visait pas seulement les vaccins, mais toutes les utilisations immorales dans les domaines pharmaceutique, cosmétique ou alimentaire. Une bataille culturelle dont l’urgence est également rappelée par une nouvelle norme (anti-vie) de Biden.
Cette initiative a pris forme en Italie. Le 19 avril dernier, signale le quotidien La Nuova Bussola Quotidiana dans un article récent, « une lettre ouverte a été publiée à l’évêque auxiliaire d’Astana, qui porte la signature des présidents de sept associations italiennes, à savoir : Movimento Mariano Regina dell’Amore (Mirco Agerde), Jurists for Life (Gianfranco Amato), Pro Vita & Family (Antonio Brandi), Ora et labora pour la défense de la vie (Giorgio Celsi), Iustitia in Veritate (Francesco Fontana), Benedetto Option (Giovanni Formicola), Confédération des Triarii (Massimo Viglione). La lettre est une réponse à l’appel lancé par Mgr Schneider le 19 février, lors d’une conférence en ligne – organisée par Life Site News – intitulée Démasquer le covid-19 : Vaccins, mandats et santé mondiale. »
Lire la suite« Dans cette lettre, peut-on lire dans l’article cité, véritable déclaration d’intention, le thème de la défense de la vie dès la conception est abordé dans une perspective générale, cela ne se limite pas uniquement au domaine des vaccins éthiquement compromis et des vaccins anti-Covid en particulier. En fait, il appelle à ce que la bataille déjà engagée au cours des dernières décennies soit menée “jusqu’à une exhaustivité cohérente”, à la suite d’une “critique intégrale de la légitimité éthique et juridique de l’utilisation des cellules embryonnaires et fœtales dans le contexte de l’expérimentation et industrie pharmaceutique, cosmétique (et industrie connexe)”. D’où la demande selon laquelle “aucun vaccin, aucun médicament, aucun cosmétique, aucun aliment ne doit être produit ou testé à partir de cellules embryonnaires ou fœtales humaines, obtenues à partir du meurtre d’une personne innocente”. Le document, en plus des signatures susmentionnées, porte une autre soixantaine de signatures de personnes diversement impliquées dans la réalité pro-vie de notre pays (l’Italie, NDLR de MPI) (voir ici la lettre complète avec les signatures). On sait que Mgr Schneider lui-même (par une lettre encore confidentielle) a entre-temps accueilli et invoqué la bénédiction divine pour ceux qui soutiennent l’initiative. »
Vaccins et cellules de fœtus avortés : la réponse de Pamela Acker à Emmanuele Barbieri de Corrispondenza Romana
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) ― Photo : WavebreakMediaMicro/AdobeStock
Un débat de fond, pas toujours très élégant, oppose aujourd’hui des catholiques — y compris traditionnels — favorables à la vaccination anti-COVID, y compris par des vaccins développés au moyen de lignées de cellules fœtales obtenues à partir de bébés avortés, et ceux qui, à l’instar de Mgr Athanasius Schneider, estiment que ces vaccins « souillés par l’avortement », doivent ou devraient être refusés en conscience pour cette raison, rejetant par là même l’argument de la « coopération éloignée au mal » ou du « volontaire indirect ».
Dans un récent article paru sous la signature d’Emmanuele Barbieri dans Corrispondenza Romana, une charge violente a été menée contre Pamela Acker, l’une des porte-parole du mouvement d’opposition à l’utilisation de vaccins produits ou testés (voire les deux) au moyen de cellules de fœtus avortés. Ses capacités scientifiques, sa bonne foi, ses motivations et même ses capacités de raisonnement ordinaires sont attaquées. Je dois dire que l’ensemble est déplaisant, dans un contexte où l’on parle tout de même de choses graves.
Je vous avoue ne pas avoir la patience, du fait de sa tonalité, de traduire ce texte de Barbieri, qui reflète de toute façon la vision aujourd’hui majoritaire. Je vous propose plutôt, grâce à l’aide du CEP (Centre d’études et de prospective sur la science) qui m’a transmis une traduction par Roberto Bonato de la réponse de Pamela Acker à Barbieri dans LifeSite en m’autorisant aimablement à la diffuser.
C’est cette traduction, légèrement retouchée, que je vous propose de découvrir ci-dessous. Le texte m’a particulièrement intéressée par la qualité de ses sources. Vous noterez qu’il émane d’une femme qui a mis sa peau au bout de ses idées, puisqu’elle a mis fin à une prometteuse carrière universitaire pour ne pas collaborer à une étude dont elle a appris qu’elle aboutirait, en cas de réussite, à la production d’un vaccin réalisé au moyen d’une lignée de cellules souches fœtales. — J.S.
*
Vérités scientifiques, sophismes logiques et consentement
au mal :
une réponse à Emmanuele Barbieri
par Pamela Acker
On m’a demandé à plusieurs reprises de répondre à un récent article d’Emmanuele Barbieri, « Vaccins COVID-19 : Vérités scientifiques et Fake News ». Je trouve décevant qu’un tel article gagne en audience auprès de personnes raisonnables, car il commence par un sophisme ad hominem, se termine par un empoisonnement du débat, et il est truffé d’arguments épouvantail et d’erreurs pures et simples. Le ton fait appel à la fois à l’émotion et à l’autorité, car tout au long de son argumentation, l’auteur suggère — voire affirme carrément — que ceux qui ne sont pas d’accord avec lui sont soit ineptes, soit fourbes. En tout cela, il ignore la réalité du lien entre l’avortement et la science biomédicale – pourtant clairement documenté par les chercheurs eux-mêmes et contribue à la confusion croissante qui entoure la question du vaccin actuel contre le coronavirus, une technologie expérimentale contraire à l’éthique, imposée à la population à une échelle qui aurait été inconcevable il y a seulement un an.
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