Des transgenres dans les prisons pour femmes… au Canada
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Et plusieurs de ces criminels auraient déjà importuné des détenues, harcèlement et agressions sexuels. Et c’est grâce aux libéraux, qui ont adopté la loi C-16 rajoutant au Code des droits de l’homme du Canada « l’identité de genre » et « l’expression de genre », que l’on place des transgenres (des hommes qui se prétendent femmes dans ce cas) dans les prisons pour femmes. Selon LifeSiteNews :
Le Service correctionnel du Canada (SCC) transfère tranquillement certains des criminels les plus notoires et les plus violents du pays dans les prisons pour femmes parce qu’ils prétendent être « femmes ».
L’ancienne détenue et défenseur des droits des détenus, Heather Mason, a déclaré la semaine dernière à Brad Hunter du Toronto Sun que les criminels logés avec des femmes comprennent le pédophile en série Matthew « Madilyn » Harks (qui serait apparemment libéré) ; le tueur à gages Fallon Aubee ; le meurtrier et violeur d’enfants « Tara » Desousa (autrefois Adam Laboucane) ; John « Jamie » Boulachanis, meurtrier ; et Patrick « Tara » Pearsall, coupable de crimes sexuels en série.
De plus, sur Facebook en juin 2019, Mason révèle que le SCC est implicitement conscient du danger que ces hommes représentent pour les détenues, rapporte Karen Finlay dans womenarehuman.com en octobre 2019.
Mason écrivait qu’une détenue du Grand Valley Institute en Ontario, l’un des six pénitenciers fédéraux pour femmes du Canada, lui a dit au téléphone que le personnel médical « distribuait la pilule du lendemain » aux détenues.
« Ils ont actuellement trois détenues transgenres ici et j’utilise le terme trans de façon laxiste parce qu’ils disent ouvertement aux détenues qu’ils ne sont pas vraiment trans. Ils ne sont à GVI que pour avoir des rapports sexuels avec les femmes », soulignait-elle.
Les Chevaliers de Colomb érige une stèle commémorative aux bébés avortés: on les accuse de jeter «l'opprobre aux femmes»
Stèle funéraire à l'intention des enfants à naître avortés dans le cimetière de St James à Belleville, en Ontario.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Twitter
Un conseil des Chevaliers de Colomb dresse tranquillement, dans le cimetière catholique de St James, une stèle funéraire commémorative en l’honneur des enfants à naître tués par l’avortement¹ et… après avoir mis sur Facebook des photos de ce monument, reçoit quelques centaines de réactions négatives, est l’objet d’une manifestation et d’articles de journaux. Notons quand même que la grande majorité des réactions sur les réseaux [a]sociaux² étaient positives. D’après LifeSiteNews :
Lire la suiteUn monument commémoratif des Chevaliers de Colomb récemment érigé pour les victimes de l'avortement dans un cimetière catholique canadien a été la cible d'une réaction négative dans les médias sociaux et d'accusations selon lesquelles un « groupe patriarcal » jetterait l'opprobre aux femmes, une affaire qui a attiré l'attention dans du canada entier.
Le Conseil 1008 des Chevaliers de Colomb de Belleville en Ontario, une ville d'environ 50 700 habitants située dans la baie de Quinte dans le sud de l'Ontario, a affiché des photos sur Facebook, au début de novembre, de certains de ses membres debout près d'une stèle funéraire noire du cimetière catholique de St James.
Les trois photos sans notes sont devenues virales et « ont suscité près de 1 800 commentaires et plus de 3 410 réactions ». 66 % des gens ont réagi aux images par un "Haha"³ ou un "J'aime"³, tandis qu'environ 20 % ont réagi avec un "Faché"³ », rapporte le National Post.
« Incroyable, non ? » écrivait Linda MacKenzie-Nicholas sur Facebook.
Le Conseil scolaire catholique du district de Toronto insère le langage LGBT dans son code de conduite
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Lianne Laurence/LifeSiteNews
Ce nouveau rajout avait été précédemment rejeté avec succès au niveau d’un sous-comité de ce conseil scolaire, par quatre voix contre une, mais cela ne l’empêchait pas d’être éligible à l’attention du conseil, se faisant donc rajouter vendredi dans le code de conduite. Selon LifeSiteNews :
Le Conseil scolaire catholique du district de Toronto a voté tôt vendredi matin pour ajouter l’« identité de genre » et l’« expression du genre » à son code de conduite.
[...]
Les administrateurs du Conseil scolaire catholique du district de Toronto ont voté par huit voix contre quatre pour ajouter des termes comme « état matrimonial, situation familiale » au code, qui régit les élèves et les enseignants. Le Conseil scolaire catholique du district de Toronto est l’un des plus grands conseils scolaires au Canada comptant plus de 90 000 élèves.
Selon la mise à jour de la politique, « tous les membres de la communauté scolaire doivent respecter et traiter les autres de façon équitable, sans égard, par exemple, à la race, l’ascendance, le lieu d’origine, la couleur, l’origine ethnique, la citoyenneté, la croyance, le sexe, l’orientation sexuelle, l’identité de genre, l’expression du genre, l’âge, l’état matrimonial, la situation familiale, ou un handicap ».
[...]
Selon un rapport du Conseil scolaire catholique du district de Toronto, soumis juste avant la rencontre, l’archidiocèse de Toronto a approuvé l’ajout de ces termes à condition qu’ils soient « interprétés à travers la lentille de la foi catholique ».
Il est regrettable que ce conseil scolaire ait adopté de tels termes, inutiles d’ailleurs au bon fonctionnement et à l’ordre de l’organisme, car, en faisant siennes les définitions insensées de l’idéologie LGBT dans son code, elle capitule devant cette idéologie perverse, lui reconnaissant une place en elle. Il est déplorable que l’archidiocèse de Toronto ait approuvé ce rajout…
Un professeur dit à sa classe que « les filles ne sont pas réelles, et les garçons ne sont pas réels »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : PxHere
Le Justice Centre for Constitutional Freedoms (JCCF) a déposé une requête auprès du Tribunal des droits de l’homme d’Ontario, pour le compte d’une petite fille et de sa mère, à l’encontre de la Commission scolaire du district d’Ottawa-Carleton. Le professeur de la petite fille (nommée NB dans l’article du JCCF) avait, entre autres, dit à sa classe « les filles ne sont pas réelles, et les garçons ne sont pas réels », ce qui a fortement troublé la petite fille, selon le JCCF :
Cette affaire a beaucoup retenu l’attention des médias, notamment dans les chroniques de Barbara Kay (ici et ici) et de Jordan Peterson, professeur de psychologie à l’Université de Toronto.
Au début de l’année 2018, le NB était une élève de 6 ans dans une classe de première année confiée à l’enseignant « JB ». Celui-ci montra à la classe une vidéo YouTube intitulée « He, She, and They?!? — Gender : Queer Kid Stuff #2" (Lui, elle et eux ?!? — genre : enfant queer matériel n° 2). La vidéo contenait un certain nombre de déclarations sur l’identité de genre et affirmait que « certaines personnes ne sont pas des garçons ou des filles » et que ceux qui ne se sentent pas comme une « elle » ou un « il » pourrait ne pas avoir de genre. Afin de déterminer qui est une fille ou un garçon — ou aucun des deux, débitait la vidéo, tout ce que vous avez à faire est de demander à quelqu’un son pronom.
Lors d’une autre occasion, JB dessina une échelle des genres au tableau et demanda à chaque élève de déterminer où ils se situaient sur cette échelle. NB indiqua qu’elle se trouvait à l’extrémité la plus éloignée de l’échelle marquée « fille ». JB ensuite déclara à la classe : « les filles ne sont pas réelles, et les garçons ne sont pas réels ». C’était extrêmement perturbant pour NB.
NB rentra chez elle et raconta tout à ses parents, demandant à plusieurs reprises pourquoi son identité de fille n’était « pas réelle ». Elle confia qu’elle n’était pas sûre de vouloir être maman quand elle serait grande, et demanda si elle pouvait « aller chez le docteur » à ce sujet. NB exprima également le sentiment qu’elle « devait faire quelque chose » à propos du fait qu’elle était une fille. Ceci suivait une leçon de JB sur les concepts de l’échelle du genre et des changements de sexe.
Ni l’école ni JB n’ont obtenu le consentement des parents pour enseigner à cette jeune enfant que sa perception de soi en tant que fille était une fiction. La conduite de JB a miné le concept fondamental de l’identité de leur fille et a également contredit la réalité biologique, déclare la requête.
Malgré l’inquiétude exprimée par la famille, les responsables de l’école ont refusé de prendre des mesures pour corriger l’impact de ces leçons sur NB. En fin de compte, la famille a choisi de la transférer dans une autre école, ce qui a rendu NB heureuse de ne plus avoir d’enseignant qui disait que « les filles ne sont pas réelles ». Même après son déménagement dans la nouvelle école, NB a continué d’être bouleversée par son expérience dans la classe de JB et s’est débattue avec le concept que sa propre identité n’était pas quelque chose de réel. « Cette table est réelle, et cet éventail est réel, et même si l’éventail est en carton, il est toujours réel », disait-elle à sa mère, qui était suffisamment inquiète pour demander conseil à un psychologue sur la façon d’aider sa fille, selon la requête.
Victoire au conseil scolaire : 4 voix contre 1, contre l'idéologie transgenre
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Un sous-comité du Conseil scolaire catholique du district de Toronto a rejeté, par un vote de 4 contre 1, une motion promouvant la théorie du genre, selon Campaign Life Coalition (CLC) :
Le 30 octobre au soir, lors de la réunion du sous-comité du Toronto Catholic District School Board, les conseillers scolaires ont voté à 4 contre 1 pour rejeter les théories antichrétiennes de « l'identité du genre » et de « l'expression du genre ». Une motion avait été présentée pour ajouter ces idéologies controversées au Code de conduite officiel du TCDSB.
Dieu soit loué et Son Divin Fils, Jésus Christ ! La foi chrétienne a été préservée, du moins pour l'instant, contre une attaque démoniaque contre l'image même de Dieu dans la création.
Voici comment les cinq membres du conseil d'administration du sous-comité « Vivre nos valeurs catholiques » ont voté :
Non, à gauche et oui, à droite.
[…]
En ce qui concerne Maria Rizzo, la seule conseillère qui à avoir voté contre l'image de Dieu dans la Création et à avoir pris une position aussi flagrante contre la Sainte Bible et la doctrine catholique sur la sexualité, un message doit aussi être envoyé.
[…]
Rizzo n'est pas digne de servir comme garante et comme « protectrice » de la foi catholique, un devoir de confiance inhérent au rôle de conseiller catholique.
Évidemment, CLC avait une représentante sur place pour faire entendre une catholique au conseil :
La coordonnatrice des jeunes de Campaign Life Coalition, Josie Luetke, qui se trouve être catholique, a prononcé un petit discours de 3 minutes aux administrateurs lors de la réunion du 30 octobre au soir.
Mais ce n’est pas encore gagné :
Cette victoire par 4 contre 1 au niveau du comité n'est que temporaire. Afin de garder la folie de l'idéologie transgenre hors des écoles catholiques, elle doit être rejetée par le vote de l'ensemble du conseil lors des deux réunions suivantes.
Analyse du résultat des élections fédérales 2019
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
La victoire de Justin Trudeau est malheureusement une défaite pour le mouvement pro-vie et pro-famille. Malgré la baisse de sa popularité, le premier ministre du Canada le plus favorable à l’avortement et le plus zélé à cette (mauvaise) cause a été réélu, prenant 157 sièges (manquant de 13 pour la majorité) à la Chambre des communes et formant un gouvernement minoritaire ; tandis que les conservateurs ont dû se contenter de 121 députés soit 22 de plus qu’aux dernières élections il est vrai ; le Bloc québécois, lui, peut maintenant se pavaner (inutilement) avec ses 32 sièges ; le NPD n’a pu conserver que 24 députés (l’inénarrable chef Jagmeet Singh ne voyant pas son turban honoré par les votes de sa propre circonscription) ; l’étrange Parti vert a gagné son troisième député le 21 octobre ; quant au légendaire Parti populaire, il devra attendre à d’autres élections pour espérer de prendre place au Parlement canadien.
Ce qui reste à voir, c’est si le Parti libéral s’arrange à gouverner avec les « progressistes » des autres partis, et combien de temps durera ce gouvernement minoritaire, formation qui est généralement dissoute en dedans de deux ans.
Le groupe pro-vie Campaign Life Coalition (CLC), agissant dans le domaine politique, a récemment publié une analyse des élections du 21 octobre, soulignant divers aspects à prendre en ligne de compte, commençant d’abord par les pertes et les gains de sièges fédéraux pour les pro-vie. Précisons que tous les députés élus le 21 octobre et réputés être pro-vie sont conservateurs :
Lire la suiteDes pertes douloureuses
Au cours de ce cycle électoral, nous avons été attristés par la perte du député Harold Albrecht (Kitchener — Conestoga), un fervent pro-vie qui a été défait par seulement 365 voix, face à son rival libéral. CLC avait endossé Albrecht comme seul pro-vie de la circonscription.
Albrecht était un député audacieux et doté de principes qui, depuis sa première élection en 2006, possède un dossier de vote parfait sur les questions de vie et de famille. Il a pris la parole lors de la Marche nationale pour la Vie chaque année, s’est levé pour parler de la vie et de la famille à la Chambre des communes et dans sa région, et il a été l’hôte d’activités de CLC sur la Colline du Parlement. Sa défaite est une perte majeure sur la Colline.
Nous sommes consternés de ce que d’anciens députés pro-vie héroïques qui avaient été balayés du pouvoir en 2015 n’aient pas réussi à se faire réélire. Stephen Woodworth (auteur de la motion pro-vie M-312), Wladyslaw Lizon (qui a demandé à la GRC d’enquêter sur les meurtres potentiels d’enfants ayant survécu à un avortement), Pierre Lemieux (qui, avec Brad Trost, s’est présenté à la direction du Parti conservateur avec un programme social-conservateur) et Stella Ambler (qui a un dossier de vote parfait).
La police d’Ontario ne révélera plus l’identité sexuelle des suspects
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Ni non plus celle des victimes de ces suspects, et ce, pour raison de respect de la vie privée et pour se mettre à la mode sur la question de l’identité du « genre ». Extrait de CTV.News :
Le porte-parole de la Police provinciale de l’Ontario, le sergent Carolle Dionne, a déclaré lundi que lors d’un récent examen de la réglementation la police a conclu que la Loi sur les services policiers n’exige pas que cette information soit rendue publique.
Le corps policier a donc pris l’initiative de cesser de publier les informations concernant le genre, par prudence et s’efforcer d’« être progressiste dans le changement des temps », précisa-t-il.
Le Sergent Dionne fait remarquer que les permis de conduire et autres pièces d’identité ne requièrent plus la mention du sexe, et que les agents ne devraient pas faire d’hypothèses fondées sur l’apparence d’une personne.
Mais si les agents de police ne peuvent pas faire de supposition sur l’apparence, sur quoi fonderont-ils leurs enquêtes ? pourront-ils du moins dire (par exemple) : Cette personne ressemblait à un homme ? L’article continue :
« Nous utilisons les termes “l’individu”, “l’accusé”, “le conducteur”, “le suspect” ou “une personne d’intérêt” pour rester neutres sur le plan du genre », révéla-t-il.
Toutefois, des données sur le sexe [de la personne] seront toujours recueillies à des fins d’analyse, et d’autres renseignements personnels — comme le nom, l’âge et la ville natale — seront rendus publics, indiqua-t-il.
Pourquoi fournirait-on l’information au sujet du nom, de l’âge et de la ville natale, et pas du sexe ? Grotesque ! Et si on s’en venait aux « transâges », ne donnerait-on plus d’informations sur l’âge de la personne incriminée, et les policiers ne devront-ils plus faire d’estimation devant des cheveux blancs ?
Une étudiante s’engage à ne pas avoir d’enfant jusqu’à ce que le gouvernement agisse pour le climat
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : PxHere
Une étudiante de dix-huit ans de l’Université McGill, Emma Lim, a lancé sur la Colline parlementaire une « campagne d’engagement » à laquelle environ trois cents personnes ont pris part.
Ces gens ont donc signé le document qui déclare : « Je m’engage à ne pas avoir d’enfants jusqu’à ce que je sois sûr que le gouvernement assurera un futur sécuritaire pour eux », rapporte la CBC. C’est le « changement climatique qui est en cause et qui menacerait la sécurité de potentiellement improbables enfants (improbables, car si ces gens attendent qu’on leur dise que le climat est sécuritaire pour en avoir, ils n’en auront jamais, les alarmistes du climat ― ceux-ci, de [vrais] obscurantiste ― dépeignant sous des couleurs de plus en plus sombres notre avenir).
Du pur Réchauffisme (théorie fumeuse). Si ces personnes attendent que le monde devienne sécuritaire pour avoir une descendance, à ce titre-là ils n’en auront jamais, le monde n’a jamais été un lieu sécuritaire, il ne l’est pas et ne le sera jamais. Renoncer à avoir des enfants, c’est saborder tout avenir, et saborder l’avenir parce qu’il n’y en aurait pas est la meilleure façon de faire en sorte qu’il n’y en ait pas.
Mademoiselle Lim trouve que le gouvernement n’en fait pas assez pour le Climat, tant au provincial qu’au fédéral, fustigeant entre autres le pipeline Trans Mountain.
Mlle Lim laisse son rêve de maternité à cause du « changement climatique », d’après la CBC :
« Je renonce à ma chance d'avoir une famille parce que je n'aurai des enfants que si je sais que je peux les garder en sécurité », écrit-elle sur son site Web.
Certes, si la situation était vraiment catastrophique (par exemple, si une épidémie de peste bubonique sévissait) ce ne serait sans doute pas le moment d’avoir d’autres enfants (par conséquent de ne pas s’adonner aux actes dont le résultat naturel est qu’on ait des enfants). La CBC continue :
« Ça me brise le cœur, mais j'ai créé cet engagement parce que je sais que je ne suis pas seule. »
Elle veut que ses enfants respirent de l'air pur et vivent dans la sécurité économique - et non dans l'insécurité possible causée par les changements climatiques, a-t-elle dit.
[…]
Il n'est pas facile de renoncer à ce rêve, a-t-elle dit, et elle craint que, malgré tous ses efforts, rien ne changera.
[…]
Son objectif est de regarder vers l'avenir avec espoir plutôt qu'avec peur, dit-elle.
Comment peut-elle regarder vers l’avenir en prenant une telle mesure ?
Un candidat mis en examen pour position «pro-vie» par le Parti vert
Mark Vercouteren, candidat du Parti vert dans la circonscription Chatham-Kent-Leamington.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (datant de 2011 et rognée) : Wikimedia Commons
Le Parti vert est tellement proavortement qu’il passe au crible les candidats dont on révélerait les horribles antécédents pro-vie… ou à teinte pro-vie. C’est le cas de Mark Vercouteren, candidat du parti dans la circonscription de Chatham-Kent-Leamington, qui avait fait quelques faibles déclarations « pro-vie » par le passé, d’après la CBC. Maintenant, selon The London Free Press, M. Vercouteren s’excuse d’avoir causé de « la confusion ». La CBC rapporte :
Le chef du Parti vert, Elizabeth May, affirme que son parti est en train de « revérifier » au moins un candidat, préalablement autorisé à se présenter pour le parti, à la suite de questions sur les déclarations passées de certains candidats sur l’avortement et le nationalisme québécois.
Dans une entrevue de l’émission Power & Politics Friday de la CBC, Mme May a déclaré qu’elle réexaminait la candidature de Mark Vercouteren de la circonscription ontarienne de Chatham-Kent-Leamington, après que CBC News eût rapporté qu’il avait émis des déclarations antiavortement dans deux questionnaires de Campaign Life Coalition — dans un cas aussi récent que la campagne électorale provinciale d’Ontario en 2018.
Remarquez au passage le beau biais proavortement de la CBC qui appelle les personnes se dressant pour la protection des enfants à naître « antiavortement », au lieu de leur donner le nom qu’ils se sont donné : « pro-vie ». On notera également que le même procédé n’est pas appliqué aux partisans de l’avortement, vu qu’ils sont nommés « pro-choix » plus loin. La CBC continue, imperturbable :
Lire la suiteUn porte-parole du parti a d’abord déclaré que M. Vercouteren ne se souvenait pas avoir rempli les questionnaires ou avoir écrit un message sur Facebook en 2015 dans lequel il demandait aux éventuels électeurs conservateurs antiavortement de considérer sa candidature.
« Personnellement, je suis pro-vie parce que je ne pourrais pas donner plus de droits aux animaux et enlever des droits aux humains potentiels », a déclaré M. Vercouteren dans son article.
Satire en vidéo du thème pro-avortement: certains bébés seraient «mieux» morts
Par Calvin Freiburger — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
26 août 2019 (LifeSiteNews) — Une nouvelle vidéo pro-vie utilise la satire pour détruire l’affirmation faite par les militants pro-avortement que certains bébés seraient tout simplement « mieux » s’ils étaient supprimés avant d’être nés.
Le groupe pro-vie ontarien Choice42 (Choice For Two) est de retour pour un autre volet de sa populaire série de vidéos « Just Saying », qui utilise la satire pour se moquer des arguments courants en faveur de l’avortement et les discréditer. La dernière vidéo du groupe cible l’idée qu’il aurait été miséricordieux d’avorter un bébé né dans des circonstances éprouvantes.
La fondatrice et directrice de Choice42, Laura Klassen, assume encore une fois le rôle d’apologiste de l’avortement aux cheveux roses, montrant cette fois-ci diverses photos échographiques et expliquant la variété de défis médicaux et sociaux, de la trisomie 21 à la maternité monoparentale, qui signifierait que ces bébés seraient « mieux » morts.
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