L’avortement encore en tête des causes de décès dans le monde en 2019 : plus de 42 millions d’enfants à naître
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le 2 janvier 2020 (LifeSiteNews) – Le nombre d’enfants tués dans l’utérus représente plus de la moitié du total des décès dans le monde.
D’après l’organisme de compilation Worldometers, plus de 42 millions d’avortements ont eu lieu en 2019 dans le monde, ce qui veut dire que l’avortement est, encore une fois, en tête des causes de décès à travers la planète cette année.
Au 31 décembre, Worldometers comptait 42,4 millions d’avortements, soit plus de la moitié du nombre total de décès pour toutes causes (58,6 millions). Les avortements ont éclipsé toute autre cause de décès, y compris les décès mondiaux dus à la maladie (13 millions).
Le nombre réel d’avortements peut être supérieur ou inférieur. Toutefois, Worldometers s’appuie sur les statistiques de santé et de mortalité de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui fonde ses estimations sur celles du pro-avortement Guttmacher Institute.
« Des 56,3 millions d’avortements mondiaux estimés par Guttmacher, pas plus de 10 % peuvent être officiellement comptabilisés et il n’y a pas de preuve empirique que pour 23 %, » a écrit Michael Spielman d’Abort73. « On suppose l’autre 77 % sur la base d’un modèle statistique complexe qui prend en compte plusieurs facteurs. » Plus important encore, Guttmacher « suppose un taux d’avortement constant qui ne se voit pas affecté par la légalité de l’avortement, » sans doute pour donner des conclusions appuyant l’affirmation des groupes de pression pro-avortement qui disent que les lois pro-vie sont inefficaces.
Worldometers a trouvé des nombres similaires l’année dernière, conduisant les agences de gauche tel Snopes à tenter de minimiser les nouvelles non pas en contestant les chiffres, mais en faisant valoir que l’avortement ne devrait pas être considéré comme « cause de décès ». Pourtant, du point de vue scientifique, dire que les embryons et les fœtus détruits par l’avortement sont des êtres humains vivants relève d’un fait biologique.
Worldometers suit et prépare des statistiques sur une grande variété de sujets en temps réel, basé sur des donnés qui viennent de sources telles que les Nations unies, l’OMS, le Fonds monétaire international (FMI), et plus encore. Ils se vantent de la reconnaissance d’une grande variété d’agences médiatiques et de travaux universitaires, de citations de leurs travaux dans les médias ainsi que de l’approbation de l’American Library Association.
À date du 2 janvier, Worldometers a déjà compté plus de 190 000 avortements dans le monde en 2020.
Ghana – Les évêques s’opposent aux «intérêts supranationaux» venus pervertir les enfants africains
Par Nsango ya Biyu (Medias-Presse.info) — Photo : PxHere
Ghana — Réagissant à une vaste campagne d’éducation sexuelle en direction des plus petits lancée par l’UNESCO, la Conférence des évêques du Ghana (GDBC) a déclaré que l’Eglise catholique s’opposerait à toute tentative de falsification des valeurs morales au sein de la société, appelant les parents à jouer un rôle plus actif dans l’éducation de leurs enfants, en leur inculquant les valeurs religieuses et morales.
Mgr Philip Naameh, archevêque de Tamale et président de la GCBC, a évoqué devant les médias la récente tentative gouvernementale d’introduire un cycle complet d’éducation sexuelle dans le programme des écoles primaires, rappelant que l’Eglise y demeure fermement opposée, car « l’acte de reproduction n’est pas quelque chose que l’on peut exercer de façon arbitraire : c’est ce qui différencie essentiellement l’être humain de l’animal dénué de raison ».
Le contexte de la sexualité est le mariage. Si vous n’êtes pas marié, vous ne devez pas exercer la sexualité et c’est de là que vient la principale objection de l’Eglise. Vouloir enseigner aux petits garçons de cinq à six ans comment exercer la sexualité et tout le reste, est mal. Notre culture traditionnelle contient une initiation dans ce domaine. Quand quelqu’un atteint l’âge où le mariage peut être envisagé, il reçoit une initiation. On n’enseigne pas la sexualité dans le vide.
Le prélat a encore ajouté :
« Il n’appartient pas à des intérêts supranationaux de financer le gouvernement afin d’appliquer une telle politique, ce sont les parents qui sont les premiers responsables » de leurs enfants.
Au Ghana, comme dans d’autres pays émergents, c’est l’Unesco qui a lancé, conjointement avec le gouvernement, le programme « Comprehensive Sexuality Education » (CSE).
Le contenu de ce programme d’éducation sexuelle est dicté par les lobbies LGBT et mondialistes afin de transformer les mentalités des plus jeunes générations.
Face aux réactions des évêques et des parents, le président de la République Nana Akufo-Addo a décidé de suspendre ce programme d’éducation sexuelle. Le message final de l’Assemblée plénière des évêques s’est donc terminé par une adresse au président du Ghana pour le remercier de sa décision, l’encourageant à prendre d’autres mesures afin de prévenir toute tentative de réintroduire ce programme.
« Nous nous opposons très fermement à tout CSE qui enseigne l’acceptation des LGBTQ et le mariage homosexuel comme normal », ont ajouté les évêques.
Durant son intervention, Mgr Naameh a également rappelé les autres défis auxquels l’Eglise catholique doit faire face au Ghana : « la prolifération des sectes », le rapport des chrétiens à « l’argent roi », « le manque de foi » et « l’apathie » spirituelle.
Petteri Taalas, responsable de l’Organisation météorologique mondiale : « Arrêtez de vous inquiéter, faites des bébés »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Au milieu de la crainte grandissante des réchauffistes devant ce qu’ils appellent le « changement climatique anthropique » et des gestes absurdes posées par plusieurs gouvernements (comme la taxe carbone), une voix plus raisonnable s’élève pour calmer les esprits. Petteri Taalas, chef de l’agence des Nations Unies consacrée au climat affirme que le « changement climatique » est moins calamiteux que ne le prétendent les alarmistes de tous poils. Par conséquent, pour M. Taalas, les gens ordinaires ne devraient pas s’adonner à des restrictions drastiques devant prétendument sauver la planète, comme ne pas avoir d’enfants, selon Acton Institute :
Le changement climatique est peut-être un problème, mais il ne détruira pas le monde. C’est ce qu’affirme le chef de l’agence des Nations Unies consacrée au climat. Il ajoute que les jeunes gens ne doivent pas arrêter d’avoir des enfants. Selon lui, la rhétorique alarmiste des « catastrophistes et extrémistes » selon laquelle les bébés vont détruire la planète « ressemble à l’extrémisme religieux » et « fera peser un poids supplémentaire » sur les jeunes femmes en « provoquant de l’anxiété ».
Je m’arrête un instant pour faire remarquer encore une fois l’étrange charabia moderne ; l’expression « extrémisme religieux » est employée ici comme référence du nec plus ultra des mentalités portant à poser des gestes inconsidérés, fanatiques et néfastes. En soi, être « extrémiste » ne devrait rien signifier de plus que d’être prêt à aller jusqu’au bout d’un raisonnement, d’être logique, rationnel et conséquent ; aller aux extrêmes. Ainsi l’« extrémisme » n’est pas en soi pernicieux, le mauvais « extrémisme » est celui qui contient une ou plusieurs erreurs à sa base, le conduisant ainsi à de mauvaises conclusions et à des gestes fâcheux. Inutile d’en dire beaucoup sur l’accolement du mot « religieux » à celui d’« extrémisme », comme si la religion était forcément dépourvue de raison (ce qui est largement le cas dans toutes les religions, sauf une). Par ailleurs, l’emploi du mot « extrémistes » dans son acception (tordue) moderne à propos des réchauffistes montre qu’il n’est pas l’apanage de la religion (à moins que le réchauffisme ne soit une religion).
Lire la suiteONU Femmes adopte une position neutre sur la criminalisation de la prostitution
Phumzile Mlambo-Ngcuka, directrice exécutive d'ONU Femmes,
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : ITU Pictures/Flickr
La position à prendre devrait être évidente pourtant... Extrait de C-Fam :
L’agence des Nations Unies pour la femme a récemment annoncé sa neutralité quant à la criminalisation de la prostitution. Cette annonce a été faite en réponse à une lettre signée par plus de 1 400 représentants de la société civile critiquant la position apparente de celle-ci en faveur de la décriminalisation de cette pratique au cours des dernières années.
Les signataires de la lettre, fournie par le journal indépendant PassBlue, ont souligné que, au mépris du droit international, plusieurs agences financées par les États membres de l’ONU font déjà la promotion du « travail sexuel » et font campagne pour sa décriminalisation. Parmi eux figurent le Fonds des Nations Unies pour la population, l’Organisation internationale du travail et le Programme des Nations Unies pour le développement.
« Les États membres ne doivent pas permettre à ONU Femmes de faire de même », écrivent les auteurs de la lettre.
L’ONUSIDA, une agence jointe coparrainée par plusieurs agences des Nations Unies, dont ONU Femmes, figurait également sur la liste. Parmi les entités de l’ONU favorables à la dépénalisation de la prostitution, l’ONUSIDA a adopté la position la plus claire, fondée sur l’argument controversé selon lequel « la dépénalisation du travail sexuel est essentielle pour changer le cours de l’épidémie de VIH parmi les professionnels du sexe et dans l’ensemble des pays ».
Les 100 « genres » seront-ils, ou non, adoptés à l’ONU ?
Cent « genres » ç'en fait plus que deux...
Par Stefano Gennarini, J.D. (C-Fam) ― Photo : pixel2013/Pixabay
New York, le 8 novembre (C-Fam). La semaine dernière, au quartier général de l’ONU, les nations se sont opposées [entre elles] sur une proposition de traité relative aux crimes contre l’humanité. S’il est adopté, le nouveau traité changera la définition du genre dans le droit international pour y inclure plus de cent genres.
« Alors que le mot “sexe” est employé pour désigner les attributs biologiques, “genre” est maintenant utilisé plus largement pour reconnaître la diversité des identités et des expressions de genre ― homme, femme, les deux ou aucun ―, qui peuvent ou non s’aligner avec le genre typiquement ou socialement associé avec le sexe d’une personne » a dit le délégué du Canada en exprimant sa gratitude devant la décision de la Commission du Droit international de supprimer la définition du “genre” telle qu’elle apparaît dans le Statut de Rome de 1998 de la Cour Pénale Internationale.
La Commission du Droit international a proposé un projet de traité sur l’enquête […] des crimes contre l’humanité [et leur poursuite en justice], qui élimine la définition du genre du Statut de Rome. Le traité de 1998 définit le genre comme « homme ou femme dans le contexte de la société ». L’Assemblée générale doit maintenant décider si elle veut adopter ce projet, et le modifier ou non.
Les pays du nord ont salué la décision de supprimer la définition du genre comme homme et femme dans le droit international. D’autres [pays], principalement d’Afrique, s’opposent à cette modification et certains sont catégoriques sur le fait qu’abandonner cette définition du genre les empêcherait d’adhérer au traité.
[S’exprimant …] par la voix de la Norvège, les pays du nord ont dit que la modification reflétait « les réalités actuelles et le contenu du droit international » et « la construction sociale du genre, avec les rôles, conduites, activités et attributs qui en découlent pour les hommes et les femmes, les garçons et les filles ».
Lire la suiteUne fois de plus Trump parvient à tenir l’avortement hors des résolutions du Conseil de Sécurité de l’ONU
By Susan Yoshihara, Ph. D. (C-Fam) — Photo : Cancilleria Ecuador/Wikimedia Commons
New York, le 1er novembre (C-Fam) — Pour une deuxième année consécutive, les États-Unis on fait en sorte que soit évité l’emploi d’expressions pro-avortement dans une résolution du Conseil de Sécurité de l’ONU portant sur Les femmes dans les crises et les conflits. C’est une victoire pour l’Administration Trump, qui a œuvré pour que soit supprimée des documents de l’ONU l’expression « Santé sexuelle et reproductive ». C’est un revers pour les Européens qui tiennent à ce que l’avortement soit financé au titre d’aide humanitaire.
Les Etats-Unis ont même tenté d’aller plus loin en éliminant de la résolution toute référence à d’autres documents qui font mention de cette expression. La représentante permanente à l’ONU pour les É.-U., Kelly Kraft, a déclaré après le vote unanime adoptant la résolution : « Nous ne pouvons accepter une quelconque référence à “la santé sexuelle et reproductive”, non plus que les références à “l’interruption de grossesse sécurisée” ou à tout langage qui ferait la promotion de l’avortement ou suggérerait implicitement un droit à l’avortement ».
Sous l’Administration Obama, les références à la « santé sexuelle et reproductive » sont apparues dans deux versions de la résolution permanente sur les Femmes, la paix et la sécurité, promues par la France et d’autres nations européennes et soutenues par Les Femmes à l’ONU et le bureau du Haut commissaire pour les droits de l’homme à l’ONU. Cette semaine, l’administration Trump a imposé sa volonté de rompre avec la pratique usuelle de réaffirmation de toutes les déclarations précédentes de la résolution pour éviter qu’une quelconque référence à ces termes n’y soit faite.
C’est la deuxième fois au cours de ces derniers mois que les Européens se voient déboutés dans leurs tentatives d’inclure l’avortement dans le Programme pour la paix et la sécurité des femmes. Ils en ont été empêchés en avril dernier lorsque les É.-U. ont menacé de mettre leur veto au dernier article de la résolution.
Lire la suite11 000 scientifiques exigent un contrôle de la population pour «urgence climatique»
Par Claire Chretien ― traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : Capture d'écran d'une vidéo du CELJ
5 novembre 2019 (LifeSiteNews) ― 11 000 scientifiques ont signé un article déclarant que « la population mondiale doit être stabilisée et, idéalement, progressivement réduite », car une « urgence climatique » menace « le destin de l'humanité ».
Rédigé par l'Alliance of World Scientists et rempli d'un langage alarmiste et apocalyptique, l'article a été publié aujourd'hui dans BioScience.
« Toujours augmentant d'environ 80 millions de personnes par an, soit plus de 200 000 personnes par jour... la population mondiale doit être stabilisée, et, idéalement, progressivement réduite, dans un cadre qui assure l'intégrité sociale », ont écrit les auteurs.
« Il existe des politiques éprouvées et efficaces qui renforcent les droits de l'homme tout en abaissant les taux de fécondité et en atténuant l'impact de la croissance démographique sur les émissions de gaz à effet de serre et la perte de biodiversité. Ces politiques rendent les services de planification familiale accessibles à tous, éliminent les obstacles à leur accès et accomplissent une pleine équité entre les sexes, y compris l'éducation primaire et secondaire comme norme mondiale pour tous, en particulier les filles et les jeunes femmes », poursuivaient-ils, citant une étude réalisée par John Bongaarts, un activiste en faveur du contrôle démographique qui a pris la parole au Vatican en 2017.
Le PDG et milliardaire de Tesla, Elon Musk, a cependant publiquement déclaré que le « plus grand problème » auquel le monde est confronté n'est pas l'explosion démographique, mais l'« effondrement de la population » dû à la chute libre des taux de natalité.
« La plupart des gens pensent que nous sommes trop sur la planète, mais en fait c'est une vision dépassée », déclarait M. Musk lors d'un débat en direct en direct le 19 août avec Jack Ma, président d'Alibaba Group Holding Ltd à la World Artificial Intelligence Conference de Shanghai.
Depuis des années déjà, les démographes mettent en garde les pays occidentaux, dont le taux de natalité est inférieur au taux de remplacement, contre ce que certains appellent « l'hiver démographique ». Dans un tel effondrement, les personnes âgées sont plus nombreuses que les jeunes, ce qui crée de graves déséquilibres. Les économies en souffrent. Certaines pourraient même s'écrouler. Le résultat pourrait avoir un impact négatif sur certaines des principales infrastructures — comme les systèmes financier et de soins de santé — qui contribuent à la vie de la démocratie occidentale.
Lire la suiteNairobi : nouveau sommet onusien à risque pour l’enfant à naître
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
La Conférence internationale sur la population et le développement (CIPD) a pour origine Margaret Sanger, fondatrice de Planned Parethood l’organisme d’extermination des enfants à naître, et est actuellement organisée par le Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP pour l’acronyne français), institution proavortement s’il en est. Extrait de l’ECLJ :
La prochaine Conférence internationale sur la population et le développement (CIPD) se tiendra à Nairobi (Kenya) du 12 au 14 novembre et sera le théâtre d’une nouvelle offensive visant à la reconnaissance d’un prétendu « droit à l’avortement ». En effet, alors que de nombreuses organisations proavortement seront présentées, notamment le Planning familial, Women Deliver ou encore Ipas (fabricant d’appareils « aspirateurs » pour avorter), plusieurs ONG pro-vie n’auraient pas été autorisées à participer.
Cette conférence sera la dernière en date d’une longue série initiée dès 1927 — bien avant la fondation de l’ONU — par Margaret Sanger, la fondatrice du Planning familial, qui était alors la figure la plus active des milieux néo-malthusiens. Ceux-ci cherchaient à convaincre les gouvernements occidentaux de la nécessité de limiter la croissance démographique des pays pauvres pour éviter des déséquilibres politiques et économiques. C’est pourquoi la diffusion de la contraception et de l’avortement est devenue une priorité d’instances telles que le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) qui organise à présent cette conférence.
Heureusement, des représentants de gouvernements seront présents à Nairobi pour défendre la vie humaine innocente dès son commencement. Le 23 septembre 2019, dix-neuf États, dont la Russie, les États-Unis, le Brésil, la Pologne, la Hongrie, l’Égypte ou encore le Congo ont d’ailleurs fait une déclaration commune en ce sens. Ils ont appelé les Nations unies à abandonner l’idéologie du « droit à l’avortement » et à se concentrer sur des défis concrets pour améliorer réellement l’accès à la santé pour tous.
Notons enfin que ces gouvernements contredisent donc les « experts » du Comité des droits de l’homme de l’ONU, qui avaient adopté l’an dernier un document de référence proposant l’avortement comme un « droit » de l’homme.
Pourquoi si peu de bruits autour des 60 000 viols qui auraient été commis sous le sigle de l’ONU ?
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Vitabello/Pixabay
Un étourdissant silence règne dans les médias alentour des plus 60 000 viols qu'auraient commis, en une décennie, quelques milliers des travailleurs de l’ONU, et dont l'accusation a été portée en haut lieu. Pourtant, quand il s’agit de l’Église catholique, c’est une tout autre affaire, les médias deviennent avides de révélations scabreuses à propos de prêtres, de curés ou même de prélats… Pourtant, s’ils déployaient autant d’ardeur à crier l’horreur de l’aide « humanitaire » de l’ONU, ce temple du laïcisme (où est la place de Dieu ?), peut-être prendrait-il un peu plus de soins dans la surveillance de ses troupes, ou peut-être qu’on lui couperait tout bêtement les vivres, ce qui ne serait pas plus mal que ça. Extrait du The Sun :
Un dénonciateur a affirmé que le personnel de l'ONU aurait commis 60 000 viols au cours de la dernière décennie alors que les travailleurs humanitaires se livrent à des abus sexuels à travers le monde.
La plainte fait partie d'un dossier explosif que l'ancien haut fonctionnaire des Nations Unies Andrew Macleod a remis l'année dernière à Priti Patel, secrétaire du DFID.
Le professeur Macleod y a également estimé que 3 300 pédophiles travaillent pour les seules agences de l'organisme mondial.
Des milliers d'autres agresseurs sexuels « prédateurs » ciblent spécifiquement les emplois d'organismes d'aide, pour se rapprocher des femmes et des enfants vulnérables.
Et il y a eu une dissimulation « endémique » de ces crimes répugnants depuis deux décennies, et ceux tentant de dénoncer les crimes se faisant simplement virer.
Partageant son dossier avec The Sun, le professeur MacLeod a prévenu hier soir que ce scandale des abus grimpant en flèche était de la même ampleur que celui de l'Église catholique.
Alors ici, je me permets une parenthèse. Il est assez étrange d’associer spécifiquement l’Église catholique à ce monstrueux scandale (à moins que ça ne soit pour utiliser l’image de référence en termes de putridité que l’on a accolé à l’Église, usage qui ne relève pas du meilleur goût), car l’Église compte moins d’abuseurs d’enfants dans ses rangs que dans la population en général… Notez que le Pr MacLeod, comparant plus qu’inadéquatement ce scandale à l’Église, suggère qu’il serait même plus vaste que celui de l’Église, « Nous voyons un problème aussi vaste que celui de l’Église catholique, si ce n’est plus grand. » Je ferme la parenthèse.
Lire la suite500 scientifiques écrivent aux Nations Unies : « il n’y a pas d’urgence climatique »
Greta Thumberg.
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info)
La théorie-bidon du réchauffement planétaire (maintenant on parle plutôt de changement climatique) a bien des défauts dont celui de ne pas faire consensus parmi les scientifiques, ce qui n'empêche pas les médias de mener la danse tambour battant, avec de nombreux gouvernements, en l'honneur et pour le salut de la déesse terre Gaia. Je veux dire, le manque de fondements dans la théorie du réchauffement climatique ne retient pas les médias de la proclamer pour vraie et les gouvernements de prendre des mesures (inefficaces en ce qui concerne l'écologie) en conséquence. L'une des raisons qui me pousse à reproduire ici cet article est très simple : la propagande qui accompagne cette théorie prône entre autres la réduction de la population, ou du moins sa limitation ; cette propagande mène les gens à ne pas avoir d'enfants, ou plutôt à les supprimer et à empêcher leur venue, car c'est un prétexte de plus pour se faire avorter ou pour prendre de la contraception. L'idéologie Réchauffiste fait également germer d'étranges aberrations comme l'idée de promouvoir le cannibalisme...
Le fait que nous défendions la famille et l'enfant à naître ne nous rend pas subjectifs par rapport à la théorie du réchauffement climatique parce qu'une certaine culture de mort vient avec, cela nous rend plus circonspects par rapport aux affirmations souvent douteuses énoncées par les tenants de la théorie. — A. H.
Il n’existe pas une vérité scientifique sur les changements climatiques. Il existe en revanche un panel de « déviants » qui contestent la sinistre Greta et le dogme du réchauffement climatique anthropique.
Un groupe de 500 scientifiques et professionnels en science climatique ont officiellement notifié les Nations Unies qu’il n’y a pas de crise climatique et que dépenser des trillions sur ce non-problème est « cruel et imprudent ». Bien entendu leur lettre, datée du 24 septembre dernier, a été censurée par les médias mainstream qui ont des yeux de Chimène pour Greta Thumberg, « Greta la voix du peuple contre les élites », « Greta, le prix Nobel de la Paix », Greta, la nouvelle prêtresse de l’urgence climatique.
Dans l’indifférence générale, ou voulue, de l’establishment mondial, ces 500 scientifiques et professionnels ont adressé une lettre au secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, ainsi qu’à Patricia Espinosa Cantellano, secrétaire exécutive de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques, pour dénoncer l’alarmisme climatique. Lancée par Guus Berkhout, géophysicien professeur émérite à l’université de La Haye (Pays-Bas), cette initiative est le fruit d’une collaboration de scientifiques et associations de treize pays. Publiée au moment où l’agenda international place une nouvelle fois le climat en tête des préoccupations, cette « Déclaration européenne sur le Climat » est destinée à faire savoir qu’il n’y a ni urgence ni crise climatique. Elle appelle donc à ce que les politiques climatiques soient entièrement repensées, et reconnaissent en particulier que le réchauffement observé est moindre que prévu, et que le gaz carbonique, loin d’être un polluant, est bénéfique pour la vie sur Terre.
Les signataires invitent leurs opposants à organiser avec eux, en 2020, une rencontre constructive de haut niveau entre scientifiques connus mondialement par rapport à ce débat sur le réchauffement climatique. Parce qu’une chose est certaine, le progrès scientifique se base sur les théories et les réfutations, et non sur les vociférations hystériques nimbées d’un mysticisme para-religieux d’une adolescente autiste, qui n’a rien de scientifique mais tout du gourou dont l’alarmisme touche aux confins d’un millénarisme apocalyptique.
« 23 septembre 2019
S. António Guterres, Secrétaire général des Nations Unies,
Siège des Nations Unies,
New York, NY 10017, États-Unis d’Amérique.
Patricia Espinosa Cantellano, Secrétaire exécutive,
Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques,
Secrétariat de la CCNUCC, Campus des Nations Unies, Platz der Vereinten Nationen 1,
53 113 Bonn, Allemagne.
Vos Excellences,
Il n’y a pas d’urgence climatique
Un réseau mondial de plus de 500 scientifiques et professionnels expérimentés du climat et des domaines connexes a l’honneur d’adresser à Vos Excellences la Déclaration européenne sur le climat, jointe en annexe, dont les signataires de la présente lettre sont les ambassadeurs nationaux.
Les modèles de circulation générale du climat sur lesquels la politique internationale est actuellement fondée sont inadaptés. Il est donc cruel aussi bien qu’imprudent de préconiser le gaspillage de milliers de milliards de dollars sur la base des résultats de modèles aussi imparfaits. Les politiques climatiques actuelles affaiblissent inutilement le système économique, mettant des vies en danger dans les pays à qui est refusé l’accès à une énergie électrique permanente et bon marché.
Nous vous exhortons à suivre une politique climatique fondée sur une science solide, sur le réalisme économique et sur une attention réelle vis-à-vis de ceux qui sont frappés par des politiques d’atténuation coûteuses et inutiles.
Lire la suite