Le candidat à l’investiture du Parti démocrate, Joe Biden, se fait refuser la Sainte Communion
Joe Biden, candidat à l'investiture du Parti démocrate.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Gage Skidmore/Flickr
C’est le courageux prêtre d’une paroisse de Florence en Caroline du Sud (à ne pas confondre avec la ville italienne) qui a refusé la Sainte Communion, vrai Corps du Christ, à Joe Biden, candidat à l’investiture du Parti démocrate, qui tient des positions pro-avortement, selon Morning News :
Le Père Robert E. Morey de l'Eglise catholique Saint Anthony a confirmé lundi après-midi qu'il avait refusé la Sainte Communion au candidat à la présidence en raison de sa position sur l'avortement. Biden, catholique depuis l'enfance, avait assisté à la messe de 9 heures.
[…]
« Malheureusement, dimanche dernier, j'ai dû refuser la Sainte Communion à l'ancien vice-président Joe Biden », a déclaré le P. Morey par courriel au Morning News. « La Sainte Communion signifie que nous sommes unis avec Dieu, les uns avec les autres [catholiques*] et avec l'Église. Nos actions devraient devrait refléter cette communion. Toute figure publique qui prône l'avortement se place en dehors de l'enseignement de l'Église [et de l'Église Elle-même*]. »
Le Père Morey a au moins une bonne raison pour refuser la communion au politicien, c’est que ce dernier tient une position qui laisse à désirer sur la question de l’avortement, or un catholique doit être opposé à l’avortement, et en privé, et en public. M. Biden veut, entre autres, que l’avortement soit financé par le gouvernement fédéral. Le Morning News continue :
Le P. Morey a affirmé qu'en tant que prêtre, c'est sa responsabilité de prendre soin des âmes qui lui sont confiées et qu'il doit le faire même dans les situations les plus difficiles.
« Je garderai M. Biden dans mes prières », a ajouté le P. Morey.
Le bureau de campagne de Biden n'a pas voulu confirmer que M. Biden s'était rendu à l'église, mais elle a déclaré que s'il l'avait fait, il l'avait fait à titre personnel. Un porte-parole a dirigé la conversation sur la présence publique de M. Biden à 11 heures, dimanche, à la Jerusalem Baptist Church de Hartsville.
Sa position sur l'avortement n'est pas claire.
M. Biden s'est dit favorable à la codification de l'arrêt Roe. c. Wade — cette décision rendue en 1973 par la Cour suprême qui permet à une femme enceinte de se faire avorter sans restriction gouvernementale « excessive »** — en loi, mais il a également déclaré lors d'un débat présidentiel en 2012 qu'il était personnellement opposé à l'avortement mais ne voulait pas imposer cette conviction aux autres.
En juin, le bureau de campagne de Biden a déclaré à NBC News que le candidat soutenait l'amendement Hyde de 1976 qui empêche le financement fédéral de l'avortement sauf en cas de viol, d'inceste ou lorsque la vie de la mère est en danger. Cela a mis Biden en désaccord avec de nombreux autres candidats à l'investiture du parti démocrate. Quelques jours plus tard, lors d'un gala à Atlanta, il a déclaré qu'il n'appuyait pas l'amendement.
Ce prêtre a montré un bel exemple de fermeté doctrinal appliqué à une situation concrète, un exemple que l'on aimerait voir être suivi plus souvent...
*Commentaires d'Augustin Hamilton.
**Guillemets rajoutés, les régulations que l'on pourrait imposer sur l'avortement ne seront jamais excessives. — A. H.
Bernie Sanders : plus d’avortements pour sauver la planète
Bernie Sanders.
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info) — Photo :
Sauver la planète en tuant plus d’enfants dans le sein de leur mère ? C’est la thèse-choc de la gauche libérale américaine : contrôler les naissances pour raisons climatiques !
Bernie Sanders, sénateur des États-Unis, élu du Parti démocrate, est en train de proposer avec ses collègues une limitation des naissances comme moyen de contrôle de la population mondiale, décrétée par les ayatollahs de l’écologisme idéologique la cause principale d’un réchauffement climatique néfaste pour la planète Terre.
Pour ces avorteurs en puissance et en acte, il s’agit de trouver un équilibre bioéthique capable de préserver le climat, l’environnement et l’harmonie du globe terrestre, le sous-entendu étant que les êtres humains sont trop nombreux pour pouvoir préserver la terre. A partir de cet a priori, Sanders avance l’avortement comme mesure préventive !
Si aujourd’hui, cette proposition de la gauche américaine soulève des oppositions dont celle du président actuel, Donald Trump, comme toute idée progressiste, grâce à l’aide des médias mainstream aux mains des loges occultes, elle fera son chemin dans les mentalités, jusqu’au jour où elle sera adoptée et deviendra la norme, sera considérée le bien. C’est ainsi qu’avance dans le monde occidental la révolution du progrès, pas à pas, ce fut ainsi pour le divorce, l’avortement, le « mariage » pour les duos invertis, les droits Lgbtqi+…
Et le mal devient bien, et le bien devient mal !
« Le discours politique est destiné à donner aux mensonges l’accent de la vérité, à rendre le meurtre respectable et à donner l’apparence de la solidarité à un simple courant d’air. » George Orwell.
Beto O'Rourke défend l'avortement la veille de la naissance
Robert O'Rourke, dit Beto O'Rourke.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
C’est ce qui ressort des paroles que ce candidat à l’investiture comme chef du Parti démocrate prononça le soir du 26 août.
Robert O’Rourke, dit Beto, ancien représentant du Texas et maintenant, donnait un discours devant une foule d’étudiant au Collège de Charleston en Caroline du Sud, lorsque qu’un homme lui posa la question suivante, portant sur le soutien que le politicien avait donné à l’avortement de troisième trimestre, d’après LifeSiteNews :
« Alors, ma question est la suivante : Je suis né le 8 septembre 1989 et je veux savoir si vous pensez que le 7 septembre 1989, ma vie n'avait aucune valeur, » demanda l'homme.
« Bien sûr je ne pense pas cela, je suis content que vous soyez là, » répondit O'Rourke. « C'est une décision que ni vous, ni moi, ni le gouvernement des États-Unis ne devrait prendre. C'est à la femme de prendre cette décision. Nous voulons qu'elle ait le meilleur accès possible aux soins et à un médecin... »
Donc, d’après la réponse M. O’Rourke, on peut conclure qu’il considère importante la vie de cet homme, mais que sa mère pouvait l’avorter quand même… Plus loin, le candidat continue en insinuant un rapprochement entre la mortalité maternelle et les restrictions sur l’avortement.
Pour la 80e fois, les démocrates bloquent un projet de loi visant à protéger les enfants nés vivants suite à un avortement raté
Capitole des États-Unis.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Max Pixel
Pour quelle raison obscure les démocrates de la Chambre des représentants des États-Unis ont-ils empêché 80 fois le vote sur un projet de loi visant à protéger les survivants de l’avortement ? Cela reste pour moi assez mystérieux, d’autant plus que cela mine leur image électorale. À quoi bon montrer un tel acharnement, puisqu’il ne s’agit pas directement de l’avortement mais des enfants qui y ont échappé ? Extrait de Fox News :
Lire la suiteAu moins 40 bébés sont nés vivants suite à un avortement raté dans trois États depuis 2016, selon les données sanitaires des États, lesquels donnent un aperçu de l'ampleur d'un problème dont les législateurs ont débattu avec acharnement ces derniers mois.
Les données sur les bébés ayant survécu à un avortement ne sont compilées sur une base obligatoire que par une poignée d'États. […]
Les informations les plus récentes proviennent du Minnesota, qui a signalé en juin que trois nourrissons sont nés vivants en 2018 après une interruption de grossesse induite. Cela porte le total de l'État à 11 depuis 2016. L'Arizona en a signalé 10 en 2017 et la Floride en a eu 19 depuis 2017.
Au niveau national, les Centers for Disease Control and Prevention ont signalé 143 cas entre 2003 et 2014 de nourrissons nés après une tentative d'avortement, mais ces chiffres sont peut-être incomplets.
Trois autres États — le Michigan, l'Oklahoma et le Texas — ont des lois exigeant des données sur les nourrissons nés suite à un avortement raté, mais n'ont signalé aucun cas ou n'ont pas encore commencé à compiler l'information. L'Arkansas vient d'adopter une telle loi en 2019. Dans la plupart des cas signalés, les bébés ne survivent pas plus de 24 heures.
Avortement pour les «femmes transgenres» au débat de la course à la chefferie du Parti démocrate
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Joe Raedle/Staff/Getty Images
Le débat de jeudi de la course à la chefferie du Parti démocrate américain s’est distingué (si l’on peut dire) par l’adhésion tacite sinon solennelle de ses participants à l’idéologie de l’avortement jusqu’à la naissance, pour n’importe qu’elle raison, aussi bien dire aucune. C’était un véritable concours à qui paraîtrait le meilleur champion de l’avortement, et peut-être que l’orateur, devant décrocher le trophée du plus enflammé partisan de cette (mauvaise) cause, était l'ancien secrétaire du HUD, Julian Castro, par sa sublimement absurde apologie de l’avortement, allant jusqu’à la proposition de l’étendre à la « femme transgenre »…
On s’entend que ce que certain appelle à tord une « femme transgenre » n’est qu’un homme qui tente d’être femme, et qui ne saurait donc être qualifié de « femme ». Extrait de LifeSiteNews
Lire la suiteSi le débat démocrate d'hier soir a rendu quelque chose clair comme de l'eau de roche, c'est que l'extrémisme de l'avortement sous sa forme la plus effroyable et la plus terrifiante va être au centre des débats pendant toute la durée de la prochaine élection présidentielle. Cette foule de partisans du fœticide veut l'avortement sur demande, sans excuses, pendant les neuf mois de la grossesse et financé par les contribuables. L'avortement était présenté en sorte qu'il ne pouvait paraître que comme un mal nécessaire [nécessaire d'après eux], mais comme un acte tout à fait noble que toute femme devrait être fière d'accomplir.
[...]
C'est l'ancien secrétaire du HUD, Julian Castro, qui s'est montré à la fois mielleux et stupide dans sa réponse à la question de savoir si son plan de santé prévoyait le financement de l'avortement. « Oui, en effet ! » […] En fait, Castro était venu armé d'un projet conçu pour que son soutien à l'avortement fasse paraître les autres sur scène pratiquement anti-choix.
Un député démocrate homosexuel harcèle une femme pro-vie priant devant un avortoir
Brian Sims, représentant démocrate à la Chambre des repésentants de Pennsylvanie.
Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : capture d'écran de la vidéo publiée sur Twitter le 2 mai par Brian Sims.
Brian Sims, député démocrate à la Chambre des représentants de Pennsylvanie a publié le 2 mai une vidéo le mettant en scène, en train de harceler de questions et de reproches une femme âgée pro-vie priant devant un avortoir de Planned Parenthood. Son parcours politique est très intéressant par rapport à la présente affaire. Extrait d’un article du Catholic News Agency (CNA) :
M. Sims, âgé de 40 ans, représente le 182e district de la Chambre des représentants de Pennsylvanie depuis 2013. Démocrate, M. Sims a travaillé comme défenseur du « mariage homosexuel »* et a été la première personne à s’identifier comme homosexuel élu à la Chambre des représentants de Pennsylvanie.
Je voudrais seulement vous faire remarquer au passage que ce pro-avortement notoire fait exactement ce dont on accuse à tort les pro-vie de faire devant les avortoirs, à savoir : harceler, intimider, identifier les opposants et leur domicile. Étrange non ?
M. Sims malgré sa position de représentant du peuple, quelqu’un qui devrait donc donner l’exemple d’une bonne conduite, s’est laissé aller à abreuver une pro-vie d'un long réquisitoire pour le moins agressif, avant de publier sans honte la scène sous la forme d’une vidéo :
Extrait de CNA :
Lire la suiteTout en sollicitant des dons pour Planned Parenthood, M. Sims désigne souvent la femme dans ses propos comme « vieille dame blanche ».
Un démocrate et l'avortement : «Certains enfants ne sont pas désirés, alors vous les tuez maintenant ou vous les tuez plus tard»
Le représentant démocrate de la Chambre des représentants Alabama, John Roger.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Un argument assez typique des pro-avortement : « si l'enfant n'est pas désiré par ses parents (ou la femme seulement), il sera malheureux dans sa jeunesse et dans sa vie et deviendra sans doute un criminel. » (Dans ce cas, ce représentant démocrate disait qu'ils finiront à la chaise électrique.) Ce à quoi on peut facilement répondre que les enfants « désirés » ne seront pas forcément heureux dans leur vie non plus et qu'il pourront devenir des criminels aussi. De plus, des enfants nés « non voulus » ou dans des situations indésirables, mais qui se sont tirés d'affaire, ont existé et existent ; Ludwig van Beethoven, ce grand compositeur, naquit dans une famille pauvre, dont le père était un alcoolique... Bref son enfance ne fut pas rose. Pour finir, cet un argument est de la plus haute immoralité, car il préconise le meurtre d'innocents pour empêcher qu'ils deviennent éventuellement des criminels. Extrait de la Soceity for the protection of Unborn Children :
Un politicien d'Alabama a été blâmé pour avoir fait des commentaires horrifiants sur les enfants « non désirés » lors d'un débat sur l'avortement.
Avortement pour les enfants « non désirés » et « retardés »
Un exemple particulièrement extrême d'argument en faveur de l'avortement nous a été donné dernièrement. Selon cet argument, restreindre l'avortement donnera des enfants qui auront des vies misérables, le représentant d'Alabama John Rogers a soutenu que les femmes devaient avoir le choix de tuer leurs enfants non désirés, car de toute façon ils ne finiraient que par être tués plus tard.
« Certains enfants ne sont pas désirés, alors vous les tuez maintenant ou vous les tuez plus tard », a dit M. Rogers. « Vous les amenez dans le monde non désirés, mal-aimés, vous les envoyez sur la chaise électrique. Alors, vous les tuez maintenant ou plus tard. »
Il a poursuivi en disant que les bébés handicapés devraient être visés par l'avortement : « Certains parents ne peuvent pas s'occuper d'un enfant qui a des problèmes. Il pourrait être retardé. Il n'aura peut-être ni bras ni jambes. »
Projet de loi défendant la personne dans ventre de sa mère.
Ces remarques ont été faites à la Chambre des représentants lors d'un débat sur le Human Life Protection Act (projet de loi sur la protection de la vie humaine), qui interdirait presque tous les avortements en Alabama.
Présidentielles des États-Unis, le favori de la gauche est « gay »
Pete Buttigieg, candidat à l'investiture dans le Parti démocrate pour les présidentielles de 2020, aux États-Unis.
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.Info)
Pete Buttigieg est l'un des candidats à l'investiture dans le Parti démocrate pour les présidentielles de 2020, aux États-Unis, et apparemment il serait « populaire ». ― A. H.
Il s’appelle Pete Buttigieg, maire à 29 ans en 2011 à South Bend, Indiana, et il sera candidat des Démocrates américains pour la Maison Blanche.
Homosexuel déclaré, il « s’est marié » dans la cathédrale épiscopalienne de St James, avec son partenaire Chasten Glezman. En somme il a tous les ingrédients pour plaire aux démocrates parce qu’il est l’homme du « progrès » !
Au vice-président Mike Pence, qui défend la famille naturelle, Buttigieg, qui se dit chrétien, n’a pas hésité à lancer :
Mike, ce n’est pas moi que tu combats, mais Dieu.
L’orgueil des promoteurs du nouvel ordre sexuel mondial n’a pas de limites, même Dieu doit se plier à leur désordre…