Une pétition aux 338 députés fédéraux pour sauver les organismes pro-vie du Canada
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Tierney/Adobe Stock
Lorsque notre premier ministre s’est engagé en 2021 à « Ne plus accorder un statut d’organisme de bienfaisance à des organisations antiavortement », le plus grand organisme pro-vie au Canada, Campaign Life Coalition, « a lancé une pétition pour sauver nos Centres canadiens de grossesse d’urgence et les organismes de bienfaisance pro-vie ». À ce jour 12 431 personnes l’ont signée !
CLC affirme dans un blogue récent que « Si les libéraux de Trudeau réussissent à annuler le statut d’organisme de bienfaisance des Canadian Crisis Pregnancy Centres et des organisations pro-vie, les résultats seront désastreux. »
L’attaque contre ces centres de grossesses et organismes pro-vie est une attaque contre la vie des Canadiens les plus vulnérables. « Ces organismes de bienfaisance pourraient être contraints de fermer et les personnes qu’ils servent se retrouveront sans le soutien dont ils ont besoin. Pire que tout, des milliers de vies précieuses d’enfants à naître, qui autrement seraient sauvées, seront perdues chaque année à cause de l’avortement. »
L’organisme pro-vie d’assistance à la grossesse Pregnancy Care Canada rapporte qu’en un an « 31 717 clientes ont choisi de se rendre dans l’un de nos centres de soins de grossesse affiliés pour obtenir de l’aide ». Si ces centres fermaient, que deviendraient ces milliers de femmes enceintes et leurs enfants à naître ?
Récemment, CLC a renforci son impact en travaillant « pour imprimer, rassembler, emballer et livrer physiquement des copies supplémentaires de notre pétition aux 338 députés. »
Déjà 3 députés, dont la candidate à la chefferie pro-vie du Parti conservateur Leslyn Lewis, se sont engagés à « défendre les organismes de bienfaisance pro-vie et lutter contre le programme anti-vie destructeur de Trudeau. »
Chaque signature compte ! Si vous ne l’avez pas déjà fait, signez la pétition de CLC !
Et pour faire bonne mesure, signez également notre pétition.
Marche pour sauver les centres pro-vie d’aide aux femmes enceintes
Par Campaign Life Coalition — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Paul Bradbury/Caia Image/Adobe Stock
Les Canadiens se rassembleront sur la Colline parlementaire à Ottawa ce mercredi 24 novembre, dans le but de sauver les centres de ressources pour femmes enceintes et autres organismes pro-vie attaqués par le premier ministre Justin Trudeau qui a promis de leur retirer leur statut d’organisme de bienfaisance.
Ce rassemblement pacifique pour sauver nos organismes de bienfaisance, organisé par Campaign Life Coalition, commencera à 12 h 30 et inclura des membres du Parlement qui recevront en personne une pétition de 12 000 signatures — ainsi qu’une autre pétition de plus de 400 signatures* — demandant aux députés de s’opposer à tout projet de loi, motion ou politique de réglementation visant à pénaliser les centres d’aide pendant la grossesse et autres organisations pro-vie de notre pays.
Sans le statut d’organisme de bienfaisance, ces centres de grossesse pro-femme et favorables à la vie pourraient être contraints de fermer. Beaucoup auront certainement des difficultés financières. En fin de compte, cela signifiera moins d’aide pour les femmes enceintes en crise qui comptent sur les quelque 150 centres de ressources pendant la grossesse au Canada pour les aider en cas de besoin.
« Les centres de ressources pour femmes enceintes, qui ne survivent souvent que grâce à de généreux donateurs et bénévoles, fournissent des tests de grossesse, des couches, des vêtements pour bébé, etc. et aident à répondre aux besoins physiques, émotionnels, juridiques et spirituels des clients », a déclaré Josie Luetke, coordonnatrice jeunesse à Campaign Life Coalition.
Lire la suiteNe retirez pas le statut charitable aux centres pro-vie d'aide aux femmes enceintes
Photo : Irina/Adobe Stock
Le gouvernement libéral de Justin Trudeau accusait dans son programme électoral de 2021 les groupes pro-vie de répandre de la désinformation dangereuse sur l’avortement : « les organismes pro-vie travaillent activement à la diffusion de fausses informations sur l’avortement, mettant ainsi en péril la santé et la sécurité de jeunes et de femmes vulnérables ».
Continuant son mensonge, le Parti libéral inscrivait également dans ce même programme la promesse de retirer le statut d’organisme de charité, autorisé à délivrer un reçu d’impôts à ses donateurs, aux centres pro-vie d’aide aux femmes enceintes en difficulté : « Un gouvernement libéral réélu s’engage à :… Ne plus accorder un statut d’organisme de bienfaisance à des organisations antiavortement (par exemple, les centres de crise de grossesse) qui fournissent des services de consultation malhonnêtes aux femmes au sujet de leurs droits et des options qui sont à leur disposition à toutes les étapes de la grossesse ».
C’est plus de 30 000 femmes qui ont reçu de l’aide au Canada dans les seuls 80 centres pro-vie affiliés à Pregnancy Care Canada, 7 000 femmes y ont reçu de l’aide matérielle et 600 femmes du soutien post-abortif.
Ce sont des milliers d’enfants à qui ces centres ont donné la chance de voir le jour.
De nombreux centres ne pourraient continuer leur œuvre charitable auprès des femmes en difficulté et de leur enfant à naître sans le reçu d’impôts. Le retrait de ce moyen reviendrait alors à retirer un choix légitime aux femmes enceintes face à une situation difficile, dans laquelle elles se sentiraient plus certainement contraintes à l’avortement.
Si le gouvernement de Justin Trudeau poursuit son objectif, se sera des milliers de femmes qui se verront retirer une aide précieuse.
Et ceci est sans compter nombre d’autres organismes pro-vie qui apportent à leur façon une aide inestimable aux femmes enceintes et à leur enfant à naître.
Aussi, nous demandons à vous, députés fédéraux, de contrer toute manœuvre du gouvernement Trudeau visant à compromettre le service charitable que remplissent les groupes pro-vie auprès des femmes enceintes en difficulté, que ce soit projet de loi, motion, règlement ou autres tentatives de retirer le statut d’organisme de charité.
Sincèrement,
Suisse : pétition de 59 000 signatures pour un référendum contre la loi permettant le « mariage gay »
Par Pierre-Alain Depauw (Médias Presse Info) ― Photo : PxHere
Le 12 avril, plus de 59 000 signatures ont été déposées pour réclamer un référendum (une votation) qui pourrait permettre d’annuler la loi qui autorise le « mariage » entre personnes de même sexe, ainsi que l’adoption par des personnes de même sexe et la procréation médicalement assistée (PMA) pour des duos de lesbiennes.
A peine cette loi avait-elle été adoptée fin 2020, que trois comités référendaires se sont mobilisés pour l’annuler par référendum. Cette mobilisation s’est faite avec le soutien du parti UDC (Union démocratique du centre), de la Fondation pour la famille et du parti UDF (Union démocratique fédérale).
Le Réseau évangélique suisse SEA-RES, lui aussi opposé au mariage homosexuel, soutient ce référendum. « SEA-RES avait déjà exprimé son opposition au projet de loi lors de la consultation pour plusieurs raisons, notamment les conséquences négatives pour l’enfant s’il grandit sans mère ou sans père », a déclaré Marc Jost, son secrétaire général.
A l’opposé, la Fédération des Eglises protestantes de Suisse soutient les revendications du lobby LGBT.
Ce qui est inadmissible, c’est le silence de la Conférence des évêques suisses. Le clergé catholique devrait soutenir toute initiative permettant de casser une loi inique dénaturant le mariage. Ce n’est hélas pas le cas. Honte à ces prélats qui trahissent une fois de plus la doctrine de l’Eglise.
Le procureur général de Floride enquête sur un avortoir où fut pratiqué l'avortement d'une victime de viol
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
C’est suite à une pétition lancée par LifeSiteNews que le procureur général de Floride a décidé de mener une enquête au sujet de l’avortoir ayant pratiqué un avortement sur une jeune fille de quinze ans, amenée là par son violeur qui a d’ailleurs filmé les scènes de viols pour en mettre les vidéos sur PornHub, site qui reçoit la pornographie de ses utilisateurs.
Avant de continuer mon propos, précisons que PornHub est le site pornographique de la compagnie MindGeek, vaste société qui fait des centaines de millions avec ce site ordurier ; le siège social de cette société se trouve très exactement à Montréal…
Selon LifeSiteNews :
Le procureur général de Floride, Ashley Moody, a commandé une enquête sur un centre d’avortement qui a pratiqué un avortement sur une jeune fille de 15 ans qui est devenue enceinte après avoir été agressée à plusieurs reprises, ces viols ayant été filmés et les vidéos finalement téléversés sur Pornhub. Le ravisseur de la jeune fille a emmené celle-ci à un avortoir pour un avortement illégal afin de dissimuler ses crimes.
Le procureur général Moody veut maintenant savoir si le centre d’avortement a omis de signaler « l’abus ou la négligence » de la mineure et si cette omission a « permis la poursuite de l’exploitation de la victime dans cette affaire ».
« D’après le rapport, il ne semble pas que les inspecteurs ni le Département des Enfants et des Familles aient reçu de rapport de maltraitance ou de négligence de la part du prestataire [...] Plus troublant pour moi est le fait qu’il semble qu’un homme de trente ans sans lien de parenté avec la mineure l’ait emmenée chez le fournisseur et qu’aucun rapport d’abus ou de négligence n’ait apparemment été lancé », écrit Moody dans une lettre datée du 4 juin 2020 au Département de l’Application de la loi de Floride. La lettre a été obtenue par LifeSiteNews.
« D’après les faits contenus dans les rapports, il semble qu’une enquête plus approfondie serait justifiée fin de s’assurer que le prestataire n’a pas permis la poursuite de l’exploitation de la victime dans cette affaire. Je demande à vos agents de mener une enquête plus approfondie sur ces faits et de les suivre où qu’ils mènent », ajoute-t-elle.
L’enquête a été ouverte après que LifeSiteNews eût publié et diffusé une pétition au sujet de l’avortement pratiqué sur la jeune fille de 15 ans qui était devenue enceinte lors d’agressions sexuelles répétées, dont les vidéos ont été téléversées sur Pornhub.
Précisons que l’avortoir aurait entre autres enfreint la loi sur le consentement parental de l’État ; évidemment, s’il n’a pas établi le lien de parenté, cela veut dire qu’il n’a pas demandé l’avis des parents avant de procéder.
La pétition de soutien à Guzzo et au film Unplanned atteint presque 1000 signatures
Scène du film Unplanned
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Image : Capture d'écran de la bande-annonce sur YouTube
La pétition de Campagne Québec-Vie, en soutien au propriétaire de Cinémas Guzzo, Vincenzo Guzzo, et au film pro-vie Unplanned que celui-ci projette de montrer en salle, atteint presque mille signatures, ou 856.
La pétition « Monsieur Guzzo, nous voulons Unplanned ! » a été lancée jeudi dernier, alors que les nouvelles annonçaient que M. Guzzo publiquement se disait intéressé par ce film et vouloir le faire projeter dans ses cinémas.
Les gros médias présentaient aussi l’affaire plutôt négativement, laissant largement le crachoir aux divers partisans de l’avortement, dont des membres de Planned Parenthood, industrie de l’avortement directement concernée par ce film qui raconte la conversion d’Abby Johnson, ancienne directrice d’un avortoir de cet organisme, puis directrice du mouvement pro-vie And Then There Were None qui a pour but d’aider les travailleurs du domaine de l’avortement à le quitter. Le film Unplanned a rencontré de nombreuses oppositions aux États-Unis et se bute à une importante résistance au Canada.
On apprenait par les mêmes nouvelles que des propriétaires de cinémas, dont M. Guzzo, s’étaient fait menacer de mort à cause du film et que quelques-uns d’entre eux se sont désistés.
La pétition a donc pour but de montrer à M. Guzzo l’intérêt présent au milieu de la population pour le film Unplanned et son soutien.
L’homme qui avait frappé une femme pro-vie n’est condamné qu’à huit mois de… probation
Jordan Hunt.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :
Jordan Hunt, ce pro-avortement filmé en train d’assener un coup de pied à une femme pro-vie qui lui enjoignait de cesser de dégrader les vêtements et les pancartes de participants à la Chaîne de la Vie (Chain Life), et qui avait par ailleurs été filmé s’attaquant à une autre femme pro-vie, n’a été condamné qu’à huit mois de probation : pas un seul jour de prison.
https://youtu.be/z7SqtIe5rZQ
D’après The Rebel Media :
Lire la suiteJordan Hunt a été filmé à deux reprises en train d’attaquer des femmes. Il a été pris sur le fait donnant un coup de pied à une militante pro-vie nommée Marie Claire Bissonnette [...]
Jordan Hunt a finalement eu sa journée au tribunal, chargé de multiples chefs d’accusation de méfaits et de voies de fait [...]
Mais écoutez ceci : dans une salle d’audience complètement dépourvue de tout média, à l’exception du Rebel, le juge Michael Block a rendu un verdict à vous en faire tomber la mâchoire : à savoir, Hunt n’a reçu que huit mois de probation et s’est seulement fait ordonner de ne pas approcher à moins de 100 mètres, de toute réunion pro-vie.
C’est vrai. Huit mois ! De probation !
Les unions contre nature légalisées à Taïwan
Mémorial Tchang Kaï-chek à Taipei, en Taïwan.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Ma Jien-kuo/GoodFreePhotos
Après avoir négligé une pétition officielle de 7 millions de signatures, le parlement de Taïwan a adopté une loi garantissant aux couples de même sexe des droits légaux similaires à ceux prévus pour les couples normaux. Extrait de la FSSPX.News :
La loi adoptée par le parlement le 17 mai 2019 garantit aux couples de même sexe des protections juridiques similaires à celles prévues pour les unions entre un homme et une femme. Taïwan devient le premier pays d’Asie à légaliser le « mariage » homosexuel.
Juste avant le vote, la présidente de la République de Chine, Tsai Ing -wen, était sortie de sa réserve en déclarant : « aujourd’hui, nous pouvons écrire l’histoire et montrer au monde que des valeurs progressistes peuvent s’enraciner dans une société est-asiatique ».
Le vote du 17 mai 2019 revêt surtout un aspect symbolique, car le résultat ne laissait guère de place au doute : déjà en 2017, la Cour constitutionnelle avait décidé que les couples de même sexe devaient avoir le droit de se marier légalement. Elle avait donné au gouvernement jusqu’au 24 mai 2019 pour faire adopter par le Parlement un règlement spécifique.
Un universitaire défend la lettre accusant le Pape d’hérésie : L’Église fait face à sa « crise la plus grave » de l’histoire
Le professeur Claudio Pierantoni.
Par Diane Montagna — traduit par Campagne Québec-Vie
Rome, le 7 mai 2019 (LifeSiteNews) — La récente lettre ouverte à tous les évêques catholiques, accusant le Pape François d’hérésie et exhortant l’épiscopat du monde à enquêter sur les chefs d’accusation, a suscité l’admiration et l’opposition parmi les catholiques les plus éminents, éveillé une grande attention dans la presse laïque.
De notables réponses à la lettre sont venues de la part des Pères Joseph Fessio, S.J., Brian Harrison, O.S., et Thomas Weinandy, O.F.M. capucin.
La lettre a également laissé de nombreux catholiques avec des questions : les signataires accusent-ils le Pape François d’être un hérétique formel ? Contreviennent-ils au Droit Canon ? Quel en sera l’effet maintenant que le mot « hérésie » a été ouvertement utilisé à l’égard du Pape François ? Et pourquoi n’ont-ils pas d’abord cherché à lui faire part de leurs préoccupations en privé, avant de prendre cette mesure historique ?
LifeSite s’est entretenu avec le professeur Claudio Pierantoni, l’un des universitaires laïcs qui ont aidé à rédiger la lettre ouverte. Le professeur Pierantoni, né à Rome, est professeur de philosophie médiévale à la Faculté de philosophie de l’Université du Chili (Santiago). Il possède deux doctorats : l’un en histoire du christianisme et l’autre en philosophie.
Dans cette vaste entrevue, le Pr Pierantoni aborde ces questions, répondant aux critiques de la lettre ouverte et expliquant pourquoi il croit que l’Église traverse actuellement « la crise la plus grave, non seulement depuis la Réforme protestante, mais de toute son histoire ».
Lire la suiteDes Canadiens protestent contre la piastre célébrant la décriminalisation des actes homosexuels
Des membres de CitizenGO protestant contre le « huard gai » devant l'Hôtel royal canadien de la Monnaie, à Ottawa, le 12 avril 2019.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le gouvernement canadien, ayant à sa tête Justin Trudeau (digne fils de son père), émettra bientôt des piastres « gaies » représentant sur le côté pile un duo d’homosexuels. Le pauvre huard sera remplacé sur ces pièces par une face (composée de deux faces) créant ainsi le un dollar à deux faces… De l’argent bien menteur.
Des Canadiens ont protesté le 12 avril devant l’Hôtel de la Monnaie royale à Ottawa pour montrer leur désaccord avec cette propagande LGBT et la honte que représente la piastre « gaie » pour notre pays. Extrait de LifeSiteNews :
Les Canadiens ont manifesté à Ottawa le 12 avril, devant l’Hôtel de la Monnaie royale contre une nouvelle pièce de monnaie qui sera émise au cours des prochaines semaines pour commémorer la décriminalisation des actes sexuels homosexuels.
L’organisateur CitizenGO a publié le 11 avril une déclaration dans laquelle il annonçait avoir recueilli plus de 48 000 signatures à l’appui de sa « demande à l’Hôtel de la Monnaie d’annuler l’émission de cette pièce de un dollar ». Au milieu de l’après-midi le 12 avril, cependant, plus de 49 563 personnes avaient signé.
[...]
Le gouvernement actuel, dirigé par Justin Trudeau, a approuvé la pièce le 14 décembre 2018.
Selon la Radio-Canada, le dessin est un « .... représentation stylisée de deux visages humains se chevauchant dans un grand cercle, la moitié gauche de la face gauche vue de face et la face droite de profil à gauche, les deux faces formant un visage entier vu de face composé de deux yeux avec sourcils, un nez, une bouche et deux oreilles avec une petite boucle à l’oreille gauche... »
Il est entendu que les deux visages humains appartiennent à un « couple »* du même sexe.
La pièce mettra aussi en valeur l’année « 1969 », lorsque les actes homosexuels privés ont été décriminalisés par le gouvernement dirigé par le père de Trudeau, Pierre Trudeau, et « 2019 ».
Le mot « égalité » en français et en anglais sera
inclus, de même que les initiales de l’artiste, actuellement connues sous l’acronyme « RA »
*Parenthèses rajoutées — A. H.