Des parents refusent d’avorter un bébé « miracle » ; maintenant, c’est un garçon en santé de six ans
L’enfant sur la photo n’est pas Kaito Kryvenchuck.
Par Mark Hodges — traduit par Campagne Québec-Vie
Toronto, Canada, 3 janvier 2018 (LifeSiteNews) — Les experts médicaux insistaient pour dire que l’avortement était la seule option pour Kaito Kryvenchuk, qui était horriblement déformé.
Une échographie à 17 semaines avait révélé qu’il avait une énorme tumeur, plus grosse que sa tête, attachée à son cou et à sa mâchoire, jusqu’à son oreille. Il semblait vraiment avoir deux têtes.
Non seulement la tumeur bénigne menaçait la vie de Kaito à cause de sa taille, mais les incapacités qui en résulteraient étaient imprédictibles. La masse était si grosse que le garçon n’aurait pas été capable de respirer. Seulement un bébé sur 50 000 avec une tumeur semblable survit.
Les obstétriciens disaient que les hôpitaux canadiens ne pratiquent simplement pas de tels accouchements. Les médecins avaient dit aux parents de Kaito, Charles et Tamami, que la meilleure chose à faire, la plus compatissante, était de l’avorter et d’essayer à nouveau d’avoir un enfant viable.
Lire la suiteDoug Ford : nous abrogerons le nouveau programme d’éducation à la sexualité
Douglas Robert Ford Junior (Doug Ford), premier ministre d'Ontario.
La position de [Doug] Ford sur le programme d’éducation à la sexualité imposé par le Parti libéral de l’Ontario (PLO) a contribué à le propulser à la tête du PC. Il sera sous la pression de cette base pour respecter sa promesse électorale de revenir au programme d’éducation sexuelle de la fin des années 1990 « jusqu’à ce que nous puissions mettre en œuvre un nouveau qui soit adapté aux besoins des parents. »
Interrogé sur le programme d’études vendredi, Ford n’a pas défini de calendrier.
« Je peux vous dire une chose : nous l’abrogeons », a déclaré Ford. « Et je vais vous dire une autre chose : nous tenons nos promesses, ce que nous disons que nous allons le faire, nous allons le faire, nous n’allons pas tourner casaque. »
Source : Yahoo
Doug Ford à la tête d’un gouvernement majoritaire en Ontario
Doug Ford, premier ministre d’Ontario.
Par Le Peuple — Sources de l’article : La Presse, CBC, Facebook n˚1/Source de la photo : Bruce Reeve, Flickr, CC BY-SA 2.0
Les conservateurs ont obtenu environ 40,5 % du vote ; les néo-démocrates, 33,7 % ; et les libéraux, 19,5 %.
En Ontario, le Parti libéral de Kathleen Wynne a mordu la poussière alors que le Parti progressiste-conservateur de Doug Ford a été élu. Le nouveau premier ministre de la province sera même à la tête d’un gouvernement majoritaire. Les conservateurs ont obtenu environ 40,5 % du vote ; les néo-démocrates, 33,7 %, et les libéraux, 19,5 %.
Mme Wynne a annoncé sa démission comme chef du Parti libéral. « J’ai demandé au président du parti de lancer le processus pour nommer un chef intérimaire. [...] Il y a une nouvelle génération et je passe le flambeau à cette génération », a-t-elle déclaré à ses partisans.
Mme Wynne était devenue hautement impopulaire auprès des Ontariens, entre autres à cause de sa mauvaise performance sur le plan économique, de scandales liés à la compagnie d’hydro-électricité de la province et de sa décision d’introduire un cours de sexualité dès l’école primaire. En outre, elle a été critiquée pour sa campagne tribaliste où elle a notamment porté le hijab pour séduire les musulmans et appelé les jeunes à voter afin de contrer le vote des personnes âgées et « blanches ».
Lire la suiteUne militante proavortement a mensongèrement déclaré qu’on l’avait attaquée pour ses convictions
Par Calvin Freiburger — traduit par Campagne Québec-Vie — geralt/Pixabay
Kitchener, Ontario, 5 avril 2018 (LifeSiteNews) — La police a déposé une accusation de méfait public à l’encontre d’une militante pro-choix reconnue coupable d’avoir inventé qu’elle s’était faite attaquer […]
En mars dernier, une femme non identifiée originaire de Kitchener et âgée de 41 ans a déclaré aux autorités qu’un homme l’avait traitée de « meurtrière » et lui avait jeté un seau de peinture rouge aux abords du Tim Hortons situé à l’angle de Charles Street et de Borden Avenue, rapporte CBC News. La femme participait à des rassemblements locaux proavortement et a déclaré avoir été harcelée plusieurs fois déjà en raison de sa position, ajoute le Record.
Cependant, à la suite d’une enquête, la police a conclu que les déclarations étaient fausses.
« À l’issue des investigations, les détectives ont conclu que l’agression n’avait pas eu lieu », a annoncé ce mercredi [4 mai 2018] le porte-parole de la police régionale de Waterloo, Cherri Greeno.
Lire la suiteEuthanasie : Roger Foley, cet handicapé à qui l’on propose la mort médicalement assistée…
Photo : capture d'écran d'un vidéo de ctvnews.ca
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
Avis à ceux qui pensaient que l’euthanasie, c’est pour les malades en phase terminale qui souffrent trop pour envisager de vivre. C’est du Canada, où l’euthanasie et le suicide assisté sont de légalisation récente, que nous vient cette histoire exemplaire d’un homme qui ne demande rien d’autre que d’être soigné comme il le souhaite, et à qui l’on ne propose, dit-il, que deux options, tout en le menaçant de devoir payer son long séjour à l’hôpital à raison de 1 800 dollars canadiens par jour : retourner chez lui pour être confié à un organisme de soins à domicile qu’il récuse, ou obtenir une mort médicalement assistée. C’est évidemment celle-ci, la solution la moins chère pour régler le cas de Roger Foley, et c’est donc une proposition économique. Et sans doute, avant tout, un moyen de chantage. Mais tout de même…
Lire la suite1 029 patients tués par l’euthanasie en Ontario depuis la légalisation : rapport du coroner
Par Lianne Laurence — traduit par Campagne Québec-Vie
Ottawa, 16 février 2018 (LifeSiteNews) — Quelques 1 029 personnes ont été euthanasiées en Ontario dans les 18 mois suivant la législation de la pratique par le gouvernement canadien, selon le rapport du coroner provincial.
Les données ont été obtenues par Patricia Maloney et publiées sur son blogue Run With Life.
Maloney a été informée par le Ministère de la Santé de l’Ontario qu’il n’y avait pas de « code de facturation » des médecins pour l’euthanasie ou le suicide assisté dans le barème de prestation du régime d’assurance-maladie de la province et que le bureau du coroner provincial « suivait les cas. »
Les données qu’elle a reçues des Bureau du coroner en chef/Service de médecine légale de l’Ontario indiquent que jusqu’au 31 décembre 2017, 1 030 personnes ont reçu l’AMM (aide médicale à mourir). Le gouvernement libéral de Justin Trudeau a légalisé l’euthanasie en juin 2016.
Une mort a été « administré par un patient » tandis que 1 029 ont été « administrées par le clinicien. »
Lire la suiteDes sages-femmes ontariennes veulent pouvoir pratiquer des avortements, les pro-vie sont scandalisés
Par Lianne Laurence — traduit par Campagne Québec-Vie
TORONTO, le 13 novembre 2017 (LifeSiteNews) — La direction de l’Association des sages-femmes ontariennes (Association of Ontario Midwives, AOM) fait pression sur le gouvernement des Libéraux pour qu’il modifie les lois de la province de manière à ce que les sages-femmes puissent tuer des bébés in utero, aussi bien que d’aider à les mettre au monde.
La présidente de l’Association, Elizabeth Brandeis, a déclaré à CBC que les sages-femmes montrent un intérêt croissant pour assister les médecins lors d’avortements.
L’idée est dans l’air au sein de l’association depuis que l’AOM a été consultée par le bureau du procureur général et du ministre de la Santé au sujet du projet de loi des Libéraux interdisant la présence de pro-vie à l’extérieur des centres d’avortement, continue-t-elle.
L’Association ontarienne des sages-femmes, forte de 800 membres, se positionne du côté des pro-choix, affirme Mme Brandeis :
« Nous sommes profondément convaincues que les droits concernant la reproduction, qui incluent toute une gamme de choix entourant la maternité, englobent également un accès sécurisé à l’avortement. »
Et les sages-femmes de tout le Canada, pas seulement en Ontario, veulent pouvoir tuer des bébés in utero, selon CBC, qui a également invité Elizabeth Brandeis à s’exprimer pendant le journal télévisé matinal national.
Lire la suiteL'école catholique, Notre-Dame du Mont-Carmel
Découvrez une des rares écoles libres francophones de confession catholique au Canada, l’école Notre-Dame du Mont-Carmel, à Ottawa, établie à quelques encablures du Québec pour plus de liberté scolaire.
Cette école francophone, qui bénéficie du soutien de l’archevêque d’Ottawa, présente sa campagne de soutien avec humour :
Actuellement, l’école, fondée en 2007, accueille les élèves de la maternelle à la 11e année.
Pour commander la tasse en latin : dboilydnmc.ca
Intimidation à l'université Wilfrid Laurier
Université Wilfrid Laurier.
Par pouruneécolelibre — Photo : Wikimedia Commons
The Agenda est une émission diffusée aux heures de grande écoute sur la chaîne gouvernementale de l’Ontario, TVO. Elle est animée par un Steve Paikin (ci-dessous) toujours serein et d’une onctueuse politesse.
Steve Paikin
The Agenda prend souvent la forme d’une table ronde d’une heure et sélectionne ses panélistes en tenant compte des subtilités raffinées de la rectitude politique. L’émission est ardemment progressiste, ses partisans — et ils sont nombreux — le sont tout autant.
Pourtant, trois minutes de cette émission ont secoué le monde universitaire de l’Ontario. Comment est-ce possible ? Notons que la CBC insiste dans chacun de ses reportages ou articles pour dire que la vidéo serait « controversée ».
Lire la suiteLe Canada réduit les restrictions pour la prescription de pilules abortives dangereuses
Par Lianne Laurence — traduit par Campagne Québec-Vie
Ottawa, le 7 novembre 2017 (LifeSiteNews) — Le gouvernement canadien étend l’accès à la pilule abortive, permettant son utilisation pour avorter des enfants à naître jusqu’à 9 semaines après la fécondation. De plus, il sera dorénavant possible aux pharmaciens de la distribuer directement, sans l’avis d’un médecin.
La décision de Santé Canada était basée sur de l’information fournie par Linepharma, commanditaire du médicament, selon une information du département, mise à jour et publiée jeudi [7 novembre].
Linepharma est représentée au Canada par la compagnie Celopharma.
Santé Canada a dit avoir effectué « une étude approfondie des publications scientifiques nouvelles et actuelles sur l’innocuité et l’efficacité de Mifegymiso. »
Elle a donc autorisé ce qui suit :
- Mifegymiso peut maintenant être administré jusqu’à la 9e semaine (63 jours) de grossesse, au lieu de la limite précédente allant jusqu’à la 7e semaine (49 jours).
- Mifegymiso peut maintenant être distribué directement aux patients par le pharmacien, ou par tout professionnel de la santé pouvant prescrire des médicaments.
- Les professionnels n’ont plus besoin de compléter un programme d’éducation avant de prescrire Mifegymiso.
- L’obligation du consentement écrit du patient pour l’utilisation de Mifegymiso a été retirée.
- Les professionnels de la santé n’ont plus besoin de s’enregistrer chez Celopharma pour pouvoir prescrire ou distribuer Mifegymiso.