La loi sur l’euthanasie ratifiée par le Tribunal constitutionnel en Espagne
Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : kanpisut/Adobe Stock
Le Tribunal constitutionnel espagnol vient de valider sans réserve la loi autorisant l’euthanasie portée par le gouvernement socialo-communiste de Pedro Sanchez, et adoptée il y a deux ans face à l’opposition du Partido Popular et du mouvement Vox. C’est ce dernier qui avait saisi le juge constitutionnel alors que la loi est en vigueur en Espagne depuis environ 20 mois, sans susciter d’engouement particulier : au cours des douze premiers mois pour lesquels des chiffres officiels sont disponibles, seules 180 personnes ont reçu une piqûre mortelle.
Peu de demandes d’euthanasie en Espagne : une loi avant tout idéologique
L’assemblée plénière du Tribunal constitutionnel, organe qui s’est montré largement favorable à la politique de gauche d’un gouvernement qui promeut activement la culture de mort, a décidé par 9 voix contre 2 que la Constitution espagnole « protège un droit à l’autodétermination qui permet à toute personne de décider librement, en connaissance de cause et en toute conscience, de la manière et du moment de sa mort dans des situations médicalement prouvées de maladies en phase terminale ou gravement invalidantes. »
Vox, seul mouvement politique à s’être mobilisé pour la défense de la vie après l’adoption de cette nouvelle loi de transgression, avait fait valoir que le droit fondamental à la vie garanti par l’article 15 de la Constitution est « indisponible » et qu’il revient à l’Etat de le protéger » même contre la volonté de son titulaire », rendant impossible toute régulation de l’euthanasie ou du « droit de mourir » par le législateur.
Lire la suiteMesures pour prévenir l’avortement en Espagne
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Prostock-studio/Adobe Stock
Le gouvernement régional de Castille et Léon, à l’instigation de son vice-président Juan Garcia-Gallardo du parti Vox, a adopté des mesures visant à prévenir l’avortement : les médecins doivent proposer aux femmes désirant un avortement d’écouter le battement de cœur de leur bébé, de passer une échographie ou de recevoir des conseils psychologiques, selon Gènéthique :
Juan Garcia-Gallardo, vice-président du gouvernement régional de Castille et Léon, a présenté de nouvelles mesures pour réduire le nombre d’avortements. Des mesures adoptées à l’approche des élections régionales en juin prochain.
Désormais, les médecins doivent proposer aux femmes qui souhaitent avoir recours à l’avortement d’écouter le rythme cardiaque du fœtus, de passer une échographie en 4D ou d’obtenir des conseils psychologiques. Elles sont libres d’accepter ou de refuser.
Ces mesures visent également à protéger les médecins qui s’opposeraient à pratiquer l’avortement, rapporte Le Salon Beige. Cet ensemble de mesures entre en vigueur immédiatement.
À Madrid, la présidente régionale Isabel Díaz Ayuso a annoncé la création d’une nouvelle ligne téléphonique d’assistance aux femmes enceintes envisageant l’avortement.
La Haute Cour d’Espagne juge que le confinement était inconstitutionnel et violait les « droits fondamentaux » des citoyens
Par Jeanne Smits — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : sergign/AdobeStock
Espagne, 16 juillet 2021 (LifeSiteNews) — Suite à un recours du mouvement populaire conservateur Vox, le Tribunal constitutionnel espagnol a jugé que le premier confinement COVID-19 dans le pays était illégal et inconstitutionnel : les « droits fondamentaux » des citoyens espagnols ont été violés par les mesures gouvernementales contre la crise sanitaire, même si celles-ci avaient été approuvées par des votes successifs au Parlement.
Vox et le Partido Popular ont tous deux appelé le gouvernement à démissionner après la décision.
La décision a été rendue publique mercredi par le tribunal, après un vote de 6 contre 5 des juges suprêmes du tribunal. Théoriquement, tous ceux qui ont été condamnés à une amende pour ne pas avoir respecté les règles de confinement sévère pourront donc demander le remboursement de leur argent.
Toutes les amendes qui n’ont pas été payées sont annulées par la décision, ainsi que les procédures pénales à l’encontre de ceux qui n’ont pas respecté les mesures de confinement, mais le Tribunal a décidé de protéger les autorités contre les demandes massives de remboursement des amendes en décidant que « les citoyens ont le devoir juridique de supporter les dommages matériels qu’ils ont subis », ce qui est pour le moins curieux. D’autres sanctions pourront cependant être révisées.
Non content d’être le seul groupe politique du Parlement à s’être constamment battu pour les droits des citoyens tout au long de la crise du COVID, Vox est également responsable de cette grande victoire, puisque c’est lui qui a porté l’affaire en justice, obligeant les juges constitutionnels à désavouer les actions du gouvernement socialiste-communiste contre la population espagnole l’année dernière.
Un communiqué de presse publié mercredi par le Tribunal constitutionnel a révélé que les principaux griefs présentés par Vox avaient été pris en compte. Le décret royal du 14 mars dernier instaurant un « état d’urgence » en raison de la « crise sanitaire » a été déclaré nul et non avenu dans plusieurs de ses dispositions.
Lire la suiteEspagne : le Parti Vox dépose un recours contre la loi sur l’euthanasie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Freepik
Le Parti Vox de Santiago Abascal a déposé un recours en inconstitutionnalité et demande la suspension de la nouvelle loi sur l’euthanasie qui est censée entrer en vigueur le 25 juin, selon Gènéthique :
En Espagne, le parti politique Vox dénonce une « inconstitutionnalité radicale » de la loi légalisant l’euthanasie dans le pays. L’entrée en vigueur de la loi, votée à 202 voix contre 141, est prévue pour le 25 juin prochain. Le parti dépose un recours en inconstitutionnalité et demande la suspension de son application qui implique : « le sacrifice du droit fondamental à la vie ».
Santiago Abascal, chef de Vox, voit dans cette législation « une défaite de la civilisation et une victoire de la culture de la mort », il dénonce cette « victoire de ceux qui pensent que certaines vies sont plus dignes que d’autres, une victoire de ceux qui ont jeté l’éponge du devoir des sociétés et des États d’offrir des soins palliatifs aux personnes qui souffrent le plus », rapporte Gènéthique.
Plaidoyer d’un député pour la femme et l'enfant à naître au Parlement européen lors d’une réunion dirigée contre les pro-vie
Par Olivier Bault (Présent) — Photo : WavebreakMediaMicro/AdobeStock
Le 25 mars, à l’occasion de la Journée internationale pour la vie fêtée dans de nombreux pays, le Parlement européen lançait une offensive contre les associations pro-vie, auxquelles il était reproché de recevoir des financements étrangers, notamment en provenance des milieux pro-vie américains. Un reproche surprenant quand on connaît les sommes reçues des milieux pro-mort américains (Soros, Gates et consorts) et aussi de l’Union européenne par les organisations du lobby pro-avortement. Le Centre européen pour le droit et la justice (ECLJ) a relaté cette curieuse séance anti-associations pro-vie où n’avaient été invités que les représentants du lobby pro-avortement et Présent en parle aussi dans ses échos éthiques de cette semaine.
Le tableau idyllique du point de vue du lobby de l’avortement a toutefois été troublé par l’intervention d’une députée espagnole. Il s’agit de la députée Margarita de la Pisa qui est membre de la Commission des droits des femmes et de l’égalité des genres (sic), et qu’il n’a donc pas été possible de réduire au silence. Margarita de la Pisa est pharmacienne et neuropsychologue de formation, membre du parti Vox, mariée et mère de huit enfants. Son intervention du 25 mars, qui s’est déroulée en espagnol, mérite d’être lue de bout en bout pour ce qu’elle dévoile sur les pratiques du Parlement européen et pour les arguments qu’elle donne en faveur du droit à la vie et de l’action des associations pro-vie. C’est pourquoi nous l’avons traduite en français pour les lecteurs du journal Présent. Voici donc la traduction de l’intervention de Margarita de la Pisa en dessous de la vidéo en espagnol :
« Un tel événement ne devrait pas avoir lieu. Il est contraire aux principes de neutralité et de pluralité qui régissent les règles du Parlement européen. Aucun des intervenants ne représente un point de vue pro-vie. Leur objectif est de stigmatiser, persécuter et attaquer ceux d’entre nous qui sont engagés dans cette cause, et nous ne nous cachons pas. Il ne répond pas non plus aux valeurs démocratiques. On nous refuse le droit à la liberté de pensée, la liberté de conscience et, bien sûr, le droit à la liberté d’expression. Le Parlement a cessé d’être le garant des droits de l’homme, avec l’interprétation totalement erronée qu’il en fait. Il a cessé de remplir sa fonction de lieu de débat. Vous avez transformé cet espace en un espace de propagande pour une vision unique et totalitaire.
Quoi qu’il en soit, je vous remercie. Merci, du fond du cœur, de nous avoir donné l’occasion de défendre la vie pour la Journée de la vie. Vous avez très bien choisi la date. Et je lève la main. Pour moi-même et au nom de millions de personnes qui prennent fièrement cette grande responsabilité. Et nous pouvons être fiers de ce que nous défendons.
Il y a toujours de la lumière et de la beauté à défendre une femme enceinte, à aider à comprendre une réalité qui, bien que toute petite, existe déjà à l’intérieur de son ventre, à défendre ce bébé, cette personne, dont nous ne savons pas encore qui elle deviendra. Ça aurait pu être n’importe lequel d’entre nous. Nous avons tous été microscopiques un jour, nous avons tous été un bébé dans le ventre de notre mère un jour. En vérité, les pro-vie défendent tout le monde, toutes les vies, y compris la vôtre.
Lire la suiteLa Chambre des députés d’Espagne légalise l’euthanasie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Freepik
La Chambre des députés d’Espagne a approuvé la légalisation de l’euthanasie par 198 voix pour, 138 contre et 2 abstentions, selon la FSSPX.News
La Chambre des députés venait d’approuver par 198 voix pour, et 138 contre – dont 2 abstentions — le projet de loi porté par les socialistes du Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE), qui établit le cadre légal de l’euthanasie.
Apparemment, il n’y aura même pas le concept fumeux (fumeux car n’annulant pas l’immoralité de l’euthanasie) de « fin de vie » dans le cadre de la loi :
Le texte approuvé fait tomber de nombreux garde-fous : pour obtenir son « droit » au suicide, le patient ne devra en formuler que deux fois la demande, à quinze jours au moins d’intervalle, après avoir été informé de sa situation médicale, et des éventuelles alternatives en soins palliatifs.
Le demandeur doit souffrir d’une maladie grave et incurable, causant des souffrances physiques ou mentales constantes et intolérables, ou même seulement souffrir d’une maladie chronique et invalidante, qui affecte son autonomie. Pour les patients dans le coma ou en état pauci-relationnel, il doit exister des directives anticipées permettant l’euthanasie. Dispositif dont on connaît la fragilité.
Le parti Vox vertement a condamné cette nouvelle loi.
Un projet de loi sur l’euthanasie progresse au Parlement espagnol
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : AdobeStock
Ce qui est fatiguant avec tous ces partisans de l’euthanasie, ou les « progressistes » en général, c’est qu’ils nous disent qu’on ne légalisera telle ou telle chose que jusqu’à un certain point, et que, au grand jamais, l’on n’ira plus loin en la matière. Quelques années plus tard, ils ont déjà changé de discours et veulent étendre à d’autres cas ce qui ne devait jamais aller plus loin. LifeSiteNews :
La majorité de la Chambre basse du Parlement espagnol a voté en faveur d’un projet de loi qui légaliserait l’euthanasie et le suicide assisté en cas de « maladies clairement débilitantes sans remède, sans solution et qui causent des souffrances importantes ».
Le quotidien espagnol El País rapporte que la Chambre basse, composée de 350 membres, a adopté mardi une mesure par 201 voix contre 140 et 2 abstentions. Après avoir été débattu en commission, le projet de loi sera soumis au Sénat pour le vote final. Dans sa forme actuelle, si elle était adoptée, la loi autoriserait l’euthanasie ainsi que le suicide assisté. C’est la troisième fois que ce projet de loi est présenté au Parlement, où ses partisans espèrent qu’il sera approuvé en juin.
Demi-objection de conscience :
Les deux formes de mises à mort seraient légalisées par la législation espagnole, qui permettrait aux médecins de s’y opposer sur la base de leur conscience, mais les obligerait à adresser les patients à des médecins disposés à procéder à leur mort. Le projet de loi exige également que les patients n’aient pas à attendre plus d’un mois après avoir fait une demande de suicide assisté ou d’euthanasie. Après que deux médecins aient examiné cette première demande, les patients produiraient alors une seconde demande pour obtenir l’approbation d’un comité gouvernemental.
Transmettre une demande d’euthanasie ou de suicide assisté, ce qui revient au même, rend aussi complice le médecin qui veut éviter d’accomplir lui-même la basse besogne de tuer un patient.
L'Église catholique et le Parti Vox s'y opposent :
L’Église catholique, ainsi que le Parti populaire et le Parti Vox, a exprimé son opposition véhémente à ce projet de loi. Au Parlement mardi, le député José Ignacio Echániz du Parti populaire a accusé le gouvernement socialiste de chercher à « économiser de l’argent » sur les soins, car les personnes qui en bénéficient coûtent cher à la fin de leur vie. Il a déclaré : « Pour le Parti socialiste, l’euthanasie est une mesure d’économie ».
Twitter suspend le compte du Parti Vox pour avoir accusé ses rivaux socialistes de promouvoir la pédophilie
Par Martin M. Barillas ― Traduit par Campagne Québec-Vie
Madrid, 23 janvier 2020 (LifeSiteNews) ― Twitter a suspendu le compte de Vox, le seul parti pro-vie et pro-famille présentant actuellement des députés au Parlement espagnol.
Faisant craindre en Espagne que les entreprises médiatiques soient de mèche avec le parti socialiste régnant, de plus en plus totalitaire, Twitter neutralisé le compte officiel de Vox, alléguant que le parti avait incité à la haine sur la plateforme. Cette décision a été prise après que le chef du parti Vox, Santiago Abascal, ait tweeté samedi que le gouvernement socialiste « encourage la pédophilie avec des fonds publics ». Le porte-parole de Vox, Manuel Mariscal, a tweeté plus tard que la suspension n'était pour « rien d'autre que de la censure » [censure politique, quoi*].
Samedi, Vox a tweeté un message à l'intention d'Adriana Lastra, sous-secrétaire générale du Parti socialiste, lui disant « Ce que nous ne pouvons pas supporter, c'est que vous veniez chez nous pour nous dire comment nous devrions vivre et comment nous devrions éduquer nos enfants. Et encore moins si vous promouvez la pédophilie avec l'argent de l'État ».
Le tweet de Vox était en réponse à un tweet antérieur de Lastra, qui a écrit :
Ils ne soutiennent pas la collectivité LGTBI, ils ne soutiennent pas le mariage homosexuel, ils ne soutiennent pas l'égalité entre hommes et femmes, ils ne considèrent pas que leurs idées rétrogrades ne sont pas celles de l'ensemble de la société. Ils ne devraient pas appeler cela de la liberté : c'est de la haine.
Mardi, Twitter a informé Vox qu'il « limitait temporairement » le compte du parti, suspendant ainsi certaines fonctions, dont la publication de nouveaux messages. Le géant des médias sociaux a prétendu que le motif de cette suspension résidait en ce que le parti n'avait pas respecté son interdiction de « comportement incitant à la haine ». Twitter interdit également les menaces, les agressions et l'incitation à la violence contre les personnes.
Twitter a demandé à Vox d'effacer le tweet accusant le Parti socialiste de promouvoir la pédophilie afin de récupérer son compte.
Vox s'oppose au Parti Socialiste et aux autres partis de gauche en ce qui concerne l'avortement, les droits parentaux et l'éducation publique. En ce qui regarde les droits parentaux, Vox demande que les parents aient le droit d'empêcher que leurs enfants assistent à des cours qui promeuvent le programme du gouvernement en matière d'éducation sexuelle et de LGBTisme. Selon Vox, les parents devraient avoir le droit d'être prévenus à l'avance et de décider si leurs enfants devraient ou non assister à « des conférences, des ateliers ou des activités ayant une signification idéologique ou morale allant à l'encontre de leurs convictions ».
Lire la suiteUn médecin qui offre des ultrasons aux femmes planifiant d’avorter
Dr Gádor Joya.
Par Martins M. Barillas — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Capture d'écran YouTube
Madrid, 21 novembre 2019 (LifeSiteNews) — Une pédiatre en Espagne, entre autres siégeant à une assemblée municipale, est critiquée par les gauchistes en raison de ce qu’ils appellent la pratique « cruelle » d’offrir des échographies gratuites aux femmes enceintes qui prévoient avorter.
Le Dr Gádor Joya, qui représente le parti de centre droit Vox à l’Assemblée législative locale de Madrid, fournit aux femmes enceintes le moyen de voir leurs bébés en développement in utero. Le 15 novembre, attendant à l’extérieur d’un centre d’avortement dans la capitale espagnole, le Dr Joya offrait des images ultrasons dans une fourgonnette appelée « Ambulancia Vida ».
Donner aux mères les ultrasons a irrité les défenseurs de l’avortement qui prétendent que les services de Joya sont à la fois « cruels » et « inhumains ».
Selon le journal espagnol El País, le Dr Joya a affirmé lors d’une audience du comité de la santé plus tôt ce mois-ci, qu’elle et d’autres médecins offrent les échographies aux femmes enceintes. « C’est précisément parce que j’ai fait cela, dit-elle, que je sais ce qui a été caché à ces femmes. La plupart d’entre elles, lorsqu’elles reçoivent de l’information et entendent le battement de cœur du bébé, décident d’aller de l’avant avec leurs grossesses. »
Dans un message sur les médias sociaux, la Dre Joya écrivait : « Ce dont je suis le plus fier en tant que médecin, c’est d’avoir aidé de nombreuses femmes à devenir mères lorsqu’elles étaient sur le point d’avorter. Oui, j’ai travaillé pour un projet visant à défendre le droit à la vie et à la dignité de tous les êtres humains. Et je continuerai à le faire où que je sois. »
Dans une vidéo promotionnelle de 2016 pour le projet Ambulancia Vida, le Dr Joya déclarait que plus de 300 bébés meurent chaque jour par avortement en Espagne. Dans la vidéo, le Dr Sonsoles Alonso, gynécologue pro-vie, affirme qu’il explique aux femmes : « Tout d’abord, nous essayons d’humaniser¹ l’enfant qu’elles ont dans leur ventre. Deuxièmement, nous leur faisons comprendre que quand elles auront franchi les portes du Dator (le fournisseur d’avortement), celui-ci mettra fin á la vie que les habite et que le battement de cœur s’arrêtera ». Comme le fait observer le Dr Joya, le Dr Alonso montre à une femme enceinte une image en temps réel de son bébé dans l’utérus.
Lire la suiteLe Parti Vox a plus que doublé le nombre de ses députés
Santiago Abascal, chef du parti Vox.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :
Le Parti Vox, opposé à l’avortement, à l’euthanasie, au « mariage gay » et à l’invasion étrangère (« immigration massive ») a plus que doublé le nombre de ses députés lors des élections espagnoles du 10 novembre, passant de 24 élus à 52, parvenant ainsi à la troisième position. Selon franceinfo :
Le Parti socialiste espagnol (PSOE) est arrivé en tête des élections législatives, dimanche 10 novembre, avec 28 % des voix, après le dépouillement de 100 % des voix. Avec 120 élus, il conserve presque le même nombre de sièges au Parlement que lors du précédent scrutin, en avril dernier (123).
Avec 21 % des voix, les conservateurs du Parti Populaire (PP) se sont remis du pire résultat de leur histoire (66 sièges en avril) et comptent 88 sièges. Le parti […] Vox, entré au Parlement en avril avec 24 sièges, en devient la troisième force, avec 52 sièges (15 %). C’est l’ascension « la plus fulgurante de la démocratie espagnole », s’est écrié son chef, Santiago Abascal.
Les deux alliés potentiels des socialistes essuient un lourd revers. La formation de gauche radicale Podemos chute de 33 à 26 sièges, avec 10 % des voix, tandis que les centristes de Ciudadanos s’effondrent à 10 sièges (8 %), soit 47 de moins qu’il y a six mois.