La police ontarienne arrête Josh Alexander pour s’être présenté en classe
Josh Alexander.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Ottawa CityNews
Précédemment Josh Alexander a été suspendu pour toute l’année par son école dans le cadre de cette affaire.
6 février 2023, Renfrew, Ontario (LifeSiteNews) — Josh Alexander, élève du secondaire canadien, a été arrêté et inculpé ce matin à son école pour être allé en classe.
« Je viens d’être arrêté et inculpé à mon école secondaire catholique pour avoir assisté à un cours après avoir été exclu pour avoir indiqué mon intention d’adhérer à mes croyances religieuses », écrivait sur Twitter Alexander ce matin.
Je viens d’être arrêté et inculpé dans mon lycée catholique pour avoir assisté à un cours après avoir été exclu pour avoir indiqué mon intention d’adhérer à mes croyances religieuses.
— Josh Alexander (@officialJosh_A) 6 février 2023
L’année dernière, Josh Alexander a protesté contre le fait que son école catholique, St. Joseph, autorisait des garçons souffrant de troubles du genre à utiliser les salles de bains des filles, et a ensuite été suspendu. Son tweet d’aujourd’hui comprenait une photo de lui devant son école et de sa mise en garde à vue par des membres de la police provinciale de l’Ontario.
« J’ai été arrêté et accusé d’intrusion aujourd’hui », a déclaré Alexander à LifeSiteNews. « J’ai choisi d’aller à l’école sans tenir compte d’un ordre d’exclusion illégal. J’ai respectueusement décliné les multiples demandes de quitter la classe. »
« La classe entière a été renvoyée pendant que le personnel gérait ma situation », a poursuivi le garçon. « Peu après, la police provinciale de l’Ontario est arrivée et m’a demandé de partir. Une fois de plus, j’ai respectueusement refusé et ils m’ont arrêté. »
Lire la suite4e jour d’audience du procès de Michael Del Grande, poursuivi pour s'être opposé à l’idéologie LGBT
Par Jack Fonseca (Campaign Life Coalition) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Rawf8/Adobe Stock
Le 25 janvier dernier, l’Ordre des enseignantes et des enseignants de l’Ontario (OEEO) a tenu sa quatrième journée d’audience dans le procès du fidèle conseiller scolaire catholique, Mike Del Grande.
Le but de l’audience était de le déclarer coupable de « mauvaise conduite comme enseignant » et de lui retirer sa licence d’enseignant (bien qu’il n’ait jamais travaillé comme enseignant).
Tout le monde sait qu’il s’agit en réalité d’un exercice politique visant à faire de lui un exemple, et à envoyer un avertissement aux autres politiciens chrétiens : « Cela pourrait vous arriver si vous osez vous opposer à l’idéologie transgenre ».
La journée a consisté en un contre-interrogatoire par la défense de la jeune femme de 20 ans, Mlle Taylor Dallin, qui étudie actuellement le droit et les sciences politiques à l’université de Yale. Elle est le témoin-clé qui a accusé Del Grande d’avoir « crié » et « hurlé » à son encontre lors d’une réunion du conseil d’administration de la Commission scolaire de Toronto (TCDSB) en septembre 2019, alors qu’âgée de 16 ans, elle avait été élue conseillère étudiante et qu’elle était sa collègue au Conseil.
Del Grande nie avoir crié ou hurlé.
Il insiste sur le fait qu’ils étaient simplement engagés dans un débat animé, mais tout à fait normal sur le sujet de l’avortement, en tant que pairs au sein du conseil d’administration. Mlle Dallin avait elle-même soulevé le sujet par des remarques controversées plus tôt au cours de la réunion du conseil, lorsqu’elle s’est opposée à la projection aux étudiants du film pro-vie Unplanned, le qualifiant de « dangereux », et se présentant comme « pro-choix ».
Ce procès est également fondé sur une deuxième accusation que Mlle Dallin a portée contre Del Grande en 2019, dans laquelle elle l’accusait d’avoir offensé la « communauté LGBTQ+ ». Il aurait blessé les sentiments des membres de cette « communauté » décidément non catholique et les aurait fait se sentir « en danger » lorsqu’il a soutenu que permettre l’idéologie du genre dans le code de conduite du TCDSB reviendrait à s’engager sur une pente glissante.
Lire la suiteUn homme sans-abri cherche à mourir par euthanasie — il se sent désespéré
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : TheVisualsYouNeed/Adobe Stock
Greg McGrath-Goudie a écrit un article publié par Orillia Matters le 23 janvier 2023 portant sur M. Tyler Dunlop (37 ans), un homme sans-abri qui cherche à mourir par euthanasie au Canada. McGrath-Goudie rapporte :
Un homme d’Orillia... a entamé le processus d’AMM pour un ensemble de raisons totalement différentes. En raison de ce qu’il considère comme l’état du monde, de sa situation et de sa frustration croissante à l’égard de son expérience vécue, Tyler Dunlop dit qu’il ne voit tout simplement aucun avantage à continuer.
Cet homme de 37 ans, qui a connu l’itinérance par intermittence au cours des 12 dernières années, a récemment entamé le processus d’AMM en se rendant au Soldiers' Memorial Hospital d’Orillia.
M. McGrath-Goudie rapporte que Dunlop refuse les services et le soutien parce qu’il veut mourir par euthanasie :
Lire la suiteSa détermination à rechercher l’AMM est si forte qu’il a refusé l’offre de l’hôpital de l’admettre pour une évaluation psychiatrique.
« J’ai refusé des services pour faire passer mon message. J’ai refusé un abri, une douche, de la nourriture », a déclaré Dunlop. « Ils allaient me les donner, mais si je faisais ça, ils sauraient que je suis juste un sans-abri ».
La bataille actuelle de Dunlop contre l’itinérance a commencé en juin 2022, lorsqu’il a trouvé son colocataire — et superviseur de travail — mort à l’intérieur de leur appartement.
Le propriétaire lui a donné cinq jours pour déménager, dit Dunlop, et depuis, il est dans la rue, luttant pour se remettre sur pied.
Trudeau affirme le « droit de choisir » de la femme face à des photos de victimes de l’avortement
Par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Twitter
25 janvier 2023 Hamilton, Ontario — Hier soir, alors qu’il était confronté à des pro-vie montrant des photos d’enfants avortés, le premier ministre canadien Justin Trudeau a décidé de réaffirmer sa position sur la question, en disant aux militants : « Je crois au droit de la femme de choisir. »
Dans une vidéo enregistrée mardi soir par le principal groupe pro-vie canadien Campaign Life Coalition (CLC), on peut voir et entendre Trudeau défendre sa position sur l’avortement alors qu’il marche à l’extérieur d’un bar du centre-ville de Hamilton, en Ontario, avec des membres de son personnel, tandis que des militants pro-vie de CLC, Hamilton Against Abortion (HAH) et Canadian Centre for Bio-Ethical Reform (CCBR) tiennent des pancartes affichant des photos de victimes d’avortement dans le cadre d’une manifestation de la « chaîne du choix » visant à « dévoiler aux yeux du public l’injustice de l’avortement ».
PM Trudeau confronted by abortion victim photography on way to dinner in Hamilton. Watch what he says pic.twitter.com/IeBgTXuzOz
— Campaign Life Coalition (@CampaignLife) January 25, 2023
« Monsieur le premier ministre, croyez-vous en l’égalité des droits pour tous les êtres humains ? » a demandé l’une des femmes pro-vie présentes à la manifestation.
« Je crois au droit de la femme de choisir », a répondu Trudeau.
« Qu’en est-il de cet humain qui a été tué ? » a rebondi la militante pro-vie.
« Je défendrai les droits des femmes tous les jours », a répondu Trudeau à la femme.
La femme a crié « Pour tuer des êtres humains ? », alors que Trudeau et les personnes qui l’accompagnaient commençaient à entrer dans le restaurant.
À ce moment de la vidéo, Myles Vosylius, de CLC, qui enregistrait l’événement, a crié : « Vous êtes catholique ! Vous ne pouvez pas soutenir l’avortement ! »
On peut entendre un autre homme s’exclamer peu après : « Ce massacre se déroule sous vos yeux », avant d’ajouter sarcastiquement : « Profitez bien de votre dîner ! »
Lire la suiteUn drame hollywoodien aux procès de Del Grande
Par Campaign Life Coalition — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : sergign/Adobe Stock
Ce que vit Mike Del Grande, conseiller scolaire du Toronto Catholic District School Board (TCDSB), a tout d’un drame judiciaire hollywoodien !
Il se défend à la fois devant la Cour supérieure de justice de l’Ontario et devant l’Ordre des enseignantes et des enseignants de l’Ontario ! CLC a organisé le financement communautaire de ces deux défenses juridiques distinctes pour Del Grande.
Dans les deux cas, il est attaqué pour avoir utilisé une rhétorique forte jugée « offensante » par les militants LGBT.
Ils n’ont pas apprécié le fait qu’il se soit opposé à une motion visant à ajouter une idéologie transgenre radicale au code de conduite officiel du TCDSB. À savoir, ajouter « l’identité de genre » et « l’expression de genre » comme motifs protégés de non-discrimination, ce qui ouvrirait la porte à toutes sortes de comportements anti-chrétiens dans les murs des écoles « catholiques » de Toronto.
Devant la Cour supérieure, M. Del Grande a demandé à un panel de trois juges d’annuler les sanctions qui lui ont été imposées par une majorité des membres du conseil d’administration lors d’un vote illégal tenu le 11 novembre 2020.
Les sanctions comprenaient la participation à un camp de rééducation pour changer sa vision de « l’équité » et l’obliger à ramper pour obtenir le pardon en présentant des excuses publiques forcées à la « communauté LGBT ».
Vous ne saviez pas que la justice soviétique faisait son retour, n’est-ce pas ?
Aujourd’hui, j’ai une nouvelle de dernière minute...
Del Grande vient de recevoir la décision de la Cour supérieure, ce vendredi 13 janvier. Elle a été rédigée par la juge Sandra Nishikawa, qui a été nommée à la magistrature en 2018 par Justin Trudeau. Serait-ce vous gâcher la surprise de sa décision si je vous disais que pendant l’audience de révision judiciaire diffusée en direct, les pronoms woke et ostentatoires « She/Her » étaient affichés juste à côté du nom de la juge Nishikawa ?
Lire la suiteUne école envoie un avis d’interdiction d’entrer à un élève qui s’oppose à la présence de garçons dans les toilettes des filles
Josh Alexander.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Ottawa CityNews
12 janvier 2022, Renfrew, Ontario (LifeSiteNews) — L’étudiant en secondaire canadien Josh Alexander, qui a été suspendu de son école catholique l’année dernière pour avoir protesté contre l’autorisation accordée aux garçons confus quant à leur sexe d’entrer dans les toilettes des filles, s’est maintenant vu signifier un avis d’interdiction d’entrer par son directeur, selon un avocat.
« Il n’est actuellement pas à l’école, car le principal l’a de nouveau suspendu et lui a même signifié un avis d’interdiction d’entrer en guise de représailles pour la présence de Josh aux deux cours qui lui étaient interdits », a écrit James Kitchen, avocat de la Coalition Liberté Canada (CLC), dans un courriel envoyé à LifeSiteNews mardi.
Comme le mentionne la déclaration de Kitchen, en plus d’être suspendu, Alexander a été interdit de deux des quatre classes auxquelles il est inscrit, car ces classes comptent parmi elles des étudiants qui s’identifient comme « transgenres ».
« Bien que la raison pour laquelle le principal a signifié un avis d’interdiction d’entrer à Josh Alexander ne soit pas tout à fait claire, on peut supposer que c’est parce qu’il voulait utiliser tout ce qu’il pouvait pour empêcher Josh de fréquenter l’école ou l’éloigner physiquement s’il se présentait en appliquant l’avis d’interdiction d’entrer, ce qui inclurait l’implication de la Police provinciale de l’Ontario (OPP) », explique l’avocat.
Comme le rapportait LifeSiteNews, Alexander, un élève de 16 ans de l’école secondaire catholique St. Joseph, à Renfrew, en Ontario, s’est vu infliger une longue suspension de 20 jours le 23 novembre 2022, après avoir organisé une grève à l’école le même mois pour défendre le droit des filles à accéder à leurs locaux sans avoir à endurer la présence d’élèves masculins.
LCC a noté dans un communiqué de presse qu’Alexander a été effectivement suspendu « parce qu’il a exprimé sa conviction, lors de débats en classe et sur les médias sociaux, qu’il n’y a que deux sexes, que les étudiants ne peuvent pas passer d’un genre à l’autre, et que les étudiants masculins ne devraient pas être autorisés à entrer dans les toilettes des filles ».
Lire la suiteUn élève d’une école catholique canadienne suspendu pour avoir défendu les toilettes réservées aux filles
Josh Alexander.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Ottawa CityNews
10 janvier 2023 (LifeSiteNews) — Josh Alexander, un lycéen canadien suspendu de son école catholique l’année dernière pour avoir protesté contre l’autorisation donnée aux garçons d’utiliser les toilettes des filles, cherche à faire appel de sa suspension avec l’aide juridique de Liberty Coalition Canada (LCC).
Le 5 janvier, la LCC a envoyé, au nom d’Alexander, un « Avis d’intention de faire appel de la suspension » à Mary-Lise Rowat, surintendante des services éducatifs du Renfrew County Catholic District School Board (RCCDSB).
M. Alexander fréquente l’école secondaire catholique St. Joseph, à Renfrew, en Ontario, qui est desservie par le district catholique du comté de Renfrew.
« M. Alexander fait appel de la suspension conformément à l’article 1.1 (b) (ii) de la politique du RCCDSB intitulée Pupil Suspension Appeal (la “politique d’appel”). Aux fins de cet appel, M. Alexander s’est soustrait à l’autorité parentale, est un mineur mature et est apte à donner des instructions à un avocat pour la conduite de l’appel », peut-on lire dans la déclaration, signée par l’avocat du LCC, James Kitchen.
LCC a noté que, comme « la suspension a déjà été signifiée, il n’y a pas d’urgence concernant l’opportunité d’une audience d’appel ».
« M. Alexander consent à ce qu’une date d’audience soit fixée au plus tard 15 jours de classe après la date du présent avis et suggère de choisir une date qui convienne à toutes les personnes concernées, y compris son avocat », ajoute l’avis.
Alexander, qui a 16 ans, s’est vu infliger une longue suspension de 20 jours le 23 novembre 2022, après avoir organisé une grève de l’école le même mois pour défendre le droit des filles à accéder à leurs installations sans avoir à supporter la présence d’élèves masculins.
Il a déclaré à LifeSiteNews l’année dernière qu’il croyait, conformément à l’enseignement catholique et à la Bible, qu’il n’y a que deux sexes.
Lire la suiteLe Collège des enseignants d’Ontario n’a aucune juridiction sur le conseiller scolaire catholique Michael Del Grande
Michael Del Grande, conseiller scolaire du TCDSB.
Par Jack Fonseca (Campaign Life Coalition) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Toronto Catholic School Board
Il s’agit de mon troisième article sur l’audience du tribunal de l’Ordre des enseignantes et des enseignants de l’Ontario (OEO) dans l’affaire du conseiller scolaire du TCDSB, Michael Del Grande, qui est accusé de « mauvaise conduite » pour s’être opposé à l’adoption par son conseil catholique d’une politique d’adhésion à l’idéologie transgenre.
Le premier article s’est concentré sur la petite victoire du 29 novembre au cours de laquelle un « activiste LGBT » reconnu s’est récusé en tant que juge du panel de l’OEO.
Le deuxième article révélait l’étonnant aveu, par le même juge, qu’un programme enseigné dans les écoles de l’Ontario est basé sur les écrits de Karl Marx, père du communisme.
Mon troisième article, aujourd’hui, expliquera les arguments solides comme le roc qui ont été présentés aux autres juges par l’avocat de la défense de Del Grande, le Dr Charles Lugosi.
Ces arguments ont clairement montré que les accusations contre Del Grande sont sans fondement et ont révélé des problèmes flagrants dans l’ensemble du processus de plainte.
Y a-t-il juridiction ?
Lors de la première journée d’audience, le Dr Lugosi a demandé à la commission judiciaire :
« La juridiction de ce panel s’étend-elle à un politicien qui n’agit pas en tant qu’enseignant ? »
C’est vraiment la question centrale de cette affaire. Elle a même des implications nationales.
Si Mike était reconnu coupable, cela pourrait créer un précédent susceptible d’affecter le droit à la liberté d’expression garanti par la Charte pour tous les représentants élus au Canada. Des conseillers scolaires aux conseillers municipaux en passant par les députés.
Un ordre professionnel a-t-il le droit de prendre des mesures disciplinaires à l’encontre d’un conseiller scolaire pour des commentaires qu’il a faits lors d’une réunion du Conseil scolaire, alors qu’il débattait d’une motion avant le vote ?
Imaginons qu’un conseiller municipal soit toujours titulaire d’une autorisation d’enseigner, mais qu’au cours d’un débat sur un règlement à l’hôtel de ville, il dise quelque chose qui offense l’Ordre des enseignants. L’Ordre devrait-il avoir le pouvoir de le sanctionner ?
Lire la suiteUn homme d’Ontario demande l’euthanasie par manque d’accès aux soins de longue durée à proximité
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : bonnontawat/Adobe Stock
Un ami et supporter de longue date m’a envoyé le courriel suivant et m’a donné la permission de le publier sans noms. (Alex Schadenberg).
Le parent d’un collègue est à l’hôpital en attente d’une place dans un établissement de soins de longue durée (SLD).
Il ne souffre d’aucune déficience cognitive, mais il a perdu la vue, l’usage du côté gauche de son corps et le contrôle des « fonctions d’élimination », ce qui fait qu’il a besoin de plus de soins qu’il ne peut en recevoir à domicile.
C’est un homme très brillant et il a eu une longue carrière de professeur d’université en philosophie et en théologie (Royaume-Uni, États-Unis et Canada).
Récemment, le gouvernement de l’Ontario a mis en place de nouvelles règles pour les personnes en attente de SLD à l’hôpital. Ces règles stipulent qu’il ne peut plus attendre que les foyers de SLD de son choix aient une place de libre. Au lieu de cela, il doit accepter la première place disponible, y compris dans des établissements situés à des centaines de kilomètres. Il considère cela comme une peine d’isolement ! S’il n’accepte pas la première ouverture, le gouvernement de l’Ontario lui impose des frais de 400 $ par nuit pour continuer d’attendre à l’hôpital.
Il est important pour lui de rester à proximité de sa famille (y compris de ses arrière-petits-enfants) et de sa femme qui vit dans un foyer de soins de longue durée près de son église.
Il n’a pas et ne croit pas qu’il devrait avoir à payer pour les soins requis et trouve cela insultant et une mesure de sa valeur pour les pouvoirs en place.
La fin de semaine dernière, à la suite de cette situation, il a fait connaître ses souhaits pour l’AMM. Il a dit à mon client, son fils, que les options qui s’offrent à lui sont 400 dollars par nuit (inabordable) ou une « mort vivante » en étant emmené loin de sa famille et de sa maison.
Je ne peux m’empêcher de penser que le premier ministre Ford et le premier ministre Trudeau, et tous les autres, savent que c’est une réalité pour les personnes âgées, les pauvres et les personnes mal desservies.
Malheureusement, on a l’impression que l’AMM est leur solution fiscale plutôt que de dépenser de l’argent pour résoudre les problèmes de nos services sociaux et de santé. L’économie dicte certainement la et les politiques et le résultat est moins cher que la solution.
Nous vivons une époque précaire, vulgaire, inimaginablement inhumaine et répugnante.
Merci d’avoir lu jusqu’ici… j’avais besoin de me défouler.
Une grande banque canadienne fait don de 500 000 $ au « Programme de diversité des sexes en pédiatrie » d’un hôpital
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Rawpixel.com/Adobe Stock
18 novembre 2022 (LifeSiteNews) — Une grande banque canadienne a fait don de 500 000 $ à un programme qui effectue des procédures irréversibles dites de « changement de sexe » sur des mineurs.
Le bulletin d’information du mois de mai 2022 de la Banque Toronto Dominion passe en revue le financement accordé pour soutenir les « transitions de genre » par le biais du McMaster Pediatric Gender Diversity Program, qui est géré conjointement avec le McMaster Children’s Hospital situé à Hamilton, en Ontario.
Le soutien de la Banque TD au McMaster Pediatric Gender Diversity Program a été annoncé discrètement. L’argent a été versé par l’intermédiaire des Fondations des hôpitaux pour enfants du Canada.
La banque affirme que son financement permettra à 30 enfants supplémentaires par an (de moins de 18 ans) de bénéficier de services d’« affirmation de genre ». Dans l’ensemble, le programme s’occupe de 60 à 70 jeunes par année.
« Le programme pédiatrique de diversité des genres vise à fournir des services médicaux et de santé mentale aux jeunes trans et de genre divers dans le cadre d’un programme complet qui comprend la médecine des adolescents, la psychologie, la psychiatrie, l’endocrinologie, l’orthophonie et le travail social », indique TD Bank.
« Pour les jeunes trans et diversifiés sur le plan du genre, recevoir des soins de santé axés sur l’affirmation du genre peut être une bouée de sauvetage. »
Ces dernières années, une poussée notable a été observée dans de nombreuses nations occidentales, notamment aux États-Unis et au Canada, pour promouvoir activement le transgenrisme chez les jeunes, y compris les enfants.
Selon le Dr Rosheen Grady, pédiatre à l’hôpital pour enfants McMaster, leur programme fournit « des informations, des options et des soins aux jeunes qui souffrent de dysphorie de genre ».
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