Une école publique suspend une élève chrétienne pour avoir affiché des versets bibliques
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Ainsi, une jeune fille à reçu une forte punition de la part de son école, pour avoir simplement affiché des versets de la bible dans son école à l'adresse d'écoliers qu'elle considérait ne recevoir aucune aide utile d'un groupe LGBT ayant affiché ses messages autour de l'école. Extrait de LifeSiteNews :
Une adolescente de l'Ohio a fait l'objet d'une « suspension scolaire » pour avoir publié des versets de la bible dans son école vers le début du mois.
Gabby Helsinger, de l'école secondaire Lebanon High School, s'est inspirée des affiches de drapeaux de la fierté LGBT affichées autour de son école pour écrire quelques versets de la Bible et faire ses propres messages. Elle les a collées sur des casiers et des murs, pour finalement découvrir que les professeurs les enlevaient.
Dans une vidéo publiée par sa mère Tina sur Facebook, Gabby a expliqué ce qui s'est passé ensuit :
Le lendemain, on m'a appelé au bureau et il y avait une lettre qui disait que j'avait un ISS, qui est une suspension scolaire, et la raison pour laquelle je la recevais était pour « abus des autres, manque de respect, la impolitesse » parce que j'avait mis des versets de la Bible « ciblant l'organisation GSA ».
Gabby a affirmé aux facebookers qu'elle ne savait pas ce qu'était ou voulait dire la « GSA (Gay ― Straight Alliance) ».
Elle avait cependant remarqué que des personnes de son école qui, selon elle, avaient besoin d'une certaine aide, ne pouvaient la recevoir d'une telle organisation qui ne pouvait la fournir.
« Ils n'ont pas besoin de vivre dans la confusion de se demander s'ils devraient être gais, bisexuels, lesbiennes, transgenres ― quelque chose comme ça », disait-elle. « Et je sais que Dieu est le seul moyen de les guérir de ça. »
Les « dix mois en enfer » d’Agnès Thill, députée LREM, catholique et anti-PMA
Assemblée nationale française.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Christophe Eyquem/Wikimedia Commons
C’est vous dire s’il est difficile d’être catholique dans le parti d’Emmanuel Macron. Extrait de Valeurs actuelles :
Opposée à la « PMA pour toutes », la députée LREM Agnès Thill subit depuis dix mois la pression, le harcèlement et les moqueries des élus de la majorité, en raison notamment de sa foi catholique. Toujours membre du parti présidentiel, elle s’accroche à son rôle de « caillou dans la chaussure ».
Agnès Thill était soulagée, mardi, peu de temps après avoir été entendue par la commission des conflits de son parti, la République en Marche. Depuis qu’elle a manifesté publiquement son opposition à la « PMA pour toutes », la députée de l’Oise subit la pression permanente des membres de son groupe parlementaire. « Depuis dix mois, je vis un enfer », confie-t-elle. « Je suis harcelée par mes collègues, ma situation est réellement invivable, insupportable ». En sortant de son audition, elle estimait avoir enfin pu « expliquer [son] point de vue et remettre dans leur contexte les maladresses qui [lui] sont reprochées ». Si l’élue ne sera pas exclue — le parti l’a annoncé ce jeudi —, elle affirme être décidée à mettre fin à cette « violence inouïe » dont elle est systématiquement la cible.
De quoi parle-t-elle ? Dans une lettre envoyée à Gilles Le Gendre, Thill demande un « débat apaisé et serein », et prévient qu’elle déposera désormais plainte en cas de « nouvelle attaque » de la part de ses collègues, notamment sur sa vie privée et sa religion catholique.
« Vas-y, tiens-les Nick » : Trump approuve la poursuite de 250 millions de dollars de Sandmann contre le Washington Post
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Même s’il s’est avéré que les étudiants du Covington Catholic High School n’avaient pas harcelé, intimidé ou raillé l’Amérindien Nathan Phillips, faux vétéran du Vietnam par ailleurs, il se trouve encore des médias pour entretenir la légende du Méchant Blanc Trumpiste Éminemment Raciste. Le Washington Post est de ceux-ci, c’est pourquoi les avocats qui représentent Nicholas Sandmann, l'élève le plus visé dans toute l'affaire, poursuivent le journal pour 250 millions de dollars. Et Trump, qui se trouve être l’une des cibles du Washington Post, encourage ce jeune porteur de la casquette MAGA (Make America Great Again ou Rendre les États-Unis glorieux à nouveau). Extrait de LifeSiteNews :
Le président Donald Trump a offert son soutien moral à Nick Sandmann, l’élève du Covington Catholic High School, qui poursuit le Washington Post pour son rôle dans le récit fallacieux qui accusait Nicholas Sandmann et ses camarades de classe d’avoir harcelé un vieil Amérindien à la Marche pour la vie.
« Le Washington Post a ignoré les normes journalistiques de base parce qu’il voulait faire avancer son programme biaisé bien connu et rapidement documenté contre le président Donald J. Trump », écrivait le président sur Twitter mercredi matin. « Un étudiant de Covington poursuit le WAPO. Vas-y, tiens-les Nick. Fausses nouvelles ! »
Après la marche, la presse s’est emparée d’une vidéo qui montrait Sandmann et ses camarades de classe harcelant Nathan Phillips devant le Lincoln Memorial [...]
Après ça parurent des vidéos plus complètes exposant toute l’affaire et qui démentait complètement les dires du sieur Phillips, et de tous ceux qui avaient abondé en son sens. LifeSiteNews continue :
Beaucoup de ceux qui ont utilisé le récit original ont tout aussi rapidement effacé leurs condamnations initiales, mais comme certains essaient de le maintenir [le mythe] en vie, les avocats représentant les étudiants ont menacé de poursuivre en justice de nombreuses personnalités médiatiques et Phillips lui-même pour diffamation. Hier, les avocats représentant Sandmann ont annoncé une poursuite en diffamation de 250 millions de dollars contre le Washington Post.
Une mère arrêtée pour s’être adressée à un «transgenre» comme à un homme
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.Info) — Photo : tOrange.biz
Kate Scottow, une mère anglaise de 38 ans originaire de Hitchin en Grande-Bretagne, a été arrêtée parce qu’elle a osé s’adresser sur Twitter à un activiste Lgbt, de sexe masculin mais qui est en train de « changer » de sexe, comme à un homme.
Ce dernier a dénoncé madame Scottow à la police qui s’est rendue, début décembre, à son habitation pour l’arrêter. Elle a été emmenée en garde à vue sous les yeux de sa fille autiste de 10 ans et d’un autre de 20 mois qu’elle allaite encore. Cette jeune maman a passé ensuite 7 heures au poste de police.
A ce jour, son ordinateur et son téléphone portable ne lui ont pas encore été rendus. Elle reste mise en examen et un juge lui a ordonné de se référer au transsexuel comme à une femme.
Cette terrible histoire est un exemple frappant de la dictature violente orchestrée par l’État sous la pression des lobbies des invertis, déviants et autres adeptes de la contre nature… La liberté de parole ne vaut plus rien sur certains sujets : tout le monde doit plier à la novlangue et à la pensée unique, se soumettre à l’inversion totalitaire…
Bienvenus dans le monde orwellien gouverné par la Gaystapo !
Un adolescent catholique de Covington menace de poursuivre 54 médias, législateurs et célébrités
Nick Sandmann (à droite).
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : capture d'écran vidéo
Le mois dernier encore, les grands médias avaient produit une fausse nouvelle des plus flagrantes, des célébrités et des personnalités politiques avaient embarqué dans la condamnation des jeunes élèves du Covington College que les médias avaient prononcée. Ces élèves avaient été accusés de s’être moqués d’un amérindien âgé.
La mode ces temps-ci est à la chasse aux fausses nouvelles et la gauche bien-pensante les recherche avec fébrilité. Or, l’affaire des élèves de Covington montre à quel point ces médias, célébrités et politiciens (gauchistes) ne prennent pas le temps de vérifier la véracité d’un fait et qui plus est, d'une accusation ; de même que cela nous a montré combien les médias peuvent monter en épingle un fait anodin, anodin aussi bien dans sa vraie version que dans sa fausse.
Ce que je voudrais surtout vous faire remarquer, c’est la réaction de ces élèves, et de leur famille, c’est le simple fait qu’ils réagissent, qu’ils se défendent, qu’ils prouvent aux médias, et autres entités influentes qu’elles ne peuvent pas agir impunément, qu’elles ne peuvent calomnier ou diffamer sans souci.
Lire la suiteAsia Bibi viendra au Canada, la Cour suprême du Pakistan a maintenu l’acquittement de l’accusation de blasphème
Par Eric Pilon (Le Peuple)
La Cour suprême du Pakistan a confirmé l’acquittement de la chrétienne persécutée.
Asia Bibi, cette Pakistanaise […] chrétienne acquittée en novembre dernier des accusations d’avoir blasphémé l’islam après huit ans de purgatoire dans les geôles du Pakistan, serait sur le point de demander l’asile au Canada. C’est ce qu’a rapporté mardi le média HuffPost UK.
Mme Bibi avait été placée sur une « liste de contrôle de sortie » après son acquittement, ce qui lui interdisait de quitter le Pakistan. Mais la Cour suprême du pays a confirmé mardi sa décision d’annuler la condamnation à mort de la chrétienne, ce qui la libère définitivement de tout chef d’accusation.
Le Huffpost UK a cité un porte-parole de la British Pakistani Association, Wilson Chowdhry : « Je peux confirmer qu’Asia Bibi sera envoyée par avion au Canada très prochainement et que sa famille la rejoindra au moment opportun », a-t-il déclaré. Selon M. Chowdhry, deux filles de Mme Bibi auraient déjà été transportées secrètement au Canada.
Secrètement n’étant pas exagéré : au sein de la classe politique, le mot d’ordre est d’assurer la sécurité de Mme Bibi et de sa famille, et même en territoire canadien. Des islamistes avaient manifesté violemment au Pakistan en opposition à l’acquittement de la chrétienne. Un parti extrémiste, Tehreek-e-Labbaik (TLP), avait invité les Pakistanais à bloquer les principales routes des plus grandes villes du pays et en avait appelé à l’assassinat des juges de la Cour suprême qui avaient acquitté Mme Bibi.
C’est précisément pour des motifs de sécurité que le Royaume-Uni, le premier choix de Mme Bibi, a repoussé l’idée de l’accueillir. On craignait là-bas que les ambassades et le personnel diplomatique britanniques soient la cible d’extrémistes islamistes.
Un député polonais invite les étudiants de Covington, «injustement accusés» par les médias, au Parlement
Dominik Tarczyński, député polonais.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Adrian Grycuk/Wikimedia
Voici quelques nouvelles de ces jeunes gens qui se sont fait vilipender sur la place publique par les grands médias, au sujet d’une affaire où ils s’étaient fait importuner. Les grands médias répandent de ces fausses nouvelles que c’en est aberrant. Extrait de LifeSiteNews :
Lire la suiteUn député polonais a invité des étudiants catholiques américains de la Covington Catholic High School du Kentucky à prendre la parole au Parlement polonais après que ceux-ci aient été faussement accusés par les grands médias, au cours de la fin de semaine dernière, de se moquer d’Amérindiens devant le Lincoln Memorial, à Washington.
« Chers étudiants catholiques de Covington, j’aimerais vous inviter au Parlement polonais. Après avoir regardé cette vidéo, je me lève maintenant pour défendre ces jeunes gens accusés à tort et vous tous ! » a écrit Dominik Tarczyński, député conservateur au Parlement polonais et nouveau vice-président des Conservateurs européens au Conseil de l’Europe, dans un message Twitter du 20 janvier.
« Vous êtes les bienvenus pour venir nous parler de ce en quoi vous croyez, » a-t-il ajouté.
Dans une entrevue exclusive avec LifeSiteNews, Tarczyński a déclaré qu’il est « très important en ce moment » pour les garçons catholiques d’être « courageux » face aux reportages calomnieux qui les ont vilipendés.
De courageuses femmes pro-vie reçoivent des menaces et des vidéos de viols
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
C'est vous dire qu'être pro-vie n'est pas de tout repos, il faut être prêt à être calomnié, perdre des droits et se faire menacer. Il est difficile d'imaginer à quel point ces menaces peuvent être violentes, vicieuses et illogiques ; après tout, les partisans enragés de l'avortement qui sont la source de ces menaces, ne peuvent prétendre être pour le respect de la femme en en menaçant, surtout de cette façon-là. Extrait de LifeSiteNews :
Il y a huit mois, l’organisation pro-vie Live Action a publié une vidéo de trois minutes sur une jeune femme donnant un témoignage extraordinairement puissant sur son viol et sa grossesse. Jennifer Christie a expliqué à l’Assemblée législative de l’Iowa qu’elle avait été brutalement violée lors d’un voyage d’affaires, son corps meurtri ayant été laissé dans une cage d’escalier après l’attaque.
Malgré les horreurs qu’elle avait endurées, elle ne parlait pas au nom des victimes d’actes criminels, disait-elle. Elle parlait plutôt au nom des 32 000 femmes devenues enceintes après un viol — et des 75 % de ces femmes « qui donnent la vie à nos enfants ».
Mme Christie représentait Save the One, une organisation qui représente des personnes qui ont été conçues dans le viol, ainsi que des mères — comme elle-même — qui ont des enfants conçus par agression sexuelle.
[...]
La vidéo est devenue virale, recevant 1,4 million de visionnements jusqu’à maintenant. Jennifer s’attendait à des réactions pour avoir pris position. Tous les militants pro-vie le font. Ce à quoi elle ne s’attendait pas, c’est la perversité et la haine que certains pro-avortement allaient déchaîner contre elle.
Après que la vidéo soit devenue virale, quelqu’un lui a envoyé une vidéo de viol d’une femme. Il a été envoyé sur son compte Facebook personnel, par l’intermédiaire du compte d’un ami qui avait été piraté. La police lui a dit que c’était « probablement de la pornographie de viol »...
Asia Bibi acquittée par la Cour suprême du Pakistan, échappe après neuf ans à la peine de mort pour blasphème
Par Jeanne Smits (Réinformation.TV)
Le long calvaire, ou plutôt le lent martyre d’Asia Bibi s’arrête enfin au terme d’une procédure judiciaire qui aura duré neuf ans. Non, rien ne prouve qu’elle ait proféré quelque blasphème contre le « Prophète », le 14 juin 2009, et donc, elle ne mérite pas les rigueurs de la loi pakistanaise, qui est une loi de charia. L’arrêt de la Cour suprême du Pakistan a invalidé mercredi matin les décisions des juridictions inférieures et ordonné la libération immédiate de cette mère de famille chrétienne. Son exfiltration vers un pays chrétien est désormais la toute première urgence, car des manifestations protestant contre la décision de la Cour ont déjà paralysé plusieurs grandes villes du pays, et d’autres acquittés de ce type de crime ont déjà été lynchés par la foule en colère contre de semblables décisions, par le passé. L’analyse de la décision elle-même révèle cependant la dureté et l’emprise de la charia au Pakistan.
Neuf ans de détention dans une petite cellule sordide, sous la menace de ses codétenues musulmanes, le harcèlement des gardes qui lui répétaient qu’elle méritait d’être pendue, la séparation d’avec son mari et ses enfants : Asia Bibi a souffert pour sa foi et dans une certaine indifférence de la communauté internationale qui, sans être totale, l’a laissée dans la soumission vis-à-vis de juges qui n’auraient pas eu d’états d’âme à confirmer sa condamnation à mort s’ils avaient jugé que les faits étaient établis.
Asia Bibi acquittée : la Cour suprême du Pakistan a pris une décision courageuse
La lecture du jugement de 56 pages se révèle du plus haut intérêt. On peut en retenir plusieurs points essentiels.
Lire la suiteUne journaliste pro-vie est la cible de menaces de mort et de viol
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : D.C. McAllister/DailyWire
Quand je pense que certains proavortement prétendent que les pro-vie sont dangereux, c'est plutôt le contraire qui est vrai, à savoir qu'il y a des partisans de l'avortement violents.
Extrait du DailyWire :
Après avoir publié un fort message pro-vie sur Twitter la semaine dernière, la journaliste et commentatrice D.C. McAllister, collaboratrice du Daily Wire et de PJ Media, a contacté la police et quitté les médias sociaux après une série de «menaces authentiques de mort et de viol», dont des menaces visant sa famille.
Cette situation alarmante commença avec un tweet, que McAllister a posté la semaine dernière, critiquant «l'hystérie de l'avortement.»
«À la racine de l'hystérie de l'avortement, il y a le désir débridé des femmes d'avoir des rapports sexuels irresponsables. Le sexe est leur dieu. L'avortement est leur sacrement,» écrivit McAllister. «C'est odieux, car les femmes sont passées des sommets, être la force civilisatrice du monde, à la boue de la dépravation déshumanisante.»
Outre l'indignation prévue de la clique proavortement en ligne, McAllister, une survivante de viol, a révélé qu'elle a commencé à recevoir des menaces, en dehors de Twitter, qui l'inquiétaient suffisamment elle ainsi que sa famille pour qu'elle se sente obligée de contacter les autorités.