Un député néerlandais, réduit au silence pour avoir dénoncé la réalité de l’avortement, publie une vidéo pro-vie percutante
Gideon van Meijeren.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gideon van Meijeren/X
20 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Un parlementaire néerlandais qui a été empêché de parler de l’avortement lors d’une réunion du comité sur l’éthique médicale tenue à la Chambre des représentants des Pays-Bas a publié une vidéo virale expliquant pourquoi il a été réduit au silence — et qui expose en détail la barbarie de l’avortement. Il s’agit de l’une des dénonciations les plus honnêtes et les plus percutantes de l’avortement faite par un homme politique européen au cours des dernières années.
La réunion de la commission s’est tenue le 15 janvier et l’ordre du jour prévoyait des discussions sur la communication annuelle des chiffres relatifs à l’avortement, à l’euthanasie et à la recherche sur les embryons. Chaque membre de la commission devait disposer d’un temps de parole de quatre minutes, après quoi les autres membres pouvaient leur poser des questions. Gideon van Meijeren, député du parti Forum pour la démocratie (FvD), a profité de son temps de parole pour évoquer le nombre croissant d’avortements aux Pays-Bas.
« Aujourd’hui, nous débattons de l’éthique médicale et, par essence, de la question de savoir ce qui est bien et ce qui est mal d’un point de vue médical », a déclaré M. Van Meijeren à la commission. « Je voudrais attirer l’attention sur la limite incroyablement tardive de l’avortement autorisée aux Pays-Bas. Et avant d’en arriver là, je voudrais souligner que toute femme qui se trouve dans une situation d’urgence en raison d’une grossesse non planifiée mérite sans aucun doute d’être aidée, soutenue et conseillée. Ce qui m’importe le plus, c’est de pouvoir choisir une solution qui protège à la fois la mère et l’enfant à naître ».
« Les Pays-Bas sont le seul pays de l’Union européenne où les avortements sont autorisés jusqu’à 24 semaines », a-t-il poursuivi. « Dans la plupart des pays qui nous entourent, la limite est fixée à dix ou douze semaines. Pour illustrer mon propos, j’ai ici un modèle anatomique de fœtus. » Il a fouillé dans son sac et en a sorti un modèle de fœtus. Le président de séance, le député Mohammed Mohandis, l’a immédiatement interrompu.
Lire la suiteAux Pays-Bas, l’euthanasie d’une jeune femme de 22 ans évitée à la dernière minute
Par Wesley J Smith, publié à l’origine par le National Review et repris par la Coalition pour la prévention de l’euthanasie — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Martin Barraud/Caia Image
— Pourquoi vous opposez-vous à l’euthanasie, Wesley ? Si les gens veulent mourir, nous devrions les aider à mourir.
— Non. Et voici un exemple individuel qui explique juste une des raisons. Aux Pays-Bas, une femme profondément déprimée était sur le point de recevoir une injection létale, mais elle a changé d’avis juste à temps. Extrait de l’article du New York Post :
Lire la suiteRomy, 22 ans, qui souffrait de dépression clinique, de troubles de l’alimentation et d’anorexie à cause d’abus survenus dans son enfance, a pris la décision déchirante de mettre fin à ses jours conformément à la législation néerlandaise, qui autorise l’euthanasie dans certaines circonstances.
Or, elle a décidé de ne pas aller de l’avant au tout dernier moment.
Après ses 18 ans, Romy a fait campagne pendant quatre ans pour défendre son droit de mourir par une aide à mourir volontaire (VAD) auprès des médecins, des autorités et de sa famille. Mais en 2023, lorsqu’elle s’est retrouvée allongée sur un lit d’hôpital dans la ville néerlandaise de Leiden, elle a soudain changé d’avis. Plus tôt dans la journée, elle avait vu le cercueil dans lequel elle serait emmenée à la morgue.
Une femme autiste de 28 ans sera euthanasiée aux Pays-Bas
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Masson/Adobe Stock
Selon le Daily Wire, une Néerlandaise de 28 ans ne souffrant d’aucune maladie physique va mourir par euthanasie uniquement parce qu’elle est déprimée.
Zoraya ter Beek affirme qu’elle souffre de problèmes de santé mentale, d’autisme et d’un trouble de la personnalité limite, et que son psychiatre lui a dit : « Nous ne pouvons rien faire de plus pour vous. Cela ne s’améliorera jamais ».
Elle a déclaré à The Free Press : « J’ai toujours été très claire sur le fait que si ça ne s’améliorait pas, je ne pouvais pas continuer ».
Son suicide est prévu pour le début du mois de mai et elle prévoit d’être incinérée car, dit-elle, « je ne voulais pas imposer à mon partenaire la tâche de garder la tombe propre ». Nous n’avons pas encore choisi d’urne, mais ce sera ma nouvelle maison ! Elle a toutefois précisé que son compagnon disperserait ses cendres dans un endroit qu’ils ont choisi dans les bois.
Lire la suiteLa loi néerlandaise autorisant l'euthanasie des enfants entre en vigueur
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
Le 1er février, une loi néerlandaise autorisant l'euthanasie des enfants en phase terminale est entrée en vigueur. Cette loi légalise l'euthanasie des enfants âgés de 1 à 12 ans qui sont considérés comme « souffrant désespérément et de manière insupportable ».
Auparavant, le pays autorisait l'euthanasie des enfants de plus de 12 ans, ainsi que des nourrissons de moins d'un an qui pouvaient être tués si leurs parents et leurs médecins étaient d'accord et s'ils étaient atteints d'une maladie qualifiée de terminale ou s'ils étaient confrontés à de graves souffrances. En 2023, les législateurs ont adopté une extension controversée des directives d'éligibilité pour inclure les enfants de tous âges.
Selon les articles, les nouvelles directives stipulent que « l'opinion de l'enfant doit être recherchée autant que possible d'une manière appropriée à la compréhension et à l'âge de l'enfant », bien que les parents puissent décider de faire euthanasier leur enfant en collaboration avec un médecin même si l'enfant ne veut pas ou ne peut pas donner son consentement.
Lire la suiteLa double euthanasie de l’ancien premier ministre des Pays-Bas, Dries van Agt, et de sa femme
Dries van Agt.
Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : Veer0318/Wikimedia Commons
L’ancien premier ministre néerlandais Dries van Agt a été euthanasié le 5 février conjointement avec son épouse Eugénie, trois jours après son 93e anniversaire qu’il semble avoir fêté avec ses amis. La nouvelle de sa mort a été diffusée seulement après leur enterrement dans l’intimité, au moyen d’un avis de décès précisant qu’ils étaient morts « la main dans la main », et depuis lors la presse mondiale se penche sur l’événement présenté comme une sorte de couronnement enviable de leurs plus de soixante-dix ans de vie commune, puisqu’ils s’étaient mariés en 1958 après s’être connus à l’université catholique de Nimègue. Car ce Brabançon était catholique, en effet, et avait même à l’occasion plaidé pour le retour de la messe « d’avant le concile », tout en se montrant de moins en moins attaché aux « dogmes » et de moins en moins conservateur. Lui qui s’était fait connaître pour sa tentative manquée de faire fermer une clinique d’avortement s’est révélé au fil de sa vie de plus en plus progressiste. Jusqu’à obtenir une sorte d’euthanasie « complice »…
En attirant délibérément l’attention sur ce fait, l’homme politique et la seule femme de sa vie ont assumé le fait de promouvoir ce type de mort choisie à deux. La double euthanasie reste exceptionnelle aux Pays-Bas, ne représentant qu’un tout petit pourcentage des morts médicalement administrées ; les derniers chiffres connus évoquent 29 morts de couple (soit 58 personnes) en 2022, sur un total de 9 000 euthanasies. C’est un nombre qui augmente doucement mais sûrement : en 2021, 16 couples ont obtenu d’être éliminés ainsi, en 2020, ils étaient 13.
Lire la suiteDébat sur la « vie achevée » aux Pays-Bas — l’euthanasie à l’âge de 75 ans
Par Wesley J. Smith (National Review) — republié par la Coalition pour la prévention de l’euthanasie — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Prostock-studio/Adobe Stock
Une fois qu’une société adopte le meurtre comme réponse à la souffrance, la « souffrance » qui permet d’y mettre fin ne cesse de s’étendre.
Les Néerlandais ont des décennies d’expérience en la matière. Depuis que l’euthanasie par injection létale a été décriminalisée, puis officiellement légalisée, la caste des personnes pouvant être tuées s’est élargie, passant des malades en phase terminale aux malades chroniques, aux personnes handicapées, aux bébés nés avec de graves problèmes de santé, aux malades mentaux, etc. De plus, l’euthanasie est parfois associée au prélèvement d’organes, ce qui constitue une prune pour la société — et une incitation à se faire tuer.
La normalisation de l’homicide médical corrompt la pensée des gens, ce qui explique pourquoi une énorme majorité dans un sondage néerlandais soutient maintenant l’autorisation de l’euthanasie pour une « vie achevée ». Extrait de l’article du NL Times :
Lire la suiteLes électeurs sont beaucoup plus progressistes à l’égard du projet de loi D66 visant à autoriser le suicide assisté pour les personnes qui estiment que leur vie est achevée que les partis politiques eux-mêmes. Un pourcentage massif de 80 % des électeurs estime que les gens devraient pouvoir bénéficier du suicide assisté lorsqu’ils se sentent en fin de vie, rapporte Trouw sur la base d’un sondage Kieskompas réalisé auprès de près de 200 000 personnes.
Seuls 10 % des répondants n’étaient pas d’accord avec l’affirmation selon laquelle les personnes qui considèrent que leur vie est terminée devraient pouvoir mettre fin à leurs jours avec l’aide d’un professionnel. Les 10 % restants n’avaient pas d’avis sur la question.
Des personnes sont euthanasiées aux Pays-Bas pour cause d’autisme
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : stokkete/Adobe Stock
Un nouveau rapport sur l’euthanasie aux Pays-Bas a révélé que de nombreuses personnes souffrant d’autisme ou atteintes de déficience intellectuelle ont été euthanasiées uniquement parce qu’elles estimaient ne pas pouvoir mener une vie « normale ».
Irene Tuffrey-Wijne, spécialiste des soins palliatifs à l’université britannique de Kingston, a dirigé une étude dans laquelle elle a examiné 900 dossiers entre 2012 et 2021, et découvert 39 cas concernant des personnes autistes ou présentant une déficience intellectuelle.
Au début de l’année, il a été révélé que les Pays-Bas avaient tué un nombre record de personnes par euthanasie, dont 115 ne souffraient d’aucune maladie autre que psychiatrique. L’euthanasie est peu réglementée dans ce pays, ce qui permet de tuer des personnes handicapées ou autistes — comme l’a découvert Tuffrey-Wijne — alors qu’elles ne sont pas du tout malades physiquement.
Dans de nombreux cas, des problèmes sociaux ont été mentionnés comme cause de la souffrance. Une patiente, une femme de moins de 30 ans, était « incapable de se faire des amis et s’était retrouvée isolée, y compris au sein de sa propre famille ». Un homme de 70 ans a été décrit comme n’ayant jamais été capable de « suivre la société » et ses « traits autistiques faisaient en sorte qu’il lui était de plus en plus difficile de s’adapter aux changements autour de lui ». Un homme d’une quarantaine d’années souffrait « d’anxiété, de plaintes compulsives et de solitude en raison des limitations liées à l’autisme, aux troubles obsessionnels compulsifs, aux lésions cérébrales acquises et aux troubles de la personnalité ».
Lire la suiteUn Néerlandais condamné à une peine de prison avec sursis pour avoir aidé sa petite amie à se suicider
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Ake/Rawpixel
Un Néerlandais a été condamné à trois mois de prison avec sursis pour avoir aidé sa compagne à se suicider, après avoir reconnu son crime.
L’homme, Michel, 45 ans, a été condamné mardi pour avoir aidé Evelien, 39 ans, à mettre fin à ses jours. Selon CNE News, elle était gravement malade et avait dit qu’elle voulait mourir. En tant que principal soignant, Michel a admis l’avoir aidée à se suicider dans un prétendu acte d’amour et a déclaré qu’il restait fidèle à sa décision.
« Elle avait toujours des vertiges et ne pouvait plus marcher », a-t-il déclaré. « Elle ne pouvait pas se lever, aller aux toilettes, ni même bouger ».
Malgré la détérioration de son état de santé, RTL Nieuws rapporte que les médecins n’ont pas trouvé la cause de ses problèmes médicaux, bien qu’un médecin allemand ait pensé qu’il s’agissait de la maladie de Lyme. Ce diagnostic n’a cependant pas semblé apporter de traitement, car il n’a pas pu être transféré au système de santé néerlandais, selon les rapports.
Sans diagnostic officiel, Evelien n’a pas reçu de traitement et n’était pas admissible à l’euthanasie. Elle et Michel ont donc planifié sa mort ensemble, et Michel l’a filmée pour tenter de montrer qu’il n’avait pas tué Evelien. Une fois morte, il a appelé un médecin et la police.
Lire la suiteL’euthanasie des enfants de moins de 12 ans bientôt légale aux Pays-Bas : illustration du glissement barbare des lois de mort
Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : WavebreakMediaMicro/Adobe Stock
Le gouvernement des Pays-Bas a confirmé qu’un projet en l’air depuis plus d’un an sera traduit en droit avant la fin de cette année : la légalisation de la mise à mort médicale d’enfants ayant entre 1 et 12 ans deviendra ainsi possible dans le cas de « souffrances physiques insupportables et sans perspective » en fin de vie et ne cédant devant aucun traitement. Le terme d’« euthanasie » des enfants a été repris par de nombreux médias mais juridiquement, il s’agira d’autre chose : de l’application d’un protocole de « fin de vie » par décision du corps médical en accord avec les parents. Sur le plan du langage ordinaire, toutefois, le terme d’« euthanasie » correspond bien à ce qui se met actuellement en place.
Mais dans la loi néerlandaise, l’euthanasie fait nécessairement suite à une demande du patient, qu’elle soit actuelle ou qu’elle résulte de ses directives anticipées.
La campagne médiatique qui a précédé cette initiative depuis plus d’un an, et la complicité d’une grande partie de la presse néerlandaise qui insiste sur le « soulagement » des parents qui restent impuissants devant l’épreuve de la maladie de leur enfant, ont rendu possible cette nouvelle transgression. C’est l’illustration du principe du glissement vers toujours plus de barbarie, une fois que l’interdit de tuer l’innocent, point fondamental de la loi naturelle inscrite dans le cœur de tout homme (mais parfois bien obscurcie…) a été écarté. Cela étant acquis, les étapes suivent à leur rythme, selon les pays et l’évolution des mentalités.
La pente glissante de l’euthanasie
Le verrou de l’interdit frappant la mort donnée à celui qui souffre (comme dans l’euthanasie), ou à celui qui arrive au mauvais moment (comme dans l’avortement) a donc sauté. Et les Pays-Bas sont passés par de multiples évolutions déjà : celle du nombre (une mort sur vingt y résulte déjà d’une euthanasie), celle des nouveaux cas justifiant l’euthanasie — souffrance psychique, maladie cognitive en voie d’aggravation, multiplication d’affections dont aucune n’est mortelle, état de démence accompagné d’une déclaration de demande d’euthanasie préalable, euthanasies en couple — celle du regard public sur la mort choisie. L’euthanasie des mineurs (de 12 à 16 ans avec l’accord parental, puis jusqu’à 18 ans sans cet accord, même si les parents doivent être impliqués dans la discussion) est possible depuis que la loi néerlandaise d’euthanasie, la première au monde, est entrée en vigueur en 2002.
Pour les bébés de moins de 1 an, la mise à mort délibérée par voie médicale est possible aux Pays-Bas depuis 2004 selon le « protocole de Groningue » mis sur pied par des pédiatres et des officiers de justice de cette ville pour répondre aux cas où « la seule façon de mettre fin à la douleur » serait de « laisser mourir le patient de manière très minutieuse », sans pour autant encourir une accusation de meurtre
Lire la suiteMgr Mutsaerts: le synode sur la synodalité comporte «trop de défenseurs du mariage homosexuel» et de l’avortement
Mgr Robert Mutsaerts, évêque auxiliaire de Bois-le-Duc aux Pays-Bas.
Traduction d’un blogue de Mgr Rob Mutsaerts (Paarse Pepers) par Riposte catholique
Sur son blogue, Mgr Rob Mutsaerts, évêque auxiliaire de Bois-le-Duc (Pays-Bas), dénonce le processus synodal :
Le jeudi 27 octobre, le Secrétariat du Synode des évêques à Rome a présenté le document de travail pour la phase continentale du synode « Pour une Église synodale : communio, participatio, missio ». Cette déclaration a été faite lors d’une conférence de presse présidée par le cardinal Grech et tenue au centre de presse du Saint-Siège à Rome. Le document était intitulé « Augmente l’espace de ta tente » (Ésaïe 54:2). Sur la base de tous les documents finaux des réunions dans les différents Continents, le Secrétariat du Synode des Évêques compile ensuite l’Instrumentum Laboris, le document de travail pour les réunions synodales de 2023 et 2024.
Le mantra du processus est : Écouter. Qui ? Tout le monde. Le document de travail contient un bon nombre de citations.
« Ces citations ont été choisies parce qu’elles expriment de manière particulièrement puissante, belle ou précise des sentiments qui sont exprimés plus généralement dans de nombreux rapports. L’expérience synodale peut être lue comme une voie de reconnaissance pour ceux qui ne se sentent pas suffisamment reconnus dans l’Église. »
Les contours du processus synodal sont de plus en plus clairs. Il fournit un mégaphone pour les opinions non religieuses. Le document indique où le chemin synodal devrait finalement mener :
« Cela signifie une Église qui apprend en écoutant comment renouveler sa mission évangélisatrice à la lumière des signes des temps, afin de continuer à offrir à l’humanité une manière d’être et de vivre dans laquelle tous peuvent se sentir inclus comme protagonistes ».
Qui sont ceux qui se sentent exclus ? Par. 39 :
Lire la suite« Parmi ceux qui appellent à un dialogue plus significatif et à un espace plus accueillant, nous trouvons aussi ceux qui, pour diverses raisons, ressentent une tension entre l’appartenance à l’Église et leurs propres relations d’amour, comme : les divorcés remariés, les parents isolés, les personnes vivant dans des mariages polygames, les personnes LGBTQ, etc. »