Mère Teresa : « Le plus grand destructeur de la paix est l’avortement »
Sainte Mère Teresa de Calcutta.
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (capture d'écran) : Evert Odekerken/Wikimédia Commons
« Le plus grand destructeur de la paix est l’avortement, car si une mère peut tuer son propre enfant, que reste-t-il pour m’empêcher de vous tuer et vous de me tuer ? » — Mère Teresa, d'après le compte Twitter de la March for Life.
Et c’est selon cette compréhension de l’avortement, qu'il enlève toute barrière morale à ceux qui sont pour, que nous marcherons pacifiquement pour la Vie à Ottawa le 9 mai prochain, contre l’avortement, ce destructeur des sociétés et de la paix, ce péché versant le sang innocent qui crie vers le ciel. Mère Teresa avait participé à la Marche pour la Vie de 1988.
Venez nombreux à la Marche pour la Vie, nous organisons plusieurs autobus pour amener à Ottawa les pro-vie désireux de montrer au gouvernement canadien et au reste du Canada que l’avortement est inacceptable.
Des Canadiens protestent contre la piastre célébrant la décriminalisation des actes homosexuels
Des membres de CitizenGO protestant contre le « huard gai » devant l'Hôtel royal canadien de la Monnaie, à Ottawa, le 12 avril 2019.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : CitizenGo/Facebook
Le gouvernement canadien, ayant à sa tête Justin Trudeau (digne fils de son père), émettra bientôt des piastres « gaies » représentant sur le côté pile un duo d’homosexuels. Le pauvre huard sera remplacé sur ces pièces par une face (composée de deux faces) créant ainsi le un dollar à deux faces… De l’argent bien menteur.
Des Canadiens ont protesté le 12 avril devant l’Hôtel de la Monnaie royale à Ottawa pour montrer leur désaccord avec cette propagande LGBT et la honte que représente la piastre « gaie » pour notre pays. Extrait de LifeSiteNews :
Les Canadiens ont manifesté à Ottawa le 12 avril, devant l’Hôtel de la Monnaie royale contre une nouvelle pièce de monnaie qui sera émise au cours des prochaines semaines pour commémorer la décriminalisation des actes sexuels homosexuels.
L’organisateur CitizenGO a publié le 11 avril une déclaration dans laquelle il annonçait avoir recueilli plus de 48 000 signatures à l’appui de sa « demande à l’Hôtel de la Monnaie d’annuler l’émission de cette pièce de un dollar ». Au milieu de l’après-midi le 12 avril, cependant, plus de 49 563 personnes avaient signé.
[...]
Le gouvernement actuel, dirigé par Justin Trudeau, a approuvé la pièce le 14 décembre 2018.
Selon la Radio-Canada, le dessin est un « .... représentation stylisée de deux visages humains se chevauchant dans un grand cercle, la moitié gauche de la face gauche vue de face et la face droite de profil à gauche, les deux faces formant un visage entier vu de face composé de deux yeux avec sourcils, un nez, une bouche et deux oreilles avec une petite boucle à l’oreille gauche... »
Il est entendu que les deux visages humains appartiennent à un « couple »* du même sexe.
La pièce mettra aussi en valeur l’année « 1969 », lorsque les actes homosexuels privés ont été décriminalisés par le gouvernement dirigé par le père de Trudeau, Pierre Trudeau, et « 2019 ».
Le mot « égalité » en français et en anglais sera
inclus, de même que les initiales de l’artiste, actuellement connues sous l’acronyme « RA »
*Parenthèses rajoutées — A. H.
L'histoire de Jessica : Endoctrinement à l'école
Par Jeff Gunnarson, président de Campaign Life Coalition — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Ecole polytechnique/Flickr
Le 24 mars 2019
Cher sympathisant,
Le mois dernier, nous avons lancé une nouvelle pétition pour contrer une tendance à laquelle un nombre croissant de conseils scolaires au Canada semblent se conformer, ordonnant à chaque école de leur district d'arborer le drapeau de la « fierté » homosexuelle pour le mois de juin.
Cela comprend les écoles primaires dans certains districts.
Campaign Life Coalition a par la suite été contactée par la mère d'une étudiante chrétienne qui a raconté comment sa fille avait été négativement affectée par l'activisme homosexuel de son école l'été dernier.
Sa fille, que nous appellerons Jessica, était alors en Grade 8 [secondaire 2] dans une école publique de la région du Grand Toronto qui a été obligée par le conseil scolaire de arborer le drapeau gai pendant tout le mois de juin.
Jessica se sentait effrayée et stressée d'être forcée de participer à une cérémonie obligatoire de levée du drapeau de la fierté gaie qui contredisait ses croyances chrétiennes.
Plus de 1 000 élèves et enseignants ont été contraints d'y participer.
Lire la suiteGenre neutre sur les permis : au tour de la Saskatchewan de céder devant les groupes de pression transgenre
Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Global News et The Globe and Mail/Voici la source de la photo : Pixnio
Les résidents de cette province canadienne n’auront plus à indiquer leur sexe sur leur permis de conduire.
À partir de maintenant, les personnes vivant en Saskatchewan n’auront plus à indiquer leur sexe sur leur permis de conduire. Ce serait par souci de se montrer plus « inclusive », nous dit-on, que la Saskatchewan Government Insurance (SGI), soit la société d’État qui délivre les permis de conduire dans cette province, aurait pris cette décision.
« Nous reconnaissons que certains de nos clients espèrent éviter de s’identifier en tant que femme, homme ou n’importe quel genre sur leurs pièces d’identité » a déclaré la porte-parole de l’organisation Penny McCune. Elle a ajouté que « les clients avaient maintenant la flexibilité de désigner leur sexe sur leur pièce d’identité avec un F ou un M, ou encore de choisir une option non sexuée en inscrivant un X ».
La Saskatchewan rejoint ainsi l’Alberta, l’Ontario, et Terre-Neuve-et-Labrador, trois autres provinces canadiennes qui autorisent également les résidents à ne pas indiquer leur genre sur leur permis de conduire. Rappelons d’ailleurs qu’un tribunal de la Saskatchewan avait forcé le gouvernement provincial en mai dernier à permettre aux personnes nées sur son territoire de retirer le genre de leur certificat de naissance.
Promesse non tenue : L’éducation sexuelle ontarienne continuera d’enseigner aux enfants « l’identité sexuelle »
Doug Ford, Premier ministre d'Ontario.
Par Calvin Freiburger — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : HiMY SYeD/Flickr
Toronto, le 15 mars 2019 (LifeSiteNews) — La ministre de l’Éducation de l’Ontario, Lisa Thompson, a annoncé vendredi que le gouvernement instaurera un programme d’éducation sexuelle qui exposera les enfants aux questions de l’« identité sexuelle » et du « consentement » ; les pro-famille ont considéré cette annonce comme constituant « une promesse rompue ».
« Notre plan modernisera les salles de classe, protégera l’avenir de notre système d’éducation et veillera à ce que les élèves d’Ontario acquièrent les compétences dont ils ont besoin pour réussir leur vie, leur famille et leur entreprise ici même en Ontario », a déclaré M. Thompson lors d’une conférence de presse à Toronto, selon le National Post.
La loi fait passer de 22 à 28 le nombre maximal d’élèves par classe dans les écoles secondaires, interdit les téléphones cellulaires en classe et comprend un nouveau programme de mathématiques. Mais ses éléments les plus controversés sont ses dispositions prévues pour l’enseignement du « consentement » en 2e et 3e année et de l’« identité sexuelle » en 8e année. Des leçons sur l’abstinence, le cannabis et l’image corporelle seront également enseignées.
Pour répondre aux préoccupations des parents, la province a déclaré que les parents seraient en mesure de retirer leurs enfants des leçons d’éducation sexuelle, mais que le programme d’études complet ne sera pas disponible pour examen avant sa publication prévue en mai. Il est prévu qu’il entre en vigueur en septembre.
Lire la suiteDes écoles obligées d’arborer le drapeau LGBT
Lettre de Jeff Gunnarson, Président national de Campaign Life Coalition — traduit par Campagne Québec-Vie
Cher sympathisant,
Le programme LGBT pour les écoles publiques est en train d'être mis en œuvre agressivement, une toute nouvelle stratégie d’endoctrinement dans le domaine de l’école, visant les enfants dès le plus jeune âge.
Tel que rapporté dans le Windsor Star, le Greater Essex County District School Board d’Ontario a voté le 19 février pour forcer toutes les écoles élémentaires [de son district] à arborer le drapeau de la fierté homosexuelle pendant au moins une semaine au mois de juin, lorsque le « mois de la fierté gaie » est célébré.
Comme le rapporte LifeSiteNews, cette stratégie d’endoctrinement public est mise en œuvre dans les conseils scolaires partout au pays.
Dès l’âge de 4 ans, à la maternelle, les enfants verront le drapeau de la fierté gaie flotter au-dessus de leur tête lorsqu’ils entreront dans l’école.
De plus, nous savons que, très souvent, tout le corps étudiant est obligé de sortir pour une cérémonie du lever du drapeau, au cours de laquelle les enfants se font apprendre à accepter et à célébrer l’homosexualité, le transgenrisme et toutes les identités sexuelles poussées par le lobby LGBT, qu’ils le veuillent ou non.
Lire la suiteDoug Ford ébranle les rangs des syndicats étudiants
Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Le Soleil et The Nectarine / Voici la source de la photo : Andrew Scheer/Flickr
Selon le Premier ministre de l’Ontario, les groupes d’étudiants pratiquent des « absurdités marxistes insensées ».
Doug Ford, Premier ministre ontarien, n’a pas froid aux yeux quand vient le temps de s’attaquer à la gauche radicale. Alors qu’il rappelait que son gouvernement avait modifié certaines obligations en matière de frais de scolarité, M. Ford n’a pas hésité à déclarer que les syndicats étudiants pratiquent des « absurdités marxistes insensées ». C’est dans un courriel destiné à recueillir des dons pour le Parti progressiste-conservateur qu’il a fait ce commentaire.
Dans sa missive intitulée « À quel point le système d’éducation était-il brisé ? », le Premier ministre ontarien a déploré que les étudiants eussent été contraints « de se syndiquer et de payer pour ces syndicats ». Ce faisant, il estime qu’il est tout à fait légitime de laisser le choix aux principaux intéressés d’effectuer des contributions à ces groupes étudiants plutôt que de les forcer à payer une cotisation.
Sans surprise, cette sortie a fait réagir des groupes d’étudiants et des politiciens de l’opposition, lesquels ont accusé M. Ford de réformer le système d’éducation pour des raisons politiques.
Le gouvernement de l’Ontario a entre autres diminué les frais de scolarité de 10 % tout en annulant un programme donnant accès à une « éducation gratuite » aux personnes disposant de peu de moyens.
Les Services à l'enfance d'Ontario refusent un couple pour l'adoption, en raison de leurs croyances chrétiennes
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : a4gpa/Flickr
Le couple qui voulait adopter avait répondu à une question sur leur foi que oui, il croyait à toute la Bible. Puis la travailleuse sociale les questionnant avait fait incidemment remarquer au couple que son fils à elle était « gai », ce à quoi le couple a répondu que le comportement homosexuel était un péché, mais qu'ils s'occuperaient néanmoins avec bienveillance de tout enfant dont ils auraient la charge. Extrait de LifeSiteNews :
Le Justice Centre for Constitutional Freedoms (JCCF.ca) a envoyé une lettre de mise en demeure au Simcoe Muskoka Child, Youth and Family Services ("Child Services") lui demandant d'annuler sa décision de rejeter la demande d'un couple aimant cherchant à devenir parent adoptif.
En novembre 2017, le couple « L » et « A », qui souhaitent garder l'anonymat, s'était proposé pour adopter. Ils avaient commencé la formation requise en janvier 2018 et l'ont terminée en mars. Une fois la formation terminée, un travailleur social des Services à l'enfance a questionné le couple.
Le travailleur social a posé des questions à L au sujet de ses croyances religieuses, y compris si son église « croyait toujours en certaines des parties les plus dépassées de la Bible ». Il a répondu que son église croyait et adhère à toute la Bible. La travailleuse sociale a ensuite déclaré que son fils est gai et que ces églises lui avaient dit dans le passé que l'homosexualité était un péché. L a expliqué que bien que la Bible identifie le comportement homosexuel comme un « péché », il croyait que tous les gens sont créés à l'image de Dieu et sont dignes de respect, dignité et honneur. Il a en outre expliqué que, conformément à leurs croyances, lui et sa femme fourniraient à tout enfant dont ils s'occupent un amour, un respect et une compassion inconditionnels [...]
Le couple n'a eu aucune nouvelle des Services à l'enfance pendant les six mois suivants. Puis, le 24 octobre 2018, ils ont reçu une lettre des Services à l'enfance les informant de leur décision de rejeter leur proposition comme famille adoptive.
Une manifestation le 20 février pour demander au premier ministre d'Ontario d'abroger le programme d'éducation sexuelle
Doug Ford.
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Bruce Reeve/Flickr/Wikimedia Commons
Quand le gouvernement Ford retirera-t-il le programme d'éducation sexuelle instauré par le gouvernement libéral de Kathleen Wynne ? c'est ce que se demandent avec inquiétude les parents d'Ontario. Extrait de LifeSiteNews :
Une coalition populaire ontarienne de défense des droits parentaux appelle ses partisans à se rassembler au Queen's Park le 20 février pour exiger que le premier ministre Doug Ford tienne sa promesse d'abroger le programme d'éducation sexuelle.
Canadian Family Alliance (CFA) [Alliance de la famille canadienne], un groupe de coordination représentant 200 000 Ontariens, organise ce rassemblement de deux heures en milieu de semaine, à l'heure du dîner, alors que les plans d'abrogation de M. Ford pour l'éducation sexuelle font toujours l'objet d'attaques continues.
L'été dernier, Ford avait promis, lors de la campagne électorale, qu'un gouvernement progressiste-conservateur abrogerait le programme d'éducation sexuelle radical que le gouvernement libéral de Kathleen Wynne a mis en place en 2015, malgré une opposition sans précédent des parents.
La CFA a été fondée pour combattre cette éducation sexuelle qui détruit l'innocence des enfants [...]
Mais au cours des huit mois qui se sont écoulés depuis la victoire écrasante de Ford en juin, « pratiquement rien n'a été abrogé », affirme Tanya Granic Allen, présidente de Parents As First Educators (PAFE) [Parents premiers éducateurs], un groupe membre de la CFA.
Les parents doivent exiger à M. Ford et son gouvernement « faîtes ce que vous avez promis ». Vous avez dit que vous alliez l'abroger. Abrogez-le », a-t-elle déclaré à LifeSiteNews.
De plus, les parents ne savent peut-être pas que le programme d'abrogation de M. Ford « est attaqué par les forces pour la sexualisation des enfants, aussi bien dans son parti qu'en dehors », a déclaré Jack Fonseca, directeur des opérations politiques de Campaign Life Coalition, un autre groupe membre de la FCA.
Liberté d’expression bonifiée dans les collèges de l’Ontario
Par Eric Pilon (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : The Nectarine et The Globe and Mail/Voici la source de la photo (rognée) : maura24/Pixabay
Ces nouvelles balises permettront aux personnes ayant des vues chrétiennes de s’exprimer, les collèges et universités étant obligés de ne pas laisser que les seuls tenants des diverses théories mal fagotés, comme la théorie du genre, de discourir, ou de faire respecter les personnes avançant des idées contraire à celle de la meute hurlante. Je ne sais pas si les balises sont des meilleurs, mais en attendant cela vaut mieux que la censure exclusive de la vérité. — CQV
Les collèges ont établi une nouvelle politique qui doit permettre une plus grande diversité d’opinion sur les campus.
Les collèges de l’Ontario n’ont pas mis de temps à fixer de nouvelles balises sur la liberté d’expression. En août dernier, le Premier ministre de la province, Doug Ford, avait donné jusqu’au 1er janvier 2019 aux établissements d’études supérieures de la province « pour élaborer, mettre en œuvre et appliquer une politique en matière de liberté d’expression répondant à une norme minimale prévue par le gouvernement et fondée sur les meilleures pratiques du monde entier ».
Les établissements sont donc retournés à la planche à dessin et les collèges ont été les premiers à annoncer qu’ils avaient mis au point une nouvelle politique définissant la liberté d’expression comme « le droit de parler, d’écrire, d’écouter, de contester et d’apprendre ».
Cette politique, qui sera rendue publique lundi prochain, s’appliquera aux 24 collèges de la province. Elle stipule qu’il doit être possible sur les campus d’explorer des idées « controversées », même si elles entrent en conflit avec les points de vue des membres de la communauté. Elle précise, toutefois, que tout discours qui enfreint la loi et le Code des droits de la personne de l’Ontario ne sera pas autorisé.
Le gouvernement Ford avait laissé entendre, en août, que les établissements qui manqueraient à l’obligation de se conformer aux nouvelles mesures sur la liberté d’expression seraient sujets à des sanctions financières par le biais d’une réduction des subventions. Il reste maintenant aux universités à annoncer leurs nouvelles couleurs. Il y a fort à parier que le gouvernement fera face à un peu plus de résistance de ce côté.