Une militante proavortement a mensongèrement déclaré qu’on l’avait attaquée pour ses convictions
Par Calvin Freiburger — traduit par Campagne Québec-Vie
Kitchener, Ontario, 5 avril 2018 (LifeSiteNews) — La police a déposé une accusation de méfait public à l’encontre d’une militante pro-choix reconnue coupable d’avoir inventé qu’elle s’était faite attaquer […]
En mars dernier, une femme non identifiée originaire de Kitchener et âgée de 41 ans a déclaré aux autorités qu’un homme l’avait traitée de « meurtrière » et lui avait jeté un seau de peinture rouge aux abords du Tim Hortons situé à l’angle de Charles Street et de Borden Avenue, rapporte CBC News. La femme participait à des rassemblements locaux proavortement et a déclaré avoir été harcelée plusieurs fois déjà en raison de sa position, ajoute le Record.
Cependant, à la suite d’une enquête, la police a conclu que les déclarations étaient fausses.
« À l’issue des investigations, les détectives ont conclu que l’agression n’avait pas eu lieu », a annoncé ce mercredi [4 mai 2018] le porte-parole de la police régionale de Waterloo, Cherri Greeno.
Lire la suiteEuthanasie : Roger Foley, cet handicapé à qui l’on propose la mort médicalement assistée…
Photo : capture d'écran d'un vidéo de ctvnews.ca
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
Avis à ceux qui pensaient que l’euthanasie, c’est pour les malades en phase terminale qui souffrent trop pour envisager de vivre. C’est du Canada, où l’euthanasie et le suicide assisté sont de légalisation récente, que nous vient cette histoire exemplaire d’un homme qui ne demande rien d’autre que d’être soigné comme il le souhaite, et à qui l’on ne propose, dit-il, que deux options, tout en le menaçant de devoir payer son long séjour à l’hôpital à raison de 1 800 dollars canadiens par jour : retourner chez lui pour être confié à un organisme de soins à domicile qu’il récuse, ou obtenir une mort médicalement assistée. C’est évidemment celle-ci, la solution la moins chère pour régler le cas de Roger Foley, et c’est donc une proposition économique. Et sans doute, avant tout, un moyen de chantage. Mais tout de même…
Lire la suite1 029 patients tués par l’euthanasie en Ontario depuis la légalisation : rapport du coroner
Par Lianne Laurence — traduit par Campagne Québec-Vie
Ottawa, 16 février 2018 (LifeSiteNews) — Quelques 1 029 personnes ont été euthanasiées en Ontario dans les 18 mois suivant la législation de la pratique par le gouvernement canadien, selon le rapport du coroner provincial.
Les données ont été obtenues par Patricia Maloney et publiées sur son blogue Run With Life.
Maloney a été informée par le Ministère de la Santé de l’Ontario qu’il n’y avait pas de « code de facturation » des médecins pour l’euthanasie ou le suicide assisté dans le barème de prestation du régime d’assurance-maladie de la province et que le bureau du coroner provincial « suivait les cas. »
Les données qu’elle a reçues des Bureau du coroner en chef/Service de médecine légale de l’Ontario indiquent que jusqu’au 31 décembre 2017, 1 030 personnes ont reçu l’AMM (aide médicale à mourir). Le gouvernement libéral de Justin Trudeau a légalisé l’euthanasie en juin 2016.
Une mort a été « administré par un patient » tandis que 1 029 ont été « administrées par le clinicien. »
Lire la suiteDes sages-femmes ontariennes veulent pouvoir pratiquer des avortements, les pro-vie sont scandalisés
Par Lianne Laurence — traduit par Campagne Québec-Vie
TORONTO, le 13 novembre 2017 (LifeSiteNews) — La direction de l’Association des sages-femmes ontariennes (Association of Ontario Midwives, AOM) fait pression sur le gouvernement des Libéraux pour qu’il modifie les lois de la province de manière à ce que les sages-femmes puissent tuer des bébés in utero, aussi bien que d’aider à les mettre au monde.
La présidente de l’Association, Elizabeth Brandeis, a déclaré à CBC que les sages-femmes montrent un intérêt croissant pour assister les médecins lors d’avortements.
L’idée est dans l’air au sein de l’association depuis que l’AOM a été consultée par le bureau du procureur général et du ministre de la Santé au sujet du projet de loi des Libéraux interdisant la présence de pro-vie à l’extérieur des centres d’avortement, continue-t-elle.
L’Association ontarienne des sages-femmes, forte de 800 membres, se positionne du côté des pro-choix, affirme Mme Brandeis :
« Nous sommes profondément convaincues que les droits concernant la reproduction, qui incluent toute une gamme de choix entourant la maternité, englobent également un accès sécurisé à l’avortement. »
Et les sages-femmes de tout le Canada, pas seulement en Ontario, veulent pouvoir tuer des bébés in utero, selon CBC, qui a également invité Elizabeth Brandeis à s’exprimer pendant le journal télévisé matinal national.
Lire la suiteL'école catholique, Notre-Dame du Mont-Carmel
Découvrez une des rares écoles libres francophones de confession catholique au Canada, l’école Notre-Dame du Mont-Carmel, à Ottawa, établie à quelques encablures du Québec pour plus de liberté scolaire.
Cette école francophone, qui bénéficie du soutien de l’archevêque d’Ottawa, présente sa campagne de soutien avec humour :
Actuellement, l’école, fondée en 2007, accueille les élèves de la maternelle à la 11e année.
Pour commander la tasse en latin : dboilydnmc.ca
Intimidation à l'université Wilfrid Laurier
Université Wilfrid Laurier.
The Agenda est une émission diffusée aux heures de grande écoute sur la chaîne gouvernementale de l’Ontario, TVO. Elle est animée par un Steve Paikin (ci-dessous) toujours serein et d’une onctueuse politesse.
Steve Paikin
The Agenda prend souvent la forme d’une table ronde d’une heure et sélectionne ses panélistes en tenant compte des subtilités raffinées de la rectitude politique. L’émission est ardemment progressiste, ses partisans — et ils sont nombreux — le sont tout autant.
Pourtant, trois minutes de cette émission ont secoué le monde universitaire de l’Ontario. Comment est-ce possible ? Notons que la CBC insiste dans chacun de ses reportages ou articles pour dire que la vidéo serait « controversée ».
Lire la suiteLe Canada réduit les restrictions pour la prescription de pilules abortives dangereuses
Par Lianne Laurence — traduit par Campagne Québec-Vie
Ottawa, le 7 novembre 2017 (LifeSiteNews) — Le gouvernement canadien étend l’accès à la pilule abortive, permettant son utilisation pour avorter des enfants à naître jusqu’à 9 semaines après la fécondation. De plus, il sera dorénavant possible aux pharmaciens de la distribuer directement, sans l’avis d’un médecin.
La décision de Santé Canada était basée sur de l’information fournie par Linepharma, commanditaire du médicament, selon une information du département, mise à jour et publiée jeudi [7 novembre].
Linepharma est représentée au Canada par la compagnie Celopharma.
Santé Canada a dit avoir effectué « une étude approfondie des publications scientifiques nouvelles et actuelles sur l’innocuité et l’efficacité de Mifegymiso. »
Elle a donc autorisé ce qui suit :
- Mifegymiso peut maintenant être administré jusqu’à la 9e semaine (63 jours) de grossesse, au lieu de la limite précédente allant jusqu’à la 7e semaine (49 jours).
- Mifegymiso peut maintenant être distribué directement aux patients par le pharmacien, ou par tout professionnel de la santé pouvant prescrire des médicaments.
- Les professionnels n’ont plus besoin de compléter un programme d’éducation avant de prescrire Mifegymiso.
- L’obligation du consentement écrit du patient pour l’utilisation de Mifegymiso a été retirée.
- Les professionnels de la santé n’ont plus besoin de s’enregistrer chez Celopharma pour pouvoir prescrire ou distribuer Mifegymiso.
Un Cardinal canadien : Tuer les patients malades est « fondamentalement mal »
Le cardinal Collins parlant à la Marche nationale pour la vie du 11 mai 2017.
Par Pete Baklinski — traduit par Campagne Québec-Vie
Toronto, Ontario, 27 octobre 2017 (LifeSiteNews) — Le cardinal Collins a dénoncé l’euthanasie comme étant « fondamentalement mal » dans un discourt, hier [le 26 octobre].
Le Cardinal Collins, s’adressant aux plus de 1700 participants du Dîner du cardinal [événement archidiocésain] dans le centre-ville de Toronto le 26 octobre, disait que les « froides ténèbres de l’euthanasie » se « répandent à travers le pays » après que le Canada ait fait une loi régissant cette pratique, l’année passée.
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Le cardinal Thomas Collins au Dîner du cardinal du 26 octobre 2017. |
« Une réflexion sur notre réserve limitée de temps nous rappelle que nous ne sommes pas les maîtres, mais seulement les intendants de nos propre vie. Nous ne sommes pas propriétaires de la vie des autres, et nous ne sommes pas propriétaires de la vie confiée à chacun d'entre nous. Parce que nous ne sommes pas propriétaires de la vie humaine, la nôtre ou celle d'autrui, nous n'avons pas le droit de prendre la vie d'une autre personne, et nous n'avons pas le droit de prendre notre propre vie », a déclaré l'archevêque de Toronto.
Lire la suiteMary Wagner condamnée mais libre
La militante catholique pro-vie Mary Wagner.
Par Olivier Bault (Présent)
CONDAMNÉE, mais libre, en tout cas pour le moment. La militante catholique pro-vie Mary Wagner a été condamnée le 12 septembre par un juge de Toronto à neuf mois de prison (le procureur en demandait dix-huit). Mary Wagner a néanmoins recouvré la liberté à la sortie du tribunal en raison du temps qu’elle avait déjà passé en détension provisoire. Une quarantaine de personnes étaient présentes à l’audience où a été lue la lettre d’une maman qui, désespérée par sa situation, allait avorter à la septième semaine de sa grossesse. Sa rencontre avec Mary Wagner dans la clinique-avortoir où elle se trouvait (et que la militante pro-vie avait interdiction d’approcher sous peine de retourner en prison) l’a convaincue de renoncer à son morbide projet. Elle a donné naissance à un garçon il y a neuf semaines de cela, et elle s’en félicite. « Si j’avais obéi à la loi, cet enfant ne serait pas là aujourd’hui », s’est défendue Mary Wagner devant le juge.
Mary Wagner a aussi été condamnée à verser trois cents dollars à trois employées de la clinique d’avortement au titre de leur préjudice moral, car elles ont mal supportées psychologiquement la venue de cette chrétienne quadragénaire distribuant des roses à leurs « patientes » et leur parlant avec douceur de leur enfant, de l’amour de Jésus et de l'aide qu’elles pourraient obtenir si elles renonçaient à avorter. Au Canada, il n’y a même pas de délai légal pour l’avortement sur simple demande, qui reste possible jusqu’au dernier jour de la grossesse. Une pétition sur la plateforme CitizenGo a recueilli plus de 52 000 signatures en faveur de Mary Wagner. Son dernier procès, qui a débouché sur sa condamnation le 12 septembre, avait débuté le 13 juin dernier. Elle avait été à nouveau arrêtée le 12 décembre (Présent du 4 janvier 2017).
Lire la suiteUne lettre d'une donatrice : « Les médecins regardent ce petit enfant....20 semaines...ce petit crâne n'est pas tout à fait formé »
Voici une lettre que nous a écrite une donatrice :
Lire la suiteCause de maladie, j'ai retardé à aller poster ma lettre avec mon petit don.
Je voulais vous raconter un petit témoignage...lorsque je travaillais à l'hôpital à Ottawa.
J'avais une patiente qui avait 20 semaines de gestation. Elle avait des contractions.
On fait tout pour arrêter le travail...mais ça ne réussit pas et elle accouche dans son lit.
Les médecins regardent ce petit enfant....20 semaines...ce petit crâne n'est pas tout à fait formé.