Rapport du VAERS : le nouveau-né d’une mère « entièrement vaccinée » meurt, ayant saigné de la bouche et du nez
Par Celeste McGovern – Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : sushytska/Adobe Stock
10 décembre 2021 (LifeSiteNews) — Un bébé dont la mère a reçu deux injections de vaccin COVID au cours de son dernier trimestre de grossesse est né en saignant de la bouche et du nez, et est mort le lendemain de sa naissance, selon un rapport récent transmis au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) du gouvernement américain par une « autorité de réglementation » étrangère.
Le petit garçon est né le matin du 6 octobre 2021, après que sa mère eût reçu deux injections expérimentales de Moderna à ARNm les 19 juillet et 13 août. Il était attendu le 15 octobre mais a été mis au monde à l’hôpital le 6, pesant 2 800 grammes (un peu plus de six livres, deux onces), après un travail marqué par des battements cardiaques fœtaux instables.
« Le médecin a dit qu’après la naissance du patient, il y a eu un cri. Lorsque le cordon ombilical a été coupé pour les soins au nouveau-né, le personnel infirmier a constaté que le patient présentait des symptômes de saignement buccal et nasal, et a immédiatement demandé au pédiatre de l’intuber et de lui donner de l’oxygène, et il a été admis à l’USIN [Unité de soins intensifs néonataux] », selon le rapport reçu le 18 novembre par le VAERS d’une agence de santé étrangère non identifiée. « À l’USIN, son résultat d’examen a montré une coagulation sanguine anormale, une hémorragie pulmonaire [saignement aigu des poumons] et un dysfonctionnement cardiaque ».
Selon le rapport du VAERS (n° 1879991), ce décès est survenu à la suite d’une « exposition transplacentaire » au vaccin ARNm ; on ne sait pas si une autopsie a été pratiquée et aucune cause du décès n’a été précisée, mais le père du nourrisson soupçonne qu’il est lié au vaccin.
Le décès du nourrisson est l’un des 52 décès signalés parmi les 30 550 événements indésirables enregistrés par le VAERS pour les enfants de moins de 17 ans au 3 décembre 2021.
Lire la suiteGrand nombre de cas de bronchiolites chez les bébés — quelle en est la cause ?
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Gian/Adobe Stock
Est-ce le déconfinement (donc le confinement) ? Est-ce les vaccins covid-19 ? Serait-ce les deux ?
Quelle est la cause de tous ces cas de bronchiolites chez les jeunes enfants ?
En France, selon, The Epoch Times, « L’hiver dernier, les confinements et les gestes barrières anti-Covid ont contribué à bloquer tous les virus, dont le VRS (virus respiratoire syncytial), responsable de la bronchiolite.
Les enfants ont été moins infectés que d’habitude et sont donc moins immunisés sur le plan collectif, ce qui laisse craindre une épidémie plus forte cette année. »
Tandis qu’au Canada où il y a une proportion anormale de cas de bronchiolites chez les bébés, le docteur Drouin dans un article de Radio-Canada affirme que, « Ce qui se passe, c’est qu’on n’a pas eu cette immunité naturelle aux autres virus la saison dernière, donc on se retrouve avec deux cohortes de bébés et de jeunes enfants qui sont en contact avec les virus respiratoires pour la première fois. Ça fait deux fois plus de gens à l’urgence. »
Le vaccin aurait-il pu y avoir un effet quelconque ?
Selon The Defender, le docteur Whelan a écrit dans une soumission publique « il semble que la protéine spike qui est la cible des principaux vaccins contre le SRAS-CoV-2 soit également l’un des principaux agents causant des dommages à des organes distants pouvant inclure le cerveau, le cœur, les poumons et les reins. Avant que l’un de ces vaccins ne soit approuvé pour une utilisation généralisée chez l’homme, il est important d’évaluer chez les sujets vaccinés les effets de la vaccination sur le cœur...
Le VAERS rapporte un cas d’un décès dû à des caillots de sang d’un bébé allaité après que sa mère ait reçu le vaccin Pfizer.
Cela fait 50 ans qu’on utilise des cellules de bébés avortés dans des vaccins…
Par Caryn Lipson (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : nuttawutnuy/Adobe Stock
26 octobre 2021 (America's Frontline Doctors) — Récemment, Melissa Strickler, inspectrice de la qualité de fabrication chez Pfizer, a lancé l’alerte et révélé certains des courriels internes de la compagnie. Mme Strikler a été horrifiée par les informations qu’ils contenaient et a parlé avec Project Veritas de ce qu’elle avait découvert ─ l’utilisation de cellules fœtales de bébés avortés pour tester leur vaccin COVID-19. Voici une partie de ce que la direction avait écrit :
« Du point de vue des affaires de l’entreprise », Vanessa Gelman, directrice principale de la recherche mondiale chez Pfizer, a écrit dans un courriel : « Nous voulons éviter que l’information sur les cellules fœtales ne circule dans la nature... Le risque de communiquer cette information maintenant dépasse tout bénéfice potentiel que nous pourrions en tirer ; en particulier, des membres du public pourraient s’emparer de cette information et la diffuser d’une manière que nous ne voulons peut-être pas voir. »
Dans un autre échange de courriels entre Advait Badkar, directeur principal du groupe Novel Delivery Technologies au sein de l’organisation Biotherapeutics Pharmaceutical Sciences de Pfizer, on peut voir Gelman admettre à Badkar qu’« Une ou plusieurs lignées cellulaires dont l’origine peut être retracée jusqu’à du tissu fœtal humain ont été utilisées dans des tests de laboratoire associés au programme de vaccination ».
Elle l’a averti que « nous avons essayé autant que possible de ne pas mentionner les lignées cellulaires fœtales ».
Project Veritas a tenté de parler avec Mme Gelman. Voici sa réponse (si le clip vidéo est retiré de YouTube, vous pouvez le voir sur la chaîne Telegram de Project Veritas ici)… [Mme Gelman ne répond pas et se met à courir.]
On doit se demander ce que Gelman savait et qui l’a poussée à « prendre son envol ».
Lire la suiteUne fuite de courriels montre que Pfizer voulait cacher le lien entre son vaccin covid et l’avortement
Melissa Stricker.
Par Pierre Boralevi — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Project Veritas/YouTube
7 octobre 2021 (LifeSiteNews) — Une lanceuse d’alerte, employée du fabricant de vaccins Pfizer, a divulgué une chaîne de courriels de cadres de la société discutant de la meilleure façon de cacher au public des informations sur l’utilisation de lignées de cellules fœtales, dérivées d’un bébé avorté, dans le développement du vaccin Pfizer.
Dans une vidéo publiée par Project Veritas, la dénonciatrice de Pfizer Melissa Strickler a fourni une chaîne de courriels échangés entre des cadres supérieurs de Pfizer, dont le vice-président et directeur de l’exploitation Philip Dormitzer et la directrice principale de la recherche mondiale Vanessa Gelman, dans lesquels ils discutent du scénario approprié et de la « réponse approuvée » à utiliser pour éviter de divulguer au public des informations sur l’utilisation de lignées cellulaires fœtales dans la création du vaccin.
Melissa Strickler travaille chez Pfizer depuis une dizaine d’années et fait partie du service de la qualité de l’une des plus grandes usines de l’entreprise. Elle a accidentellement découvert cette chaîne de courriels dans lesquels il était question de tissu fœtal et du vaccin COVID.
« Ce qui m’a troublée, c’est qu’ils voulaient garder le secret », a déclaré Mme Strickler au fondateur de Project Veritas, James O’Keefe. « Ils ne voulaient pas vraiment que l’on sache qu’ils utilisaient les cellules HEK pour réaliser l’étude. Ils sont tellement trompeurs dans leurs courriels... ils sont vraiment trompeurs et ils pèsent chacun de leurs mots, et cela m’a empêchée de les croire. »
Le premier courriel ayant fait l’objet d’une fuite et présenté dans le rapport est celui d’Advait Badkar, un directeur principal chez Pfizer, qui demande à Gelman comment répondre à une question demandant si Pfizer a utilisé une lignée cellulaire provenant d’un fœtus avorté lors de certains tests sur le vaccin. Badkar admet dans ce courriel que Pfizer a déjà affirmé qu’aucune lignée cellulaire provenant d’un fœtus avorté n’avait été utilisée dans le « processus de fabrication ».
Lire la suiteMgr Viganò met en garde les évêques américains contre les vaccins du covid
Par Jacques T. (Le Forum Catholique)
Traduction d’une nouvelle intervention de Mgr Viganò, concernant les dangers de la vaccination anti-Covid, ayant été publiée par LifeSiteNews :
Mgr Viganò met en garde les évêques américains contre le vaccin du Covid : la grande réinitialisation veut « des milliards de personnes souffrant de maladies chroniques »
Le silence de tant de cardinaux et d’évêques, ainsi que la promotion inconcevable de la campagne de vaccination par le Saint-Siège, représentent une forme de complicité sans précédent qui ne peut plus durer.
26/10/2021
Note de la rédaction : Mgr Carlo Maria Viganò a décidé de rendre publique une lettre du 23 octobre envoyée au Cardinal Luis F. Ladaria SJ, Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, Mgr José Gómez, Président de la Conférence des évêques catholiques des États-Unis, ainsi qu’à tous les évêques des États-Unis d’Amérique.
*
Éminences,
Excellences,
J’adresse à vous, Mgr Gómez, en tant que Président de la Conférence des évêques catholiques des États-Unis, et à vous, Cardinaux Ladaria et Müller, pour votre compétence, quelques considérations sérieuses liées aux soi-disant vaccins contre le Covid-19.
Je pense que certains aspects de la question permettent désormais une évaluation plus complète de ce que sont ces médicaments et de leurs effets ; cette évaluation doit conduire à une position collégiale, conforme au Magistère de l’Église et non influencée par des informations biaisées ou par des informations erronées diffusées par les producteurs de ces drogues ou par les médias.
Lire la suitePologne : Pfizer aurait testé son vaccin covid-19 sur des bébés orphelins
Par Francesca de Villasmundo - Photo : forma82/Adobe Stock
4 octobre 2021 (Médias-Presse-Info) Des accusations selon lesquelles Pfizer mène des expériences sur des orphelins de six mois pour tester leur vaccin Covid-19 ont été faites par différentes personnalités en Pologne.
L’Association Children’s Health Defence, de l’avocat Robert F. Kennedy, a récemment été alertée par des lanceurs d’alerte polonais que Pfizer mènerait des expériences sur des bébés orphelins de 6 mois pour tester leur vaccin Covid-19. Pfizer semble fonctionner en dehors des limites légales. Cela a conduit un groupe d’avocats, de professionnels de la santé et de militants à exiger que les membres du parlement et du Sénat polonais organisent une conférence d’urgence, le samedi 2 octobre, intitulée : Tests médicaux sur les enfants et les nourrissons : questions médicales, juridiques et éthiques.
La conférence était organisée par des associations et des fondations polonaises telles que l’Association polonaise des médecins et scientifiques indépendants, l’Association des avocats Voice of Freedom, l’Association du centre d’information sur la santé de Dobrostan et la Fondation New Spectrum. Le docteur Natalia Prego Cancelo d’Espagne, les docteurs Meryl Nass et Mme Vera Sharav des États-Unis figuraient parmi les conférenciers. Différentes questions ont été posées :
« Pfizer mène-t-il des expériences sur les enfants orphelins qui sont les plus vulnérables et qui n’ont personne pour prendre leurs intérêts à cœur si les choses tournent mal? Si oui pourquoi et qui y a consenti? Pourquoi Pfizer est-il autorisé à faire des essais cliniques sur des bébés avec un produit qui n’a pas terminé la phase 3 des essais cliniques et qui est une nouvelle technologie? Pourquoi Pfizer refuse-t-il aux élus d’avoir accès à leurs documents? Que se passe-t-il dans les autres pays où ces expérimentations sont menées? L’EMA et la FDA font-elles vraiment leur travail? Et enfin… les fabricants de vaccins opèrent-ils dans le plus grand secret et en dehors de tout contrôle légal? »
Lire la suiteLettre ouverte aux évêques catholiques au sujet de leur appui aux mesures « sanitaires » et particulièrement aux vaccins
Par Mark Mallett (markmallett.com) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : fizkes/AdobeStock
Lettre ouverte aux évêques catholiques
Les fidèles du Christ sont libres de faire connaître leurs besoins,
surtout leurs besoins spirituels, et leurs souhaits aux Pasteurs de
l’Église.
Ils ont le droit, en effet parfois le devoir,
en fonction de leurs connaissances, de leurs compétences et de leur
position,
de manifester aux pasteurs sacrés leurs vues sur les questions
qui concernent le bien de l’Église.
et de les faire connaître aux autres fidèles
mais ce faisant, ils doivent toujours respecter l’intégrité de la foi et de la
morale,
montrer le respect dû à leurs pasteurs,
et prendre en compte à la fois
le bien commun et la dignité des individus.
— Code de droit canonique, 212
CHERS évêques catholiques,
Après un an et demi de vie dans un climat de « pandémie », je suis contraint par les données scientifiques indéniables et les témoignages d’individus, de scientifiques et de médecins de supplier la hiérarchie de l’Église catholique de remettre en question son appui massif aux « mesures de santé publique » qui, en fait, mettent gravement en danger la santé publique. Alors que la société est divisée entre les « vaccinés » et les « non-vaccinés » — ces derniers souffrant de tout, de l’exclusion de la société à la perte de revenus et de moyens de subsistance — il est choquant de voir certains bergers de l’Église catholique encourager ce nouvel apartheid médical.
Il y a sept prémisses que l’Église a apparemment acceptées comme des faits scientifiques mais qui ne sont, en fait, au mieux, que de la pseudoscience. Je vais aborder chacune d’entre elles ci-dessous. Bien que je sois actuellement un évangélisateur laïc au sein de l’Église, mon parcours professionnel est celui d’un ancien journaliste de télévision avec CTV Edmonton au Canada. En tant que tel, je suis revenu à mes racines journalistiques ces derniers temps dans l’espoir de percer la censure intense et la culture de l’annulation qui ont privé les fidèles et le monde en général d’informations critiques qui représentent une question de vie ou de mort — une question en effet de « bien commun ». Le romancier américain Upton Sinclair a dit un jour : « Il est insensé d’être convaincu sans preuve, mais il est tout aussi insensé de refuser d’être convaincu par des preuves réelles. »
Avant d’aborder ces sept prémisses, il y a un thème sous-jacent qui a été accepté par la société dans son ensemble et qui a causé d’énormes dégâts. Et c’est l’idée tout à fait nouvelle qu’une personne en parfaite santé est en quelque sorte une menace virale. Le Dr Peter McCullough, MD, MPH, FACC, FAHA, est probablement le plus grand expert au monde aujourd’hui sur la réponse à la pandémie et le médecin le plus cité de la National Library of Medicine. Il a déclaré récemment :
Lire la suite« Le virus ne se propage pas de manière asymptomatique. Seuls les malades le donnent à d’autres ». — 20 septembre 2021, entretien, Gab tv, 6:32
Se faire vacciner pour pouvoir aller à la messe ?
Par la Revue En Route — Photo : stokkete/AdobeStock
Les aspects religieux et moraux de cette réponse ont été vérifiés et approuvés par l’abbé J.-Réal Bleau, docteur en théologie.
Se faire vacciner pour pouvoir aller à la messe ?
Question : Jusqu’à maintenant, j’ai refusé le vaccin anti-Covid. Mais on parle de plus en plus de l’obligation d’être vacciné pour pouvoir accéder aux églises, à la Messe, aux sacrements. Dans ce cas, ne serait-il pas permis de me faire vacciner, même si je sais que ce vaccin est mauvais ? Si j’en meurs ou que j’ai des séquelles graves, ne serait-ce pas considéré par Dieu comme un martyre, puisque je me serai fait vacciner pour pouvoir continuer à pratiquer ma religion ?
Réponse : La situation semble ne nous laisser le choix qu’entre deux maux : nous faire vacciner sachant que cela est immoral, ou ne plus avoir accès aux sacrements.
Cependant, pour qu’il y ait péché, il faut que la volonté participe au geste. Donc, à moins que l’on ne me force physiquement à recevoir la piqûre, si j’accepte de me faire vacciner j’engage ma volonté.
Par contre, si on me prive injustement de l’accès aux sacrements parce que je refuse de poser un geste qui va contre ma conscience (me faire vacciner), sachant très bien que s’il n’en dépendait que de moi j’irais à la Messe, me confesser… : dans ce cas, il n’y a pas de péché de ma part puisque cette situation se produit contre ma volonté. Dieu le sait et Il n’est pas offensé du fait que je ne reçoive pas les sacrements ni ne participe à la Sainte Messe.
Dans ce cas, Il passe par d’autres voies pour m’octroyer ses grâces.
Il faut distinguer entre martyre et suicide ! Le martyre est agréable à Dieu, pas le suicide. Ici, c’est la privation injuste des sacrements qui constitue le martyre des fidèles et non pas le fait d’accepter un « vaccin » immoral et nocif.
Il faut garder à l’esprit que l’on ne peut pas honorer Dieu — le Bien suprême — en commettant le mal.
Dans l’Ancien Testament, et chez les Aztèques, des gens immolaient leurs propres enfants aux idoles, pour obtenir leurs faveurs. Plus tard, les cathares ont prétendu plaire à Dieu en pratiquant le suicide par la faim… Lors de la Révolution française, des prêtres ont prêté un serment schismatique pour pouvoir continuer leur ministère… L’histoire regorge de déviations similaires.
« Il n’est pas permis
de faire le mal
pour qu’il en résulte
un bien. »
(CEC n°1756)
Un bébé allaité est mort de caillots sanguins après que sa mère ait reçu le vaccin covid de Pfizer
Par Celeste McGovern — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Africa Studio/AdobeStock
Il s’agit du deuxième cas connu de décès d’un bébé allaité.
6 septembre 2021 (LifeSiteNews) — Un bébé allaité de six semaines est devenu inexplicablement malade avec une forte fièvre après que sa mère ait reçu un vaccin COVID-19 et il est mort quelques semaines plus tard avec des caillots de sang dans ses « artères gravement enflammées », selon un rapport d’événement indésirable lié au vaccin, déposé auprès du gouvernement américain.
Une femme de 36 ans restant anonyme, originaire du Nouveau-Mexique, a déclaré avoir reçu une première dose du vaccin Covid-19 de Pfizer le 4 juin 2021, alors qu’elle allaitait son fils de six semaines, selon un rapport déposé auprès du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS).
« Le 17 juillet, mon bébé est décédé », indique le rapport, qui est apparu pour la première fois sur le VAERS le 13 août 2021.
Caillots de sang, artères enflammées
Le petit garçon est devenu « très malade avec une forte fièvre » le 21 juin et il a été traité par antibiotiques intraveineux pendant deux semaines à l’hôpital pour ce qui était censé être une infection bactérienne.
Le rapport du VAERS indique que les tests effectués à l’hôpital « n’ont jamais permis de trouver de bactérie déterminée » et on a indiqué comme diagnostic une « septicémie à culture négative ». Le rapport indique qu’à la fin de son séjour de deux semaines à l’hôpital, il a été testé positif au rhinovirus et a été renvoyé chez lui.
À la maison, le bébé a développé d’autres symptômes au cours de la semaine suivante, notamment une paupière enflée, des « éruptions étranges » et des vomissements. Sa mère l’a renvoyé à l’hôpital le 15 juillet, date à laquelle on lui a diagnostiqué une « maladie de Kawasaki atypique ».
La clinique Mayo décrit la maladie de Kawasaki comme une affection touchant principalement les enfants et provoquant un gonflement (inflammation) des parois des artères de taille moyenne dans tout le corps. Les artères coronaires, qui alimentent en sang le muscle cardiaque, sont généralement les plus touchées, mais la maladie peut également affecter les ganglions lymphatiques qui gonflent lors d’une infection, ainsi que les membranes de la bouche, du nez et de la gorge.
Lire la suiteEffets secondaires des vaccins covid sur les femmes enceintes : fausses couches
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) — Photo : rh2010/AdobeStock
L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) dans un rapport de plusieurs dizaines de pages publié aujourd’hui prévient les personnes vaccinées de certains effets indésirables sous surveillance par la pharmacovigilance des vaccins.
Les quatre injections expérimentales contre le covid sont répertoriées, soit Janssen, vaccin à vecteur viral, Covid-19 Vaccine Moderna, vaccin à ARNm, Vaxzevria, le nouveau nom d’Astrazeneca, vaccin à vecteur viral, et Comirnaty, le nouveau nom du produit de BioNTech et Pfizer, vaccin à ARNm.
Parmi les nombreux effets indésirables de ces différents « vaccins » est signalée la mort in utero, ce qui n’est pas rien, ainsi que « les fausses couches spontanées » qui « représentent la majorité des effets indésirables enregistrés dans la BNPV » pour les femmes enceintes.
On peut noter aussi que les tranches d’âge qui connaissent le plus d’effets secondaires, graves et non graves, sont celles en dessous de 65-70 ans, c’est-à-dire les populations qui ont le moins de risque de mourir du covid. Les 30-49 ans sont particulièrement affectés par ces événements post-vaccinaux.
Curieusement, ces avertissements destinés au grand public ne sont pas relayés de façon visible par les autorités ni les médias mainstream…