La Cour de justice de l’Ontario déclare que les participants doivent indiquer leurs « pronoms préférés »
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : vecstock/Freepik
18 avril 2024, Toronto (LifeSiteNews) — Prêtant allégeance à l’idéologie du genre, la Cour de justice de l’Ontario exige maintenant que tous les participants au tribunal indiquent leurs « pronoms préférés » avant le début de chaque cause.
Le 11 avril, Sharon Nicklas, juge en chef de la Cour de justice de l’Ontario, a annoncé que tous les avocats, clients et témoins présents dans la salle d’audience devaient indiquer leurs « pronoms préférés » au début de chaque cause — une décision qui s’aligne sur l’idéologie radicale du genre puisqu’elle implique qu’un homme doit être appelé « Mme » et « elle » s’il en fait la demande.
« Au début de toute audience en personne, virtuelle ou hybride, lorsque les avocats se présentent, présentent leur client, un témoin ou une autre personne, ils doivent fournir au juge ou au juge de paix le nom de chaque personne, son titre (par exemple, M., Mme, Mx, l’avocat “X”) et les pronoms à utiliser lors de l’audience », a écrit Mme Nicklas.
« Si l’avocat ne fournit pas ces informations dans son introduction, il peut être invité par un greffier à le faire », a-t-elle poursuivi.
« Au début de chaque session du tribunal, la Division des services judiciaires a demandé aux greffiers d’annoncer que les parties comparaissant devant le tribunal sont invitées à fournir leur titre et leurs pronoms au tribunal », a-t-elle conclu.
Lire la suiteMichael Del Grande propose d’arborer le drapeau pro-vie dans toutes les écoles catholiques de Toronto
Par Jeff Gunnarson (Coalition nationale pour la vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le conseiller scolaire Mike Del Grande l’a encore fait !
Je vous ai écrit à plusieurs reprises au sujet de son courage et de son héroïsme dans la défense de l’enseignement catholique au Toronto Catholic District School Board (TCDSB) en ce qui a trait à la poussée de l’idéologie du genre. En fait, il paie encore le prix de cet héroïsme en se défendant dans deux procès différents !
Cette fois-ci, Mike défend la vie des bébés à naître que nos politiciens fédéraux refusent de protéger contre le fléau de l’avortement !
Il vient de présenter une motion qui sera débattue et votée lors de la réunion publique du conseil d’administration du 23 avril et qui, si elle est adoptée, exigera que chaque école du TCDSB, ainsi que le bureau du conseil d’administration, arbore le drapeau pro-vie international, chaque année, pendant tout le mois de mai, à partir de cette année !
De la motion de l’administrateur Del Grande :
Lire la suiteQU’IL SOIT DONC RÉSOLU
Pour exprimer publiquement la fidélité de ce conseil aux enseignements pro-vie de l’Église et à l’éducation catholique, toutes les écoles du TCDSB, le centre d’éducation catholique et le bureau du conseil doivent arborer le drapeau international pro-vie, chaque année, pendant tout le mois de mai, à partir du 1er mai 2024.
Une résidente ontarienne expulsée de la séance du conseil municipal pour avoir soulevé des inquiétudes au sujet d’un vestiaire « neutre »
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (modifie) : MarkRademaker/Adobe Stock
6 mars 2024, Cambridge, Ontario (LifeSiteNews) — Un conseil municipal de l’Ontario a refusé d’entendre les préoccupations d'une femme concernant une « zone commune universelle neutre » qui pourrait conduire à ce que des enfants soient sollicités sexuellement.
Lors d’une réunion du conseil municipal de Cambridge, en Ontario, le 27 février, Janice Fiaschetti, résidente de Kitchener, a été réduite au silence et expulsée de la réunion après avoir exprimé ses inquiétudes au sujet de la « zone commune universelle neutre » à parois de verre proposée dans le nouveau centre de loisirs de la ville.
« Ce qui est en cause, c’est le projet du conseil municipal, présenté dans les plans architecturaux de MJM, d’avoir des salles de bains, des vestiaires et des douches ouverts et universels », a commencé Janice Fiaschetti.
« Je demande si l’un des conseillers municipaux peut garantir que nos enfants seront en sécurité dans l’une ou l’autre de ces zones ».
Selon les plans, la ville prévoit construire dans son nouveau centre de loisirs un « espace commun universel neutre » aux parois de verre, en lieu et place des vestiaires traditionnels pour hommes et femmes.
Les toilettes du rez-de-chaussée, destinées aux deux sexes, seront composées d’une série de cabines privées allant du sol au plafond et d’une zone publique pour le lavage des mains. Quelques cabines seront également équipées de toilettes et de lavabos.
Lire la suiteLe syndicat des écoles de l’Ontario menace les enseignants qui utiliseraient les termes « garçons et filles » et soutiendraient les droits parentaux
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : freepik
21 février 2024, Kingston, Ontario (LifeSiteNews) — Un syndicat scolaire de Kingston a averti les enseignants qu’ils pouvaient être sanctionnés pour des opinions de « droite » telles que le soutien aux droits parentaux, selon un courriel qui a fait l’objet d’une fuite.
Dans un courriel de décembre obtenu par le média indépendant True North, la Fédération des enseignants des écoles secondaires de l’Ontario, section locale du Limestone District School Board (LDSB) de la région de Kingston, a informé le personnel qu’il pouvait être sanctionné pour avoir exprimé une série d’opinions, allant de la contradiction avec le discours LGBT à l’imposition de mesures disciplinaires à leurs élèves.
Le négociateur du district 27 de la Fédération des enseignants des écoles secondaires de l’Ontario, John Vince, a écrit : « Les membres ne savent peut-être pas que certains discours ou actions sur les lieux de travail du Limestone District School Board (LDSB) peuvent entraîner des mesures disciplinaires ».
« Dans d’autres juridictions, telles que les États-Unis ou le Royaume-Uni (dont les médias sont très consultés), certains de ces discours sont autorisés, mais ils ne le sont pas en Ontario, et les membres ne le savent peut-être pas », a-t-il poursuivi.
« Nous avons demandé au conseil d’administration d’informer le personnel des propos qui ne peuvent être tenus en Ontario ou au LDSB et il a indiqué qu’il y travaillait. En l’absence de cette formation, voici quelques exemples de propos ou d’actions qui, s’ils sont prononcés ou effectués sur un lieu de travail, peuvent entraîner des mesures disciplinaires », a ajouté M. Vince.
Lire la suiteDes députés libéraux et néo-démocrates bloquent la motion visant à condamner l'incendie criminel de l'église catholique de Regina
Le député conservateur Corey Tochor.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Chambre des communes
14 février 2024, Ottawa, Ontario (LifeSiteNews) — Une motion conservatrice visant à condamner une récente attaque contre une église catholique de Regina a été rejetée par les libéraux et les membres du Nouveau Parti démocratique (NPD).
Lors d’un débat à la Chambre des communes le 12 février, les députés libéraux et néo-démocrates ont rapidement rejeté la motion du député conservateur Corey Tochor visant à condamner la tentative d’incendie criminel d’une église de Regina la semaine dernière.
« Monsieur le Président, il y a eu une autre tentative d’incendie criminel dans une église la fin de semaine dernière, et si vous demandez le consentement unanime, vous l’obtiendrez », a commencé M. Tochor, avant d’être rabroué par les députés libéraux et néo-démocrates.
La motion de M. Tochor fait suite à la publication d’une vidéo de surveillance du 9 février montrant un homme en train d’allumer un incendie dans une église catholique historique de Regina, en Saskatchewan, dans ce qui constitue la dernière attaque en date contre des églises au Canada.
La Paroisse Saint-Sacrement a publié les images de l’attaque sur les médias sociaux et a demandé à ceux qui savent quelque chose de contacter le service de police de Regina.
Lire la suitePlusieurs ministres de la santé provinciaux demandent au gouvernement fédéral de suspendre indéfiniment l’euthanasie pour maladie mentale
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Liubomir/Adobe Stock
Un article de la Presse canadienne datant du 29 janvier 2024 révèle que les ministres de la santé de plusieurs provinces ont demandé au ministre fédéral de la Santé, Mark Holland, de « suspendre indéfiniment » la mise en œuvre de l’euthanasie pour les maladies mentales. Le 29 janvier, Mark Holland a annoncé que le gouvernement retarderait la mise en œuvre de l’euthanasie pour maladie mentale.
La Presse canadienne rapporte que :
Lire la suiteLes ministres de la santé et de la santé mentale des trois territoires, ainsi que de l’Alberta, de la Saskatchewan, de l’Ontario, du Nouveau-Brunswick et de la Colombie-Britannique, ont demandé à M. Holland, dans une lettre datée de lundi, de leur accorder plus de temps pour collaborer.
« Il est essentiel que toutes les juridictions, les autorités sanitaires, les régulateurs et les praticiens (de l’aide médicale à mourir) disposent de suffisamment de temps pour mettre en œuvre ces mesures de protection et pour répondre aux problèmes de capacité qui devraient résulter de l’élargissement », peut-on lire dans la lettre.
Les autorités municipales de London, en Ontario, pourraient interdire les images de victimes d’avortement en public
Par Carlos Prado — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : SciePro/Adobe Stock
6 décembre 2023 (LifeSiteNews) — Les conseillers municipaux de London, en Ontario, ont adopté une motion envisageant l’interdiction de toutes les images d’enfants à naître sur la voie publique.
Le mardi 5 décembre, les conseillers Hadleigh McAlister et Sam Trosow ont présenté cette motion au Comité des services communautaires et de protection de la ville afin d’élargir le règlement controversé de 2022 qui interdit que des images de fœtus soient distribuées ouvertement à des domiciles privés. La nouvelle motion vise à interdire les manifestations pro-vie sur les trottoirs avec ce que l’on appelle des « images graphiques », c’est-à-dire des images d’enfants à naître, qu’ils soient entiers ou démembrés.
Au cours de la réunion, le conseiller Trosow a reconnu que le règlement de 2022 et la nouvelle motion proposée violaient la Charte canadienne des droits et libertés.
« Le règlement a créé une entrave à la liberté d’expression et a constitué une violation de l’article 2 b de la Charte... Cela ne fait aucun doute », a-t-il déclaré.
« Il s’agissait d’une mesure fondée sur le contenu, qui limitait des propos par ailleurs autorisés ».
Lire la suiteUn juge accepte d’entendre le cas d’un professeur puni pour avoir critiqué les livres LGBT des écoles
Carolyn Burjoski.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Twitter/X
28 novembre 2023, Waterloo, Ontario (LifeSiteNews) — Un tribunal de l’Ontario a statué en faveur d’une enseignante qui a été réduite au silence pour avoir exprimé ses préoccupations au sujet des livres LGBT dans les bibliothèques scolaires.
Le 23 novembre, le juge James Ramsay de la Cour supérieure de l’Ontario a rejeté la demande du Conseil scolaire du district régional de Waterloo (WRDSB) de rejeter le procès en diffamation de l’enseignante Carolyn Burjoski, aujourd’hui à la retraite. Mme Burjoski avait intenté une action en justice pour avoir été réduite au silence et attaquée publiquement l’année dernière, parce qu’elle avait tiré la sonnette d’alarme lors d’une réunion du WRDSB au sujet de livres pro-LGBT mis à la disposition des jeunes élèves dans les bibliothèques scolaires.
« Ce qui s’est passé ici ne devrait pas se produire dans une société démocratique », a déclaré M. Ramsay dans sa décision, selon le National Post.
Lire la suiteAvant Jordan Peterson, ils s’en sont pris à Michael Del Grande
Michael Del Grande (à gauche), Jordan Peterson (à droite).
Par Jack Fonseca (Coalition nationale pour la Vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie
De nombreux Canadiens ont entendu parler de la persécution politique du Dr Jordan Peterson.
En 2023, l’Ordre des psychologues de l’Ontario a enquêté sur des allégations de « mauvaise conduite » à son sujet, le début d’un processus qui pourrait aboutir au retrait de la license de psychologue clinicien de M. Peterson.
Selon l’Ordre, l’inconduite de M. Peterson consistait au fait d’avoir partagé ses opinions politiques conservatrices sur les médias sociaux, ses opinions sur l’idéologie transgenre et ses critiques à l’égard de Justin Trudeau.
Nombreux sont ceux qui, à juste titre, ont pris la défense de M. Peterson, considérant cette enquête comme une chasse aux sorcières politique qui n’a rien à voir avec la qualité des soins qu’il a prodigués à ses patients, mais voici ce qu’il en est...
Saviez-vous que, bien avant que cela n’arrive au Dr Peterson, c’est Mike Del Grande, conseiller scolaire du Toronto Catholic District School Board, qui en a fait les frais ?
Lire la suitePlusieurs villes canadiennes adoptent des mesures pro-LGBT anti-liberté d’expression
Par Jeff Gunnarson (Coalition nationale pour la Vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : motortion/Adobe Stock
Une tendance inquiétante se répand à travers le pays, une tendance qui menace directement les droits à la liberté d'expression des partisans de la Coalition nationale pour la Vie (CNV) et, en fait, les droits de tous les Canadiens et Canadiennes épris de liberté.
Au cours des deux dernières années, trois villes canadiennes différentes ont adopté des règlements municipaux de censure pro-LGBT, avec des formulations étrangement similaires, et d'autres ont pris des mesures pour faire de même.
En 2021, le conseil municipal d'Edmonton a adopté un règlement controversé « contre le harcèlement » qui donne aux agents municipaux le pouvoir de mettre fin aux manifestations légales et à la liberté d'expression sur les propriétés publiques appartenant aux contribuables, dans le cas où une personne qui s'identifie comme LGBT « se sent » harcelée.
Cela est totalement inconstitutionnel.
Les personnes inculpées peuvent être expulsées de force de la propriété de la ville et se voir infliger une amende de 250 dollars pour avoir offensé des personnes sur la base de leur « identité de genre », de leur « expression de genre » et de leur « orientation sexuelle ».
La définition du harcèlement dans le règlement est si subjective qu'elle peut être facilement utilisée comme arme par les activistes LGBT ou le personnel municipal « éveillé » (woke) pour mettre fin à toute manifestation pacifique critiquant la théorie du genre ou la propagande homosexuelle sur la propriété publique.
Voici la définition du harcèlement telle qu'elle a été adoptée à Edmonton :
Lire la suite« Dans le présent article, “harcelé” s'entend notamment de ce qui suit :
(a) le fait de se sentir tourmenté, troublé, inquiet, poursuivi ou harcelé ; » (c'est nous qui soulignons)