Henry Kissinger, instigateur du contrôle des populations
Henry Kissinger.
Par Steven Mosher — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : U.S. Department of States/Wikimedia Commons
4 décembre 2023 (LifeSiteNews) — Il y a beaucoup de choses à critiquer dans la carrière d’Henry Kissinger. Les gauchistes soulignent le bombardement du Cambodge pendant la guerre du Vietnam, la complicité américaine dans le coup d’État au Chili qui a fait tomber le régime communiste de Salvador Allende, et son ingérence dans la politique iranienne.
Les conservateurs, quant à eux, soulignent sa trahison des Sud-Vietnamiens et l’abandon de la démocratie à Taïwan. Ils ajoutent que qualifier Kissinger d’homme d’État érudit, comme certains le font, n’a pas de sens étant donné les décennies qu’il a passées au service de la Chine communiste en tant qu’influenceur-apologiste rémunéré par le régime.
Mais je voudrais porter une accusation supplémentaire contre l’ancien diplomate américain.
C’est Henry Kissinger, en tant que conseiller à la sécurité nationale du président Nixon, qui a supervisé la production d’un mémo infâme qui a fait du contrôle de la population une arme de la guerre froide. Aujourd’hui encore, son argument selon lequel la sécurité nationale des États-Unis dépend de la guerre contre les populations continue d’être utilisé pour justifier la promotion de l’avortement, de la stérilisation et de la contraception dans le monde entier.
Lire la suiteL’OMS et l’ONU véhiculent de dangereux mensonges sur l’avortement par le biais d’une nouvelle application
Par Jean Mondoro — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
22 novembre 2023 (LifeSiteNews) — Une application lancée plus tôt cette année par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) promeut des mensonges courants concernant la prétendue « sécurité » de l’avortement, sur une plateforme facilement accessible aux prestataires de soins.
Au début de l’année, l’OMS, notoirement pro-avortement, a rendu disponible une application mobile destinée aux prestataires de soins de santé, compilant les directives de l’organisation en matière d’avortement et des ressources détaillant la manière d’obtenir et de pratiquer des avortements. Outre les directives générales, l’application comprend des outils permettant aux professionnels de la santé de personnaliser ce que l’on appelle les « soins complets en matière d’avortement » pour chaque patiente.
L’initiative a été lancée par l’OMS en collaboration avec le Programme spécial de recherche des Nations unies sur la reproduction humaine (HRP).
Lire la suiteCardinal Müller : de « faux prophètes » tenteront d’utiliser le Synode sur la synodalité pour faire avancer l’Agenda 2030 de l’ONU
Par Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie
13 septembre 2023, Citée du Vatican (LifeSiteNews) — L’ancien préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, le cardinal Gerhard Müller, a affirmé à propos du Synode sur la synodalité que de « faux prophètes » cherchent à transformer l’Église « en une organisation d’aide pour l’Agenda 2030 ».
Le cardinal Müller s’est déjà montré très critique à l’égard du synode sur la synodalité, étant l’un des rares prélats de l’Église à avoir publié des déclarations critiques concernant l’initiative du pape. Dans une récente entrevue accordée au journal espagnol InfoVaticana, le cardinal Müller a développé ses idées sur la réunion du synode en octobre 2023, réunion à laquelle il a été personnellement invité par le pape François.
À la question de savoir s’il y a « quelque chose à craindre » au synode, le cardinal Müller a répondu :
Oui, les faux prophètes qui se présentent comme des progressistes ont annoncé qu’ils transformeraient l’Église catholique en une organisation d’aide pour l’Agenda 2030.
De l’avis de ces personnes, a soutenu le cardinal Müller, « seule une Église sans Christ a sa place dans un monde sans Dieu ».
Il a fait de nombreuses références aux récentes Journées mondiales de la jeunesse à Lisbonne — un événement marqué par des aspects particulièrement controversés, dont la promotion de l’Agenda 2030 de l’ONU en faveur de l’avortement — en disant que « de nombreux jeunes sont revenus de Lisbonne déçus que l’accent ne soit plus mis sur le salut dans le Christ, mais sur une doctrine mondaine du salut ».
Lire la suiteTentative à l’ONU d’autoriser la « transmission » de pornographie enfantine
Par Iulia Cazan (C-Fam) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pikist
Plusieurs pays occidentaux veulent supprimer le terme « pédopornographie » de la Convention des Nations Unies sur la cybercriminalité. Ils veulent également éliminer certaines formes d'actes liés à la pornographie enfantine d'une liste d'actes criminels.
Le mois dernier, les États membres des Nations unies ont entamé la négociation d’une convention internationale de lutte contre la cybercriminalité visant à renforcer la collaboration entre les États membres pour lutter contre la cybercriminalité. Toutefois, certains pays occidentaux préconisent une nouvelle norme pour la pédopornographie qui pourrait laisser les enfants sans protection contre l’exploitation sexuelle.
Les États-Unis, le Royaume-Uni et l’Union européenne souhaitent supprimer le terme « pédopornographie » de la convention et le remplacer par « abus sexuel d’enfants en ligne » ou « matériel d’exploitation sexuelle d’enfants ».
Cette nouvelle formulation est le résultat d’une campagne de plusieurs années menée par des défenseurs des droits de l’homme et des agences de l’ONU pour cibler les abus sexuels dans la production de matériel pornographique, et pas seulement la possession et la transmission de matériel pornographique impliquant des enfants. Le Friday Fax a précédemment rapporté que certains experts estiment que ce changement est problématique. Certaines agences des Nations unies et certains gouvernements occidentaux profitent de l’occasion pour promouvoir un programme plus large d’autonomie sexuelle pour les adolescents.
Lire la suitePérou : une grossesse adolescente instrumentalisée pour promouvoir l’avortement
Par Jeanne Smith (reinformation.tv)
Le scénario a un goût de déjà-vu : au Pérou, une petite jeune fille, « Mila » (le prénom a été modifié), 11 ans, est tombée enceinte des œuvres de son beau-père et a servi de détonateur à une polémique politico-médiatique en faveur de l’avortement « thérapeutique » auquel le lobby de la mort estime qu’elle a droit. En Argentine, au Brésil et ailleurs en Amérique latine, où l’avortement demeure illégal dans la plupart des situations dans de nombreux pays, c’est de tels faits que se saisissent les militants, souvent actifs dans des associations internationales, pour faire évoluer la législation et faire apparaître la mise à mort d’un enfant à naître comme un bien et un droit. Quand ce n’est pas le viol de mineure, c’est la santé de la mère qui est invoquée. Et la presse locale et mondiale relaie les faits de manière univoque, où le vrai bien des victimes n’est guère mis en avant.
Dans un premier temps, l’équipe médicale qui a examiné l’enfant a jugé que les conditions n’étaient pas réunies pour pratiquer l’avortement « thérapeutique » que la loi péruvienne autorise dans des circonstances très restrictives. Cela a provoqué une levée de boucliers de la part des féministes péruviennes et notamment de l’ONG Promsex qui assure la promotion de la « santé reproductive » chère aux Objectifs du Développement durable de l’ONU à travers la lutte pour l’accès à la contraception et pour la légalisation de l’avortement.
Mila, petite adolescente, soumise à un avortement à 18 semaines
La directrice de cette association féministe, Susana Chávez, a dirigé la campagne visant à réclamer l’avortement pour Mila, tout en assurant défendre simultanément la mère de la petite, une femme très pauvre et analphabète qui selon Promsex a eu elle-même à souffrir des violences de son concubin, tout comme deux petits frères de Mila âgés de 7 et 3 ans. L’ONG dénonce l’absence de réaction des autorités locales d’Iquitos qui a décidé de placer les trois enfants, ainsi que leur petit frère nouveau-né de 3 mois, en dehors de leur famille. Leur mère a été déclarée « incompétente ». C’est elle qui, avec Promsex, a exigé qu’un avortement fût pratiqué — sous quelles pressions ?
Lire la suiteL’ONU tente d’imposer l’idéologie LGBT à toutes les religions
Par Stefano Gennarini, J.D. (C-FAM) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : bluraz/Adobe Stock
La liberté religieuse s’arrête là où les droits LGBT commencent. Telle est la conclusion d’un nouveau rapport des Nations unies sur le droit à la liberté de religion et de conviction.
Ce rapport invite les gouvernements à menacer et à punir les chefs religieux et les organisations qui ne se conforment pas à l’orthodoxie LGBT et, fait nouveau et sans précédent, à déstabiliser les religions de l’intérieur en soutenant les factions pro-LGBT au sein des confessions religieuses.
L’expert indépendant des Nations unies sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre, Victor Madrigal-Borloz, auteur nominal du rapport, ne cache pas son intention de créer « un nouvel espace normatif » où les gouvernements imposeront les normes LGBT acceptables aux religions.
« Les limites établies dans la conception même de la Liberté de religion et de conviction — comprenant les droits et libertés fondamentaux des personnes LGBT — sont la clé de la pleine compatibilité de la Liberté de religion et de conviction et de toutes les actions nécessaires pour lutter contre la violence et la discrimination à leur encontre », conclut-il à la fin du rapport.
Selon les conclusions du rapport, le clergé et les autres acteurs religieux devraient être menacés pour qu’ils se conforment aux normes religieuses officielles favorables aux LGBT ou pour qu’ils en subissent les conséquences. Les gouvernements devraient « encourager les institutions religieuses à réfléchir à la manière dont leurs représentants seront tenus pour responsables dans les cas où ils encouragent la discrimination à l’encontre des personnes LGBT et d’autres personnes de genre différent ».
Lorsque les religions enseignent que le comportement homosexuel est un péché ou que le sexe est une réalité biologique immuable, elles vont à l’encontre de la législation sur les droits de l’homme.
Lire la suiteLe rapport de l’ONU pour la Journée mondiale de la population exhorte les femmes des pays vieillissants à ne pas avoir d’autres enfants
Par Andreas Wailzer — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pikist
12 juillet 2023 (LifeSiteNews) — L’Organisation des Nations Unies (ONU) a publié un nouveau rapport sur l’état de la population mondiale qui préconise l’avortement et la contraception pour résoudre les « problèmes démographiques » du monde et affirme que les pays ne devraient pas essayer d’augmenter les taux de natalité bien qu’ils soient inférieurs au niveau de remplacement.
« La promotion de l’égalité des genres est une solution transversale à de nombreuses questions démographiques », a affirmé le Fonds des Nations unies pour la population dans un communiqué concernant la « Journée mondiale de la population 2023 ».
« La réalisation de la santé et des droits sexuels et reproductifs pour tous est le fondement de l’égalité des sexes, de la dignité et des opportunités », poursuit le communiqué.
Comme l’ONU l’a indiqué à plusieurs reprises dans ses documents, la principale solution pour parvenir à l’« égalité des sexes » consiste à renforcer les « droits et la santé en matière de sexualité et de procréation », c’est-à-dire l’avortement et la contraception.
Dans le rapport « État de la population mondiale 2023 » du Fonds des Nations unies pour la population, les auteurs affirment que « l’égalité des sexes », c’est-à-dire l’accès à l’avortement et à la contraception, est bénéfique pour tous les pays, et que même les nations dont les taux de fécondité sont inférieurs au seuil de remplacement ne devraient pas essayer d’augmenter les taux de natalité.
Lire la suiteL’ONU veut imposer l’éducation sexuelle obligatoire pour tous les enfants, et aussi leur droit de refuser l’éducation religieuse
Par reinformation.tv — Photo : Africa Studio/Adobe Stock
Le comité des droits de l’enfant de l’ONU a enjoint vendredi dernier au Royaume-Uni d’intégrer à tous les niveaux des cours d’éducation sexuelle « adaptés à l’âge », y compris « sur la diversité sexuelle », sans laisser « la possibilité pour les écoles religieuses ou les parents de se soustraire par choix à une telle éducation ». L’ONU impose donc sa version arc-en-ciel de l’éducation sexuelle à tous les établissements, parents et enfants, sans faire droit à l’objection de conscience. En même temps, le comité des droits de l’enfant invite enseignants et responsables à « s’assurer des droits de tous les enfants, y compris au-dessous de 16 ans, de se retirer des classes de religion sans le consentement des parents ». Voilà qui est triplement clair : sous couleur de « droits de l’enfant » l’ONU entend soustraire les enfants à l’autorité parentale, les soumettre à sa vision de l’homme, les inciter à s’éloigner de Dieu. Rien d’absolument nouveau, mais un discours et une action assumés contre la religion chrétienne et pour l’instauration d’un totalitarisme « laïc » et « humaniste ».
Un rapport ambigu de la Commission internationale des juristes sur les rapports sexuels entre majeur et mineur
Par PM (reinformation.tv) — Photo : Africa Studio/Adobe Stock
La commission internationale des juristes composée de 60 juristes éminents, ONG qui dépend de l’ONU et a son secrétariat à Genève, vient de rendre un rapport sur son « approche fondée sur les droits de l’homme » en matière de justice criminelle dont la partie concernant l’activité sexuelle des mineurs est au moins ambiguë, et plus probablement dangereuse.
On y lit en effet qu’une « activité sexuelle concernant des personnes qui n’ont pas l’âge légal fixé par la loi d’un Etat pour consentir peut être consensuelle en fait, sinon en droit ». Et de préciser que des individus « mineurs de 18 ans » ont le droit de « prendre une décision » à ce sujet et « d’être entendus dans une matière qui les regarde ».
Derrière les bonnes intentions affichées par ces « principes du 8 mars » se cache une inconnue déterminante : de quel âge parle-t-on ? La barrière des dix-huit ans n’est pas la question, l’âge légal du consentement étant de quinze ans en France, par exemple. Mais une fois « l’âge légal fixé par la loi d’un Etat » écarté, où les éminents juristes s’arrêteront-ils ? D’interprétation en interprétation et de glissement en glissement, ils ouvrent la porte d’abord à la mise sous emprise des adolescents, puis à la pédophilie. Que ce soit volontaire ou non. Et la personnalité du rédacteur du rapport, le Sud-Africain Edwin Cameron qui se définit comme « gay et fier de l’être » ne rassure pas. Pour lui, réprimer les relations entre adultes et mineurs revient à « codifier la discrimination » et produire « l’hostilité, l’exclusion, l’inégalité ». La démocratie inclusive supposerait-elle la pédophilie ?
PM
Victoire pour la Vie et la Famille à l’ONU
Par Matt Wojciechowski (Coalition nationale pour la Vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
Le soutien trop zélé du gouvernement fédéral à l’éducation sexuelle radicale et à l’idéologie du genre s’est-il retourné contre Justin Trudeau aux Nations unies ?
En tout cas, c’est ce qu’il semble.
Alors que le relativisme moral et la perversion sexuelle sont peut-être en train de gagner ici au Canada, avec toutes les heures du conte des drag-queens dont nous entendons parler, et les autorités scolaires qui punissent les adolescents qui tentent d’empêcher les hommes d’utiliser les toilettes des femmes, et alors que les progressistes continuent d’être obsédés par le meurtre d’enfants à naître...
Il semble que d’autres pays en aient eu assez de ce que Justin Trudeau préconise, et ils ont pris position contre le Canada lors du récent sommet de la Commission de la population et du développement des Nations unies à New York.
Je vais décrire ce qui s’est passé comme une victoire pour les gentils.
C’était vraiment sans précédent et un véritable signe d’espoir, et les représentants de la Coalition nationale pour la Vie (CNV)* étaient sur place pour participer et laisser notre marque...
Laissez-moi donc vous parler de cette victoire pro-vie et pro-famille dont la plupart des gens ignorent l’existence.
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