Le Nouveau-Brunswick retire ses mesures vaccinales pour les épiceries devant le tollé public
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Farknot Architect/Adobe Stock
20 décembre 2021, Fredericton, Nouveau-Brunswick (LifeSiteNews) — Les Canadiens non vaccinés du Nouveau-Brunswick sont maintenant autorisés à accéder de nouveau à toutes les épiceries, après que la pression intense de la population ait conduit le gouvernement à se rétracter de sa politique qui laissait aux entreprises le soin de [décider comment] traiter les personnes qui refusent le vaccin COVID, contaminé par l’avortement.
Vendredi, la province du Nouveau-Brunswick a fait marche arrière sur un aspect de son « plan d’hiver » COVID-19 qui obligeait les épiceries soit à appliquer la distance sociale, soit à exiger que tous les clients soient « entièrement vaccinés ». Cette mesure avait été initialement mise en place le 4 décembre et avait immédiatement suscité une forte opposition de la part de la population, des médias indépendants et du Justice Centre for Constitutional Freedoms (JCCF).
« Une option permettant aux magasins qui vendent des produits d’épicerie de demander aux clients de 12 ans et plus une preuve de vaccination, au lieu de mettre en œuvre des exigences de distanciation, est retirée du décret obligatoire de la province », a écrit la province vendredi. « L’intention initiale était de donner le choix aux magasins, et que ceux qui choisissent l’option de la preuve de vaccination offrent la livraison ou le ramassage en bordure de rue ; il n’a jamais été question que quiconque croie qu’il ne pouvait pas avoir accès aux produits d’épicerie. »
Trois jours seulement après l’annonce de la mesure coercitive, la JCCF a envoyé une « mise en demeure » à la province pour lui reprocher sa politique ─ désormais annulée ─ tout en l’informant que la mesure transgressait la loi.
Lire la suite« Je préfère mourir que de perdre ma liberté » : le président brésilien dénonce les passeports vaccinaux
Jair Bolsonaro, président du Brésil.
Par Tim Jackson — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Palácio dol Planalto/Flickr
10 décembre 2021, Brésil (LifeSiteNews) — Le président brésilien Jair Bolsonaro a comparé les passeports vaccinaux à une laisse pour chien alors que son administration se bat pour empêcher la mesure discriminatoire d’être mise en œuvre au niveau fédéral au Brésil.
L’ancien officier de l’armée a déclaré aux journalistes au Palácio do Planalto, à Brasília, qu’il « préférerait mourir » plutôt que de perdre sa liberté.
« Nous avons demandé [au régulateur de la santé], pourquoi le passeport sanitaire ? Quelle est cette laisse qu’ils veulent mettre au peuple brésilien ? Où est notre liberté ? Je préfère mourir que de perdre ma liberté », a déclaré M. Bolsonaro.
Suite à ces commentaires, le ministre brésilien de la Santé, Marcelo Queiroga, a confirmé que l’administration avait exclu d’exiger un certificat de vaccination contre le COVID-19 pour les voyageurs entrant dans le pays, déclarant aux journalistes qu’« on ne peut pas faire de discrimination entre les personnes vaccinées et non vaccinées pour imposer des restrictions ».
« Parfois, il vaut mieux perdre sa vie que de perdre sa liberté », a ajouté M. Queiroga.
Le régulateur national de la santé, Anvisa, avait recommandé d’exiger une preuve de vaccination des voyageurs étrangers dans les aéroports, la Cour suprême du Brésil ayant déterminé que le gouvernement devait exposer sa position cette semaine.
En annonçant sa décision de rejeter les laissez-passer pour le vaccin COVID, l’administration Bolsonaro a toutefois instauré une nouvelle obligation pour les voyageurs non vaccinés, qui devront rester en quarantaine à partir de samedi dans un lieu de leur choix pendant cinq jours avant de subir un test PCR.
Lire la suiteLe tyran Legault impose le passeport covid pour les messes de Noël
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Ian Livesey/Flickr/rawpixel
Legault impose le « passeport vaccinal » aux lieux de culte dès le lundi 20 décembre, donc pour Noël. D’après le site du Gouvernement du Québec :
À compter du 20 décembre 2021, le passeport vaccinal sera requis dans les lieux de culte et les spas (sauf pour soins personnels). Pour les mariages et les funérailles, possibilité de tenir une cérémonie sans passeport vaccinal avec un maximum de 25 personnes.
Ainsi, pour un vaccin qui n’est même pas censé arrêter la prétendue propagation du « variant Omicron », les Québécois non vaccinés seront privés de messe de Noël. C’est donc une mesure qui n’a en soi aucune raison pratique, mais qui vise plutôt à punir les gens exerçant leur sens critique par rapport aux agissements du gouvernement (sans compter que l’État empiète sur les prérogatives de l’Église se faisant – encore un exemple de la malfaisance de l’État laïciste, quand il considère que l’Église ne doit pas être prise en compte dans ses lois, sa « neutralité » le conduit à entraver l’Église dans les situations prétendument d’« urgence », comme n’importe quel commerce « non essentiel »…).
Ceci représente un geste antichrétien, les évêques réagiront-ils ?
Le cardinal Müller dénonce le Great Reset : le covid est utilisé pour établir un « état de surveillance » mondial
Cardinal Gerhard Müller.
Par Pierre-Alain Depauw (Medias Presse Info)
« Je ne veux pas être sauvé et créé à l’image et à la ressemblance de Klaus Schwab ou de Bill Gates, ou de Soros et d’autres personnes de ce genre », a déclaré le cardinal Gerhard Müller.
Le cardinal Gerhard Müller, ancien préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, a averti que les partisans de la grande réinitialisation utilisent le COVID comme une opportunité pour « soumettre le peuple à un contrôle total et établir un état de surveillance. »
Mgr Müller a fait ce commentaire dans une interview accordée à l’Institut autrichien Saint-Boniface ce mois-ci.
L’interview, menée en allemand, a été intégralement publiée aujourd’hui, mais de courts extraits avaient été envoyés plus tôt.
Le cardinal Müller a parlé de la façon dont le COVID est utilisé par les élites mondialistes comme un moyen d’inaugurer leur programme de grande réinitialisation (le Great Reset promu par le Forum économique mondial).
Il a expliqué que les restrictions sont en partie « nées de la volonté de saisir cette opportunité pour soumettre le peuple à un contrôle total [et] pour établir un état de surveillance, tout comme les partisans de la Grande Réinitialisation l’ont dit eux-mêmes ».
Le cardinal allemand a cité le fondateur et président exécutif du Forum économique mondial (WEF), Klaus Schwab, qui a décrit la pandémie de COVID-19 comme une « opportunité » de mettre en œuvre le Great Reset lorsqu’il a écrit dans un article de juin 2020 que « la pandémie représente une fenêtre d’opportunité rare mais étroite pour réfléchir, réimaginer et réinitialiser notre monde. »
Lire la suitePas de piqûre, pas de nourriture, au Nouveau-Brunswick
Par David Cooke (Campaign Life Coalition) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Bits and Splits/Adobe Stock
« Si quelqu’un ne veut pas travailler, qu’il ne mange pas non plus. » (2 Thessaloniciens 3:10)
L’apôtre Paul a écrit cette maxime pour s’adresser à ceux qui refusaient de travailler et de gagner leur vie. Contrairement à ceux qui ne pouvaient pas travailler en raison de leur âge ou de leur maladie, ceux qui ne voulaient pas travailler par paresse ne devaient s’attendre à aucun avantage particulier. L’apôtre dit qu’il n’y a pas de gratuité pour les flâneurs intentionnels.
Avance rapide de 2 000 ans jusqu’au 22e mois de la crise du COVID au Nouveau-Brunswick. D’une manière ou d’une autre, le principe inspiré par saint Paul a été perverti et complètement inversé. Nous entendons maintenant une nouvelle maxime de la part de nos dirigeants politiques, qui ressemble à ceci :
« Celui qui ne veut pas être vacciné, qu’il ne mange pas non plus. »
C’est ce que dit l’« évangile » du premier ministre du Nouveau-Brunswick, Blaine Higgs. Le premier ministre a donné le feu vert aux épiceries de la province pour refuser l’entrée aux personnes non vaccinées. Pouvez-vous le croire ?
Peut-être que ce concept paraît vertueux aux yeux de nos politiciens. Ils pensent peut-être que cela « motivera » davantage de personnes à se faire piquer. Mais le fait est que : c’est absolument cruel et inhumain. Et c’est la chose la plus éloignée de l’Évangile du Christ !
Si une personne refuse de travailler, ne gagne pas d’argent et ne peut pas acheter de nourriture, il est vrai qu’elle a créé son propre dilemme.
Pourtant, même les personnes qui refusent délibérément de travailler sont souvent les bénéficiaires de la bonté des dons alimentaires ou des programmes gouvernementaux financés par les contribuables. Et même les grands criminels qui ont tué et violé reçoivent une allocation quotidienne de nourriture lorsqu’ils sont incarcérés dans les prisons gérées par le gouvernement.
Mais si une personne est heureuse de travailler, mais n’est pas autorisée à acheter de la nourriture en raison d’une politique gouvernementale contre les personnes non vaccinées, c’est le gouvernement qui crée son dilemme !
Lire la suitePasseport vaccinal pour les messes de Noël
Blogue de Jacques T. — Photo : Librairy of Congress/Wikimedia Commons
C’est le cas pour le diocèse de Chicoutimi mais aussi pour celui de Sherbrooke, [dans certaines églises de] Montréal et ailleurs :
- Messes Noel2021.pdf (diocesedesherbrooke.org)
- Messes de la veille de Noël - L’Oratoire Saint-Joseph du Mont-Royal | L’Oratoire Saint-Joseph du Mont-Royal
- Preuve vaccinale : les églises de l’Î.-P.-É. veulent y être soumises | Radio-Canada.ca
Comme « service essentiel », les églises ne seraient pas obligées de l’exiger mais elles le font de leurs propres initiatives. Un « vivre ensemble » sans les « non-vaccinés » qui est nécessairement un « vivre séparé ». Peuvent-ils encore sincèrement prétendre croire à la « communion », à l’Église, au Christ et à l’Évangile ?
Voir : Certaines églises du diocèse de Chicoutimi exigeront le passe sanitaire pour les messes de Noël. Voir les horaires sur le site du diocèse :
http://www.evechedechicoutimi.qc.ca/page/messes-de-noel-2021-et-du-jour-de-an-2022/
«Un hôpital canadien a essayé de refuser ma fille non vaccinée ayant des besoins spéciaux — voici ce que j’ai fait»
Par Celeste McGovern — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : VadimGuzhva/Adobe Stock
12 novembre 2021 (LifeSiteNews) — Ma fille avait un rendez-vous en cardiologie à l’hôpital Halifax Infirmary cette semaine. Nous nous sommes présentés aux portes d’entrée et il y avait une file d’attente pour entrer. Je n’avais jamais vu de queue à l’entrée d’un hôpital auparavant. Cela ressemblait à une file d’attente soviétique pour du pain. Il s’est avéré que l’hôpital n’était pas engorgé par les patients du COVID-19 ; le ralentissement était dû à un poste de sécurité à l’intérieur de la porte, où un garde arrêtait tout le monde et demandait à voir leurs preuves de vaccination.
Je me suis dit : « C’est une blague ». Quelques jours avant la visite, j’avais reçu un de ces appels de contrôle pré-visite désormais standard, où l’on me pose une liste de questions COVID : Êtes-vous fiévreuse ? Avez-vous voyagé à l’extérieur de la province au cours des 14 derniers jours ? Avez-vous été testée positif au COVID-19 ? Est-ce que quelqu’un de votre entourage a été testé positif au COVID-19 ? J’avais répondu non à toutes. Mais il n’y avait pas eu de question sur notre statut vaccinal.
Quand le gardien de sécurité à la porte a demandé nos papiers, et que j’ai dit que nous n’en avions pas, il a dit que nous n’étions pas autorisées à entrer. « Je ne pense pas que ce soit correct », ai-je objecté. « Elle a un rendez-vous en cardiologie. C’est un service essentiel. Je pense que vous feriez mieux de me laisser parler à quelqu’un. »
Il a donc pris nos noms et nous a conduites à une petite section d’attente dans une zone vitrée avec quelques chaises où était assis un type d’une soixantaine d’années. Il a secoué la tête lorsque nous nous sommes approchés.
─ « C’est insensé », ai-je dit.
─ « Je suppose que vous êtes dans le même bateau que moi », a-t-il dit. « J’ai oublié mes papiers ».
─ « Non. Nous ne sommes pas vaccinées. »
─ « Pourquoi ça ? », a-t-il grommelé.
─ « Eh bien, Kate ici présente a moins de 20 ans. Cela signifie que même si elle attrapait le COVID, son risque d’en mourir est pratiquement nul. Je pense qu’il n’est pas dans son intérêt de recevoir une injection expérimentale avec des effets secondaires. Plus de 17 000 décès ont été signalés avec ces vaccins. Beaucoup d’enfants ont des inflammations cardiaques après ça, aussi. »
Lire la suiteEntrevue du pro-vie Alexander Tschugguel sur la situation de l’Autriche sous dictature sanitaire
Alexander Tschugguel.
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits)
Alors que l’Autriche apprenait vendredi que toute sa population serait confinée à partir de lundi et que le gouvernement veut mettre en place la vaccination forcée contre le COVID d’ici au 1er février, j’ai demandé à Alexander Tschugguel de répondre à quelques questions sur cette dictature qui s’installe dans son pays.
Alexander Tschugguel est ce jeune converti au catholicisme, militant pro-vie et pro-famille, qui avait jeté dans le Tibre quelques statuettes de la Pachamama exposées dans une église romaine de la Via della Conciliazione à l’occasion du Synode sur l’Amazonie.
Il m’a fait part de sa volonté farouche de « résister, résister, résister » à cette « vaccination » qu’il rejette pour des raisons de conscience, de prudence médicale et de devoir moral et politique de combattre le Nouvel Ordre Mondial de la surveillance dont elle est un outil privilégié à travers la mise en place du « passeport sanitaire ».
Dès ce samedi après-midi, des dizaines voire des centaines de milliers d’Autrichiens ont rejoint à Vienne, comme lui, une manifestation géante contre le passe sanitaire, le confinement et la vaccination forcée. La grande presse n’a compté que 38 000 manifestants — pour un cortège qui a mis deux heures à passer au point où il a été filmé en live (à vérifier ici). Immense succès, pour ce pays de quelque 9 millions d’habitants !
Voici donc mon entretien avec Alexander Tschugguel, traduit de l’anglais par mes soins. — J.S.
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Les nouvelles d’Autriche ne sont pas bonnes : vous êtes actuellement un citoyen de seconde zone. Pouvez-vous nous en parler ?
Avant toute chose, le fait d’être un citoyen de seconde zone représente une sensation et une expérience inédites pour moi et mes semblables, mais je pense que l’on peut aussi vivre des choses très agréables, car j’ai découvert que je n’étais vraiment pas seul. Tout mon cercle d’amis, beaucoup de gens de ma famille, mes meilleurs amis, leurs familles, etc. sont tous de notre côté — y compris ceux qui sont vaccinés. Comme il s’agit d’une terreur scandaleuse que l’on nous impose, beaucoup de gens ont compris que c’est mal.
Quelles sont les règles qui ont été mises en place ? Depuis une semaine, nous sommes des citoyens de seconde classe parce qu’on a instauré un confinement pour les seules personnes non vaccinées. Depuis deux semaines déjà, nous sommes en quelque sorte des citoyens de seconde zone, puisque déjà nous n’étions pas autorisés à entrer dans les restaurants si nous n’étions pas vaccinés. Et maintenant, le gouvernement a publié les nouvelles règles disant qu’il y aura un confinement pour tout le monde, à partir de lundi, suivi par l’introduction de l’obligation de se faire vacciner au plus tard le dernier jour de janvier. Donc à partir du 1er février, il y aura un vaccin obligatoire en Autriche si nous ne faisons rien contre cela. Nous pouvons encore le faire : nous devons élever la voix, nous devons nous battre aussi énergiquement que possible et c’est la raison pour laquelle je rejoins une énorme manifestation organisée par un grand nombre d’organisations différentes ce samedi à Vienne à midi.
Lire la suiteUn travailleur de la santé décrit un manque de personnel « cauchemardesque » dû au licenciement de non-vaccinés
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Mongkolchon/Adobe Stock
10 octobre 2021 (LifeSiteNews) — Le licenciement de travailleurs de la santé non vaccinés dans la province canadienne de la Colombie-Britannique (C.-B.) a aggravé une crise de pénurie de personnel hospitalier déjà existante, et un travailleur l’a décrit comme un scénario de « cauchemar ».
Selon un article du The Epoch Times, un employé nommé Jay, qui travaille à l’hôpital Eagle Ridge de Port Moody, a déclaré que l’hôpital manquait déjà de personnel, même avant le COVID.
Jay a déclaré que le gouvernement et les médias ne cessent de dire que « les patients non vaccinés taxent le système », alors qu’en réalité, cela est dû à un manque de travailleurs.
« Je ne cesse de dire aux gens que c’est une crise de personnel », a déclaré Jay, selon The Epoch Times, ajoutant : « Ce qu’ils ne disent pas vraiment aux gens, c’est qu’il y a déjà une crise de personnel ».
« Et cela est exacerbé par le fait que les gens sont stressés et épuisés », a-t-il ajouté.
À Menno Place, un établissement de soins de longue durée à Abbotsford, la directrice générale Karen Biggs a déclaré que la nuit, ils en perdent le sommeil et que toute la situation de la dotation en personnel est un vrai « cauchemar ».
Mme Biggs a déclaré, comme l’a rapporté The Epoch Times, qu’elle a perdu un total de 19 employés occasionnels en raison des mandats de vaccin COVID. Elle a ajouté qu’il était difficile de trouver des travailleurs dans un bassin d’employés déjà restreint.
Lire la suiteMgr Carlo Maria Viganò : la vraie liberté est la faculté d’agir dans les limites du Bien
Mgr Carlo Maria Viganò.
Par Fabien Laurent (Médias Presse Info)
Message de l’archevêque Carlo Maria Viganò
Ancien Nonce Apostolique aux États-Unis d’Amérique
Pour la manifestation contre les mesures pandémiques
dans la confédération Hevétique
Berne, le 12 novembre 2021
Chers amis,
Beaucoup d’entre vous n’auraient jamais pensé que la Suisse finirait par suivre l’Italie et d’autres nations en s’adaptant docilement aux diktats de l’élite, y compris en matière d’urgence pandémique. Votre Confédération, en effet, est déjà très en avance sur les autres pays sur la voie de la mondialisation et l’empreinte du Nouvel Ordre Mondial est très marquée dans la vie des grandes villes suisses. Et tout comme la Suède a été épargnée par les lockdown et les masques, on aurait pu penser qu’en Suisse aussi, les mesures destinées prétendument à contenir la contagion n’auraient pas adopté le modèle désastreux dont l’Italie est un triste exemple. D’autre part, le Forum Économique Mondial étant basé à Davos, certains d’entre vous auraient pu espérer que Klaus Schwab vous aurait épargné d’expérimenter vous aussi ce qui attend l’ensemble de l’humanité, si seulement nous laissons se réaliser son délirant Great Reset [1], partagé par l’ONU sous le nom d’Agenda 2030 [2]. Pourtant, si vous pensez à ce qui vous a été montré le 1er juin 2016 avec l’ouverture du tunnel du Saint Gothard, vous devriez avoir une idée des principes qui inspirent ce Nouvel Ordre.
Vous êtes ici aujourd’hui pour protester contre le renforcement des mesures sanitaires et de contrôle, adoptées par le gouvernement fédéral suisse sous le prétexte de la soi-disant pandémie. Ce qui est prévu pour la Suisse, comme vous le savez, a également été adopté en tout ou en partie dans d’autres pays, dont l’Italie et la France. La discrimination à l’encontre des personnes non vaccinées est déjà une réalité dans de nombreux pays, tout comme le suivi des citoyens au moyen de passeports vaccinal, la suspension du salaire pour ceux qui ne se soumettent pas aux contrôles et la possibilité pour les Autorités publiques de légiférer en dérogation aux lois ordinaires et à la Constitution elle-même.
Mais laissez-moi vous poser quelques questions.
Protestez-vous parce que vos libertés constitutionnelles sont restreintes, ou parce que vous vous rendez compte que ces premières mesures de contrôle ne sont que la première étape d’une annulation progressive de votre liberté individuelle, absorbée par un État-Médecin qui décide de vous soigner à votre place, un État-Patron qui décide si et quand vous pouvez sortir de chez vous, travailler, aller au restaurant, voyager ?
Manifestez-vous contre le passeport vert tout en acceptant le récit de la pandémie et des vaccins, ou avez-vous réalisé que cette farce colossale est basée sur un virus produit en laboratoire et répandu pour créer une urgence pandémique qui donnerait un prétexte pour mettre l’humanité entière sous contrôle ?
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