Une femme forcée de partager une chambre avec un transgenre
Par Eric Pilon (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : The National Post/Voici la source de la photo : nancydowd CC0
Elle poursuit un refuge pour atteinte aux droits de la personne alléguant que la situation lui a causé de l’anxiété.
Une Ontarienne a déposé une plainte pour atteinte aux droits de la personne contre un refuge de Toronto pour femmes toxicomanes, alléguant que le personnel l’avait forcée à partager une chambre avec une personne transgenre en période préopératoire.
Kristi Hanna a signalé au Tribunal des droits de la personne de l’Ontario que la présence de la personne transgenre dans la même chambre qu’elle lui avait causé de l’anxiété en plus de lui avoir occasionné un manque de sommeil. Mme Hanna garde des séquelles des abus sexuels dont elle a été victime dans le passé, ainsi que des problèmes résultant de la dépendance à l’alcool et à la cocaïne.
L’Ontarienne a passé sept mois au Jean Tweed Centre, dont deux jours avec la personne transgenre. Étrangement, quand elle a appelé le Centre d’assistance juridique en matière de droits de la personne (CADJP) pour demander conseil, on lui a dit que c’était elle qui avait fait preuve de discrimination pour avoir dit de son chambreur qu’il était un homme. Du côté du refuge, on lui aurait dit que l’endroit était inclusif et qu’elle devait surmonter ses craintes ou partir.
Rappelons que la discrimination en fonction de l’« identité de genre » est interdite au fédéral depuis juin 2017. Selon ce concept central à l’idéologie transgenre, une personne peut être un homme ou une femme comme elle peut s’identifier autrement que comme homme ou comme femme, et ce, sur la simple base de sa déclaration, sans égard pour sa réalité biologique.
Un activiste chrétien accusé de « crime haineux »
Bill Whatcott avec un de ses dépliant.
Par Lianne Laurence — traduit par Campagne Québec-Vie
TORONTO, 4 juillet 2018 (LifeSiteNews) — L’activiste catholique Bill Whatcott est en liberté sous caution et sans emploi depuis qu’il s’est rendu aux autorités de Calgary le 22 juin, pour faire face à une accusation criminelle, provenant de Toronto, de promouvoir la haine envers « la communauté gaie ».
En mai, le Toronto Police Service a lancé un mandat d’arrêt pancanadien contre Bill Whatcott pour crime haineux, suite à une enquête qui eut lieu pendant deux ans, laquelle était motivée par des plaintes reçues contre lui en 2016.
Whatcott, ainsi que plusieurs autres personnes ont paradé lors du défilé de la fierté 2016 à Toronto. En tant que membres de la « Gay Zombies Cannabis Consumers Association », ils portaient des justaucorps verts et des masques.
Ils ont distribué 3000 pamphlets sur le « Zombie Safe Sex » (Sexe zombie sécuritaire) comportant un message d’avertissement sur les dangers physiques et spirituels de l’activité homosexuelle.
Lire la suiteUniversité Trinity Western : La Cour suprême du Canada réinterprète les lois selon son penchant progressiste
Il y a près d’un mois, la Cour suprême du Canada a statué contre une université chrétienne qui désirait former des avocats. La nouvelle de cet arrêt que nous considérons comme liberticide a fait peu de bruit au Québec. C’est pourquoi nous pensons qu’il est utile de revenir sur celui-ci.
Trinity Western contre les barreaux britanno-colombien et ontarien
La Cour suprême du Canada a statué sur le fait que les barreaux de la Colombie-Britannique et de l’Ontario ont le droit de refuser d’agréer la faculté de droit proposée par l’Université chrétienne Trinity Western (UTW), à cause de son code de conduite jugé discriminatoire envers les homosexuels. Ce code de conduite interdit aux étudiants et au personnel de l’UTW d’utiliser un langage vulgaire ou obscène, d’être ivres, de consommer de la pornographie, de médire des gens ou de s’adonner à des activités sexuelles extra-conjugales ou homosexuelles. Il n’est donc pas « discriminatoire » envers les seuls homosexuels, mais contre toute une série de comportements considérés comme non bibliques.
L’Université Trinity Western est une université chrétienne évangélique privée à Langley, en Colombie-Britannique. La Fédération des ordres professionnels de juristes du Canada a approuvé le programme de droit de l’UTW et a reconnu qu’il respectait les normes universitaires et professionnelles. Les barreaux n’alléguaient donc pas que quelque chose clochait dans le programme juridique de l’UTW, que ses professeurs étaient inaptes, que les étudiants à l’issue de leur cursus ne connaîtraient pas le droit, mais ils prétendaient que le code de vie de UTW est discriminatoire envers la communauté LGBTQ+. Seule cette « communauté » intéressaient les barreaux en question, les hétérosexuels obscènes ou aux mœurs légères ne suscitaient aucun intérêt de leur part.
Lire la suiteDoug Ford annulera le cours de sexualité des libéraux
Douglas Robert Ford Junior (Doug Ford), premier ministre d’Ontario.
Par Le Peuple — Voici la ou les sources de cet article : CBC News et The Toronto Star — Source de la photo : CC Search/Auteur : Stan Behal (Toronto Sun)
On reprochait notamment à ce cours d’enseigner aux enfants des concepts plus proches de l’idéologie que de la réalité [très loin de la réalité — CQV].
Mercredi, la ministre de l’Éducation de l’Ontario, Lisa Thompson, a confirmé que le gouvernement progressiste-conservateur de Doug Ford allait remplacer l’actuel cours d’éducation à la sexualité, implanté par les libéraux de Kathleen Wynne en 2015, par une mouture plus ancienne datant de 1998. En campagne électorale, le premier ministre de l’Ontario, Doug Ford, avait promis d’abolir ce cours qui a énormément polarisé les électeurs ontariens.
On lui reprochait notamment d’être trop explicite avec de jeunes enfants, mais aussi d’enseigner des concepts plus proches de l’idéologie que de la réalité. Ainsi, dès la fin de leur primaire, on enseignait aux enfants le concept d’« identité de genre », selon lequel une personne peut être un homme ou une femme comme elle peut s’identifier autrement que comme homme ou comme femme, et ce, sur la simple base de sa déclaration, sans égard pour sa réalité biologique.
Lire la suiteL’élection de Doug Ford : un regain d’espoir ?
Douglas Robert Ford Junior (Doug Ford), Premier ministre d'Ontario.
Par Paul-André Deschesnes
Le nouveau premier ministre de l’Ontario, Doug Ford, a annoncé officiellement après son élection en juin 2018 trois bonnes nouvelles qui avaient semé la controverse en campagne électorale.
- Le nouveau cours d’éducation sexuelle en vigueur depuis quelques années dans toutes les écoles primaires et secondaires de cette province du Canada sera aboli.
- Le gouvernement conservateur de l’Ontario ne subventionnera plus le gros défilé de la fierté gaie de Toronto.
- Doug Ford ne participera pas, contrairement à la tradition, aux défilés et aux activités de la communauté LGBTQR2 de Toronto. [et il n'y a pas participer.]
Le gouvernement conservateur de l’Ontario, qui vient d’être élu fortement majoritaire, est un « méchant » gouvernement de droite. La gauche ontarienne hurle à tue-tête. Les communautés issues de l’immigration, les migrants clandestins, les réfugiés de tout acabit et les musulmans sont sous le choc. Le gouvernement fédéral gauchiste, moderniste, socialiste, incompétent et irresponsable de Justin Trudeau tremble de frayeur ; en effet, il y aura une élection fédérale au Canada en octobre 2019 et, actuellement, les derniers sondages prédisent une victoire du Parti conservateur du Canada.
Est-ce possible qu’une importante partie de la population commence à se rendre compte que les politiques de nos gouvernements de gauche qui se sont succédé depuis deux ou trois décennies en Occident sont un désastre à tous les points de vue : économique, social, moral, judiciaire, sans oublier le chaos en santé et en éducation.
En terminant, il faut rappeler que tous ces gouvernements très populaires de gauche qui nous ont fait de nombreux cadeaux empoisonnés (avortement, euthanasie, légalisation des drogues et de la prostitution, cours de perversion sexuelle dans nos écoles publiques, abolition des frontières, diabolisation de notre histoire et de notre passé, etc.) sont de plus en plus contestés en Occident, au Canada et même au Québec.
Avant de heurter le mur, le bon peuple semble se réveiller. La province de l’Ontario, la plus populeuse du Canada, a compris. Espérons que ce ne soit pas un feu de paille. Les idéologies athées et les philosophies de gauche, dites postmodernes, indiscutables, incontournables et inchangeables agonisent.
On a semé le vent. On a récolté la tempête. On commence peut-être à se réveiller collectivement.
Des parents refusent d’avorter un bébé « miracle » ; maintenant, c’est un garçon en santé de six ans
L’enfant sur la photo n’est pas Kaito Kryvenchuck.
Par Mark Hodges — traduit par Campagne Québec-Vie
Toronto, Canada, 3 janvier 2018 (LifeSiteNews) — Les experts médicaux insistaient pour dire que l’avortement était la seule option pour Kaito Kryvenchuk, qui était horriblement déformé.
Une échographie à 17 semaines avait révélé qu’il avait une énorme tumeur, plus grosse que sa tête, attachée à son cou et à sa mâchoire, jusqu’à son oreille. Il semblait vraiment avoir deux têtes.
Non seulement la tumeur bénigne menaçait la vie de Kaito à cause de sa taille, mais les incapacités qui en résulteraient étaient imprédictibles. La masse était si grosse que le garçon n’aurait pas été capable de respirer. Seulement un bébé sur 50 000 avec une tumeur semblable survit.
Les obstétriciens disaient que les hôpitaux canadiens ne pratiquent simplement pas de tels accouchements. Les médecins avaient dit aux parents de Kaito, Charles et Tamami, que la meilleure chose à faire, la plus compatissante, était de l’avorter et d’essayer à nouveau d’avoir un enfant viable.
Lire la suiteDoug Ford : nous abrogerons le nouveau programme d’éducation à la sexualité
Douglas Robert Ford Junior (Doug Ford), premier ministre d'Ontario.
La position de [Doug] Ford sur le programme d’éducation à la sexualité imposé par le Parti libéral de l’Ontario (PLO) a contribué à le propulser à la tête du PC. Il sera sous la pression de cette base pour respecter sa promesse électorale de revenir au programme d’éducation sexuelle de la fin des années 1990 « jusqu’à ce que nous puissions mettre en œuvre un nouveau qui soit adapté aux besoins des parents. »
Interrogé sur le programme d’études vendredi, Ford n’a pas défini de calendrier.
« Je peux vous dire une chose : nous l’abrogeons », a déclaré Ford. « Et je vais vous dire une autre chose : nous tenons nos promesses, ce que nous disons que nous allons le faire, nous allons le faire, nous n’allons pas tourner casaque. »
Source : Yahoo
Doug Ford à la tête d’un gouvernement majoritaire en Ontario
Doug Ford, premier ministre d’Ontario.
Par Le Peuple — Sources de l’article : La Presse, CBC, Facebook n˚1/Source de la photo : Bruce Reeve, Flickr, CC BY-SA 2.0
Les conservateurs ont obtenu environ 40,5 % du vote ; les néo-démocrates, 33,7 % ; et les libéraux, 19,5 %.
En Ontario, le Parti libéral de Kathleen Wynne a mordu la poussière alors que le Parti progressiste-conservateur de Doug Ford a été élu. Le nouveau premier ministre de la province sera même à la tête d’un gouvernement majoritaire. Les conservateurs ont obtenu environ 40,5 % du vote ; les néo-démocrates, 33,7 %, et les libéraux, 19,5 %.
Mme Wynne a annoncé sa démission comme chef du Parti libéral. « J’ai demandé au président du parti de lancer le processus pour nommer un chef intérimaire. [...] Il y a une nouvelle génération et je passe le flambeau à cette génération », a-t-elle déclaré à ses partisans.
Mme Wynne était devenue hautement impopulaire auprès des Ontariens, entre autres à cause de sa mauvaise performance sur le plan économique, de scandales liés à la compagnie d’hydro-électricité de la province et de sa décision d’introduire un cours de sexualité dès l’école primaire. En outre, elle a été critiquée pour sa campagne tribaliste où elle a notamment porté le hijab pour séduire les musulmans et appelé les jeunes à voter afin de contrer le vote des personnes âgées et « blanches ».
Lire la suiteUne militante proavortement a mensongèrement déclaré qu’on l’avait attaquée pour ses convictions
Par Calvin Freiburger — traduit par Campagne Québec-Vie
Kitchener, Ontario, 5 avril 2018 (LifeSiteNews) — La police a déposé une accusation de méfait public à l’encontre d’une militante pro-choix reconnue coupable d’avoir inventé qu’elle s’était faite attaquer […]
En mars dernier, une femme non identifiée originaire de Kitchener et âgée de 41 ans a déclaré aux autorités qu’un homme l’avait traitée de « meurtrière » et lui avait jeté un seau de peinture rouge aux abords du Tim Hortons situé à l’angle de Charles Street et de Borden Avenue, rapporte CBC News. La femme participait à des rassemblements locaux proavortement et a déclaré avoir été harcelée plusieurs fois déjà en raison de sa position, ajoute le Record.
Cependant, à la suite d’une enquête, la police a conclu que les déclarations étaient fausses.
« À l’issue des investigations, les détectives ont conclu que l’agression n’avait pas eu lieu », a annoncé ce mercredi [4 mai 2018] le porte-parole de la police régionale de Waterloo, Cherri Greeno.
Lire la suiteEuthanasie : Roger Foley, cet handicapé à qui l’on propose la mort médicalement assistée…
Photo : capture d'écran d'un vidéo de ctvnews.ca
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
Avis à ceux qui pensaient que l’euthanasie, c’est pour les malades en phase terminale qui souffrent trop pour envisager de vivre. C’est du Canada, où l’euthanasie et le suicide assisté sont de légalisation récente, que nous vient cette histoire exemplaire d’un homme qui ne demande rien d’autre que d’être soigné comme il le souhaite, et à qui l’on ne propose, dit-il, que deux options, tout en le menaçant de devoir payer son long séjour à l’hôpital à raison de 1 800 dollars canadiens par jour : retourner chez lui pour être confié à un organisme de soins à domicile qu’il récuse, ou obtenir une mort médicalement assistée. C’est évidemment celle-ci, la solution la moins chère pour régler le cas de Roger Foley, et c’est donc une proposition économique. Et sans doute, avant tout, un moyen de chantage. Mais tout de même…
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