« Est-ce que ça fait de moi une criminelle ? » s’interroge Soraya Martinez Ferrada au sujet de l’avortement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Oregon Department of Transportation/Flickr/Wikimedia Commons
Pour la troisième fois en six mois, le député conservateur Arnold Viersen a présenté une pétition demandant au Parlement canadien de légiférer sur l'avortement, déclarant en outre que la décision Morgentaler est inconstitutionnelle puisqu’elle ne protège pas la vie, qui est censée l'être par la Charte des droits et libertés.
Peu après, le 9 mai, le jour de la Marche pour la vie d’Ottawa, le ministre libéral Soraya Martinez Ferrada, en pleine période de questions à la Chambre des communes, a réagi à cette pétition en racontant qu’elle avait eu un avortement à 18 ans.
Originaire du Chili, Mme Ferrada s’était installée au Canada. Après le départ du dictateur Pinochet, Mme Ferrada, alors âgée de 18 ans, voulut revoir son pays natal. Une fois là-bas, elle découvrit qu’elle était enceinte. Voulant avorter, elle se confia à une tante qui lui dit : « Bien, tu sais qu’au Chili, [l’avortement] n’est pas légal. C’est criminel et tu peux faire de la prison », rapporte Radio-Canada. Elle retourna donc au Canada et se fit avorter.
Maintenant, devant la tentative du député conservateur de remettre à l’honneur la question de la protection de l’enfant à naître, elle se sent attaquée :
Lire la suite« Ce qui m’a beaucoup interpellée, c’est le dépôt de la pétition qui remet en fait le débat, par la porte d’en arrière, sur la question de droit de vie d’un fœtus. »
Le gouvernement Legault doit autoriser les événements pro-vie
Le gouvernement Legault ne compte pas lever l’interdiction d’un événement qu’il considère comme étant « antiavortement », autrement dit pro-vie, même si le groupe lésé dans l’affaire, Harvest Ministries International (HMI), l’a mis en demeure de se rétracter.
Signez notre pétition pour dire à François Legault qu’il doit cesser cette persécution illégale des pro-vie.
Bien que dans sa mise en demeure de HMI indique que l’événement prévu n’avait pas de thématique « anti-avortement », c’est en raison d’un site pro-vie dont l’organisme est propriétaire que le gouvernement a décidé de le bloquer. Par ce geste, le gouvernement Legault persécute tous les pro-vie du Québec.
Outre les réactions indignées de plusieurs chroniqueurs face à cette annulation brutale, le PQ et QS commencent à remettre en question leur appui à la décision du gouvernement, brisant ainsi l’unanimité précédente de l’Assemblée nationale.
S’il vous plaît, signez notre pétition, nous sommes rendus à 648 signatures et nous visons les 1000.
Pour la Vie,
Augustin Hamilton
Mis en demeure, le gouvernement Legault refuse de rétablir un événement qu’il juge « antiavortement »
Le Collège des médecins du Québec doit rejeter l’infanticide / Quebec College of Physicians must Reject Infanticide
Photo : Pixabay
Au Collège des médecins du Québec
Le 7 octobre 2022, le Dr Louis Roy s’est adressé au Comité parlementaire chargé de revoir la loi canadienne sur l’euthanasie. Il l’a fait en tant que représentant de votre organisation et des médecins du Québec.
Dans sa déclaration, consignée au dossier parlementaire, il a demandé l’euthanasie des enfants de moins d’un an atteints de « malformations sévères » et de « syndromes très sévères, graves », dont « l’espérance de survie est pour ainsi dire nulle. » En d’autres termes, parlant en votre nom, il a demandé instamment le meurtre effectif de nourrissons difformes et malades — des bébés dans leur berceau ! C’est ce qu’on appelle « l’infanticide », pratique barbare inadmissible et infraction au Code criminel.
Je suis indigné et horrifié par cette proposition. Chaque enfant compte, quel que soit son âge, sa race, son handicap, sa difformité ou sa maladie. Leur droit divin à la vie doit être respecté et ils doivent recevoir de nos professionnels de la santé les traitements, les soins et la compassion appropriés et favorables à la vie. Il ne doit pas être question d’assassiner un enfant vulnérable souffrant de maladie ou de difformité. Même la pensée d’un tel acte, qui est enracinée dans la discrimination et les préjugés, doit être bannie de l’esprit de chaque médecin.
Inclusion Canada, une fédération nationale de treize organisations de défense des droits des personnes souffrant de déficience intellectuelle, déclare : « Le Canada ne peut pas se mettre à tuer des bébés lorsque les médecins prédisent qu’il n’y a aucun espoir pour eux. Les prédictions sont bien trop souvent fondées sur des postulats discriminatoires concernant la vie avec handicap. » Elle note également que « fournir l’AMM [euthanasie] à une personne qui ne peut consentir est une norme extrêmement dangereuse pour tous ceux souffrant de déficience intellectuelle au Canada. »
Par conséquent, je vous demande de renoncer officiellement à votre politique en faveur de l’infanticide et de réaffirmer votre mission historique de guérison et de soins, qui se résume par les mots du serment d’Hippocrate, qui engage à « ne pas nuire ».
Je vous demande également d’instaurer une nouvelle politique visant à discipliner les médecins comme le Dr Louis Roy, qui prônent l’infanticide. Afin de rétablir la confiance de la population dans le système de santé québécois, les médecins qui font la promotion d’activités criminelles et qui sapent les droits de la personne doivent être sanctionnés.
***English version***
TO: Quebec College of Physicians
On October 7, 2022, Dr. Louis Roy addressed the Parliamentary Committee tasked with reviewing Canada’s euthanasia law. He did so as a representative of your organization and of Quebec doctors.
In his statement, entered into the parliamentary record, he called for the euthanasia killing of children under age one with “severe malformations” and “grave and severe syndromes”, whose “survival is null, so to speak.” In other words, speaking on your behalf, he has urged the actual murder of deformed and sick infants – babies in their cribs! This is known as “infanticide”, a barbaric, unconscionable practice and Criminal Code offence.
I am outraged and horrified by this proposal. Every child matters, regardless of their age, race, disability, deformity, or sickness. Their God-given right to life must be respected, and they must receive appropriate, life-affirming treatment, care, and compassion from our medical professionals. There must be no option to murder a vulnerable child experiencing any sickness or deformity. Even the thought of such an act, which is rooted in discrimination and prejudice, must be banished from every doctor’s mind.
Inclusion Canada, a national federation of thirteen intellectual disability rights organizations, states: “Canada cannot begin killing babies when doctors predict there is no hope for them. Predictions are far too often based on discriminatory assumptions about life with a disability.” They also note that “providing MAiD [euthanasia] to a person who cannot consent is a standard that is wildly dangerous for all persons with intellectual disabilities in Canada.”
Therefore, I am calling on you to officially renounce your policy in favour of infanticide and to reaffirm your historic mission of healing and caring, which is summed up in the words of the Hippocratic Oath, pledging to “do no harm”.
I am also calling on you to initiate a new policy to discipline doctors like Dr. Louis Roy, who advocate for infanticide. In order to restore the public’s trust in Quebec health care, doctors who promote criminal activities and undermine human rights must be punished.
Une pétition aux 338 députés fédéraux pour sauver les organismes pro-vie du Canada
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Tierney/Adobe Stock
Lorsque notre premier ministre s’est engagé en 2021 à « Ne plus accorder un statut d’organisme de bienfaisance à des organisations antiavortement », le plus grand organisme pro-vie au Canada, Campaign Life Coalition, « a lancé une pétition pour sauver nos Centres canadiens de grossesse d’urgence et les organismes de bienfaisance pro-vie ». À ce jour 12 431 personnes l’ont signée !
CLC affirme dans un blogue récent que « Si les libéraux de Trudeau réussissent à annuler le statut d’organisme de bienfaisance des Canadian Crisis Pregnancy Centres et des organisations pro-vie, les résultats seront désastreux. »
L’attaque contre ces centres de grossesses et organismes pro-vie est une attaque contre la vie des Canadiens les plus vulnérables. « Ces organismes de bienfaisance pourraient être contraints de fermer et les personnes qu’ils servent se retrouveront sans le soutien dont ils ont besoin. Pire que tout, des milliers de vies précieuses d’enfants à naître, qui autrement seraient sauvées, seront perdues chaque année à cause de l’avortement. »
L’organisme pro-vie d’assistance à la grossesse Pregnancy Care Canada rapporte qu’en un an « 31 717 clientes ont choisi de se rendre dans l’un de nos centres de soins de grossesse affiliés pour obtenir de l’aide ». Si ces centres fermaient, que deviendraient ces milliers de femmes enceintes et leurs enfants à naître ?
Récemment, CLC a renforci son impact en travaillant « pour imprimer, rassembler, emballer et livrer physiquement des copies supplémentaires de notre pétition aux 338 députés. »
Déjà 3 députés, dont la candidate à la chefferie pro-vie du Parti conservateur Leslyn Lewis, se sont engagés à « défendre les organismes de bienfaisance pro-vie et lutter contre le programme anti-vie destructeur de Trudeau. »
Chaque signature compte ! Si vous ne l’avez pas déjà fait, signez la pétition de CLC !
Et pour faire bonne mesure, signez également notre pétition.
Marche pour sauver les centres pro-vie d’aide aux femmes enceintes
Par Campaign Life Coalition — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Paul Bradbury/Caia Image/Adobe Stock
Les Canadiens se rassembleront sur la Colline parlementaire à Ottawa ce mercredi 24 novembre, dans le but de sauver les centres de ressources pour femmes enceintes et autres organismes pro-vie attaqués par le premier ministre Justin Trudeau qui a promis de leur retirer leur statut d’organisme de bienfaisance.
Ce rassemblement pacifique pour sauver nos organismes de bienfaisance, organisé par Campaign Life Coalition, commencera à 12 h 30 et inclura des membres du Parlement qui recevront en personne une pétition de 12 000 signatures — ainsi qu’une autre pétition de plus de 400 signatures* — demandant aux députés de s’opposer à tout projet de loi, motion ou politique de réglementation visant à pénaliser les centres d’aide pendant la grossesse et autres organisations pro-vie de notre pays.
Sans le statut d’organisme de bienfaisance, ces centres de grossesse pro-femme et favorables à la vie pourraient être contraints de fermer. Beaucoup auront certainement des difficultés financières. En fin de compte, cela signifiera moins d’aide pour les femmes enceintes en crise qui comptent sur les quelque 150 centres de ressources pendant la grossesse au Canada pour les aider en cas de besoin.
« Les centres de ressources pour femmes enceintes, qui ne survivent souvent que grâce à de généreux donateurs et bénévoles, fournissent des tests de grossesse, des couches, des vêtements pour bébé, etc. et aident à répondre aux besoins physiques, émotionnels, juridiques et spirituels des clients », a déclaré Josie Luetke, coordonnatrice jeunesse à Campaign Life Coalition.
Lire la suiteSuisse : pétition de 59 000 signatures pour un référendum contre la loi permettant le « mariage gay »
Par Pierre-Alain Depauw (Médias Presse Info) ― Photo : PxHere
Le 12 avril, plus de 59 000 signatures ont été déposées pour réclamer un référendum (une votation) qui pourrait permettre d’annuler la loi qui autorise le « mariage » entre personnes de même sexe, ainsi que l’adoption par des personnes de même sexe et la procréation médicalement assistée (PMA) pour des duos de lesbiennes.
A peine cette loi avait-elle été adoptée fin 2020, que trois comités référendaires se sont mobilisés pour l’annuler par référendum. Cette mobilisation s’est faite avec le soutien du parti UDC (Union démocratique du centre), de la Fondation pour la famille et du parti UDF (Union démocratique fédérale).
Le Réseau évangélique suisse SEA-RES, lui aussi opposé au mariage homosexuel, soutient ce référendum. « SEA-RES avait déjà exprimé son opposition au projet de loi lors de la consultation pour plusieurs raisons, notamment les conséquences négatives pour l’enfant s’il grandit sans mère ou sans père », a déclaré Marc Jost, son secrétaire général.
A l’opposé, la Fédération des Eglises protestantes de Suisse soutient les revendications du lobby LGBT.
Ce qui est inadmissible, c’est le silence de la Conférence des évêques suisses. Le clergé catholique devrait soutenir toute initiative permettant de casser une loi inique dénaturant le mariage. Ce n’est hélas pas le cas. Honte à ces prélats qui trahissent une fois de plus la doctrine de l’Eglise.
Le procureur général de Floride enquête sur un avortoir où fut pratiqué l'avortement d'une victime de viol
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
C’est suite à une pétition lancée par LifeSiteNews que le procureur général de Floride a décidé de mener une enquête au sujet de l’avortoir ayant pratiqué un avortement sur une jeune fille de quinze ans, amenée là par son violeur qui a d’ailleurs filmé les scènes de viols pour en mettre les vidéos sur PornHub, site qui reçoit la pornographie de ses utilisateurs.
Avant de continuer mon propos, précisons que PornHub est le site pornographique de la compagnie MindGeek, vaste société qui fait des centaines de millions avec ce site ordurier ; le siège social de cette société se trouve très exactement à Montréal…
Selon LifeSiteNews :
Le procureur général de Floride, Ashley Moody, a commandé une enquête sur un centre d’avortement qui a pratiqué un avortement sur une jeune fille de 15 ans qui est devenue enceinte après avoir été agressée à plusieurs reprises, ces viols ayant été filmés et les vidéos finalement téléversés sur Pornhub. Le ravisseur de la jeune fille a emmené celle-ci à un avortoir pour un avortement illégal afin de dissimuler ses crimes.
Le procureur général Moody veut maintenant savoir si le centre d’avortement a omis de signaler « l’abus ou la négligence » de la mineure et si cette omission a « permis la poursuite de l’exploitation de la victime dans cette affaire ».
« D’après le rapport, il ne semble pas que les inspecteurs ni le Département des Enfants et des Familles aient reçu de rapport de maltraitance ou de négligence de la part du prestataire [...] Plus troublant pour moi est le fait qu’il semble qu’un homme de trente ans sans lien de parenté avec la mineure l’ait emmenée chez le fournisseur et qu’aucun rapport d’abus ou de négligence n’ait apparemment été lancé », écrit Moody dans une lettre datée du 4 juin 2020 au Département de l’Application de la loi de Floride. La lettre a été obtenue par LifeSiteNews.
« D’après les faits contenus dans les rapports, il semble qu’une enquête plus approfondie serait justifiée fin de s’assurer que le prestataire n’a pas permis la poursuite de l’exploitation de la victime dans cette affaire. Je demande à vos agents de mener une enquête plus approfondie sur ces faits et de les suivre où qu’ils mènent », ajoute-t-elle.
L’enquête a été ouverte après que LifeSiteNews eût publié et diffusé une pétition au sujet de l’avortement pratiqué sur la jeune fille de 15 ans qui était devenue enceinte lors d’agressions sexuelles répétées, dont les vidéos ont été téléversées sur Pornhub.
Précisons que l’avortoir aurait entre autres enfreint la loi sur le consentement parental de l’État ; évidemment, s’il n’a pas établi le lien de parenté, cela veut dire qu’il n’a pas demandé l’avis des parents avant de procéder.
La pétition de soutien à Guzzo et au film Unplanned atteint presque 1000 signatures
Scène du film Unplanned
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Image : Capture d'écran de la bande-annonce sur YouTube
La pétition de Campagne Québec-Vie, en soutien au propriétaire de Cinémas Guzzo, Vincenzo Guzzo, et au film pro-vie Unplanned que celui-ci projette de montrer en salle, atteint presque mille signatures, ou 856.
La pétition « Monsieur Guzzo, nous voulons Unplanned ! » a été lancée jeudi dernier, alors que les nouvelles annonçaient que M. Guzzo publiquement se disait intéressé par ce film et vouloir le faire projeter dans ses cinémas.
Les gros médias présentaient aussi l’affaire plutôt négativement, laissant largement le crachoir aux divers partisans de l’avortement, dont des membres de Planned Parenthood, industrie de l’avortement directement concernée par ce film qui raconte la conversion d’Abby Johnson, ancienne directrice d’un avortoir de cet organisme, puis directrice du mouvement pro-vie And Then There Were None qui a pour but d’aider les travailleurs du domaine de l’avortement à le quitter. Le film Unplanned a rencontré de nombreuses oppositions aux États-Unis et se bute à une importante résistance au Canada.
On apprenait par les mêmes nouvelles que des propriétaires de cinémas, dont M. Guzzo, s’étaient fait menacer de mort à cause du film et que quelques-uns d’entre eux se sont désistés.
La pétition a donc pour but de montrer à M. Guzzo l’intérêt présent au milieu de la population pour le film Unplanned et son soutien.
L’homme qui avait frappé une femme pro-vie n’est condamné qu’à huit mois de… probation
Jordan Hunt.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : capture d'écran vidéo
Jordan Hunt, ce pro-avortement filmé en train d’assener un coup de pied à une femme pro-vie qui lui enjoignait de cesser de dégrader les vêtements et les pancartes de participants à la Chaîne de la Vie (Chain Life), et qui avait par ailleurs été filmé s’attaquant à une autre femme pro-vie, n’a été condamné qu’à huit mois de probation : pas un seul jour de prison.
https://youtu.be/z7SqtIe5rZQ
D’après The Rebel Media :
Lire la suiteJordan Hunt a été filmé à deux reprises en train d’attaquer des femmes. Il a été pris sur le fait donnant un coup de pied à une militante pro-vie nommée Marie Claire Bissonnette [...]
Jordan Hunt a finalement eu sa journée au tribunal, chargé de multiples chefs d’accusation de méfaits et de voies de fait [...]
Mais écoutez ceci : dans une salle d’audience complètement dépourvue de tout média, à l’exception du Rebel, le juge Michael Block a rendu un verdict à vous en faire tomber la mâchoire : à savoir, Hunt n’a reçu que huit mois de probation et s’est seulement fait ordonner de ne pas approcher à moins de 100 mètres, de toute réunion pro-vie.
C’est vrai. Huit mois ! De probation !
Les unions contre nature légalisées à Taïwan
Mémorial Tchang Kaï-chek à Taipei, en Taïwan.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Ma Jien-kuo/GoodFreePhotos
Après avoir négligé une pétition officielle de 7 millions de signatures, le parlement de Taïwan a adopté une loi garantissant aux couples de même sexe des droits légaux similaires à ceux prévus pour les couples normaux. Extrait de la FSSPX.News :
La loi adoptée par le parlement le 17 mai 2019 garantit aux couples de même sexe des protections juridiques similaires à celles prévues pour les unions entre un homme et une femme. Taïwan devient le premier pays d’Asie à légaliser le « mariage » homosexuel.
Juste avant le vote, la présidente de la République de Chine, Tsai Ing -wen, était sortie de sa réserve en déclarant : « aujourd’hui, nous pouvons écrire l’histoire et montrer au monde que des valeurs progressistes peuvent s’enraciner dans une société est-asiatique ».
Le vote du 17 mai 2019 revêt surtout un aspect symbolique, car le résultat ne laissait guère de place au doute : déjà en 2017, la Cour constitutionnelle avait décidé que les couples de même sexe devaient avoir le droit de se marier légalement. Elle avait donné au gouvernement jusqu’au 24 mai 2019 pour faire adopter par le Parlement un règlement spécifique.