Ontario: une ville retire des annonces pro-vie sous prétexte qu’elles dépeignent l’enfant à naître comme étant humain
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : VaDrobotBO/Depositphotos
Le groupe pro-vie Guelph & Area Right to Life faisait comme d’habitude afficher des publicités à l’arrière des autobus de la Ville de Guelph en Ontario pour répandre des messages pro-vie, quand, récemment, la ville s’est pliée à la plainte d’une Guelphienne, Fiona Douglas, qui protestait contre les publicités en question, obtenant leur retrait. Le motif de sa plainte ? Les affiches laissent entendre que l’enfant à naître est humain ! Selon LiveActionNews :
La première publicité à laquelle Mme Douglas s’oppose disait : « La vie devrait être le droit de l’homme le plus fondamental. Dites non à l’avortement ». Dans sa plainte, Mme Douglas a affirmé que la publicité était trompeuse car elle affirmait qu’un fœtus était « humain ». Le conseil des normes publicitaires de la ville lui a donné raison et a retiré la publicité après avoir établi qu’un enfant n’est un être humain au sens juridique du terme qu’après une naissance vivante.
Jim Enos, président de la branche ontarienne du Parti de l’héritage chrétien du Canada (PHC), s’est offusqué de l’absurdité de cette affirmation. « Nous croyons que c’est un être humain », a-t-il déclaré. « Il a des parents humains. Il a de l’ADN humain. Il est vivant. Par conséquent, c’est une vie humaine. »
Tabitha Ewert, conseillère juridique de l’Association for Reformed Political Action of Canada (ARPA), est d’accord. « Il n’y a aucun doute que l’enfant à naître, le bébé dans le ventre de sa mère, est un être humain ».
La science de l’embryologie a déterminé qu’un enfant à naître avec de l’ADN humain est effectivement humain, et que la vie commence à la fécondation. Alors que de nombreuses personnes débattent de la question de savoir si un enfant à naître devrait être considéré comme une personne légale, il est scientifiquement inexact et totalement illogique de prétendre qu’un enfant à naître n’est même pas humain avant sa naissance.
Le PHC et l’ARPA soutiennent le groupe pro-vie de Guelph dans son procès.
« Vous n’êtes pas seuls » : Marche nationale pour la Vie à Ottawa le 13 mai, et autres événements
Marche nationale pour la Vie à Ottawa.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
La marche nationale pour la Vie
Le 13 mai prochain aura lieu la Marche nationale pour la Vie à Ottawa, date proche de celle où l’avortement fut dépénalisé par le biais du Bill omnibus de Trudeau père, adopté le 14 mai 1969.
La Marche, qui n’avait pu être tenue à cause des « mesures sanitaires » tant ontariennes que québécoises, se déroulera à nouveau devant le Parlement du Canada, si les gouvernements des deux provinces ne se retournent pas sur un dix cents pour interdire toute manifestation d’ici là…
Déjà, les Québécois et les Ontariens ne peuvent passer d’une province à l’autre, au nom de la « lutte » contre le covid-19. La fermeture des frontières sera-t-elle levée à temps pour que les Québécois puissent participer en personne à la Marche ? Dieu seul le sait.
Autrement, la Marche et les événements l’entourant pourront être regardés en direct (on ne peut être présent à aucune messe, elles seront retransmises en direct).
Quoi qu’il en soit, je vous souhaite de pouvoir participer en personne à la marche nationale pour la Vie, afin de manifester votre soutien à la cause de l’enfant à naître.
Messe pour la dignité de la vie humaine
Parallèlement, ou plutôt en préparation à la Marche pour la Vie, Mgr Christian Lépine, archevêque de Montréal, célébrera une messe le 25 avril à 17 h à la cathédrale Marie-Reine-du-Monde, annonce Ellen Roderick du Centre diocésain pour le mariage et la famille :
En préparation de la Semaine nationale de la vie et de la famille (9-16 mai) et de la Marche pour la vie (13 mai), nous sommes heureuses de partager avec vous l’annonce suivante :
Une messe spéciale pour la vie sera célébrée par Mgr Christian Lépine le dimanche 25 avril à 17 h à la cathédrale Marie-Reine-du-Monde en prévision de la Marche nationale pour la vie. Cette messe sera célébrée en français et diffusée en direct sur la chaîne YouTube de la cathédrale. Tous sont invités à venir prier pour la dignité de la vie humaine ! Pour plus d’informations, veuillez contacter le Centre diocésain pour le mariage, la vie et la famille : [email protected]
Bientôt un drapeau LGBT sur les écoles catholiques du district de Halton en Ontario ?
Extrait de LifeSiteNews traduit par Pour une école libre au Québec — Photo : Pete/Flickr
Un conseil scolaire catholique de l’Ontario votera la semaine prochaine sur une motion visant à arborer le drapeau LGBT dans toutes les écoles gérées par le conseil au cours du mois de juin.
La conseillère du conseil scolaire catholique de district de Halton, Brenda Agnew, a donné avis de sa motion intitulée « Soutenir notre communauté scolaire diversifiée » lors d’une réunion du conseil le 6 avril (voir vidéo ci-dessous). Citant le pape François et les points de discussion LGBT sur « l’équité et l’inclusion », la motion appelle le directeur de l’éducation du conseil d’administration, Pat Daly, à :
ordonner à toutes les écoles du HCDSB, y compris le Catholic Education Center, d’arborer le drapeau de la fierté pendant le mois de juin à partir de 2021.
La motion devrait être mise aux voix par le conseil lors de sa prochaine réunion le 20 avril. Avec neuf administrateurs, la motion nécessite cinq votes pour être adoptée. Un vote à égalité entraîne un échec.
Le HCDSB déclare sur son site Web que sa mission est de fournir « l’excellence dans l’éducation catholique en développant des individus centrés sur le Christ capables de transformer la société »…
LifeSiteNews a contacté l’évêque du diocèse de Hamilton — où se trouve le conseil d’administration du HCDSB — pour lui demander si le fait de faire flotter le drapeau LGBT au-dessus des écoles catholiques sous sa direction est compatible avec la foi catholique. LifeSite a également demandé s’il dépouillerait le HCDSB de son étiquette catholique s’il décidait de faire flotter ces drapeaux. Aucune réponse à un appel téléphonique et à deux demandes par courriel n’a été fournie.
Jack Fonseca, de l’organisation pro-vie et profamille Campaign Life Coalition, a déclaré :
Le drapeau arc-en-ciel homosexuel est un symbole politique qui célèbre le péché sexuel et rejette la loi de Dieu. Les militants homosexuels et la société en général l’entendent comme signifiant que la sodomie est moralement acceptable, que le « mariage » homosexuel est un droit et que les chrétiens qui soutiennent l’enseignement biblique sur l’homosexualité devraient être dénoncés et purgés de la société.
Ce drapeau est aussi un signe de conquête sur l’Église catholique, de la même manière qu’un envahisseur plante son drapeau sur un territoire conquis pour affirmer sa domination sur la terre et l’assujettissement des habitants à sa volonté.
En aucun cas, aucune école catholique ne devrait arborer ce symbole politique antichrétien.
Source : LifeSiteNews
Erin O’Toole : sourd aux conservateurs sociaux, il fait les yeux doux au Québec et se comporte en tyran
Erin O'Toole.
Par Pour une école libre au Québec ― Photo : Erin O'Toole/Flickr
Un de nos correspondants est délégué au congrès du parti conservateur du Canada (PCC). Voici son rapport.
La deuxième journée du congrès du PCC qui rassemble en ligne quelque 3500 délégués s’est terminée par un discours d’Erin O’Toole [...].
Erin O’Toole a déclaré que le Parti conservateur du Canada qu’il dirige depuis août 2020 doit « changer » s’il désire remporter les prochaines élections parce que le Canada a changé. C’est une vieille ficelle rhétorique, les circonstances changent toujours. Elle peut servir à justifier n’importe quelle politique : accompagner ce changement et donc abandonner ses anciennes valeurs ou lutter contre ce changement et revenir à une position plus ferme, plus conservatrice dans ce cas-ci. Pour le Parti conservateur du Canada, il s’agit toujours de courir après les libéraux et d’être moins conservateurs.
Dans un discours à ses militants, vendredi soir, M. O’Toole a déclaré que son parti peut battre les libéraux de Justin Trudeau […] aux prochaines élections, mais uniquement s’il change ses façons de faire et présente de nouvelles idées pour rallier les Canadiens.
O’Toole a déclaré que le parti doit faire plus que changer ses positions politiques — il doit également faire tout ce qui est en son pouvoir pour accueillir les Canadiens de toutes les origines raciales et ethniques et les membres de la communauté LGBTQ.
Manque de courage et de pédagogie
Le manque de courage d’Erin O’Toole était frappant, il semble se résigner à accompagner le mouvement que la gauche impose à la société. Il ne cherche pas à convaincre les Canadiens de la justesse des politiques conservatrices, à faire preuve de pédagogie, il n’envisage aucune mesure ambitieuse pour renverser la situation et promouvoir des valeurs conservatrices dans la société. Aucune ambition de déplacer un tant soit peu la fenêtre d’Overton vers la droite conservatrice sur n’importe quel sujet sociétal. Rien.
Lire la suite« Pourquoi je ne prendrai pas le vaccin, même si je suis une personne à la retraite »
Par Pauline Armstrong, résidente d’un édifice pour gens à la retraite à Orléans, Ontario ― Photo : Freepik
Non à l’avortement ; vive la vie !
Le chef-d’œuvre de la Création de Dieu est l’homme, l’être humain créé à son image et ressemblance, ayant intelligence et volonté.
L’homme, Adam, était heureux, socialisant avec Dieu, l’Etre divin au Paradis terrestre. Il se promenait avec Lui et jasait. Au premier couple humain, il ne manquait rien.
Ils ont perdu ce bonheur parfait en lui préférant connaître le Bien et le Mal. Rusés par Satan, ils ont cru la parole du Menteur et désobéi, perdant leur dignité d’enfants de Dieu, et leur force naturelle de faire le bien et non le mal. Déchus, ils n’avaient plus alors que leur nouvel état imparfait à transmettre à leur descendance.
La créature humaine est la plus belle possession de Dieu. Il les crée selon son plan et les humains d’aujourd’hui les détruisent selon leur propre volonté. Il ne peut y avoir une plus grande injustice. La Justice de Dieu sera un jour apaisée, mais c’est très loin d’être le cas. Il faudra aux humains encore bien des malheurs pour qu’ils réfléchissent et réalisent le Mal qu’ils font, le regrettent et reviennent à Dieu.
Plus d’une source dit que les vaccins contre Covid-19 ont pu être faits avec des cellules de bébés avortés. Je ne désire pas prolonger mon temps sur la terre en profitant d’un tel Mal. Alors, je n’accepte pas de vaccin contre Covid-19.
Pauline Armstrong
Explosion de jeunes adolescents qui se disent « transgenres » à l’école... Épidémie psychologique à la mode ?
Par Pour une école libre au Québec ― Photo : Pikist
Le nombre d’adolescents qui se présentent aux cliniques d’identité de genre avec une dysphorie du genre a grimpé en flèche ces dernières années au Canada. Alors qu’un nombre croissant de jeunes disent avoir besoin d’aide, certains parents, des professionnels de la santé mentale et d’autres s’inquiètent de la façon dont ils sont traités.
La fille de Mary était à l’école primaire lorsqu’elle s’est dite d’abord bisexuelle, puis lesbienne. Mais ce qui s’est passé lorsque la fille est entrée en 9e année dans une école secondaire en Ontario était inattendu. La jeune femme a voulu rencontrer d’autres élèves LGBTQ, dont un garçon transgenre. Puis, l’année suivante, cet automne, le garçon n’était plus seul : au moins une demi-douzaine d’autres filles biologiques¹ du même groupe d’amis élargis, y compris la fille de Mary, se sont dites transgenres.
« C’est devenu beaucoup plus important en un an », a déclaré la mère, qui a demandé que son nom complet et celui de l’école ne soient pas divulgués au National Post pour protéger la vie privée de la famille. « Cela ne semble pas statistiquement possible. » Pourtant, une école primaire de l’est de l’Ontario a connu le même phénomène il y a quatre ans. Quelques mois après la présentation d’un groupe extérieur sur l’identité de genre à une classe de 7e année [habituellement 12-13 ans], au moins cinq des 32 élèves ont déclaré qu’ils étaient transgenres, a déclaré Carolyn, un parent de l’école. Son fils de 11 ans était parmi eux, annonçant qu’il était une « demi-fille ». « On leur a dit en quelque sorte (à l’école) que si vous n’êtes pas à l’aise dans votre corps, vous pourriez être transgenre », a déclaré la mère, qui est également assistante sociale et conseille les jeunes en difficulté. « Cela a fait tilt pour plusieurs enfants dans cette classe. »
Ces surprenantes éclosions de dysphorie de genre — le sentiment d’avoir une identité de genre différente de son sexe de naissance — sont apparues alors que le nombre d’adolescents canadiens qui se présentent aux cliniques d’identité de genre avec dysphorie a grimpé en flèche ces dernières années, une grande majorité d’entre eux étant des filles.
Certains experts expliquent cette soudaine poussée par des facteurs comme une « contagion sociale » au sein de groupes de connaissances. Voir à ce sujet.
Lire la suiteLe cardinal Collins blâme le Toronto Catholics District School Board pour censure du Catéchisme au sujet de l’homosexualité
Cardinal Thomas Collins, archevêque de Toronto, lors de la Marche pour la Vie en 2018 à Ottawa.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Voyez-vous l’incohérence qui règne au Toronto Catholic District School Board ? Quelques conseillés dont le président se sont opposés à ce qu’un délégué continuât à citer le Catéchisme de l’Église catholique au sujet de l’homosexualité, affirmant incongrûment que les termes n’étaient « pas corrects » et humiliaient les individus s’identifiant comme homosexuels.
Le cardinal Thomas Collins, archevêque de Toronto, réagit à cet acte en écrivant une lettre au président du Conseil d’administration, le réprimandant ainsi que ses pairs, leur rappelant le serment qu’ils ont prêté d’« être fidèles aux enseignements de l’Église, à la primauté du Pontife Romain et à l’autorité du Magistère » ; ce qui n’est manifestement pas le cas… Selon LifeSiteNews :
Lire la suiteLe cardinal Thomas Collins a vivement blâmé les conseillers du Toronto Catholic District School Board qui ont empêché un délégué de lire l’article du Catéchisme parlant de l’homosexualité lors d’une réunion orageuse, la semaine dernière.
« Qu’un catholique fût critiqué, et que les administrateurs catholiques l’empêchassent effectivement de lire le catéchisme catholique lors d’une réunion du conseil scolaire catholique est tout simplement répréhensible », écrivait Mgr Collins dans une lettre privée adressée au président du conseil Joe Martino […]
Un conseiller scolaire du TCDSB toujours attaqué par des militants LGBT
Michael Del Grande, conseiller au Toronto Catholic District School Board.
Par Lianne Laurence — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
Toronto, 16 septembre 2020 (LifeSiteNews) — Un conseiller scolaire catholique attaqué pour s'être opposé à la [reconnaissance de] l'identité de genre dans les écoles catholiques a été disculpé le mois dernier des plaintes selon lesquelles il aurait violé le code de conduite du conseiller dans sa défense de l'enseignement de l'Église.
Bien que Michael Del Grande fût innocenté, les militants pro-LGBTQ continuent à exercer des pressions sur le Toronto Catholic District School Board (TCDSB) afin qu’il fût censuré ou démis de ses fonctions.
L’un des opposants les plus virulents du conseiller assiégé est l’enseignant catholique Paolo De Buono, dont le compte Twitter révèle les efforts incessants et flagrants pour faire avancer l’agenda transgenre et homosexuel au sein du TCDSB — même auprès de ses élèves de 5e et 6e année à l’école primaire St James de Toronto.
Vendredi dernier, De Buono communiquait sur Twitter son entrevue avec CityNews dans laquelle il avait annoncé avoir demandé au ministre de l’Éducation d’Ontario d’enquêter sur le TCDSB pour « homophobie systémique » en ce qu’il n’a pas censuré Del Grande.
Del Grande avait déclenché une controverse l’hiver précédent lors des derniers épisodes d’un débat acharné, qui dura des mois au conseil, sur la modification au code de conduite des enseignants et des élèves qui rajoutait « l’état familial et matrimonial » et « l’identité et l’expression du genre » aux motifs de discrimination interdits.
Le 7 novembre, il déposa une motion sous la forme d’une « reductio ad absurdum » qu’il décrivit plus tard comme étant « hyperbolique » et visant à souligner les conséquences de l’adoption de l’amendement.
La motion, qui finalement fut jugée irrecevable, demandait au conseil scolaire de renvoyer l’affaire en commission pour étudier s’il devait ajouter d’autres comportements sexuels aberrants, tels que la pédophilie ou la bestialité, en tant que catégories protégées par le code aux côtés de l’identité et de l’expression du genre, comportements incompatibles avec l’enseignement de l’Église catholique sur le dessein de Dieu pour la sexualité humaine.
Lire la suiteDes centaines de Canadiens malades euthanasiés pour cause de solitude
Par Wesley J. Smith (National Review) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
Bon sang ! On nous dit que l’euthanasie est de la « compassion ». Mais à quel point cela est-il compassionnel quand, l’année dernière au Canada, des centaines de malades ont été euthanasiés à cause de leur solitude ?
Le rapport annuel de 2019 de l’AMM (aide médicale à mourir [euthanasie]) a révélé que 13,7 % des 5 631 Canadiens tués par des médecins avaient demandé à recevoir une piqûre létale en raison d’« isolement ou de solitude ». Si mes calculs sont justes, cela représente environ 771 personnes, soit 64 par mois, ou deux par jour. Bon sang !
Voici d’autres raisons que les gens ont invoquées pour demander à être tués :
- Perte de la capacité à s’engager dans des activités agréables, 82,1 %. C’est un problème sérieux, mais avec des interventions appropriées, il peut être surmonté.
- Perte de la capacité à effectuer des activités de la vie quotidienne, 78,1 %. Idem.
- « Contrôle insuffisant de la douleur (ou inquiétude à ce sujet) », 53,9 %. C’est un pourcentage scandaleusement élevé. Les experts en soins palliatifs et en contrôle de la douleur dans les hospices vous diront que la plupart des douleurs intenses des maladies en phase terminale peuvent être soulagées avec succès.
- Perte de dignité, 53,3 %. Là encore, il s’agit d’une question préoccupante, mais qui peut être résolue par des soins appropriés.
- Sentiment de fardeau pour la famille, les amis et les soignants, 34 %. En autres termes, les gens se soustraient à la misère de leur proche.
- Détresse émotionnelle, anxiété, peur, souffrance existentielle, 4,7 %.
Ces statistiques sont scandaleuses et devraient rendre le Canada profondément honteux.
Hélas, la plupart des Canadiens sont fiers que leurs médecins puissent légalement tuer des personnes malades dont la mort est « raisonnablement prévisible ». Non seulement cela, mais le pays est maintenant engagé dans le processus qui élargira les conditions d’admissibilité à la piqûre létale, y compris pour les personnes incompétentes et démentes si elles en ont fait la demande dans des directives anticipées.
C’est rendu tellement grave qu’en Ontario, si un médecin refuse d’euthanasier un patient légalement qualifié pour ce faire ou de trouver un autre médecin qu’il sait capable de tuer, il risque les sanctions disciplinaires.
Il ne s’agit pas seulement du Canada. Ce pays est notre cousin culturel le plus proche. Si nous avalons la ciguë comme l’ont fait nos cousins du nord, le même schéma mortel pourrait se reproduire ici.
Quelle serait la gravité de la situation ? Le Canada compte environ un neuvième de la population des États-Unis. Si le même pourcentage de personnes euthanasiées au Canada étaient tué par des médecins aux États-Unis, cela représenterait plus de 50 000 homicides médicaux par an. Est-ce vraiment ce que nous voulons ?
Méfaits communistes au Canada
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (rognée) : carac/Flickr
Le vandalisme qui sévit depuis quelques semaines aux États-Unis s’est répandu dans le monde entier, même au Canada où déjà des gens incultes ont dégradé un monument au héros canadien-français Dollard des Ormeaux (1625-1660). Dernièrement, des partisans du communisme ont vandalisé un monument inachevé, érigé à Ottawa en mémoire des victimes du communisme, acte que Derek Sloan dénonce dans un de ses courriels aux membres du Parti conservateur du Canada (PCC) :
Un cas particulièrement choquant est arrivé au début du mois à Ottawa.
Le Monument des victimes du communisme, qui n’était pas encore achevé, a été défiguré par des vandales qui ont promis que « le Communisme gagnera[it] » et l’ont orné du plus grand symbole d’oppression du siècle dernier, le marteau et la faucille.
Cet acte est une insulte aux victimes du communisme, aux membres de leur famille et à ceux qui ont payé pour ce monument, s’indigne Derek Sloan, candidat à direction du Parti conservateur.
On peut se demander si ces individus savent ce qu’était le communisme et ce qu’il est encore en Chine, par exemple. Ou alors regrettent-ils la dictature et les massacres qui se perpètrent sous ses augures ?
Derek Sloan évoque la croissance du marxisme culturel dans le gouvernement canadien, dans le domaine de l’instruction et autres institutions. Il souligne l’importance de rester vigilant devant la menace que représentent les promoteurs du communisme au sein du Canada :
Lire la suiteLa défiguration de ce monument est un rappel qu’il y’a des gens dans notre propre pays qui veulent apporter au Canada les souffrances endurées dans d’autres pays sous le communisme.