Jordan Peterson poursuit l'Université Wilfrid-Laurier
Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : The Toronto Sun , The National Post et La Presse + / Voici la source de la photo : Adam Jacobs, Flickr, CC BY 2.0
Le célèbre professeur de l'Université de Toronto et psychologue clinicien se bat pour la liberté d'expression.
Jordan Peterson, professeur à l'Université de Toronto et psychologue clinicien, réclame 1,75 million de dollars en réparations à l'Université Wilfrid Laurier, située en Ontario. Cette nouvelle poursuite s'ajoute à celle déposée en juin dernier dans laquelle celui-ci réclame 1,5 million de dollars pour diffamation alors qu'il avait été comparé à Adolf Hitler par des membres du comité disciplinaire de l'Université Wilfrid Laurier.
Le début de l'affaire
Cette comparaison extrême avait eu lieu en privé à l'occasion d'une conversation entre trois membres du comité disciplinaire et Mme Lindsay Sheppard, une assistante à l'enseignement. Celle-ci s'était vue sanctionner par l'Université Wilfrid Laurier pour avoir diffusé une vidéo en classe où Jordan Peterson exprimait sa position dans le cadre d'un débat avec un autre professeur sur l'utilisation des pronoms neutres. Mme Sheppard, laquelle avait enregistré la conversation en question à l'insu de ses interlocuteurs, l'avait ensuite diffusée en ligne pour informer le public du traitement qu'elle avait subi.
Lire la suiteLe secret des mariés : ils sont plus riches et plus heureux, on n'en parle pas...
Dans un sondage récent de l’Institut Angus Reid, environ 56 % des Canadiens ont déclaré que « le mariage n’est tout simplement plus nécessaire » pour former une relation à vie. Presque la même proportion (57 %) a poursuivi en disant que lorsqu’un couple non marié a des enfants, il n’est pas important que le couple se marie.
Plusieurs voix se sont élevées contre cette vision et souvent elles furent celles de gens qui ne sont ni socialement conservateurs ni religieux. Robert Fulford écrivait dans le National Post du 11 mai que « le mariage crée une sorte de mini-État, une république à échelle réduite avec ses propres règles, ses propres secrets et sa propre histoire. Les enfants, citoyens de ce mini-État, en tirent leurs premières notions de la hiérarchie, la finance, la responsabilité et l’ambition. »
Dans Macleans, Peter Shawn Taylor affirmait que le mariage rend plus heureux et plus riche, citant de nombreuses sources pour étayer cette thèse. Nous en reprenons plusieurs dans notre billet ci-dessous.
Enfin, Brian Lee Crowley et Sean Speer ont également prêché les vertus et l’importance du mariage, écrivant dans le Toronto Sun du 10 mai : « les faits montrent que la structure familiale est un facteur déterminant de réussite économique et sociale. »
Lire la suiteLe gouvernement d'Ontario consultera les parents au sujet de l'éducation de leurs enfants
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Si seulement le gouvernement du Québec pouvait être aussi respectueux du rôle qu'ont les parents dans l'éducation de leurs enfants... Toujours est-il que le site du gouvernement d'Ontario nous apprend :
Lire la suite«Une charte des droits des parents sera élaborée par le ministère de l’Éducation et mise en œuvre par l’Ordre des enseignantes et des enseignants de l’Ontario.
[...]
« Nous avons promis de mettre en place un système éducatif qui accordera la priorité aux droits des parents tout en opérant un retour à l'essentiel pour ce qui est de l'enseignement des matières fondamentales comme les mathématiques, a déclaré le premier ministre. Aujourd'hui, nous sommes heureux de vous dire : choses promises, choses dues.»
Dans la confusion la plus totale Justin Trudeau souhaite un joyeux « gay pride » à Allah
Blog d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Source: Horizon Québec Actuel
Justin Trudeau encore pris en flagrant délit de mélanger LGBT et islam. Participant comme à son habitude à une de ces « gay pride », en l’occurrence celle de Toronto, il y a souhaité un « Joyeux “gay pride” à Allah! »
Un Canadien : « Les médecins m’ont refusé des soins de santé et m’ont offert l’euthanasie à la place »
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Le suicide assisté a été légalisé au Canada en 2015 [en 2014 au Québec], et depuis, le nombre de personnes qui choisissent de se suicider a grimpé en flèche chaque année. Mais, de toute évidence, ce n’est pas tout — des gens feraient l’objet de pressions pour qu’ils choisissent l’euthanasie. Roger Foley, 42 ans, est atteint d’une ataxie cérébelleuse, une maladie cérébrale incurable. Foley a besoin d’aide pour ses besoins quotidiens, car sa maladie limite sa capacité à utiliser ses bras et ses jambes. Mais selon Foley, ses médecins n’ont pas voulu lui donner les soins dont il a besoin ; au lieu de cela, affirme-t-il, ils veulent qu’il opte pour le suicide assisté.
Foley a intenté une poursuite contre le Victoria Hospital London Health Sciences Centre, le South West Local Health Integration Network, le Centre for Independent Living in Toronto et le ministre de la Santé et des Soins de longue durée d’Ontario, ainsi que les procureurs généraux de l’Ontario et du Canada, pour avoir légalisé le suicide assisté sans prévoir pour les Canadiens le droit à des soins de santé adéquats s’ils ne veulent pas mourir. Et selon Foley, les soins médicaux qu’il a reçus étaient inférieurs aux normes.
Lire la suiteLes Canadiens s’opposent fortement au prérequis proavortement du programme Emplois d’été Canada
Par CNW
Environ les deux tiers limiteraient également l’avortement aux trois premiers mois de grossesse, au plus.
Ottawa, Ontario, le 9 mai 2018 (CNW) — Les Canadiens sont fortement opposés à la nouvelle exigence en matière d’avortement dans le cadre du programme Emplois d’été Canada (EÉC) et les deux tiers limiteraient également l’avortement au premier trimestre de la grossesse, selon une nouvelle enquête des Chevaliers de Colomb diffusée aujourd’hui [9 mai 2018].
Les résultats sont arrivés au moment où des milliers de personnes se préparent à manifester à Ottawa, jeudi, pour exiger que les lois canadiennes préservent le droit à la vie, et quelques mois après que le gouvernement a annoncé que les subventions à Emplois d’été Canada ne seront accordées qu’aux organismes qui confirment leur position pro-choix dans leur demande.
Selon le gouvernement du Canada, le programme EÉC offre des subventions salariales aux employeurs afin de créer des emplois pour les étudiants des niveaux secondaires et postsecondaires. EÉC accueille les demandes de petites entreprises, d’employeurs sans but lucratif, d’organismes du secteur public et d’organisations confessionnelles qui offrent des emplois d’été de qualité aux étudiants.
Lire la suiteUne femme forcée de partager une chambre avec un transgenre
Par Eric Pilon (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : The National Post/Voici la source de la photo : nancydowd CC0
Elle poursuit un refuge pour atteinte aux droits de la personne alléguant que la situation lui a causé de l’anxiété.
Une Ontarienne a déposé une plainte pour atteinte aux droits de la personne contre un refuge de Toronto pour femmes toxicomanes, alléguant que le personnel l’avait forcée à partager une chambre avec une personne transgenre en période préopératoire.
Kristi Hanna a signalé au Tribunal des droits de la personne de l’Ontario que la présence de la personne transgenre dans la même chambre qu’elle lui avait causé de l’anxiété en plus de lui avoir occasionné un manque de sommeil. Mme Hanna garde des séquelles des abus sexuels dont elle a été victime dans le passé, ainsi que des problèmes résultant de la dépendance à l’alcool et à la cocaïne.
L’Ontarienne a passé sept mois au Jean Tweed Centre, dont deux jours avec la personne transgenre. Étrangement, quand elle a appelé le Centre d’assistance juridique en matière de droits de la personne (CADJP) pour demander conseil, on lui a dit que c’était elle qui avait fait preuve de discrimination pour avoir dit de son chambreur qu’il était un homme. Du côté du refuge, on lui aurait dit que l’endroit était inclusif et qu’elle devait surmonter ses craintes ou partir.
Rappelons que la discrimination en fonction de l’« identité de genre » est interdite au fédéral depuis juin 2017. Selon ce concept central à l’idéologie transgenre, une personne peut être un homme ou une femme comme elle peut s’identifier autrement que comme homme ou comme femme, et ce, sur la simple base de sa déclaration, sans égard pour sa réalité biologique.
Un activiste chrétien accusé de « crime haineux »
Par Lianne Laurence — traduit par Campagne Québec-Vie
TORONTO, 4 juillet 2018 (LifeSiteNews) — L’activiste catholique Bill Whatcott est en liberté sous caution et sans emploi depuis qu’il s’est rendu aux autorités de Calgary le 22 juin, pour faire face à une accusation criminelle, provenant de Toronto, de promouvoir la haine envers « la communauté gaie ».
En mai, le Toronto Police Service a lancé un mandat d’arrêt pancanadien contre Bill Whatcott pour crime haineux, suite à une enquête qui eut lieu pendant deux ans, laquelle était motivée par des plaintes reçues contre lui en 2016.
Whatcott, ainsi que plusieurs autres personnes ont paradé lors du défilé de la fierté 2016 à Toronto. En tant que membres de la « Gay Zombies Cannabis Consumers Association », ils portaient des justaucorps verts et des masques.
Ils ont distribué 3000 pamphlets sur le « Zombie Safe Sex » (Sexe zombie sécuritaire) comportant un message d’avertissement sur les dangers physiques et spirituels de l’activité homosexuelle.
Lire la suiteUniversité Trinity Western : La Cour suprême du Canada réinterprète les lois selon son penchant progressiste
Il y a près d’un mois, la Cour suprême du Canada a statué contre une université chrétienne qui désirait former des avocats. La nouvelle de cet arrêt que nous considérons comme liberticide a fait peu de bruit au Québec. C’est pourquoi nous pensons qu’il est utile de revenir sur celui-ci.
Trinity Western contre les barreaux britanno-colombien et ontarien
La Cour suprême du Canada a statué sur le fait que les barreaux de la Colombie-Britannique et de l’Ontario ont le droit de refuser d’agréer la faculté de droit proposée par l’Université chrétienne Trinity Western (UTW), à cause de son code de conduite jugé discriminatoire envers les homosexuels. Ce code de conduite interdit aux étudiants et au personnel de l’UTW d’utiliser un langage vulgaire ou obscène, d’être ivres, de consommer de la pornographie, de médire des gens ou de s’adonner à des activités sexuelles extra-conjugales ou homosexuelles. Il n’est donc pas « discriminatoire » envers les seuls homosexuels, mais contre toute une série de comportements considérés comme non bibliques.
L’Université Trinity Western est une université chrétienne évangélique privée à Langley, en Colombie-Britannique. La Fédération des ordres professionnels de juristes du Canada a approuvé le programme de droit de l’UTW et a reconnu qu’il respectait les normes universitaires et professionnelles. Les barreaux n’alléguaient donc pas que quelque chose clochait dans le programme juridique de l’UTW, que ses professeurs étaient inaptes, que les étudiants à l’issue de leur cursus ne connaîtraient pas le droit, mais ils prétendaient que le code de vie de UTW est discriminatoire envers la communauté LGBTQ+. Seule cette « communauté » intéressaient les barreaux en question, les hétérosexuels obscènes ou aux mœurs légères ne suscitaient aucun intérêt de leur part.
Lire la suiteDoug Ford annulera le cours de sexualité des libéraux
Par Le Peuple — Voici la ou les sources de cet article : CBC News et The Toronto Star
On reprochait notamment à ce cours d’enseigner aux enfants des concepts plus proches de l’idéologie que de la réalité [très loin de la réalité — CQV].
Mercredi, la ministre de l’Éducation de l’Ontario, Lisa Thompson, a confirmé que le gouvernement progressiste-conservateur de Doug Ford allait remplacer l’actuel cours d’éducation à la sexualité, implanté par les libéraux de Kathleen Wynne en 2015, par une mouture plus ancienne datant de 1998. En campagne électorale, le premier ministre de l’Ontario, Doug Ford, avait promis d’abolir ce cours qui a énormément polarisé les électeurs ontariens.
On lui reprochait notamment d’être trop explicite avec de jeunes enfants, mais aussi d’enseigner des concepts plus proches de l’idéologie que de la réalité. Ainsi, dès la fin de leur primaire, on enseignait aux enfants le concept d’« identité de genre », selon lequel une personne peut être un homme ou une femme comme elle peut s’identifier autrement que comme homme ou comme femme, et ce, sur la simple base de sa déclaration, sans égard pour sa réalité biologique.
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