Les vaccins covid-19 et l’utilisation de cellules problématiques, prélevées sur des bébés avortés, pour leur développement
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) ― Photo (rognée) : Freepik
Voici un article complémentaire de Pamela Acker, où elle fournit ses source. ― A. H.
Je vous propose ci-dessous ma traduction intégrale, à quelques détails près, de la transcription de l’entretien réalisé par John-Henry Westen de LifeSiteNews avec Pamela Acker, spécialiste des questions vaccinales. Cette jeune femme, remarquablement structurée dans sa tête, apporte des réponses claires et pertinentes sur la dangerosité et les risques de différents vaccins COVID, de leur mode d’élaboration et de leurs effets secondaires insuffisamment connus sur la durée.
Surtout, elle évoque la question de l’utilisation de cellules fœtales obtenues à partir d’avortement (et pas qu’un seul !), à la fois dans la phase de développement et de contrôle qualité, que dans le vaccin lui-même, s’agissant des vaccins développés par Astra Zeneca et Johnson & Johnson.
Est-il moral d’avoir recours à ces vaccins ? C’est une question sur laquelle je reviendrai dans les jours à venir, notamment avec le concours de Mgr Athanasius Schneider qui rejette les arguments de ceux qui n’y voient qu’une très, très lointaine coopération au mal.
Chose à laquelle on ne pense pas souvent dans ce dossier, ce n’est pas un bébé qui a été avorté pour obtenir ces précieuses cellules, mais plusieurs centaines ; les prélèvements ont été faits dans certains cas dans des conditions d’une affreuse cruauté ; l’utilisation des lignées de cellules embryonnaires prospère, notamment parce que personne n’exige des vaccins « éthiques ».
Je vous laisse découvrir ce passionnant entretien, dont la vidéo a été censurée par YouTube. Elle est actuellement disponible sur Rumble (pour voir la vidéo, cliquez ici). La retranscription anglaise est ici. Il est long, mais c’est un document qui doit faire partie du débat. – J.S.
Lire la suiteLe gouvernement Trudeau prévoit administrer aux Canadiens « 358 millions de doses » de vaccins covid-19 en 2 ans
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : peoplecreations/Freepik
Le gouvernement dresse des plans afin d’administrer jusqu’à « 358 millions de doses » sur deux ans de divers vaccins covid-19 aux Canadiens, d'après un document du gouvernement, rapporte LifeSiteNews :
« L’Agence de santé publique du Canada (ASPC) a conclu des ententes avec Astra Zeneca, Sanofi et GlaxoSmithKline, Novovax, Johnson & Johnson, Pfizer, Medicago et Moderna pour obtenir jusqu’à 358 millions de doses de leurs vaccins candidats contre la COVID-19 », peut-on lire dans l’annexe A.
Trois des vaccins en vus sont cultivés sur des lignées cellulaires de bébé avorté, souligne LifeSiteNews :
Certains des potentiels vaccins COVID-19 du gouvernement fédéral sont en cours de développement et utilisent des lignées cellulaires développées à partir de tissus de bébés avortés.
Moderna et AstraZeneca utilisent la lignée cellulaire HEK-293, qui a été dérivée du tissu rénal d’un bébé sain ayant avorté aux Pays-Bas dans les années 1970, et Johnson & Johnson utilise la lignée cellulaire PER.C6, qui a été développée à partir du tissu rétinien d’un bébé avorté dans les années 1980.
Les vaccins COVID-19 de GlaxoSmithKline, Novovax, Sanofi, Pfizer et Medicago n’utilisent pas, à notre connaissance, de telles lignées cellulaires dans le développement de leurs vaccins.
L’admirateur de la dictature chinoise Justin Trudeau (c’est de famille…) s’est permis de dire qu’il réfléchissait à la possibilité de rendre le vaccin contre le coronavirus obligatoire, ce qui nous en dit long sur ce qu’il pourrait faire. D’après LifeSiteNews :
Au printemps, M. Trudeau déclara qu’il avait besoin de temps pour « réfléchir » à la possibilité de rendre obligatoire un vaccin contre le coronavirus au Canada, à la façon et au moment où il sera disponible.